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La mystérieuse résistance FINI

Luvneepraad, mois de juin. Une importante chaleur règne dans l’air, et la plupart des personnes présentes dans ces ruines n’osaient pas sortir de l’ombre. Parfait, cela m’allais parfaitement, au moins je ne rencontrerais pas d’inconnus. Malgré tout la chaleur commençait à me peser et je suais sous mon armure bleutée. Même Pecker avait décidé de la fermer, sans doute pour économiser sa salive. J’étais dans cette ville en ruine après avoir entendus, à la capitale du royaume, des gens dire qu’il y avait un vieux livre de contes caché dans les ruines, Le Conte du lévrier noir. Intéressé j’avais décidé d’explorer un peu, putain pourquoi j’ai fait ça ? La première maison en ruine était occupée par une femme…….une femme. Je crois que j’ai jamais ouvert et fermé une porte aussi vite, juste le temps de jeter un œil, me rendre compte qu’il y avait une femme, rougir et fermer la porte. Quant au reste, les bruits venant de l’intérieur des décombres me dissuadaient d’essayer d’entrer. Il ne me restait plus qu’une seule maisonnée, un sombre assemblage de pierres, couvert de mousse et à moitié inondé. Proche de ce qui restait de l’ancien port, elle devait avoir subi de plein fouet la puissance de l’océan lors de l’immense raz de marée de 1600. La devanture, face à la mer, était complètement détruite et seules de rares piles de cailloux osaient se dresser face à l’océan et le ciel, comme les dents pointus de la mâchoire d’un monstre dévorant quiconque essayant de rentrer. Je poussais la porte, ou du moins la planche de bois pourrie qui me barrait le chemin, et entrais. Le sol était couvert d’une partie de la faune marine locale, une semblant chaine alimentaire c’était formé, les bêtes plus ou moins grosses mangeaient les plus ou moins petites. Le bois, qui n’était pas pourri, grinçait doucement alors que je montais à l’étage. Si vie il y avait, elle ne pouvait être qu’animale………

Vraiment fantastique, aucune vie humaine depuis 25 ans dans cette maison, juste le mystère de la disparition de ses occupants et le développement excessivement rapide qui était arrivé. Aucune vie humaine, à part moi, j’arrive au deuxième étage, porte verrouillée, mais plus certainement rouillée, je récupère un peu du matériau de la poignée puis goute. Oui, ce goût acre, rouille sans aucun doute. J’entre. Personne, juste un cadavre tenant un livre, surement celui que je recherche. J’écarte la main qui détient le fruit de mes recherches, elle part en poussière. Je récupère le livre, oui c’est bien celui-là. Parfait, parfait. Je l’ouvre et il tombe en poussière dans mes mains…………Et merde, tout ce travail pour rien. Je jette les restes du livre, et m’apprête à partir, quand soudain un bruit attire mon attention. Je ne suis plus seul.

Ça y est. Ça me reprend, j’ai peur, peur, peur putain. Je tremble, j’arrive à peine à tenir mon bâton. La porte, il y a…quelqu’un derrière. Avant qu’il ouvre je cri :

« N’esssss…essayer pas de ren…rentrer. Je suis arm…armé. »


Dernière édition par Tajic Virlimo le Ven 11 Juil 2014 - 20:48, édité 2 fois
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Je venais de démarquer dans le Royaume de Luvneel, dans un bateau qui fessait escale ici, je me disait que je trouverai surement autres révos et que je pourrait loger ici pendant quelque temps. Je me dirige donc vers Luvneepraad, arriver sur place je trouve endroit super jovial, il y fait chaud, le décors est ...... abstrait, sa sens ... la pourriture et les égouts, bon d'accord !! c'est pas si cocasse que s'en a l'air mais bon, de ce que j'en sais les révos traines dans les parages donc va bien falloir que je m'y aventure. Je fis donc tomber la chemise, non pas pour montrer ma sculpture de rêve, mais juste parce qu'il fait super chaud!

Je m'engageait dans les rues une par une, en frappant au porte, si personne ne répondait pas grave je rentrais. Mais ce village st plus désert que le désert en lui même, je comprend pas parce qu'un grand bonhomme comme moi qui marche dans les rues ne passe pas inaperçu pourtant. Je fouillait les maisons, les ruelles et tous coin pouvant laisser paraitre un endroit "vivable".

Je continuait de déambuler dans les rues, quand tous a coup j'entrevu une silhouette entrer dans une petite maison pas loin de moi. Je nu pas le temps de l'appeler ou bien de dire quelque chose je décida donc d'aller a sa rencontre, et que dans le pire des cas, si je doit lui péter la gueule sa ce fera la personne pourra compter sur moi.

J'entre dans cette petite maison le plafond est quand même plutôt bas, je me tien a penché, ce qui n'est pas a mon avantage, je remarque que personne ne se tiens dans le rez-de-chaussée, je décide donc toujours d'un pas discret de monter a l'étage, je monte les marches une à une quand tous a coup je manque de passer au travers de l'une d'elle, fessant un vacarme assourdissant.

J'entend une voie d'une pièce fermer « N’esssss…essayer pas de ren…rentrer. Je suis arm…armé. ».

"Ah bon tu es sur de toi, et bas c'est ce que l'on va voir"

je rentre dans la pièce en donnant un grand coup de pied dedans, ce qui a pour effet de la dégonder et elle part droit dans le mur du fond, ou ce tenait mon a graisseur qui ce retrouve du coup sous cette porte au sol. j'entre dans la pièce et me place en position de combat.

"Alors toujours partant pour te battre contre moi"
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La porte venait d'exploser et elle me fonçait dessus. Impossible à éviter, je me la prends en pleine poire et manque de m'évanouir. La vache même si elle tombe en morceaux, elle fait super mal. La porte est au-dessus de moi quand j'entends la voix de la personne qui était arrivée dans la pièce.

