>> Shama Lauw
Une image de 200*300 pixels. | Pseudonyme : Votre surnom s’il y a lieu. Age: 34 ans Sexe : Femme Race : Cyborg Métier : Groupe : Marine But : Faire régner l’ordre dans la ville ou je suis assignée. Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Cyborg (mais il parait que je peux faire ma présentation avec le physique du cyborg, sachant que je ne souhaite pas d’arme incorporée). Équipement : Un sabre basique. Codes du règlement : Parrain : c’est moi ! Ce compte est-il un DC ? : Je refais un perso après deux ans d’absence, j’étais Shippû kurushimi. Si oui, quel @ l'a autorisé ? : ... |
>> Physique
Je suis une jeune femme qui n'est plus humaine. Même si au fond de moi je me sens comme tel, mon corps lui, contredit toutes mes pensées. Certes, à une époque je les étais mais ce n'est plus le cas. Parce que désormais je suis une cyborg. Ainsi mon corps et en partie en métal me rendant ainsi plus forte que la moyenne. Ce n'est pas par choix d'ailleurs, puisqu'on ne m'a pas laissé le choix de devenir comme cela mais c'est un faite. Mes jambes et mes bras son en métal tout comme le haut de mon corps. En fait, les seules parties véritablement vulnérables de mon corps sont le cou et la tête. Même si le cou, et principalement la nuque a était renforcé par du métal afin de me soigner.
D'un point de vue extérieur, je parais presque normal. Mon visage et celui d'une femme adulte déterminé, celui-ci est encadré par de longs cheveux blancs tombant jusqu'aux épaules lorsqu'ils ne sont pas attachés séparer en plusieurs mèches afin de découvrir son visage. Ainsi, mon front et à découvert et à partir de moment, il est possible que l'on me reconnaisse en tant que cyborg. Et oui, tout simplement par le faite qu'une plaque de métal protège mon front et qu'elle se voie en trois blocs successifs rendant la peau plus foncé de forme polygonale. Sous ce front, je possède des yeux bleu claire, un nez fin et une bouche normale. Ce visage, je l'entretiens régulièrement avec du maquillage histoire de cacher un maximum le faite que je sois une cyborg. Le reste de mon corps est normal, je dois dire que je suis une femme aux formes généreuse. Mais ce n'est pas du faite de la nature, c'est juste que celui qui m'a ramené à la vie avait certaine envie de physique personnel.
Niveau vestimentaire, je suis principalement habillé avec l'uniforme de la marine portant un sabre à la ceinture. En dehors des moments de fonction, je m'habille un peu n'importe comment, sans faire véritablement attention à ce que je porte. Après tout, je suis là pour être dans la marine et pas pour me faire belle devant des gens qui ne voudront jamais de moi.
Mais tout ceci c'est ce que l'on voie de moi et que je sais parfaitement. C'est la conscience que j'ai de mon corps et dont beaucoup ne sont pas au courant. Mais lorsque l'on se retrouve en face de moi, on remarque certaines choses. Très respectueuse de la hiérarchie ou des civils innocents je parle en général avec respect aux gens que je ne connais pas et je parviens à être familière avec les gens qu'au bout de plusieurs jours. Néanmoins, lorsqu'il s'agit de hors la loi, c'est tout autre chose. Un peu comme si je me défoulais de tant de retenues. Injurieuse, mal polie, sans aucun sens de civisme. Tel et ma façon d'agir et de parler.
Visiblement, il y a de nombreuses choses que l'on peut apprendre sur moi rien qu'en m'observant. Comme le faite que je ne sais pas mentir et qu'à chaque fois que j'essaye je lève les yeux et ma bouche tressaille. Ou encore que lorsque quelque chose me déplaît, ou quelqu'un, mon poignet gauche fait bouger ma main de façon sèche pour rien et très régulièrement.
D'un point de vue extérieur, je parais presque normal. Mon visage et celui d'une femme adulte déterminé, celui-ci est encadré par de longs cheveux blancs tombant jusqu'aux épaules lorsqu'ils ne sont pas attachés séparer en plusieurs mèches afin de découvrir son visage. Ainsi, mon front et à découvert et à partir de moment, il est possible que l'on me reconnaisse en tant que cyborg. Et oui, tout simplement par le faite qu'une plaque de métal protège mon front et qu'elle se voie en trois blocs successifs rendant la peau plus foncé de forme polygonale. Sous ce front, je possède des yeux bleu claire, un nez fin et une bouche normale. Ce visage, je l'entretiens régulièrement avec du maquillage histoire de cacher un maximum le faite que je sois une cyborg. Le reste de mon corps est normal, je dois dire que je suis une femme aux formes généreuse. Mais ce n'est pas du faite de la nature, c'est juste que celui qui m'a ramené à la vie avait certaine envie de physique personnel.
