[Fiche d'île] Jaya

En 1629, après avoir reprit le contrôle sur l'île de Jaya, les forces gouvernementales ont entrepris une campagne dévastatrice, rasant totalement la surface de l'île. Toute végétation et structure ont été anéanties, laissant place à une terre stérile et empoisonnée. Les agents gouvernementaux ont répandu des toxines dans le sol, rendant toute tentative de vie impossible et transformant Jaya en un désert mortel.

Pour marquer leur victoire et instaurer leur autorité et marque la mort de la Dragonne, le Gouvernement Mondial a érigé une imposante statue de Saint-Adela au centre de l'île de Jaya. Cette statue, symbole de leur puissance, est destinée à rappeler aux habitants sous terre et aux voyageurs les conséquences de la rébellion et à dissuader toute future insurrection. Saint-Adela, figure emblématique de leur idéologie, est ainsi glorifiée, renforçant la propagande gouvernementale.

En réponse aux mouvements de résistance, le Gouvernement Mondial a pris des mesures drastiques. Les entrées des souterrains de Jaya ont été scellées, et des gaz toxiques ont été libérés dans ces espaces confinés. Les Révolutionnaires capturés sont alors forcés à pénétrer dans ces souterrains empoisonnés, condamnés à une mort lente et douloureuse. Cette tactique brutale vise à exterminer toute opposition et à instaurer un climat de terreur.

Face à la répression féroce du gouvernement, des membres de l'Armée Révolutionnaire et des survivants de Caravelle ont trouvé refuge sous terre. Utilisant les anciens souterrains comme base, ils ont entrepris de les reconstruire et de les adapter pour en faire des habitations sécurisées. Ces rebelles ont mis en place un réseau d'évacuation clandestin, utilisant des nouveaux passages pour tenter de sauver les capturés et les acheminer vers des lieux sûrs. Ce réseau souterrain symbolise l'espoir et la résistance face à l'oppression gouvernementale.

La révolution, consciente des nombreux dangers et obstacles présents dans les souterrains de Jaya, a entrepris une cartographie des tunnels. Grâce à cette initiative, les révolutionnaires peuvent désormais faciliter le rapatriement des blessés et des capturés, assurer des évacuations potentielles en toute sécurité, et éviter les éboulements, pièges, trous et créatures hostiles qui peuplent ces dédales souterrains. Cette cartographie méticuleuse a transformé les tunnels en un réseau navigable, crucial pour la survie et le succès des opérations de résistance.

• Ruines de Caravelle
  
  
  Les ruines de Caravelle sont un tableau saisissant de désolation et de décadence. Autrefois une ville vibrante et prospère, Caravelle est désormais une ombre de sa gloire passée, éparpillée en fragments de pierres et débris. Les bâtiments qui se dressaient fièrement ont été réduits en carcasses fissurées, avec des façades écroulées et des structures démembrées. Les rues, autrefois animées, sont désormais jonchées de décombres, de gravats et de poussière. Les avenues autrefois bondées sont devenues des chemins sinueux, parsemés de vestiges de vie quotidienne : des lampadaires tordus, des panneaux ébréchés et des fragments de mobilier abandonné.
  
  Les places centrales, jadis lieux de rassemblement et d'activité, sont maintenant envahies par des débris et des plantes sauvages, avec des fontaines asséchées dont l'eau a laissé place à une boue stagnante. Les bâtiments administratifs et les monuments publics, symboles de l'autorité et de la grandeur de Caravelle, sont en grande partie effondrés ou gravement endommagés, leurs statues brisées et leurs inscriptions décolorées par le temps et la destruction. Le climat de désolation est accentué par des nuages de poussière empoissonnée qui flottent dans l'air, laissant une couche de saleté sur tout ce qui reste.
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• « Là-dessous »
  
  
  « Là-dessous » se trouvait être le pendant obscur de la défunte Cité Caravelle. Constituée des décombres, égouts et réseaux de galeries qui forment le plancher de Jaya, cette zone souterraine a été rapidement explorée après la chute de la cité. Dès les premiers jours, des accès ont été découverts et utilisés pour des reconstructions stratégiques. Initialement, « Là-dessous » servait de base d'opérations pour la Révolution, offrant un sanctuaire clandestin où les résistants pouvaient planifier leurs actions et se replier en cas de danger.
  