« Alors toujours partant pour te battre contre moi ? »

J'étais resté caché sous la porte, ayant trop peur pour enlever ce bouclier providentiel. Me battre ? Moi ? Contre un mec, si je me fie à la voix, capable de dégonder une porte ? Mais......mais.....mais je n'ai pas envie de mourir. Prudemment, je me relevais tout en gardant la porte comme bouclier, soudain Pecker ressurgit de l'endroit où il s'était planqué puis se met sur la porte.

« Tajic, dans la merde, tu es. Hihihi »

Mais quelle voix horrible il a, en plus il se met à rire. Bon, prenant mon courage deux mains et serrant ses dernière sur mon bâton je laissais tomber la porte et l'insupportable perroquet se mit sur mon épaule. Je pus ainsi détailler mon adversaire.

Oh mon dieu, pourquoi j'ai laissé tomber la porte ? Mais quel con. Me voilà face à un homme de plus de deux mètres et au bas mot plus de cent cinquante kilos de muscles. Nom de dieu, bordel de merde. Je vais mourir, oh que oui, je le sens. Allez un peu de... de... courage mon petit Tajic va tu peux le faire.

« Je....je....je suis...suis...suis... dé...dé...désolé. Me fra....fra...frappez pas....s'il...s'il...vous plait. Je suis....suis...suis pas ar...ar...armé. Je suis...ju...jus...juste là pou...pour des re...rech...recherches. »

J'avais dit tout cela en tremblant comme un dément, au point que Pecker avait décidé que ce serait plus confortable d'attendre sur le sol. Mon bâton était toujours entre mes mains, mais je me demandais comment il allait bien pouvoir me servir, si je devais me battre contre lui, à moins de sauter par la fenêtre, je n'aurais pas d'autres moyens de m'en sortir.
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J'entre dans cette pièce la porte est contre le mur, j'observe et ne voie pas la personne qui me parlait, tous a coup je remarque que la porte bouge, la personne en question est surement en dessous, la porte ce redresse, mais la personne ne se dévoile pas.

« Tajic, dans la merde, tu es. Hihihi »

Qui à dit sa ?

je remarque ce perroquet qui est percher un peut plus haut dans la pièce et qui ce moque verbalement......... HEIN ???? Sale bête qui parle ferme la dont. Tous doucement sont visage ce dévoile, mon agresseur décide enfin de montrer son visage.

« Je....je....je suis...suis...suis... dé...dé...désolé. Me fra....fra...frappez pas....s'il...s'il...vous plait. Je suis....suis...suis pas ar...ar...armé. Je suis...ju...jus...juste là pou...pour des re...rech...recherches. »

Ne pleure pas gamin c'est toi qui m'a dit qui m'a menacer en disant que tu étais armée je n'est fait que me défendre.

Je me rend compte que c'est un gamin d'une vingtaine année qui est plutôt frêle qui est plus petit que moi, et qui de ce que j'en vois ce chie dessus. Et que lui fait peur il tremble tellement que le perroquet est sol pour que ce soit plus confortable.

T'inquiète pas gamin ! Je vais pas te manger ! C'est juste que un chercheur qui se balade tous seul dans un quartier plutôt chaud, avec pour seul compagnon un perroquet. Et puis tu cherche quoi en plus ? J'te propose un truc, j'invite a boire un coup dans le coin et au passage on discute de comme tu te bas je pourrait peut être t'apprendre de trois technique qui pourront te servir si tu doit te battre.

Je lui tape dans le dos amicalement (j'espère ne pas avoir taper trop fort) et je décide de "l'escorter" a dans un endroit un peut plus calme.
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« Ne pleure pas gamin, c'est toi qui m'as dit qui m'as menacer en disant que tu étais armé, je n'ai fait que me défendre. »

Quoi ? Il n'allait pas me frapper ? Sur le coup, je m'arrêtais un peu de trembler, bon au moins je n'aurais pas à sauter par la fenêtre, c'était déjà ça. Puis il enchaîna en voulant me rassurer, me demandant ce que je faisait là et il finit par me proposer un verre. Puis il me frappa le dos, si je n'étais pas rembourré avec les livres dans mon armure, je pense que je serais en train de récupérer mes cotes. Finalement, nous descendîmes et sortîmes de la maison, sous le soleil de plomb, je me décidais enfin à parler, ma voix tremblait encore un peu, mais j'avais pris un peu d'assurance.

« Je ne me suis....suis pas présenté. Je m'a...appelle Tajic Virlimo et je...je suis chercheur. Je recherche les dif...différents mystères de notre monde et tente de les...les résoudre. Dans cette...cette ruine je cherchais un...un livre de contes : le conte du lévrier noir. Malheureusement, le seul...seul ouvrage était trop endommagé et il a fini en pous...poussières. Mais vous qui êtes-vous monsieur ?»

Nous continuâmes notre route, moi fouillant dans un de mes nombreux carnets de notes pour retrouver des indices sur les possibles répliques de ce livre, lorsque soudain je heurtais un nouveau colosse........... Mais c'est quoi cette journée ? Deux colosses effrayant en moins d'une heure ? Mais, s'il existe un dieu, il veut ma mort. Je baragouinais des excuses comme je pus, mais Pecker riait de son horrible voix aigüe.

« Et bien le minus ? On ne sait pas où l'on marche ? Tu fais quoi ici ? Tu accompagnes ton grand-père lors de sa petite ballade ? Tu tombes mal, car en me heurtant, je crois que tu m'as blessé. Il va falloir me rembourser les frais médicaux pas vrai George ? »

« Sûr Steph, il va falloir nous rembourser. Héhé »

Putain, mais ils sont plusieurs en fait ? Mais merde, quoi. Voilà que je me remets à trembler, je....je... DU CALME. Ouf, recule, voilà len-te-ment. COURS, mais c'est que l'un des géants me suit ? Je continue de courir, le long de la rue avant de me faire rattraper et acculer contre un mur. Je suis vraiment effrayé, il s'approche. Je prends mieux en main mon bâton, comme s'il pouvait me protéger. Il s'approche.