Niveau vestimentaire, je suis principalement habillé avec l'uniforme de la marine portant un sabre à la ceinture. En dehors des moments de fonction, je m'habille un peu n'importe comment, sans faire véritablement attention à ce que je porte. Après tout, je suis là pour être dans la marine et pas pour me faire belle devant des gens qui ne voudront jamais de moi.
Mais tout ceci c'est ce que l'on voie de moi et que je sais parfaitement. C'est la conscience que j'ai de mon corps et dont beaucoup ne sont pas au courant. Mais lorsque l'on se retrouve en face de moi, on remarque certaines choses. Très respectueuse de la hiérarchie ou des civils innocents je parle en général avec respect aux gens que je ne connais pas et je parviens à être familière avec les gens qu'au bout de plusieurs jours. Néanmoins, lorsqu'il s'agit de hors la loi, c'est tout autre chose. Un peu comme si je me défoulais de tant de retenues. Injurieuse, mal polie, sans aucun sens de civisme. Tel et ma façon d'agir et de parler.
Visiblement, il y a de nombreuses choses que l'on peut apprendre sur moi rien qu'en m'observant. Comme le faite que je ne sais pas mentir et qu'à chaque fois que j'essaye je lève les yeux et ma bouche tressaille. Ou encore que lorsque quelque chose me déplaît, ou quelqu'un, mon poignet gauche fait bouger ma main de façon sèche pour rien et très régulièrement.
>> Psychologie
Je suis une femme droite et respectueuse. Respectueuse de la loi principalement ainsi qu'envers mes supérieurs et toute personne n'ayant pas commis un crime quelconque. Je suis une marine, et ce n'est pas pour rien. Fidèle à tout ce que je dis et à ce que je m'engage je ne change presque jamais d'avis et pour me faire changer d'avis, il faut une argumentation plus que bien travaillé. Beaucoup disent donc que mon esprit est complétement fermé aux débats. Pourtant, il m'arrive de débattre, ce qui ne veut pas dire que je change d'avis bien entendu. Néanmoins, c'est pour cela que je suis apprécié dans la marine. J'obéis aux ordres, et je m'y tiens, peu importe les conséquence. Comme on dit, dans la marine, on ne réfléchit pas, on obéit. Si on a de tels ordres, ce n'est pas pour rien et il faut donc les effectuer.
Ainsi, je suis sans aucune pitié lorsque je suis un ordre. Si l'on me bloque le passage et que l'on me gêne dans le travail que je dois effectuer, je me débarrasse des gêneurs. D'abord doucement, puis brutalement. Ce qui ne m'empêche pas d'être au service de la population, de les aider dans leurs problèmes ou de les protéger, loin de là. Je me dois de faire mon devoir de marine, jusqu'au bout et cela même si je dois en mourir. Et oui, je suis déjà passé par la mort, cette sensation froide de disparaître du monde. Une chose effrayante mais qui ne m'empêcheras pas d'effectuer mon devoir. Parce que ce n'est pas de la mort dont j'ai peur, loin de là.
J'ai peur de ne pas pouvoir effectuer mon devoir, d'être bloquer par mes faiblesses, d'être incapable d'agir alors que d'autres ont besoin de moi. Oui, j'ai peur de cela, des choses humaines, des choses qui changent au fur et à mesure que le temps s'écoule. Il y a énormément de chose dont j'ai peur depuis toujours, des phobies, ou encore des craintes. Et lorsque je parle de phobies, ce n'est pas pour rien car celle-ci m'empêche systématiquement d'agir comme je le voudrais. L'exemple le plus simple est l'orage, je ne supporte pas ce bruit, cette chose qui peut tuer quelqu'un sans que l'on puisse rien faire. Dans le même genre, j'ai toujours une peur de l'obscurité qui peut cacher énormément de chose et en particulier des problèmes. Ceci est dû à ce que j'ai vécu, des expériences réelles auxquelles beaucoup aurait préféré ne pas survivre.
Mais pas moi, je suis heureuse d'avoir survécu, joyeuse même. Bien que mon corps ne soit plus véritablement humain, cela ne m'empêche pas de vivre comme je l'entends malgré le fait qu'il m'arrive souvent d'avoir peur et que je ne peux pas m'endormir sans laisser la lumière allumer. Et pour être heureuse, il faut aimer des choses qui se passent régulièrement dans la vie. Ainsi, j'aime de nombreuses choses comme aider les gens, discuté, faire la fête ou encore, plus simplement, manger. Je n'ai pas besoin de quelque chose de compliquer pour me satisfaire non, loin de là. Je suis une personne simple, sans doute bien trop simple pour être intéressante. Néanmoins, c'est équivalent lorsqu'il d'agit de m'énerver.
Et oui, je m'énerve très vite et encore plus rapidement lorsqu'il s'agit de crime. Crime et insulte envers mes amis. Cela fait bien longtemps que je ne m'occupe plus de ce que l'on me dit, que je ne me sens plus offenser. Mais lorsqu'il s'agit de mes amis ou de ma famille, c'est tout autre chose. Dans ce genre de cas, je perds mon calme presque immédiatement et je rentre dans le tas. S'il s'agit d'un simple civil, je le remettrai à sa place mais s'il s'agit d'un hors-la-loi. On peut dire que c'est la mort qui l'attend, à moins qu'il ne soit assez fort pour parvenir à survivre mais, dans ce cas-là, il finira simplement en prison.