  Toutefois, la guerre contre Jaya a tout bouleversé. Face à la dévastation et à l'exode, « Là-dessous » a été transformée pour devenir un refuge communautaire. Les décombres ont été réaménagés, les égouts purifiés et les galeries sécurisées pour accueillir les survivants revenus chercher un abri. Des habitations improvisées, des centres de soins et des espaces de vie collective ont été aménagés pour créer une véritable communauté sous la surface. Aujourd'hui, « Là-dessous » est plus qu'un simple repaire de révolutionnaires : c'est un lieu où les rescapés de la guerre peuvent se reconstruire, vivre en sécurité et retrouver un semblant de normalité.
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• « Renovatio »
  
  
  Pour faire face aux atrocités perpétrées par le Gouvernement Mondial et pour créer un refuge sûr, les membres de l'Armée Révolutionnaire et les survivants de Caravelle ont entrepris un projet ambitieux de rénovation et d'expansion des anciennes structures souterraines. Cette nouvelle construction, baptisée « Renovatio », est une extension stratégique de la ville de « Là-dessous ». « Renovatio » a été conçue pour séparer efficacement la zone révolutionnaire de la partie communautaire de « Là-dessous ». Tandis que Là-dessous devient un lieu de vie plus communautaire, dédié à la reconstruction sociale et au soutien mutuel, « Renovatio » est destinée à abriter les activités révolutionnaires. Cette division permet de sécuriser les opérations tout en offrant un espace de vie serein pour les habitants.
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• Théâtre des Échos Perdus :
  
  
  Le Théâtre des Échos Perdus est un lieu modeste mais empreint de charme, né des cendres des anciens théâtres de Jaya. Situé dans un bâtiment rénové à la hâte après la destruction dans un coin de « Là-dessous ». Le bâtiment est une structure ancienne, ses murs en pierres apparentes, patinés par le temps et les épreuves. Les matériaux de récupération utilisés pour sa reconstruction lui confèrent un caractère unique. Les poutres de bois usées, les vieux fauteuils réhabilités et les rideaux en velours décolorés créent une ambiance d'authenticité et de rusticité. À l'intérieur, l’espace est compact mais fonctionnel. La scène, bien que modeste, est illuminée par des projecteurs fabriqués à partir de pièces de rechange et de vieux équipements de théâtre. Le décor est simple, composé de rideaux de scène en tissu récupéré et de décors peints à la main, donnant au lieu une touche artisanale.
  
  Le public est accueilli par des rangées de sièges en bois, dont certains ont été réparés avec soin pour assurer confort et solidité. Le plafond est soutenu par de vieilles poutres apparentes, et les murs sont ornés de photographies et d'affiches de spectacles passés, rappelant les jours de gloire des théâtres disparus. Le Théâtre des Échos Perdus n'est pas seulement un lieu de divertissement, mais aussi un symbole de la résilience de Varnor Lundvik le responsable. Il incarne l’esprit de la communauté, utilisant ce qui reste pour continuer à offrir une scène aux artistes locaux. Les spectacles y sont souvent des représentations amateurs, donnant aux habitants l’opportunité de s’exprimer, de se divertir et de se rassembler dans un espace qui, bien que modeste, est riche de vie et d’espoir.
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• Mur d'épaves :
  
  
  En préparation d'une attaque vengeresse de la Marine, Ragnar avait organiser une récolte d'épaves de navires qu'il avait placer en guise de mur pour empêcher les vaisseaux ennemis d'accoster. Un itinéraire était prévu pour les invités afin d'éviter de tomber dans ce piège organisé. Un bateau qui voulait passer en force se verra automatiquement bloqué, sans forcément s'en apercevoir en marée haute par ces débris de rafiots. En voulant nettoyer le restant de la zone,  la marine à déplacer les cadavres des bateaux tombés, renforcent cette barrière, avec cette contribution involontairement : les nombreux navires tombés durant la guerre ont été récupérés et ajoutés à ce mur de défense. Ces épaves supplémentaires, intégrées habilement par Ragnar et ses hommes, ont rendu la barrière encore plus impénétrable, créant une zone de protection quasi infranchissable autour de l'île de Jaya.
  Modifié par Heliamphora
  