« Avan.....avan.....avancez pas....pas plu...plus. Re...re...reculez. »

Il ne m'écoute pas, il continue, par réflexe je le frappe sur la tête, une, deux, trois....j'ai arrêté de compter après. Il est tombé, assommé. Je m'écroule à terre, effrayé, je transpire beaucoup. Mais....mais...mais c'est un livre qu'il a dans la poche non ? Tiens, tiens, bon après tout il en a plus besoin.... Je récupère le livre, un simple carnet vide, bon pas grave, c'est toujours ça de prit. Je retourne sur mes pas toujours un peu effrayé, mais bon au moins, j'ai pas eu trop de soucis cette fois.

(les deux colosses ont un niveau d'environ 100 dorikis)
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« Je ne me suis....suis pas présenté. Je m'a...appelle Tajic Virlimo et je...je suis chercheur. Je recherche les dif...différents mystères de notre monde et tente de les...les résoudre. Dans cette...cette ruine je cherchais un...un livre de contes : le conte du lévrier noir. Malheureusement, le seul...seul ouvrage était trop endommagé et il a fini en pous...poussières. Mais vous qui êtes-vous monsieur ?»

Ah oke j'suis ravi de te rencontrer gamin! J'me présente Atlas D. Misushy, et voici ....... Bas merde ou est passer Kira ?

Je regarde derrière et elle a disparu ..... hein ou elle est parti ce fourrée encore celle la ? Bon c'est pas grave elle sait a quel heure le bateau part et d'où il part donc y a pas de soucis. On continu d'avancer dans la ville a la recherche d'un bars ou ce poser, quand tous a coup le gamin plonger dans c'est bouquin se cogne contre un mec qui de ce que j'ai vu a fait exprès de ce faire percuter.

« Et bien le minus ? On ne sait pas où l'on marche ? Tu fais quoi ici ? Tu accompagnes ton grand-père lors de sa petite ballade ? Tu tombes mal, car en me heurtant, je crois que tu m'as blessé. Il va falloir me rembourser les frais médicaux pas vrai George ? »


« Sûr Steph, il va falloir nous rembourser. Héhé »

je rêve ou il essaye de ce faire du blé sur le dos du gamin...... hein mais il part ou comme sa tajic !
Putin et ces deux blaireaux la le suive, je cours sur le plus proche te le chope juste avant qu'il entre dans la ruelle, je le soulevé d'une seul main le tourne vers mon visage:

Ohohoh! Ou tu cours comme sa ? a mais tu cours après mon pote ! Tu lui veux quoi au gamin ? Il me regarde et d'une voix tremblante

Euh....Je... enfin vous comprenez.... me taper pas s'il vous plaît.... je ....

Arrête la !! sa sert a rien ce que tu dit, j'te comprend pas, viens on va lui demander

je me dirige dans la ruelle avec l'homme qui essaye de poser la pointes des pieds pour marcher, je vois Tajic qui est essouffler tremper de sueur, et encore tous tremblant. Au sol le deuxième homme qui le poursuivait est évanouit.

Ah bas bien jouer Tajic ! celui-là ne t'embêtera plus, tien je ramène autre je t'en homme comme on tendrait un sac de course Tu n'as pas quelque chose a dire a monsieur toi ?

Pardon

Quoi répète j'ai pas entendu ! j'le secoues comme un prunier en disant ma phrase

Pardon, pardon, pardon!

Voila !! j'préfère sa ! bon allez c'est pas le tous tajic mais on a bars a trouver !

je prend homme dans mes mains et lui cogne la tête contre le mur de façon a l'assommer, puis je le lâche et suis de nouveau Tajic
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Atlas, car c’était son nom, avait soulevé le deuxième inconnu et le força à s’excuser. Une fois cela fait il le relâcha et m’invita à chercher un bar. Alors que nous continuâmes notre chemin, moi le passant à remercier cet homme qui me semblait bien plus sympathique que lors de notre première rencontre. Finalement nous arrivâmes à un bar nommé Au Poney qui tousse, la devanture était plutôt délabrée mais le relatif calme qui y régnait laissait supposer que l’intérieur n’était pas aussi pire que ce que laissait supposer l’extérieur. Enfin bon, je rentrais avec Atlas, l’intérieur était plutôt sombre, le silence régnait. La plupart des clients étaient agglutinés au bar, ce qui laissait pas mal de table libre à l’exacte opposé de la grande concentration d’inconnus. Je me dirais-je d’ailleurs vers une table à l’écart lorsque deux bras m’enserreraient le cou.

« Dis-moi Atlas, c’est qui ce gars mignon que tu as ramené ? »

Je me libérais rapidement et mettais une distance d’environ 2m entre ce nouvel inconnu et moi, puis détaillais la personne qui m’avait enserré. Une…une…fi…fille ??????? Merde… je…elle…merde. Je deviens encore plus rouge… je tremble. J’essaye de parler.

« Gah bagu quéco ? hidifu….drekyo. Qué c’est que perso….perso…personne laaaaaaaaaaaaaaaaaaa ? »

« Tajic, une fille c’est. Parler, de plus pouvoir tu risques. Hihi »

Mais, ferm…ferme ta…ta gue…gueule Pecker. Putain j’arrive à pei…peine à réflé…réfléchir. Je suis rouge comme une pivoine, je tremble sans m’arrêter. Elle s’ap…approche. Je lance mon bâton dans tous les coins.

« Re…re…recule. M’appo…approche pas. »

Je regardais vers Atlas, lui demandant du regard de faire s’éloigner cette femme, qui bien que très belle n’allez pas m’aider à avoir l’esprit en paix.

