>> PhysiqueExtrait du journal de Funj Galilo, ami de jeunesse de Hikaru... - [...] Hikaru, c’est un mec bien. Le problème, c’est que la plupart des gens sont jaloux de lui. Car en effet, c’est un aimant à gonzesse ! Faut avouer qu’il est super bien foutu. Bah tient, je vais vous le décrire.
Commençons par le physique, car c’est ce qui tape à l’œil des filles en premier. Déjà ce type à une peau bronzée limite en permanence, ce qui créer une harmonie constante avec ses cheveux mi-long, noirs, dont les mèches tombent sur sa figure. Ha oui, les cheveux, bon, je ne vais pas m’attarder sur le fait qu’ils soient très (trop ?) épais car finalement, on n’y fait même pas attention. Et puis bon, c’est loin d’être un défaut, car au contraire, ça lui vas plutôt bien quand on y réfléchit. Je parlais donc de ses mèches qui lui tombent sur la figure. Et bien en réalité on s’en fout, parce que le plus important c’est justement sa figure ! Le regard d’Hikaru… Il aura fait bien tomber des filles ! A la fois si sérieux et si attirant ! Je dois admettre qu’il a du charme ce bonhomme, même si je suis un mec, c’est vrai que c’est un beau gosse. Mais son sourire y joue aussi. Il est bien rare de voir les dents d’Hikaru pourtant alignée si parfaitement. Non, lorsqu’il sourie il laisse montrer un air de plaisir mais reste sérieux. Aurai-je oublié de vous parlez de son nez ? Bah ! Qu’ai-je à dire là-dessus, je ne vais pas vous rendre jaloux, son nez est parfait point. Fin, de moyenne longueur, parfait quoi !
Passons au corps de notre ami. Je me demandais pourquoi restait-il toujours si bronzé, mais c‘est vrai qu’Hikaru est toujours torse nu. Mais là, je ne saurais pas vous dire si c’est pour attirer encore plus les nanas qu’il le fait… En tout cas ça y contribue à coup sur : qui n’a jamais rêvé d’un corps de rêve, avec des muscles parfaitement dessinés ? Sur les pectoraux d’Hikaru se trouve un tatouage. Il n’a jamais voulut me dire ce qu’il signifiait, mais je jurerais qu’il s’agit de flammes, ou alors d’une aile d’ange… Enfin j’en sais rien en fait… Bon, des muscles, tout le monde peut en avoir me dites vous. Moui, c’est pas faux, sauf qu’il est plus facile d’en avoir pour un petit que pour un grand, or Hikaru ne mesure pas moins de un mètre quatre-vingt dix ! Enfin je donne un chiffre en me basant sur moi-même, et Dieu sait que je suis petit…
Vous connaissez maintenant à peu près le physique d’Hika’, vous savez que c’est un tombeur et vous savez pourquoi ! Alors je vais maintenant vous parler de ses goûts vestimentaires. Certes ce n’est qu’un détail, mais bon, Quelle impression auriez-vous s’il était vêtu d’un pull de laine quasi déchiré avec un pantalon vieux de trente ans et des sabots ? Hein ? Alors voilà, Hikaru est simple, il n’est pas frileux, car la moitié du temps il est torse nu, et un rien lui suffit pour se vêtir. Un pantalon, une ceinture, un calbute, et des tongs. C’est tous ce qu’il porte. A ma connaissance je n’ai jamais vu quelqu’un aussi peu vêtu. Mais ça ajoute une part d’originalité à ce personnage déjà si peu original.
>> Psychologie- Passons maintenant en revue son esprit, sa psychologie. Hikaru est peut-être très apprécié de la gente féminine, ça lui est parfaitement égale la plupart du temps. Il lui arrive parfois de tomber sous le charme d’une jolie demoiselle, mais ça reste rare. Ses objectifs passent avant tout. Mais il lui arrive quand même de profiter de ce don de la nature qu’est la beauté, aussi importante soit-elle à l’intérieur comme à l’extérieur du personnage. Car oui, il n’y a pas que le physique qui fait tomber les jeunes filles ! Non, Hika est très, voir trop gentil. C’est un vrai gentleman qui n’est pas pour autant au taquet avec les filles. Il n’en protégera une non pas pour l’avoir dans son lit (quoique parfois…), mais pour faire régner la justice. Mais il acceptera sans aucun doute un remerciement quelconque de la protégée. Je vous embrouille ? Haha, mais voyez-vous, Hikaru est un peu lunatique, une fois il va en avoir par-dessus tout des filles, une autre fois il va en profiter un maximum.