Globalement, je suis une personne gentille et obéissante et même, légèrement peureuse pour certaines choses mais courageuse pour accomplir mon devoir ou défendre mes proches.
Ainsi, je suis sans aucune pitié lorsque je suis un ordre. Si l'on me bloque le passage et que l'on me gêne dans le travail que je dois effectuer, je me débarrasse des gêneurs. D'abord doucement, puis brutalement. Ce qui ne m'empêche pas d'être au service de la population, de les aider dans leurs problèmes ou de les protéger, loin de là. Je me dois de faire mon devoir de marine, jusqu'au bout et cela même si je dois en mourir. Et oui, je suis déjà passé par la mort, cette sensation froide de disparaître du monde. Une chose effrayante mais qui ne m'empêcheras pas d'effectuer mon devoir. Parce que ce n'est pas de la mort dont j'ai peur, loin de là.
J'ai peur de ne pas pouvoir effectuer mon devoir, d'être bloquer par mes faiblesses, d'être incapable d'agir alors que d'autres ont besoin de moi. Oui, j'ai peur de cela, des choses humaines, des choses qui changent au fur et à mesure que le temps s'écoule. Il y a énormément de chose dont j'ai peur depuis toujours, des phobies, ou encore des craintes. Et lorsque je parle de phobies, ce n'est pas pour rien car celle-ci m'empêche systématiquement d'agir comme je le voudrais. L'exemple le plus simple est l'orage, je ne supporte pas ce bruit, cette chose qui peut tuer quelqu'un sans que l'on puisse rien faire. Dans le même genre, j'ai toujours une peur de l'obscurité qui peut cacher énormément de chose et en particulier des problèmes. Ceci est dû à ce que j'ai vécu, des expériences réelles auxquelles beaucoup aurait préféré ne pas survivre.
Mais pas moi, je suis heureuse d'avoir survécu, joyeuse même. Bien que mon corps ne soit plus véritablement humain, cela ne m'empêche pas de vivre comme je l'entends malgré le fait qu'il m'arrive souvent d'avoir peur et que je ne peux pas m'endormir sans laisser la lumière allumer. Et pour être heureuse, il faut aimer des choses qui se passent régulièrement dans la vie. Ainsi, j'aime de nombreuses choses comme aider les gens, discuté, faire la fête ou encore, plus simplement, manger. Je n'ai pas besoin de quelque chose de compliquer pour me satisfaire non, loin de là. Je suis une personne simple, sans doute bien trop simple pour être intéressante. Néanmoins, c'est équivalent lorsqu'il d'agit de m'énerver.
Et oui, je m'énerve très vite et encore plus rapidement lorsqu'il s'agit de crime. Crime et insulte envers mes amis. Cela fait bien longtemps que je ne m'occupe plus de ce que l'on me dit, que je ne me sens plus offenser. Mais lorsqu'il s'agit de mes amis ou de ma famille, c'est tout autre chose. Dans ce genre de cas, je perds mon calme presque immédiatement et je rentre dans le tas. S'il s'agit d'un simple civil, je le remettrai à sa place mais s'il s'agit d'un hors-la-loi. On peut dire que c'est la mort qui l'attend, à moins qu'il ne soit assez fort pour parvenir à survivre mais, dans ce cas-là, il finira simplement en prison.
Globalement, je suis une personne gentille et obéissante et même, légèrement peureuse pour certaines choses mais courageuse pour accomplir mon devoir ou défendre mes proches.
>> Biographie
La renaissance, l'apogée d'un être, ce moment où le monde change devant nos yeux afin de se révéler à nous et de nous éblouir par sa splendeur ou son atrocité. C'est une chose que l'on vit une seule fois, du moins normalement.
Je me réveillais brusquement, une migraine pointant le bout de son nez, j'ouvrais les yeux pour les refermer immédiatement. J'étais en vie. La douleur que je ressentais dans mon crâne était bien réelle. Suffisamment en tout cas pour me donner envie de mourir, de disparaître définitivement de ce monde. J'ouvris à nouveau les yeux, ma vision était floue. Un clic retentit à mes oreilles et je bougeais légèrement ma tête.
-Ne bouge pas, je termine de brancher tes connecteurs optiques.