(La venue du PNJ accompagnateur d’Atlas a été discutée avec lui)
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On arrive a l'auberge et je demande deux bière, quand tous a coup je reconnu une voix qui m'étais pas inconnu.

« Dis-moi Atlas, c’est qui ce gars mignon que tu as ramené ? »

Je me tourne vers la voix en question et je vois Kira qui semble avoir une attirance particulière pour Tajic, qui n'est pas réciproque.

« Re…re…recule. M’appo…approche pas. »

Quoi il est limite d'exploser tellement il est rouge !!! Kira c'est bon il ta vu pas la peine d'en rajouter, viens plutôt t'assoir, et puis trinque avec nous, tavernier un troisième verre s'il vous plaît !

Du rhume de préférence merci !!

Elle s'assoit a califourchon sur la chaine tourné, et elle ne le lâche pas du regard en lui fessant des clin d'œil insistant et en lui souriant.

Bon Kira t'arrête ton chars un peut là !! On vient pour discuter, alors du calme !

Papy t'es pas drôle moi j'viens te trouver ici et toi tu me fait une scène. Bon oké sais comme tu veux, et au faite pour il s'incruste avec nous lui ?
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L'onde marine sous le creux de ma tête. Le coussin d'eau fraîche reposant ma nuque. Les vagues qui m'emportaient au gré de la houle. Parfois, ce n'était pas si mal de suivre le courant. De se laisser porter, les yeux fermés, doucement. Vers une nouvelle aventure, vers un nouveau point à résoudre sur la toile de mon karma. En toute insouciance, vers de nouvelles choses à changer. Vers une pierre formant le rebord d'un port. Quoi ?

Trop tard. Ma tête heurta le récif, et je plongeai dans les profondeurs sous-marines. Aouch, ça faisait mal ! Et maintenant, l'oxygène allait disparaître petit à petit, suite à la chute dans les profondeurs causant la formation d'une bosse. Il était temps de réfléchir à un poème, à mes derniers mots.

"Ah, océan trouble
Me heurtant sur les récifs
Bobo à ma tête."


Et fier de ces pensées, je m'enfonçais, petit à petit, perdant tout souffle et toute raison d'être, sous la grande Bleue.

Et puis j'ouvris les yeux. Et je pris un grand souffle. Bah oui. J'étais un homme-poisson. J'avais oublié.


Je nageai donc vers la surface pour finalement l'atteindre. Je me hissai sur le récif et, sans perdre un instant, j'enfilai ma capuche, mes getas, et mon masque de Tengu. Je n'avais pas honte de ma nature. Mais dans la mesure où je pouvais éviter grand nombre de préjugés grâce à cet habit... Une fois mon accoutrement mis en place, je m'appuyais sur mon bâton afin de visiter Luvneelpraad. J'étais un moine après tout. Voyage et mendicité était mon quotidien depuis des années. C'était devenu plus une tradition qu'un réel besoin ceci dit.

Je regardais le paysage à travers mes yeux de Tengu, essayant d'éviter les regards un peu déconcertés qui se posaient sur moi. Ces regards un peu gênés, étonnés, voire même effrayés. Beau paysage, vraiment ! Et quelquefois, j'allais vers quelques personnes qui semblaient ne pas s'étonner de mes habits pour leur demander quelques pièces. Au bout de deux heures, mes résultats consistaient en dix Berrys, trois coups et cinq menaces d'appeler la garde royale. Je trouvais que je m'en tirais sacrément bien aujourd'hui !

Ceci dit, avec dix Berrys, je risquais de ne réussir à manger, aujourd'hui encore, qu'un petit poisson que j'aurais attrapé moi-même. Et essayer de chasser en étant narcoleptique, c'était très frustrant. Quelquefois, le temps que je mettais à nager après ma proie, elle disparaissait en un instant, même si en réalité c'étaient mes siestes sauvages qui me firent prendre du retard. D'autres fois, j'arrivais à attraper mon déjeuner, mais je tombais dans les limbes et il s'échappait de ma bouche. Bref, vraiment difficile à vivre, cette narcolepsie. Donc je décidai de continuer, en me dirigeant vers une auberge.


J'ouvris la porte doucement, et en subit le léger grincement. Quelques regards se posèrent sur moi, mais pas énormément. Les gens étaient bien trop occupés à palabrer et s'amuser, dans cette ambiance riche en ambiance et en alcool. Qu'est-ce que j'aimerais un thé d'ailleurs... Ah oui, ma gourde. Je pris une rasade de ma gourde, sous l’œil un peu agacé du patron de l'établissement, qui ne semblait apprécier ni les clochards, ni la consommation ne venant pas de lui. Le bougre n'allait vraiment pas m'aimer, s'il savait que j'allais mendier auprès de ses clients. Mais bon, avant que les ennuis n'arrivent, j'avais un peu de temps.

Je m'approchai alors de la première table qui attira mon attention. Deux hommes y étaient, un vieux baraqué à côté d'un jeune un peu plus frêle. Ils étaient accompagnés d'un être féminin assez attirant, il fallait l'avouer. Mais moi, j'étais un moine, donc les plaisirs de la chair ne consistaient pas un supplice pour moi... pour l'instant. Pourquoi cette table m'intéressait-elle ? Je n'en savais rien. Peut-être parce qu'ils paraissaient plus étranges, ces gens. Peut-être que des morceaux de conversations s'y échappaient plus facilement. Ou peut-être parce que le vieux paraissait riche, la fille sexy, et le frêle inoffensif. Bouddha disait de ne pas juger, voyons. Mais j'avais vraiment envie d'un bon thé, et pas de cette contrefaçon dans ma gourde, datant de trois jours déjà.

J'arrivai près d'eux, et je pris la parole.


"Salutations, messieurs-dames. N'auriez-vous pas..."