Mais attention, il ne faut pas imaginer Hikaru en train de faire tomber les filles une par une, non, il faut la séduire, faire connaissance avec elle, la surprotéger, ne pas être lourd... Enfin je dis ça, moi je suis toujours puceau donc bon… Hum. Hikaru aime jouer. C’est pour cela qu’il partira sans doute à la rencontre de dames. C’est vrai qu’avoir quelqu’un qui nous aime, ça donne toujours confiance en soit… Amical et partageur, il n’hésitera pas à séduire une femme pour ses amis. Je veux dire par là qu’il va amener la fille à faire connaissance avec ses potes, puis disparaître de la vie de cette femme pour leur laisser la part du gâteau.
Hikaru est très joueur et acceptera toujours les défis que lui donnerons ses amis. Ha oui ! Il a quand même un défaut notre petit Hikaru, il déteste avoir tord et fera tout pour prouver qu’il a raison. Mais alors si on lui apporte des preuves, il s’avouera vaincu et alors tournera la page.
Lors d’un combat, Hika essaie de faire le vide dans son esprit. Plutôt long à la détente, ses réflexes ne viennent qu’au dernier moment. Il combat intelligemment et assène le moins de coup possible à l’adversaire. Pourquoi s’épuiser à faire des petits coups plutôt que de frapper fort là où ça fait mal ? Lors de précédentes expériences, il a comprit que ne pas réagir était une manière simple et efficace pour énerver l’adversaire. C’est sans doute pour cela qu’il se met souvent en tailleur devant l’adversaire et lui fait signe qu’il peut y aller. L’ennemi pensera alors que l’homme se trouvant devant lui possède une grande confiance en soit, et il se posera des questions sur sa force. Et plus on réfléchie, moins on est efficace. C’est un grand stratagème là qu’utilise notre ami, il lui aura sauvé la vie à de nombreuses reprises…
Vous pensez peut-être que c’est un limaçon dont je suis en train de vous parlez là, et bien non, car il a du caractère notre ami Hikaru. Il peut s’énerver très vite. Ce n’est pas toujours le gars j’enfoutiste qui s’assoie devant ses prochaines victimes avant de les combattre. Car si l’homme a réellement fait quelque chose impardonnable, alors Hikaru ne tolèrera pas ça et se battra avec toutes ses forces enfouit dans son corps.
Voilà, vous savez maintenant qui est Hikaru Kinjirô, un beau gosse une fois profiteur, une fois j’enfoutiste, qui s’assoie devant ses prochaines victimes avant de les combattre pour les stresser, et qui a tendance à s’énerver si quelque chose est vraiment intolérable et nuit à la justice absolue.
Fin de l'extrait du journal de Funj Galilo. >> BiographieNe soit pas trop pressé...- J’ai passé mon enfance dans un village de South Blue. Je vivais avec ma mère, mon père était pirate et mon grand-père marine. Etrange en effet. Tout se passait bien, j’avais huit ans, j’étudiais bien à l’école, j’avais des amis, bref, c’était le pied. Mon père, que je n’avais pas vu depuis mes trois ans, devait venir dans le village ce jour là et j’étais surexcité. Malgré son choix de se diriger vers la piraterie, mon père était très apprécié dans le village, on me disait que je lui ressemblais beaucoup et que c’était une très bonne chose. Je voulais donc à tout prix voir l’homme à qui je ressemblais tellement.