La voie était grave et lente, je ne comprenais pas ce qui se passait, mais, peu après ma vision redevint normal et la migraine disparue. J'étais debout au milieu d'un atelier. Retenus par de longues barres de métal et le ventre ouvert. De multiples fils dépassaient de mon corps ainsi que plusieurs tubes de métal, mais étrangement, j'étais calme, très calme. Je patientais pendant que l'homme travaillait sur mon corps. Je réfléchissais a comment j'en étais arrivé là. Je n'étais plus humaine, c'était sûr, rien qu'en voyant le métal dépassant de mon corps et le bruit que celui-ci faisait. Regardant autour de moi, sans bouger la tête, je parvins à distinguer un tube transparent se dirigeant vers ma tête et étant branché à une machine. À l'intérieur, je pouvais distinguer un liquide transparent, comme de l'eau.
- Y sert à quoi ce tube transparent ?
- C'est des calmants pour faciliter la mise en place et les réglages.
C'était donc pour cela que j'étais si calme dans une situation pareille. L'opération dura encore un moment, peu à peu, je retrouvais certaine sensation. Principalement le toucher. Des choses que je n'avais pas ressenties depuis plusieurs années. Du moins, j'en avais l'impression. Et enfin, tout cela se termina. L'homme activa mon corps et je pus me déplacer. Enfin, c'est ce que je pensais puisque à peine avais-je fais un pas que je tombais à terre. Il me releva doucement et m'aida à m'assoir sur une chaise. Qui s'écroula sous mon poids. Soupirant, je finis par être adossé à un mur.
-Pourquoi je suis comme ça ?
Ma phrase était prononcée calmement, sans doute parce que les calmants faisaient encore effet, je l'ignore. L'homme se présenta, il s'appelait Nard, ingénieur amateur. Il m'expliqua comment il m'avait trouvé, allongé au milieu des décombres d'une taverne, à moitié morte. Il n'y avait plus que moi en vie, mes compagnons étaient partis ou bien morts. Étant la seule survivante en ce lieu, il avait décidé de me sauver. Les médecins n'avaient rien pu faire, me déclarant morte, disant que je n'avais aucune chance de survie. C'est alors qu'il décida de finaliser son rêve, créer un cyborg. Il m'emporta dans son atelier et construisit mon nouveau corps à l'aide de matériaux plus ou moins récupérer là où il pouvait. Il m'expliqua aussi comment je fonctionnais, à l'aide de papier. Embarrassé, il m'avoua qu'il n'avait rien eu d'autre sous la main pour produire de l'énergie qu'une petite machine recyclant le papier. Avec quelques modifications, il était parvenu à créer de l'énergie avec et l'avait intégré à mon organisme. Bien entendue, il m'avait assuré que je pouvais manger ce que je voulais, mais que cela n'aurait tout simplement aucun effet sur mon corps et ressortirait intact. Je compris ainsi que ma vie changerait du tout au tout, mon comportement de tous les jours et que je devrais tout recommencer à zéro. Me refaire une vie, si vie il y avait pour quelqu'un comme moi.
- Tu faisais quoi toi ? Qui étais-tu ? Et pourquoi étais-tu là ?
Sa question me surprit un peu puis je commençais à parler. Qui j'étais, du moins pour ce que je m'en souvenais. Doucement, je commençais à parler.
- Je m'appelle Lauw, ancienne marine puisque je suppose que depuis j'ai étais déclarée morte. Je suis née à Logue Town et j'ai toujours vécu las bas ou presque. Je suis née dans une famille plutôt calme. Mon père était un marchand de vêtement, je suppose qu'il l'est toujours. Ma mère, elle aidait mon père dans son travail. Très jeune, j'ai voulu devenir marine, pour les protéger, pour pouvoir protéger tous ceux que j'aime et aussi ceux que je ne connais pas, mais qui souhaite simplement vivre en paix. À quatorze ans, je suis entrée dans la marine, comme simple mousse camper à Logue Town. À l'époque, tout était calme et j'ai pu m'entrainer et obéir sans problème. Tout se passait bien, je vécus cinq années à m'entrainer, remplir des papiers et effectuer les corvées. Jusqu'à ce qu'on me donne l'ordre d'embarquer sur un navire.
Certes, ce navire revenait souvent à Logue Town, mais, une fois sur la mer, je me suis rendue compte que tout était beaucoup plus agité. Les batailles étaient nombreuses et meurtrières. Plusieurs fois je fus blessée gravement. Toutefois, je m'en sortais toujours, ou presque. Oui, mon dernier souvenir de cette période, c'est en 1616 quand nous avons débarqué ici. Enfin je crois, je ne sais plus vraiment. Je me souviens surtout que nous avions débarqué pour détruire une cellule résistante. Apparemment, elle voulait faire exploser quelque bâtiment important de la ville. La bataille a était court, blessée à plusieurs endroits, j'ai tenté de me replier lorsque le bâtiment a explosé. J'ai senti une douleur au ventre et j'ai perdu connaissance.
Nard sourit et me proposa du papier, cela faisait bizarre pour moi de me nourrir de cette façon. Il m'expliqua que les calmants feraient effet encore quelques heures puis me raconta ce qui c'était passé pendant mon coma. Trois ans de coma. Nous étions désormais en 1619 et la piraterie était de plus en plus présente dans le monde. Globalement, lui avait une vie plutôt tranquille, presque personne ne venait le déranger en dehors de sa famille. Il avait une fille de treize ans qui passa nous voir quelques heures plus tard.