... Quoi ?... Et mince alors. Je m'étais endormi. En plein milieu de ma phrase. C'était regrettable. Pour une première bonne impression, c'était déjà presque raté. Mais je voulais un thé. Bon, Zetsu. Il était temps de te réveiller. Maintenant !

... Depuis le temps que j'utilisais cette méthode, ça ne marchait toujours pas. Si la narcolepsie était sur demande, ce serait trop facile. Il faudrait que je fasse attention à quand...

... oh ? Ah, mes yeux étaient de nouveaux ouverts. Je redressais la tête et continuais alors ma phrase, comme si de rien n'était.


"... quelques Berrys pour un humble moine ?"


Dernière édition par Zetsu Dorenji le Dim 6 Juil 2014 - 3:46, édité 2 fois
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Ainsi la femme était une cyborg......intéressant. Mais elle reste une femme, donc je n'arrivais pas à m'arrêter de trembler et à chacun de ses clins d'œil me faisait me coller encore plus contre le mur. Finalement je décidais de poser des livres en pyramides entre moi et Kira, c'est comme cela qu'Atlas l'avait appelé, pour couper court à ses regards insistant. Une fois cela fait, je me tournais vers Atlas.

« Elle fait toujours ça ? »

Etrangement, je commençais à me sentir en confiance avec Atlas et ma voix arrêtais de trembler en sa présence, je commençais à redevenir sérieux. Alors que je venais de lui poser une question, une voix attira mon attention.

« Salutations, messieurs-dames. N'auriez-vous pas... »

Puis le silence, je jetais un œil au-dessus de ma pyramide protectrice, en évitant soigneusement de croiser le regard de Kira, puis découvrit une statue de Tengu, assez réaliste d'ailleurs. Je décidais de m'approcher, pour analyser cette statue. Vraiment très étrange, elle n'était pourtant pas là quand nous nous étions assis à notre table, de plus elle dégageait une légère odeur qui rendait Pecker heureux.

« Bon, il sent Hihi »

« ...quelques Berrys pour un humble moine ? »

Nom de dieu, mais ça parle.....mais ce n'est pas une statue......c'est.....c'est un homme..... Je saute d'un coup sur la table, fais tomber mes livres, les ramasse et refais la pile le plus rapidement possible. Putain, il m'a fait peur ce con, et c'est qui ? Je relève la tête et l'apostrophe d'une voix tremblante.

« Vous...ous....êtes...q...qu...qui ? Re...recu...reculez...s'il...s'il vous...plait. »

J'avais récupéré mon bâton et le tendais au-dessus de la pyramide de livre, pour pouvoir le frapper s'il s'approchait trop. Pendant ce temps-là Kira était morte de rire devant ma réaction, à peu près comme tous les habitués de la taverne.
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On allait entamer la discutions avec Tajic cacher derrière ces bouquin a cause de Kira, drôle de gamin ce petit ! je ne mis a rire en le voyant essayer a mainte reprise de se cacher de Kira.

« Elle fait toujours ça ? »

"Oui c'est dans sa nature mais ne t'inquiète pas sa va lui passer", quand tous a coup j'entendis

"Salutations, messieurs-dames. N'auriez-vous pas..."

je voit Tajic le lever a examiner la personne qui venait de prononcer c'est mots...... Il a pas capté que c'était une personne, quand tous a coup il bondit en arrière, ce retrouvant sur la table a ce cacher derrière ces livres en brandissant sont bâton.

" ...quelques Berrys pour un humble moine ? "

« Vous...ous....êtes...q...qu...qui ? Re...recu...reculez...s'il...s'il vous...plait. »

L'homme repris ça phrase comme si de rien n'était, Tajic ce mis encore a tremblé, en le menacent sans être vraiment convainquant. Attend il a bien dit moine !  

"AH AH AH ! Ne mendie pas mon frère et viens plutôt t'assoir sait ma tournée !"(je tap sur le siège a coté de moi pour lui montrer de s'installée )

"Et Tajic pause moi sa on est entre personne civiliser" et je bois mon verre d'une traite en en mettant partout et en essuyant avec ma manche
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Hmm. Intéressant.



Je m'arrêtais un instant pour réfléchir à la situation. Le petit homme était craintif, et même si j'étais statique, il me disait que j'étais déjà beaucoup trop proche. Au contraire, le vieillard lui, était nettement plus sûr de lui : sans même me connaître, il m'invita à m'asseoir et me paya un verre. Il s'exprimait fort, riait de façon tonitruante. Il n'était pas dur de deviner l'égocentrisme derrière ses traits bourrus. Et la fille n'avait aucune importance à mes yeux. Ils étaient spéciaux, mais gentils. Aussi, je me laissai tenter par le verre proposé.

"Je vous remercie, honorable vieil homme. Je vais me servir au bar, et je vous accompagnerais alors."

J'hocha la tête vers lui, signe de remerciement respectueux, et me dirigeai vers le comptoir.



Ce que je ne vis pas tout de suite, malheureusement, c'était les regards insistants en notre direction. Entre les rires gras du bonhomme, la paranoïa du maigrichon, et mon masque de Tengu, les regards se biaisaient plus qu'ils ne s'amusaient. Ce détail, je ne le remarquai qu'un peu plus tard, après avoir demandé mon fameux thé. Le barman fit d'abord mine de ne pas m'entendre. Ensuite, il me jeta un regard froid, avant de s'éloigner pour préparer mon infusion. Je vis également un petit geste rapide de sa tête. Visant derrière moi, je supposais qu'il faisait signe à d'autres clients et que ça ne me regardait nullement. Sauf que l'importance fut autre quand je me retournai enfin après avoir eu mon verre.