  
• Le Tombeau de Saint-Adela :
  
  
  La statue est un hommage majestueux à Saint-Adela, la Dragonne Céleste. Cette figure imposante et solennelle trône au centre d'un sanctuaire dédié à sa mémoire. Vêtue d'une robe élégante et arborant une couronne royale, elle tient une épée d'or, symbole de son pouvoir et de son courage. Les détails minutieux de la sculpture, des plis de sa robe aux traits de son visage, témoignent du respect et de la vénération qu'elle inspire. À ses pieds, des crânes rappellent ceux qu'elle a vaincue.
  
  La Saint-Adela, tombée aux mains de l'ennemi, repose dans un tombeau digne des plus grands rois, érigé par le Gouvernement en son honneur. Ce monument funéraire se dresse au centre de l'île de Jaya, le seul endroit épargné par le poison qui a ravagé les environs. Autour du tombeau, sur une centaine de mètres, s'étend un magnifique jardin, véritable oasis de beauté et de sérénité. Ce jardin,  est orné de fleurs rares et de plantes luxuriantes, reflétant la grandeur et l'extravagance dignes de la Saint-Adela. Ce lieu de repos, avec sa statue centrale et son environnement enchanteur, symbolise à la fois le respect éternel pour la Saint-Adela. Le tombeau et le jardin forment un contraste saisissant avec les terres empoisonnées qui l'entourent, servant de rappel poignant de la gloire passée et des défis présents.
  Ajouté par Heliamphora
  

 
Après la guerre de 1629 et la destruction de l'île, le Gouvernement n'a pas jugé nécessaire de laisser des gardes pour surveiller la zone. Cependant, les survivants revenus s'installer sur l'île de Jaya sont habitués à devoir se défendre seuls. Ces survivants sont donc évalués à un minimum de 500 dorikis, prouvant leur résilience et leur force.

Sur place, ils bénéficient également de la protection des forces révolutionnaires qui se sont installées avec l'accord des dirigeants de l'île pour les aider à se rebâtir. Ensemble, les survivants et les révolutionnaires travaillent main dans la main pour reconstruire leur communauté, alliant courage et détermination pour faire face à un avenir incertain.





 ► [1624] Le Conflit Est-Ouest :
Depuis peu, la guerre menée entre l'empereur pirate Vladimir Toreshky et  son adversaire Mannfred D. Teach a prit des ampleurs ayant au-delà du Nouveau Monde. En effet, les deux belligérants,  fort affaiblis de leur constantes batailles, se sont vu dans l'obligation d'étendre leur zone d'influence sur les parties antérieures de Grand Line pour recruter de nouveaux effectifs. Du côté du Seigneur d'ivoire, on raconte que la commandante de la première flotte de ce dernier aurait été aperçue aux alentours de l'Est de l'île. Celle-ci semblait vouloir étaler le pouvoir de son capitaine sur l'île.  Le Malvoulant à quand à lui eu recourt selon des sources plus ou moins fiable au premier commandant de ses flottes, soit Flist Gonz, dit "Le Crochet". Ces deux auraient depuis, grâce à leur puissante influence, installé différents postes de recrutement partout sur l'île pour s'assurer une importante mainmise sur la majorité des effectifs pirates présents sur place. L'est de l'île appartenant aux troupes de Vladimir alors que l'ouest appartiendrait à ses ennemis jurés. Une partie cependant considérable serait malgré tout restée neutre. Le chaos et l'anarchie digne des pirates toujours présent sur cette partie de l'île ne présentant aucune allégeance. Une importante tension est palpable partout sur l'île au plan politique. Les deux camps seraient donc à un cheveux de se sauter mutuellement à la gorge.

