Kurumu venait de quitter Vendredi, île qu'elle avait renommé, avec un gros butin. A peu près, plus de trente millions de berrys, grâce à une carte offerte par Polissongohan, jeune enfant qui habitait sur Cotton Candy Island. La fillette était contente, mais ses réserves de nourriture diminuaient, et ça faisait déjà quelques jours qu'elle n'avait pas trouvé une île où faire escale. La nuit tomba, et la jeune fille s'endormit, laissant le voilier se déplacer au gré du vent. Quelques gouttes tombèrent, puis une pluie torrentielle s’abattit sur South Blue. La demoiselle se réveilla, et fut étonné de voir ça, alors que la mer était calme. Seulement, elle ne pouvait rien faire, puisqu'elle n'avait ni k-way, ni parapluie. Se fut ainsi qu'elle resta en position foetal à recevoir toute la flotte, et ce, durant toute la nuit.
Au petit matin, la jeune fille avait des cernes, et était malade. Elle n'avait pas fermé les yeux de la nuit, et cela l'avait achevé.
*Maintenant qu'est ce que je peux bien faire. J'ai quitté ma maison, des soldats de la marine m'en veulent... Et là, je suis au milieu de l'océan, sans un quelconque repère. Le pire dans tout ça, c'est que j'ai attrapé froid.*
Elle regarda autour d'elle afin de chercher une île où accoster.
-"Récapitulons. J'ai encore la mallette, la boussole, et de la nourriture... Enfin, pour ce qu'il en reste. Putain, ça craint un max, il faut vraiment que je trouve un équipage, ou un groupe d'amie, sinon je risque d'y passer."
Naviguant suivant le bon vouloir du vent, et par flemmardise de ramer, Kurumu parvint à voir une île, du moins, ça y ressemblait.
*J'espère que tout se passera pour le mieux* pensa-t-elle, tout en mettant les voiles vers cette dernière.
La demoiselle accosta sur cette fameuse l'île, qui apparaissait aux yeux de Kurumu, comme sa sauveuse, celle qui lui permettra de se reposer et de se ravitailler. Pour éviter que des soldats de la marine puisse la trouver, la jeune fille prit l'initiative de ne pas s'amarrer aux quais comme tout le monde, mais plutôt de cacher son voilier. En plus de cela, celui-ci contenait un joli magot qu'il serait dommage de perdre.
La plage, et le bord de mer étaient séparés des habitations et des magasins. Plusieurs accès existaient pour se rendre sur le sable doux, et ce, sans une once de surveillance. Chaque personne pouvait entrer et sortir de la ville, quelque soit son appartenance, et ça, c'était bien.
Une fois le bateau moins visible, elle enleva son veston et s'essuya rapidement les cheveux, puis alla en ville pour se promener. La métropole à l'intérieure de l'enceinte était jolie, les maisons étaient blanches aux toitures bleutées. Les chemins étaient fait de pierres bleues et cimentées entre elles, puis poncés, afin qu'elles aient toute la même hauteur. Vêtue de sa tenue d'écolière encore mouillée et les cheveux en bataille, elle ne fit pas trois pas sans que personne ne la regarde avec un air bizarre. Kurumu pouvait même entendre des murmures qui la concernait directement. Gênée, elle s'écria :
-"Mais qu'est ce qui ne vas pas chez vous ? Pourquoi vous parlez sur moi ?"
L'une des personnes lui répondit :
-"Votre tenue n'est pas conforme aux règles de Seafoam Islands."
-"Comment ça ? C'est quoi ce délire ?" s'étonna Kurumu qui n'avait pas encore esquissé un petit sourire.
-"Pour faire simple, pour les femmes et filles, celle ci ne peuvent pas portée de jupes, question de pudicité. Sur cette île, tous sont les bienvenues qu'ils soient pirates, chasseurs de prime, soldats de la marine et du gouvernement. Même les révolutionnaires y sont autorisés. Donc là, vous devriez vous changer jeune fille. Non loin d'ici, il y a un magasin spécialisé dans la vente de vêtements." Puis il retourna à ses occupations.
-"Mais je m'en fiche que tout le monde ait le droit de venir, je veux simplement que vous arrêtez de me regarder avec des airs d’ahuri, comme si vous n'avez jamais vu de personne en jupe. Mais, c'est bon, je vais me changer. Pas la peine de me le redire."