Des hommes musclés aux crânes rasés étaient entrés dans le bar. Ils étaient quatre. Deux d'entre eux me barraient la route, tandis que les deux autres vinrent se poser à la table du papy et du gringalet. C'était moi, où était-ce que ce thé sentait étrangement les ennuis ? Je tentai d'abord de les contourner par la gauche. L'homme de gauche me remit en face de lui. Alors, je les contournais par la droite. L'homme de droite fit de même. Alors vu que je n'étais pas futé, et que je suivais les enseignements bouddhistes, je leur demandais poliment de s'écarter. Ils craquèrent leurs phalanges. Le barman avait fermé la porte principale, et celle de derrière.

Oh-oh.
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Atlas invita le tengu à se joindre à notre table en frappant sur le siège à côté de lui, manquant par ailleurs de le briser en mille morceaux. Puis il m'ordonna de poser mon bâton, comme quoi nous étions entre personnes civilisées. Je me tournais vers lui, toujours en évitant les regards et les moqueries de Kira. Pendant ce temps, l'inconnu était reparti chercher sa boisson au bar.

« C'est justement, car nous sommes entre gens civilisés que je m'arme, l'esprit humain est la chose la plus dangereuse qui soit, les inconnus me font affreusement peur. »

« Les filles aussi, peur, tu en as »

Je venais de me lever pour attraper Pecker par la peau du cou lorsque deux hommes musclés et chauves vinrent s'assoir à notre table. Je me réfugiais de nouveau derrière ma pyramide de livre, mais l'homme à droite la fit s'effondrer d'un seul coup.

« Navré petit, mais je n'aime pas parler aux gens quand je ne vois pas leur visage. »

« Euhhhh....d'ac....d'ac...d'accord, mon...mon...monsieur. »

Je tournais la tête vers l'étrange homme qui nous avait interpelés, mais lui aussi était encadré par deux autres personnes, encore des chauves aux muscles surdimensionnés. L'homme à ma droite frappa violemment la table, au point de me faire sursauter, puis se tourna vers le vieux qui m'accompagnait.

« Ecoute-moi bien grand-père, je ne sais pas ce que tu fous là et sincèrement, je n'en ai rien à foutre. Par contre, nous, on n'aime pas les gamins dans son genre, dit-il en me pointant du doigt, ça fouine de partout comme ces connards de marines alors le deal est simple : vous nous laissez seul avec ce gamin et on le renvoie, disons « gentiment », pleuré dans les jupes de sa mère. D'ailleurs que diriez-vous de nous filer aussi votre argent et toutes vos possessions ?»

Mais, mais ils vont me taper ? Mais pourquoi ? Car je fais des recherches ? Mais, en plus il me compare aux marines ? Je lève la main sous le regard haineux de nos nouveaux invités.

« Euh, att...atten...attendez, je....n...ne...su...suis...pa...pas un ...ma...mari....marine. »

Oh la vache, quel regard effrayant, j'ai peur, vraiment peur.
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Je les regardais, fixement dans les yeux. Mais ils ne baissaient pas le regard. Je ne tentais pas de les impressionner, non. J'essayais juste de cerner ces inconnus assez agressifs. J'avais vraiment l'impression qu'ils voulaient ma peau. D'ailleurs, à la réflexion, ils étaient sûrement de mèche avec le barman. Ça n'allait pas être facile... Je décidai de briser le silence.

"Que puis-je faire pour vous, messieurs ?
-On aime pas les gars dans ton genre."

L'embrouille se sentait à des kilomètres. Mais je n'allais pas frapper, non. Pas de combats inutiles. Ces gens, bien qu'aussi violents que des crocodiles affamés, n'étaient à première vue que des civils. En tant que révolutionnaire et en conformité avec mon éducation de moine, je ne pouvais me résoudre à les frapper sans raison. Il y avait déjà assez de guerres dans ce monde pour y rajouter encore de la violence inutile. Choisir ses combats, c'était la tâche la plus difficile de toute l'humanité. Et j'avais décidé de nier celui-ci.

"Entendu. Et bien, je m'en vais dans ce cas."

Je tentais alors de partir une nouvelle fois. Mais les blocs de glace ne voulaient pas me laisser passer.

"Non, t'as pas compris. T'es bien trop louche pour qu'on te laisse partir.
-Voilà un jugement bien hâtif."

Je me laissais tenter alors à les raisonner. Même s'ils n'avaient pas l'air de vouloir raisonner aux premiers abords. Bouddha avait dit qu'on ne jugeait pas.

"Ecoutez-moi, je vous prie. Je ne fais de mal à personne, et je ne veux pas vous importuner plus longtemps. Je m'en vais sur le champ. Alors pouvez-vous me laisser passer, s'il vous plaît ?"

Je les vis qui réfléchirent un instant. Ah, peut-être que l'espoir n'était pas perdu, au final. Ils penchèrent la tête l'un vers l'autre, et s'échangèrent des chuchotements. Après une dizaine de secondes, ils hochèrent la tête, et reprirent la parole.

"T'es bien trop louche pour être innocent, inconnu. Alors on fait un marché : enlève le masque et on te laisse partir."

Oh-oh. Dilemme. Je me rendais très vite compte que, dans les deux cas, j'allais me faire tabasser. Temps de négocier.

"Nous sommes entre gens civilisés, alors...
-Enlève. Le. Masque."

Nom d'un nombril bouddhique. Les ennuis arrivaient à vive allure, dirait-on. Je n'avais plus le choix. Je passai la main derrière mon dos. Ils se mirent en garde. Je saisis doucement mon bâton. Et soudain, je fis un mouvement brusque de la tête, sur la gauche. Surpris, ils se tournèrent eux aussi vers la direction indiquée. Et alors, je filai sur leur droite pour atteindre la porte. Je l'avais dit et je le confirmais : je ne voulais pas combattre inutilement.



Mais alors que je filais, j'entendis l'un des chauves à la table menacer le gringalet de tout à l'heure. Je me retournai alors. J'avais quelques secondes pour réagir, avant que les deux hilibrius à crânes rasés ne me poursuivent.