 ► [1626] La Chute du Roi :
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 ► [1626] La Purge de Jaya :
Selon les sources officielles de la marine et le rapport du Cipher Pol. Une expédition punitive a été engagé par les forces de l'ordre pour éliminer l'ensemble des pirates cachés de Jaya. L'opération a été un franc succès et la marine a pu éliminer un autre cador de la piraterie : Jackob Miles. L'île est définitivement un endroit paisible où on y séjournerai pour des vacances. Officieusement, un combat à mort s'est déroulé entre Jackob Miles et Mizukawa B. Sutero pour se disputer le trône de Shichibukai. Et avant leur duel à mort, ils ont dû récolter, tuer tous les pirates de l'île. Mais Il y'a une seule personne qui a pu s'en sortir et connaît la vérité en dehors du gouvernement. Elle ne parle pas de l’événement et se fait passer pour civil ou un marine novice. Peut-être a t-elle simplement quitter Jaya.
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 ► [1627] Sauvetage de Jaya :
Après de longues négociations avec les maîtres de Jaya, Ragnar put les convaincre de se relever de ne pas se laisser dominer par la pression du GM. Le révolutionnaire assassina le roi de l'île, l'envoya au GM qui répondit par la guerre. Ainsi, sur Jaya, les soldats se mirent à fabriquer une défense maritime assez impressionnante à l'aide d'épaves. La promesse fut tenue et, malgré une rude bataille, Jaya s'en sortit avec un minimum de perte. Comme convenu avec les dirigeants de l'île, ils sont depuis reliés à la Révolution.
Jaya est un des repères de l'Atout, où il entretient de bonnes relations avec les maîtres de l'île, prêts à lui rendre service à tout moment.
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► [1629] La Reine, Le Révolutionnaire & Le Corsaire ! :
News spécial ! Sur Jaya, le mouvement révolutionnaire semble en avancé ! Soutenu par la Supernova Elisabeth L. Gray. Cette dernière aurait combattu le capitaine corsaire Wrath aux côtés du Maire de la Cité Caravelle, à eux deux ils auraient contraint l'ancien pirate à battre en retraite. Une défaite lourde pour cet homme qui doit déjà penser à faire ses représailles. La Reine Climatique aurait clamé qu'elle déclare la guerre à l'ordre des capitaines corsaires, info ou intox, en tout cas ... cette pirate commence à se créer un large réseau, le temps semble se gâter sur Grand Line.
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 ► [★★★][Event Terminus Jaya][1629]  La fin de Jaya :
La guerre entre la Marine, les Corsaires, les Pacifistas et les habitants de Caravelle, soutenus par la Révolution et les Pirates, fut une lutte acharnée. Les combats furent d'une intensité remarquable, avec des stratégies audacieuses de la part des révolutionnaires qui espéraient renverser l'ordre établi. Malgré leurs efforts, le Gouvernement et ses alliés se montrèrent plus résilients et parvinrent à remporter la victoire. Cependant, la Révolution réussit à réaliser des coups d'éclat notables, capturant un prince et le second d'un Corsaire, tout en infligeant des dommages significatifs au cuisinio, un bastion de la Marine. Malgré ces succès, la défaite globale laissa un goût amer aux survivants, qui prirent conscience des défis immenses qui les attendaient et de la nécessité de continuer leur lutte pour la liberté et la justice.
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 ► [★★★][1629] Jaya Anéantie : Le Message du Gouvernement :
La destruction de Jaya par le Gouvernement fut une démonstration de puissance écrasante, conçue pour marquer les esprits de manière indélébile. En réduisant la ville à néant, le Gouvernement a voulu envoyer un message clair : toute rébellion serait sévèrement punie. Jaya, jadis une ville prospère, est désormais un symbole de la force implacable du Gouvernement. Les survivants portent les cicatrices de cette dévastation comme un stigmate permanent, rappel constant de la brutalité du régime. La ville en ruines, avec ses décombres et ses vestiges, est devenue une illustration poignante de la force et de la détermination du Gouvernement, affirmant leur contrôle par la destruction spectaculaire d'un lieu chargé de mémoire et de résistance.