Je restais quelques mois chez lui, le temps de vérifier que mon corps fonctionne correctement, que j'apprenne à l'utiliser mais aussi à l'entretenir voir à le modifier. Il était gentil, comme toute sa famille, et grâce à lui, je parvins à me convaincre que je pouvais reprendre une vie normale. Dans la marine. Les adieux furent longs, mais je parvins à le convaincre de venir s'installer à Logue Town. Parvenant à me faire engager sur un navire, je me dirigeais vers Logue Town.
Le retour fut bruyant, sur mon corps, seule mon visage n'avait pas vraiment changé mais ce fut suffisant pour que l'on me reconnaisse. Je revins donc chez mes parents, rien n'avais changé en dehors de leurs visages plus triste qu'auparavant. Mon retour déclencha une énorme fête où ils invitèrent tous leurs amis. Peu d'entre eux firent réellement attention aux changements que j'avais subis. Et mes parents n'y prêtèrent pas attention, ce n'était pas important pour eux, tout ce qui était important c'était le faite que je sois là, en vie.
Deux jours plus tard, je me présentais au QG de la marine. De nombreuses questions s'en suivirent, un interrogatoire prolongé eu lieu et des personnes m'ayant connue furent appelée. Oui, c'était bien moi, il fallut un certain moment afin que je sois de nouveau intégré dans la marine. Comme soldat de base campé a Logue Town, j'étais revenu au début mais, curieusement, je n'avais pas envie d'aller plus loin. Cela fait donc environs cinq ans que je suis revenus dans la marine, et presque six ans que je suis devenus une cyborg, et ce n'est pas prêt de changer.
Je me réveillais brusquement, une migraine pointant le bout de son nez, j'ouvrais les yeux pour les refermer immédiatement. J'étais en vie. La douleur que je ressentais dans mon crâne était bien réelle. Suffisamment en tout cas pour me donner envie de mourir, de disparaître définitivement de ce monde. J'ouvris à nouveau les yeux, ma vision était floue. Un clic retentit à mes oreilles et je bougeais légèrement ma tête.
-Ne bouge pas, je termine de brancher tes connecteurs optiques.
La voie était grave et lente, je ne comprenais pas ce qui se passait, mais, peu après ma vision redevint normal et la migraine disparue. J'étais debout au milieu d'un atelier. Retenus par de longues barres de métal et le ventre ouvert. De multiples fils dépassaient de mon corps ainsi que plusieurs tubes de métal, mais étrangement, j'étais calme, très calme. Je patientais pendant que l'homme travaillait sur mon corps. Je réfléchissais a comment j'en étais arrivé là. Je n'étais plus humaine, c'était sûr, rien qu'en voyant le métal dépassant de mon corps et le bruit que celui-ci faisait. Regardant autour de moi, sans bouger la tête, je parvins à distinguer un tube transparent se dirigeant vers ma tête et étant branché à une machine. À l'intérieur, je pouvais distinguer un liquide transparent, comme de l'eau.
- Y sert à quoi ce tube transparent ?
- C'est des calmants pour faciliter la mise en place et les réglages.
C'était donc pour cela que j'étais si calme dans une situation pareille. L'opération dura encore un moment, peu à peu, je retrouvais certaine sensation. Principalement le toucher. Des choses que je n'avais pas ressenties depuis plusieurs années. Du moins, j'en avais l'impression. Et enfin, tout cela se termina. L'homme activa mon corps et je pus me déplacer. Enfin, c'est ce que je pensais puisque à peine avais-je fais un pas que je tombais à terre. Il me releva doucement et m'aida à m'assoir sur une chaise. Qui s'écroula sous mon poids. Soupirant, je finis par être adossé à un mur.
-Pourquoi je suis comme ça ?
Ma phrase était prononcée calmement, sans doute parce que les calmants faisaient encore effet, je l'ignore. L'homme se présenta, il s'appelait Nard, ingénieur amateur. Il m'expliqua comment il m'avait trouvé, allongé au milieu des décombres d'une taverne, à moitié morte. Il n'y avait plus que moi en vie, mes compagnons étaient partis ou bien morts. Étant la seule survivante en ce lieu, il avait décidé de me sauver. Les médecins n'avaient rien pu faire, me déclarant morte, disant que je n'avais aucune chance de survie. C'est alors qu'il décida de finaliser son rêve, créer un cyborg. Il m'emporta dans son atelier et construisit mon nouveau corps à l'aide de matériaux plus ou moins récupérer là où il pouvait. Il m'expliqua aussi comment je fonctionnais, à l'aide de papier. Embarrassé, il m'avoua qu'il n'avait rien eu d'autre sous la main pour produire de l'énergie qu'une petite machine recyclant le papier. Avec quelques modifications, il était parvenu à créer de l'énergie avec et l'avait intégré à mon organisme. Bien entendue, il m'avait assuré que je pouvais manger ce que je voulais, mais que cela n'aurait tout simplement aucun effet sur mon corps et ressortirait intact. Je compris ainsi que ma vie changerait du tout au tout, mon comportement de tous les jours et que je devrais tout recommencer à zéro. Me refaire une vie, si vie il y avait pour quelqu'un comme moi.