Je m’en souviens encore, c’était un lundi matin. Ma mère m’avait autorisé à rester à la maison en attendant mon père. Ce dernier avait prit contact avec elle pour lui faire part de sa venue. Mais ce n’était pas à la maison que j’attendais, c’était devant le port, sous le post de vigie. Cela faisait bien deux heures que je patientais, deux heures que je me retenais pour ne pas hurler son nom dans l’espoir de le faire venir plus rapidement. Lorsque tout à coup, la vigie du port cria :
Bateau pirate en vue ! Gamin ! Ton père a changé de pavillon ! La dernière fois que je l’ai vu, son drapeau représentait…
Il tomba du haut de son post de vigie. Une balle avait été tirée dans la tête de l’homme à une distance de plus d’un kilomètre. Et le pire dans tout cela, c’est qu’il avait atterrit devant mes yeux. Vous imaginez ? J’avais huit ans ! J’étais terrorisé, je ne pouvais plus accentuer un mot. C’était la première fois que je voyais un mort de ma vie. Alors je courus, courus le plus vite possible chez moi. Je ne pouvais pas imaginer mon père aussi cruel que ça. Pourquoi ? Pourquoi cet homme avait-il été tué ? Comment pouvait-on retirer la vie d’un homme aussi simplement ? L’homme que j’attendais depuis l’aube était un… assassin ? Je ne pouvais pas l’admettre. J’arrivai donc dans ma maison, où je courus dans ma chambre et m’enferma pour pleurer un coup. Mais je ne pouvais cesser ses larmes, était-ce le fait d’avoir vu quelqu’un mourir devant mes yeux ou le fait de savoir que mon père était un meurtrier qui me faisait pleurer ? Tant de question se posait. Mais avant que je ne pu y réfléchir ma mère frappait à ma porte, s’inquiétant pour moi. Je lui ouvris, tentant de cacher les gouttes se baladant sur mon visage.
Maman, mon père est un meurtrier. Il a tué la vigie depuis l’horizon.
Une nouvelle série de larmes resurgie en moi. Je ne voulais pas pleurer, mais il le fallait, pour évacuer la peur et la terreur qui soulevait mon corps dans cet instant précis. Ma mère non plus ne comprenait plus rien. Elle qui avait connu un autre homme doux et sensible. Peut-être, mais c’était un pirate !
Hikaru, cours à la ville dire à tout le monde qu’une attaque pirate est en train d’avoir lieu, qu’il faut fuir, ce n’est pas ton père… ça ne peut pas… Hikaru ! Passes par le chemin de Reysan, ce sera plus sûr.
Le chemin de Reysan, ce chemin secret était certes, très sûr mais rallongeais le chemin d’une bonne demi-heure de marche. Mais là c’était différent, je courus, espérant arriver au bon moment, je ne voulais pas arriver trop tard. La survie des habitants était entre mes mains.
Le combat... J’arrivai dans une petite ruelle où était entreposée quelques caisses de marchandise pour les magasins du centre ville. Je ralentis et entendis une voix. Une voix terrifiante, aigüe, la voix d’un homme qui parle par le nez, la voix d’un pirate. J’avançais toujours, craignant le pire. Et en effet, je fus si surpris que je faillis crier, mais j’eu la sagesse de me retenir et de me cacher derrière une caisse de poisson. Un homme avait pris en otage l’ensemble des habitants de la ville et les menaçait de les tuer si jamais il ne leur disait pas où était cachée les biens de la ville. Il était grand et fin, avait une tête allongé et un nez remonté. Sur son manteau couvert de fourrure on pouvait lire son nom ainsi que son pavillon : Fouiny Baby. Une vingtaine d’hommes l’accompagnait. Cet homme perdait complètement les pédales, il attrapa par les cheveux une femme puis, s’adressant au maire du village, menaçait de la tuer au bout de trois secondes s’il ne divulguait les infos demandée.
Un….Deux….Tr..
Je ne ferai pas ça si j’étais toi.
Un homme venait de surgir dans la pénombre une capuche rabattu sur son visage. Personne ne semblait comprendre mais Fouiny Baby rengaina son arme et s’adressa à la voix lui demandant qui il était. Il y eu un blanc, puis l’homme fini par se montrer et retirer sa capuche, montrant ainsi un visage d’homme semblable au mien.
Je suis Oreta Kinjirô, grand pirate des mers, et je viens rendre visite à mon fils.