Je ne les connaissais pas, ces gens-là. Le gringalet ne semblait pas posséder grand chose. Il n'allait donc rien perdre. De plus, le vieux à côté de lui semblait plutôt fort. Et la fille plutôt agile. Ils allaient donc pouvoir se débrouiller. Et puis moi, en restant ici, je risquais plus les ennuis qu'autre chose. S'ils venaient à découvrir que j'étais un homme-poisson, il n'y aurait pas que les chauves pour me courir après, non. En plus, je ne voulais pas combattre. Ils ne m'avaient encore rien fait, ces Skinheads. Je pourrais même les semer avant qu'ils se rendent compte de quoi que ce soit, et continuer mon périple...

Mais qu'étaient-ce, que ces pensées-là ? Le gringalet était en danger, voyons ! Et n'était-ce pas pour un monde plus juste que j'avais rejoint la révolution ? N'était-ce pas pour justement neutraliser cette violence injustifiée, une bonne fois pour toute ? Peu importait si mon être était en danger. Peu importait si je devais me battre pour protéger les plus faibles. J'avais déjà bien trop fui dans mon existence. J'avais déjà bien trop de fois fermé les yeux, face aux poings fermés des brutes sur l'innocent. Non, non... En plus, le vieux m'avait offert un thé. UN THÉ !

L'un des chauves esquissa un coup de poing vers le gringalet. Je me retournai alors, et me jetai sur ce dernier, me prenant le direct en pleine face. J’atterris quelques mètres plus loin, renversant une table, et mon masque tomba alors. Tant pis. Je me redressais et enlevais ma capuche. J'étais un homme-poisson, oui, et je l'assumais entièrement quand il s'agissait de défendre l'opprimé.

Toute la populace du bar était déconcertée, et les chauves aussi. Bien, ça me donnait une seconde de surprise. Je voyais le vieux qui serrait les poings. Lui aussi allait passer à l'attaque. Tout ce dont il avait besoin, c'était d'une ouverture. Et il allait l'avoir.

"Hisagomaru !"

Et sans plus attendre, je lançai ma gourde dans la face des chauves à la table. Parce que le thé vieux de quelques jours était une arme redoutable, bien trop souvent sous-estimée. Et en voyant mes deux copains de tout à l'heure se lancer vers moi, je dégainai mon bâton et me mit en garde.
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j'écoutais la conversation de notre moine et celle que tenait les inconnus avec mon amis Tajic. je me rendis compte d'une seul chose, c'est que si sa continu comme sa, JE VAIS LEUR RENTRER DANS LE LARD!!!! Non mais oh !! on ne parle pas comme au gamin et encore moins a un frère moine. Je ne disait trop rien mas ne ratait pas une miette de la conversation. Kira étai prête a leur sauter dessus a mon signal. Un seul signal e ma part et on leurs fait la peau.
Quand tous a coup :

"Hisagomaru !"

Je vois une gourde passer juste sous mon nez et exploser celui de mon voisin, je profitais de cette ouverture pour donner a Kira le signal qui se jeta sur le deuxième a notre table. Moi je saisi autre par la nuque et de toute mes forces lui frappa la tête sur la table qui se brisa en deux. je l chope par le colbac le soulève jusqu'à hauteur de mon visage.

"Toi ta gagné ta journée, sa tombe je suis de bonne humeur tu va juste dire a ton pote arrêter de nous en merder ."

"Oui posé moi au sol et on s'en va sais promis!"

je le regard avec un sourire en coin et le chope avec ma deuxième main au niveau de la ceinture.

"BOUGE PAS JE VAIS T’AIDER !!!"

Je le lance sur son collègue et me dirige en marchant vers autre qui me regard.

"Si dans dix secondes ta pas ramassé les blesser et fiche le camp, ou sa sera ton tours."

Je marche dans sa direction en fessant le décompte dix, neuf, huit, sept, six... et voilà ils sont parti. Je regard le ramasser ces livres et j'en vois un a ma porter a la couverture arracher, je le ramasse lui t'en avec un sourire.

“Je suis désoler pour ton bouquin tu a l'air d'y tenir”

Puis je donne de quoi remboursée les dégâts au tavernier en lui getant un regard noir, histoire de lui montrer que je sais que c'est de sa faute.

"venez on lève les voiles si sa vous dérange pas"

des hommes dans la salles commences a ce lever comme pour empêcher de sortir, j'en chope un par le creux de l'épaule et comme a serrer de toute mes force et d'une voix calme je regard les autres qui regard l'homme que je tiens hurler de douleur.

"je serais vous les je me rassirait gentiment"

il se rassoit tous gentiment puis Kira sort la première suivi de Tajic et l'homme poisson. je suis interpeler par un gamin de petit taille encapuchonner qui me remet un papier et repart aussi vite qu'il est venu. j'ouvre te je me trouve face un ordre de mes supérieur qui me dit de me rendre a Bliss pour une mission de la plus haute importance.

"je voulais savoir les jeunes j'aurais une requête a vous demander, je travail pour la révolution et je viens de recevoir un ordre d'un supérieur et je doit partir pour Bliss pour récupérer quelque chose, toi tajic si tu n'accepte pas j'aurais été ravi de te rencontrer mais je suis sur que nous suivre serait une bonne solution car dans la révolution il y a énormément de livre et d'archive u quel tu pourrait avoir accès et de ce que j'ai vu tu recherchait de près les trésor de ce monde et la révolution peut t’aide a les découvrir alors si tu accepte de faire un bout de chemin avec moi et Kira j'en serrait ravi. Kira sourit et en disant oui de la tête. Quand a toi qu'elle surprise un homme poisson moine si tu veux je serais ravi de faire la route avec toi et tu pourrait m'apprendre a faire ton truc avec la gourde sa m'intrigue. Pour ce qui est des détail je vous en parlerais sur le trajets si vous accepter de venir en attendant le bateau va partir donc je vais embarquer, je vous serre la main car si sa ne vous vous voulez pas je ne suis pas que l'on se recroise un jours , je vais retenir le bateau cinq a dix minutes si je vous sa sera une bonne nouvelle

je parti en direction du part espérant les avoirs convaincu. et en levant la main en l'air en leurs fessant signe d'un revoir.