- Tu faisais quoi toi ? Qui étais-tu ? Et pourquoi étais-tu là ?
Sa question me surprit un peu puis je commençais à parler. Qui j'étais, du moins pour ce que je m'en souvenais. Doucement, je commençais à parler.
- Je m'appelle Lauw, ancienne marine puisque je suppose que depuis j'ai étais déclarée morte. Je suis née à Logue Town et j'ai toujours vécu las bas ou presque. Je suis née dans une famille plutôt calme. Mon père était un marchand de vêtement, je suppose qu'il l'est toujours. Ma mère, elle aidait mon père dans son travail. Très jeune, j'ai voulu devenir marine, pour les protéger, pour pouvoir protéger tous ceux que j'aime et aussi ceux que je ne connais pas, mais qui souhaite simplement vivre en paix. À quatorze ans, je suis entrée dans la marine, comme simple mousse camper à Logue Town. À l'époque, tout était calme et j'ai pu m'entrainer et obéir sans problème. Tout se passait bien, je vécus cinq années à m'entrainer, remplir des papiers et effectuer les corvées. Jusqu'à ce qu'on me donne l'ordre d'embarquer sur un navire.
Certes, ce navire revenait souvent à Logue Town, mais, une fois sur la mer, je me suis rendue compte que tout était beaucoup plus agité. Les batailles étaient nombreuses et meurtrières. Plusieurs fois je fus blessée gravement. Toutefois, je m'en sortais toujours, ou presque. Oui, mon dernier souvenir de cette période, c'est en 1616 quand nous avons débarqué ici. Enfin je crois, je ne sais plus vraiment. Je me souviens surtout que nous avions débarqué pour détruire une cellule résistante. Apparemment, elle voulait faire exploser quelque bâtiment important de la ville. La bataille a était court, blessée à plusieurs endroits, j'ai tenté de me replier lorsque le bâtiment a explosé. J'ai senti une douleur au ventre et j'ai perdu connaissance.
Nard sourit et me proposa du papier, cela faisait bizarre pour moi de me nourrir de cette façon. Il m'expliqua que les calmants feraient effet encore quelques heures puis me raconta ce qui c'était passé pendant mon coma. Trois ans de coma. Nous étions désormais en 1619 et la piraterie était de plus en plus présente dans le monde. Globalement, lui avait une vie plutôt tranquille, presque personne ne venait le déranger en dehors de sa famille. Il avait une fille de treize ans qui passa nous voir quelques heures plus tard.
Je restais quelques mois chez lui, le temps de vérifier que mon corps fonctionne correctement, que j'apprenne à l'utiliser mais aussi à l'entretenir voir à le modifier. Il était gentil, comme toute sa famille, et grâce à lui, je parvins à me convaincre que je pouvais reprendre une vie normale. Dans la marine. Les adieux furent longs, mais je parvins à le convaincre de venir s'installer à Logue Town. Parvenant à me faire engager sur un navire, je me dirigeais vers Logue Town.
Le retour fut bruyant, sur mon corps, seule mon visage n'avait pas vraiment changé mais ce fut suffisant pour que l'on me reconnaisse. Je revins donc chez mes parents, rien n'avais changé en dehors de leurs visages plus triste qu'auparavant. Mon retour déclencha une énorme fête où ils invitèrent tous leurs amis. Peu d'entre eux firent réellement attention aux changements que j'avais subis. Et mes parents n'y prêtèrent pas attention, ce n'était pas important pour eux, tout ce qui était important c'était le faite que je sois là, en vie.
Deux jours plus tard, je me présentais au QG de la marine. De nombreuses questions s'en suivirent, un interrogatoire prolongé eu lieu et des personnes m'ayant connue furent appelée. Oui, c'était bien moi, il fallut un certain moment afin que je sois de nouveau intégré dans la marine. Comme soldat de base campé a Logue Town, j'étais revenu au début mais, curieusement, je n'avais pas envie d'aller plus loin. Cela fait donc environs cinq ans que je suis revenus dans la marine, et presque six ans que je suis devenus une cyborg, et ce n'est pas prêt de changer.
>> Test RP
J'avais envie de dormir, la journée avait était ennuyante. Une fois encore, j'étais assignée aux bureaux afin de remplir la paperasse. Encore et encore, heure après heure. Ce n'était pas fait pour moi, et pourtant, je le faisais quand même. Suivre les ordres était important, et remplir ces papier l'étais aussi. Et puis quand j'étais là, les poubelles étaient tout de suites moins remplies. Une voie me héla, je levais la tête avant de recevoir un avion en pleine figure. L'attrapant doucement, je commençais à le grignoter. Goût poireau. Je fronçais les sourcils en me demandant quel âge pouvait bien avoir ce papier pour avoir obtenu ce goût. À moins que ce soit l'encre présente dessus. Sans rechigner je mangeais en continuant d'écrire.