L'adolescente était de mauvais poil. La nuit fut horrible, et il lui en fallait peu pour s'énerver. Comme c'était partit, la journée allait être longue, mais elle n'oublia pas le plus important : se faire toute petite afin que la marine ne lui tombe pas dessus.
*Je sais ce qu'il me reste à faire maintenant.*
Au petit matin, la jeune fille avait des cernes, et était malade. Elle n'avait pas fermé les yeux de la nuit, et cela l'avait achevé.
*Maintenant qu'est ce que je peux bien faire. J'ai quitté ma maison, des soldats de la marine m'en veulent... Et là, je suis au milieu de l'océan, sans un quelconque repère. Le pire dans tout ça, c'est que j'ai attrapé froid.*
Elle regarda autour d'elle afin de chercher une île où accoster.
-"Récapitulons. J'ai encore la mallette, la boussole, et de la nourriture... Enfin, pour ce qu'il en reste. Putain, ça craint un max, il faut vraiment que je trouve un équipage, ou un groupe d'amie, sinon je risque d'y passer."
Naviguant suivant le bon vouloir du vent, et par flemmardise de ramer, Kurumu parvint à voir une île, du moins, ça y ressemblait.
*J'espère que tout se passera pour le mieux* pensa-t-elle, tout en mettant les voiles vers cette dernière.
La demoiselle accosta sur cette fameuse l'île, qui apparaissait aux yeux de Kurumu, comme sa sauveuse, celle qui lui permettra de se reposer et de se ravitailler. Pour éviter que des soldats de la marine puisse la trouver, la jeune fille prit l'initiative de ne pas s'amarrer aux quais comme tout le monde, mais plutôt de cacher son voilier. En plus de cela, celui-ci contenait un joli magot qu'il serait dommage de perdre.
La plage, et le bord de mer étaient séparés des habitations et des magasins. Plusieurs accès existaient pour se rendre sur le sable doux, et ce, sans une once de surveillance. Chaque personne pouvait entrer et sortir de la ville, quelque soit son appartenance, et ça, c'était bien.
Une fois le bateau moins visible, elle enleva son veston et s'essuya rapidement les cheveux, puis alla en ville pour se promener. La métropole à l'intérieure de l'enceinte était jolie, les maisons étaient blanches aux toitures bleutées. Les chemins étaient fait de pierres bleues et cimentées entre elles, puis poncés, afin qu'elles aient toute la même hauteur. Vêtue de sa tenue d'écolière encore mouillée et les cheveux en bataille, elle ne fit pas trois pas sans que personne ne la regarde avec un air bizarre. Kurumu pouvait même entendre des murmures qui la concernait directement. Gênée, elle s'écria :
-"Mais qu'est ce qui ne vas pas chez vous ? Pourquoi vous parlez sur moi ?"
L'une des personnes lui répondit :
-"Votre tenue n'est pas conforme aux règles de Seafoam Islands."
-"Comment ça ? C'est quoi ce délire ?" s'étonna Kurumu qui n'avait pas encore esquissé un petit sourire.
-"Pour faire simple, pour les femmes et filles, celle ci ne peuvent pas portée de jupes, question de pudicité. Sur cette île, tous sont les bienvenues qu'ils soient pirates, chasseurs de prime, soldats de la marine et du gouvernement. Même les révolutionnaires y sont autorisés. Donc là, vous devriez vous changer jeune fille. Non loin d'ici, il y a un magasin spécialisé dans la vente de vêtements." Puis il retourna à ses occupations.
-"Mais je m'en fiche que tout le monde ait le droit de venir, je veux simplement que vous arrêtez de me regarder avec des airs d’ahuri, comme si vous n'avez jamais vu de personne en jupe. Mais, c'est bon, je vais me changer. Pas la peine de me le redire."
L'adolescente était de mauvais poil. La nuit fut horrible, et il lui en fallait peu pour s'énerver. Comme c'était partit, la journée allait être longue, mais elle n'oublia pas le plus important : se faire toute petite afin que la marine ne lui tombe pas dessus.
*Je sais ce qu'il me reste à faire maintenant.*