"Papy, c'est quoi la mission cette fois ci ?"

"Quelque chose de gros Kira quelque chose de gros"
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Une gourde vole, et un des mecs effrayants se la prend en plein dans le nez. Aussitôt Kira et Atlas se lèvent et foncent vers les membres restant et les.... Éclatent ? Oui, c'est le mot. Puis une fois fini, Atlas vira les chauves de la taverne et saisit l'un de mes bouquins, l'histoire de North Blue partie 1, dont la couverture était dans ma main.

« Je suis désolé pour ton bouquin, tu as l'air d'y tenir. »

« Ouais, mais bon, ce n'est pas si grave. J'avais déjà pris plein de notes sur ce bouquin. »

Puis nous sortons de la taverne quand Atlas se reçoit un message de la part d'une silhouette encapuchonné. Après avoir lu la lettre qu'il a reçue, il nous annonce faire partie de la révolution et qu'il a reçu un travail. Alors que je pensais que nous allions nous séparer sans que je puisse rembourser ma dette envers cet homme qui maintenant m'inspirait confiance. Et puis je devais m'excuser auprès de du Tengu. Je me tournais vers lui, il avait fait tomber son masque j'étais donc face à...... Un homme-poisson. Je m'arrêtais, le visage neutre, avant que celui-ci ne se fende d'un large sourire. Un homme-poisson, mais c'est génial. L'excitation m'avait fait oublier ma peur des inconnus.

« Tu es un homme-poisson ? Un vrai ? Mais c'est génial ! Dit, dit, c'est vrai que tu peux respirer sous l'eau ? Et nager super bien ? Et en plus, j'ai entendu dire qu'il existait un art martial propre aux homme-poisson, c'est vrai ? Et tu es fort avec ton bâton ? Tu pourrais m'apprendre des trucs ? Et aussi, vous avez des mystères irrésolus, ou encore des légendes ? Tu peux m'en raconter ? Aller s'il te plait. Oh, mais attends, il faut d'abord rattraper Atlas. »

Je courrais pour le rattraper et lui fis part de ma réponse, oui, j'acceptais. Principalement, car j'avais une dette envers lui et ensuite, car si la révolution pouvait m'aider cela serait parfait. Kira semblait ravie au point de me sauter dans les bras. Je hurlais du plus fort que je pouvais, tout en gigotant pour me soustraire à son emprise. Elle me lâcha, morte de rire, et je m'écrasais au sol, baragouinant des paroles incompréhensibles, et attirant de nouveau tous les regards de la foule environnante. Mes débuts, dans la révolution était vraiment fracassants. Enfin bon, il nous fallait maintenant partir, pour ma première mission pour la révolution.
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Hé bien, hé bien, que de surprises. Je n'avais même pas eu à décocher de coups de bâton que les hommes étaient déjà au sol. De plus, ces gars semblaient être de la Révolution. Ça, pour une rencontre fortuite... Et cerise sur le gâteau, ils semblaient ne pas déprécier le fait que je sois un homme-poisson. Voire même l'apprécier... Plus que particulières, ces personnes. Confucius disait qu'aucun événement n'arrivait par hasard. Peut-être avait-il raison.

Alors que le vieux s'éloignait, je compris la moitié de ce que le jeune balbutiait. Sans le vouloir, un sourire amusé apparut sur mon visage marin, en dessous de mes deux brins épais de moustache. Vraiment particuliers... De mon côté, je réfléchissais. Je faisais route seul depuis quelques temps maintenant, prenant parti à des missions par-ci, des missions par-là... mais rien de bien fixe. Ce quotidien m'arrangeait plutôt pas mal, car je retraçais l'histoire de Sensei Tampopo en corrigeant ses erreurs. Un mode de vie de moine "justicier" en somme. Mais je me commençais à me demander si cette vie sera suffisante. Tout seul, on allait vite. Mais à plusieurs, on allait loin.

Si je voulais vraiment changer les choses à une échelle qui me conviendrait, à une échelle qui aurait de l'importance, faire cavalier seul ne pourrait pas suffire bien longtemps. Ces révolutionnaires me plaisaient bien, même s'ils étaient un peu désorganisés. Et puis, ce serait peut-être l'occasion d'en rencontrer d'autres et enfin, de respecter ma promesse envers mon maître : agir. Plus cette idée tournait dans ma tête, plus je me vis suspect à l'accepter. Et, alors que je cogitais, l'heure de la décision arriva bientôt.

Le jeune homme s'arrêta de parler, pour partir d'un coup sec rejoindre le vétéran. Me laissant seul à la porte de ce bar, il était temps. Le sourire sur mon visage s'accentua : j'avais pris ma décision. Je rangeais mon bâton dans mon dos, replaça une gourde à ma taille, et je remis masque et capuche. Ce masque était celui du corbeau, le Karasu, le voyageur. Une nouvelle aventure m'attendait, et je la contemplais, j'arrivais vers elle à vive allure. Je l'entendais petit à petit ce monde qui changeait, et dont j'allais faire part. Une fois préparé, je me retournais, souhaitais une prospérité à cet établissement quelque peu hostile, et me mis à tenter de rattraper les autres révolutionnaires. Mon seul espoir ici, était que ma narcolepsie ne m'atteigne pas avant que je n'atteigne les miens.

...

Nom d'un Yôkai maladroit, j'avais oublié de prendre du thé.
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