Arrestation, encore une fois, puis une déclaration de vol, un magasin entier. C'était la fin de la journée et les rapports continuaient d'affluer, encore et encore, sans jamais s'arrêter. À croire qu'aujourd'hui serait une journée sans fin. Mais aussi qu'une bande de pirates, ou même plusieurs, c'était amusé toute la journée. Une vieille agressée au marché. Je soupirais en lisant ce rapport, celui qui l'avait rédigé ne semblait pas se rendre compte que c'était tout simplement désagréable de le lire. Écriture saccadée, fautes récurrentes et tout simplement, aucune cohérence. Un homme avait agressé une vieille dame, et juste après, c'était l'inverse. À croire que ce marine n'avait pas su faire la différence et c'était simplement occupé de les séparer. Je soupirais classant l'affaire.
Fatigué, je me levais, certain prenait un café, d'autre allait fumer. Oui, fumer pour se donner de l'énergie, un jour j'essayerais. Mais pour le moment, je me contentais de manger du papier. Avec de l'encre ça passait, mais en général le goût n'étais pas extra. Oui, il me fallait du papier vierge. Mais, en fin de journée, en trouver ne serais pas facile. Une voie hurla au rassemblement et je dus abandonner ma recherche de nourriture et d'énergie. Du moins pour le moment. Oui, je ne renoncerais pas, bientôt, j'allais m'endormir si je ne mangeais pas un papier acceptable. Je me rassemblais donc avec les autres devant le sergent-chef. Celui-ci était accompagné de deux hommes à l'air sérieux.
- Marines ! Nous recherchons un dossier d'une vingtaine de pages, en apparence il est vierge. Trouvez-le vous avez trente minutes !
D'un seul coup, toute la salle s'agita. Des marines se précipitaient dans les bureaux retournant tous les dossiers. Pour que ce soit le sergent-chef qui nous demande cela, le dossier devait être important. Encore plus si l'écriture dessus était invisible. Silencieusement, je me demandais qui pouvait bien être ces deux hommes en noire. Mais ma question silencieuse n'en trouva pas de réponse, non, loin de là. Je m'étais perdue dans les étages sans regarder autour de moi et j'avais faim, horriblement faim. Épuisée, je regardais dans les salles avoisinantes en cherchant du papier vierge. Lorsqu'enfin, je tombais sur une pile d'une vingtaine de pages. Sans me poser de questions, j'attrapais le bloc de papier et croquais un bon coup dans un des coins rognant près de sept cm de feuilles. Je mâchais et avalais presque directement. Au moment où j'allais à nouveau croquer, je sentis une brûlure sur mon palais. Comme si j'avais mangé du piment.
Je grimaçais, haletante, tentant de faire passer cette sensation de brûlure. Puis, au bout d'une dizaine de minutes, cela disparut et j'examinais le papier. Ce n'était pas normal, du papier vierge ne pouvait pas donner ce genre de sensation. Les joues en feu, la chaleur montant au crâne sous l'effet du papier, je retournais voir le sergent-chef. Ce papier était étrange et particulièrement efficace pour retrouver de l'énergie. Il fallait que j'en parle et que l'on se fournisse avec ce papier. Avec ça, tout irait bien pour moi. J'arrivais vers le sergent-chef et m'exclamais.
- Sergent-chef !
- Marine ?
- Il faudrait commander ce genre de papier, il donne une énergie du tonnerre !
Je lui tendis le bloc de papier d'une vingtaine de pages plutôt bien entamé. Il l'attrapa rapidement et l'examina avant de le tendre aux hommes en noire qui grognèrent de dépit.
- Marine !
- Sergent-chef ?
- Vous avez retrouvé le dossier recherché ! Bien ! Mais vous l'avez mangé ! Vous passerez la prochaine semaine à récurer les chiottes et vous allez commencer maintenant !
Je fis la grimace, effectivement, cela expliquait le goût de ce papier. Et j'avais fait une connerie, monumentale. Je saluais en restant silencieuse. La semaine qui allait suivre allait être particulièrement fatigante ? Oui, le papier toilette était tout simplement infâme et ne me suffisait pas pour tenir la journée. Rapidement, je m'éloignais sous les sourires de mes collègues afin d'aller accomplir ma prochaine « mission ».