Les yeux de la Fouine s’écarquillèrent puis un sourire se forma sur son visage longiligne. Il semblait connaître l’homme qui à priori était mon père. Etait-il célèbre dans le milieu de la piraterie ? L’homme au visage de fouine s’avança et parla. Il voulait un deal, la vie de mon père contre celle des habitants. Oreta Kinjirô dégaina alors un long sabre puis le pointa vers son interlocuteur. D’autres hommes arrivèrent en masse derrière mon père. Un combat allait avoir lieux pour la survie des habitants et de la ville.
Mon père était fort, très fort, il maîtrisait parfaitement son arme et dominait le combat, il était habile et combattait intelligemment. Il épuisait l’adversaire en évitant les plus petits coups, c’était un gagnant. Pourtant j’étais anxieux. J’avais un mauvais pressentiment. Pourtant les hommes de mon père dominaient largement la bataille ! Mon père allait achever La Fouine. Il lui avait placé sa lame sous sa gorge alors que ce dernier était tombé au sol sous la pression de l’épée et par épuisement. Mais un homme se dressait dans son dos, un pistolet à la main. Je ne pus m’empêcher de crier un « Attention !! » désespéré, mais rien n’y fit, mon père tomba sur les genoux, avant de s’affaler sur le sol. Ses nakamas cessèrent le combat sous le choc, puis se firent tous avoir, puis moururent. J’étais abattu, voilà que je connaissais à peine mon père qu’il venait de mourir. C’était trop injuste. C’était un cauchemar, mais j’avais beau me pincer, je ne me réveillais pas. Je pleurai.
Fufufufufufufufufufufu ! Bien joué Radégou ! Un ennemi en moins ! Tirons-nous de cette ville les gars, elle sent mauvais…
Le calme était revenu. Je sortis de ma cachette et me jeta sur le corps de mon père. Il me vit, sourit, puis m’adressa ses dernières paroles :
Hikaru, c’est toi. Tu ne peux pas savoir comme je suis content d’enfin voir ton voir ton visage. Tu n’as pas changé. Kof Kof. Hikaru, ne fais pas comme moi, ne te dirige pas vers la piraterie, fais régner la justice. Je suis pirate et pourtant j’ai une grande admiration pour les marins et si j’avais pus retourner en arrière, il aurait été certain que j’en aurai été un. Suis ton grand-père Hikaru, et tu deviendras bien plus fort que moi… Je meurs en paix, merci d’avoir été là.
Après...
Les mois avaient passés et tout était revenu dans l’ordre, je possédais une chaine en argent que j’avais récupéré sur le cadavre de mon père et j’avais fais la promesse de m’engager dans la marine. D’ailleurs, pour être certain que je la tiendrais, je m’étais fais tatouer un symbole sur le corps. C’était le symbole d’un roman que je lisais souvent étant petit et qui se nommait « la promesse ».
Mais mon rêve se réalisa plus tôt que prévu… Mon grand-père débarqua un jour, sans prévenir, puis conclu un marché avec ma mère. Même étant dans la pièce d’à côté je me doutais du sujet de conversation… Sauf que quand on m’appela, on m’apprit qu’un centre de formation de futurs officiers venait d’ouvrir là où était le QG de mon grand-père. C’était trop beau. Mais voyez-vous, il est dur, surtout à cet âge là de se séparer de sa mère. Mais je fus fort, comme mon père. C’était désormais un exemple pour moi.
Les années passèrent et je découvris l’amour et la force. Car oui, j’étais beau et nombreux étais les autres qui m’enviais. Mais malgré la jalousie de certain, j’eu des amis, et ce n’est qu’aux bout de seize ans qu’on eu le droit de sortir en ville, de découvrir le monde. Je dois admettre qu’il est encore dur parfois pour moi de m’y retrouver, même si j’ai évolué et mûrit. Mon grand-père avait vengé mon père, mais était mort quelques mois pus tard d’un cancer incurable. J’ai été très touché par sa disparition, mais je sus me relevé. Aujourd’hui je viens d’être muté, j’ai quitté mes amis et je suis près à refaire ma vie aux services de la marine.
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