_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _________Arrestation, encore une fois, puis une déclaration de vol, un magasin entier. C'était la fin de la journée et les rapports continuaient d'affluer, encore et encore, sans jamais s'arrêter. À croire qu'aujourd'hui serait une journée sans fin. Mais aussi qu'une bande de pirates, ou même plusieurs, c'était amusé toute la journée. Une vieille agressée au marché. Je soupirais en lisant ce rapport, celui qui l'avait rédigé ne semblait pas se rendre compte que c'était tout simplement désagréable de le lire. Écriture saccadée, fautes récurrentes et tout simplement, aucune cohérence. Un homme avait agressé une vieille dame, et juste après, c'était l'inverse. À croire que ce marine n'avait pas su faire la différence et c'était simplement occupé de les séparer. Je soupirais classant l'affaire.
Fatigué, je me levais, certain prenait un café, d'autre allait fumer. Oui, fumer pour se donner de l'énergie, un jour j'essayerais. Mais pour le moment, je me contentais de manger du papier. Avec de l'encre ça passait, mais en général le goût n'étais pas extra. Oui, il me fallait du papier vierge. Mais, en fin de journée, en trouver ne serais pas facile. Une voie hurla au rassemblement et je dus abandonner ma recherche de nourriture et d'énergie. Du moins pour le moment. Oui, je ne renoncerais pas, bientôt, j'allais m'endormir si je ne mangeais pas un papier acceptable. Je me rassemblais donc avec les autres devant le sergent-chef. Celui-ci était accompagné de deux hommes à l'air sérieux.
- Marines ! Nous recherchons un dossier d'une vingtaine de pages, en apparence il est vierge. Trouvez-le vous avez trente minutes !
D'un seul coup, toute la salle s'agita. Des marines se précipitaient dans les bureaux retournant tous les dossiers. Pour que ce soit le sergent-chef qui nous demande cela, le dossier devait être important. Encore plus si l'écriture dessus était invisible. Silencieusement, je me demandais qui pouvait bien être ces deux hommes en noire. Mais ma question silencieuse n'en trouva pas de réponse, non, loin de là. Je m'étais perdue dans les étages sans regarder autour de moi et j'avais faim, horriblement faim. Épuisée, je regardais dans les salles avoisinantes en cherchant du papier vierge. Lorsqu'enfin, je tombais sur une pile d'une vingtaine de pages. Sans me poser de questions, j'attrapais le bloc de papier et croquais un bon coup dans un des coins rognant près de sept cm de feuilles. Je mâchais et avalais presque directement. Au moment où j'allais à nouveau croquer, je sentis une brûlure sur mon palais. Comme si j'avais mangé du piment.
Je grimaçais, haletante, tentant de faire passer cette sensation de brûlure. Puis, au bout d'une dizaine de minutes, cela disparut et j'examinais le papier. Ce n'était pas normal, du papier vierge ne pouvait pas donner ce genre de sensation. Les joues en feu, la chaleur montant au crâne sous l'effet du papier, je retournais voir le sergent-chef. Ce papier était étrange et particulièrement efficace pour retrouver de l'énergie. Il fallait que j'en parle et que l'on se fournisse avec ce papier. Avec ça, tout irait bien pour moi. J'arrivais vers le sergent-chef et m'exclamais.
- Sergent-chef !
- Marine ?
- Il faudrait commander ce genre de papier, il donne une énergie du tonnerre !
Je lui tendis le bloc de papier d'une vingtaine de pages plutôt bien entamé. Il l'attrapa rapidement et l'examina avant de le tendre aux hommes en noire qui grognèrent de dépit.
- Marine !
- Sergent-chef ?
- Vous avez retrouvé le dossier recherché ! Bien ! Mais vous l'avez mangé ! Vous passerez la prochaine semaine à récurer les chiottes et vous allez commencer maintenant !
Je fis la grimace, effectivement, cela expliquait le goût de ce papier. Et j'avais fait une connerie, monumentale. Je saluais en restant silencieuse. La semaine qui allait suivre allait être particulièrement fatigante ? Oui, le papier toilette était tout simplement infâme et ne me suffisait pas pour tenir la journée. Rapidement, je m'éloignais sous les sourires de mes collègues afin d'aller accomplir ma prochaine « mission ».
Informations IRL
Prénom : Zian
Age : 20 ans
Aime : Les patate douce
N'aime pas :Les patate rêche
Personnage préféré de One Piece :Tout ceux qui dorme
Caractère : Chai pas, affectueux et pis, rhooo zut je sais pas quoi dire.
Fait du RP depuis :7 ans
Disponibilité approximative :6/7
Comment avez-vous connu le forum ?Ba par moi-même.
Quand vous estimez avoir terminé vos descriptions et votre biographie, signalez-le par un nouveau message et demandez votre test RP. Pour plus de lisibilité vous pouvez aussi l'indiquer dans le sous-titre de votre présentation par la mention [En attente de Test RP]. Plus ce sera visible, moins vous avez de chance que les modérateurs ne vous loupent (ce qui n’arrive pas très souvent).
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Aime : Les patate douce
N'aime pas :Les patate rêche
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Disponibilité approximative :6/7
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Dernière édition par Shama Lauw le Mar 1 Juil 2014 - 17:27, édité 6 fois