Pseudonyme : Ragna Nom: Alexanders Prénom: Ezekiel Age: 21 ans Sexe : Homme Race : Humain Métier : Professeur. Groupe : Chasseur de prime. But : Devenir le meilleur bretteur du monde et réunir les douze meitous. Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : J’aimerais avoir les capacités Rage du Père Tempête et Voie du Berserker Équipement : Rien de très extravagant, juste deux katanas noir et un kodachi Codes du règlement : Parrain : Google x) Ce compte est-il un DC ? : Non |
❖Bon à Savoir!❖
Autant le dire tout de suite, Ezekiel n'est pas le genre à trop en imposer par sa carrure. Sans être chétif, ce jeune homme d’environ un mètre quatre-vingt-six pour soixante-dix-sept kilos pourrait être la cible des plaisanteries les plus grivoises. Ajoutez à cela un visage angélique couplé à une longue chevelure sombre lui masquant en partie le visage et vous aurez de quoi trouver la bonne poire sur qui orienter les quolibets des joyeux drilles de son ile natale...Le pauvre, se faire prendre pour une femme musclée à plusieurs reprises, c’est triste. Seulement, que ces messieurs s'abstiennent de lui envoyer ce genre de pique verbal en face, auquel cas ils auraient l'occasion de voir si le sol fait office de bon oreiller. Cependant, ceci serait bien trop excessif n'est-ce pas ?
L’Alexanders n'est pas aussi impulsif que ne laisserait y paraitre son allure lorsqu’il est en.chasse. Chose que démontre son air doux qu’il arbore durant ses cours, souligné par un faciès fin et élégant, à la limite de l'androgynie. Ses yeux d'un violet profond ont souvent cette lueur rieuse appuyant son regard, regard qui a étrangement tendance à mettre à l'aise ses interlocuteurs au premier contact. Un franc sourire chaleureux renforce également ce sentiment d'empathie, pour peu qu’on sache comment lui parler. Pour en revenir à sa chevelure qui, à peine nouée, en bataille sur les oreilles, pourrait faire croire à une certaine négligence de sa part. Pourtant, il n'en est rien, car notre cher professeur s'avère être quelqu'un d'organisé et à qui les livres ne font pas peur. Bon, il n'en raffole pas mais n'est pas non plus du genre à rechigner à une bonne lecture de temps en temps.
En bon bretteur de la vieille école, Ez’ porte l'uniforme traditionnel avec aisance. Seule fantaisie à son ensemble violet et blanc, une longue veste de coton turquoise avec des motifs blancs aux extrémités qu’il aime parfois endosser. Ce morceau de tissu sans grande valeur matérielle fait l'objet d'une attention toute particulière de la part du jeune homme. La raison à cela remonte à son passé, un souvenir d'une période qu'il ne souhaite en aucun cas oublier, comme un deuil inachevé... Chacun possède un passé qu'il veut ou ne veut pas oublier, ceci est un choix que chacun masque à sa façon. Lui a choisi de faire avec et de cacher sa souffrance en essayant de montrer son bon côté en permanence. Perdre son sang-froid devant quiconque voir pire, en face de ceux pour qui il témoigne une aversion sans borne, serait pour lui une faiblesse et un manque à son devoir qui le détruirait intérieurement. Ceci permet de croire qu’Ezekiel ferait tout pour en finir avec le pirate qui croiserait son chemin, ce qui est vrai. Son comportement au quotidien lorsqu’il est chez lui est des plus honorable, ce qui lui a permis malgré lui d'instaurer une forme de respect mutuel entre lui et ceux qui ont l'occasion de le côtoyer.
Il est le genre de personne qui prône le dialogue avant les armes. Toutefois, soyez sûr que les lames à sa ceinture ne sont nullement là que pour décorer. Bretteur émérite doublé d'un athlète avéré, sa détermination le sabre à la main pourrait déstabiliser les plus aguerris. Ceci à cause d'un changement radical de son attitude, une sorte d'occlusion mentale qui occulte complètement la case « négociation » de son cerveau. C'est donc un système de pensées très binaire, mais qui a le mérite de ne pas laisser de place à la compassion ou au doute. Lorsque ce jeune chasseur de prime sort sa lame hors de son fourreau face à un ennemi qui serait sourd à ses propos, seul deux choses compteraient... Mettre à terre ou être mis à terre.
Passons maintenant à une note sensiblement moins barbares, ses goûts, ses petits plaisirs et ses aversions, ce qui le fait vibrer et ce que le révulse. La calligraphie... Même s'il n'est pas lui-même un calligraphe de renom, Ez’ éprouve un plaisir tout particulier à s’y adonner tranquillement au recoin d'un bâtiment, à l'orée des jardins entourant son école, ou encore tranquillement dans sa chambre. Le jeune homme possède une bibliothèque dans ses quartiers et il s'y essaye de temps à autre lors de ses temps libres. C'est une source d'évasion et d'apaisement véritablement efficace pour lui. Le jeune chasseur appréciait également le bon tabac, la nourriture fortement épicée, l’honnêteté, la douceur d'un bon thé, le rugissement du tonnerre par temps d’orages, les cerisiers en fleurs ainsi que les canidés... Sans pour autant tomber dans les clichés, Ragna considère l'indécision comme une plaie à panser. Il déteste les perroquets, ainsi qu'on lui touche les cheveux. À noter également, même si ce n'est qu'un détail, qu'il ne tient pas du tout l'alcool et que les femmes trop entreprenantes ont tendance à le mettre mal à l'aise.
L’Alexanders n'est pas aussi impulsif que ne laisserait y paraitre son allure lorsqu’il est en.chasse. Chose que démontre son air doux qu’il arbore durant ses cours, souligné par un faciès fin et élégant, à la limite de l'androgynie. Ses yeux d'un violet profond ont souvent cette lueur rieuse appuyant son regard, regard qui a étrangement tendance à mettre à l'aise ses interlocuteurs au premier contact. Un franc sourire chaleureux renforce également ce sentiment d'empathie, pour peu qu’on sache comment lui parler. Pour en revenir à sa chevelure qui, à peine nouée, en bataille sur les oreilles, pourrait faire croire à une certaine négligence de sa part. Pourtant, il n'en est rien, car notre cher professeur s'avère être quelqu'un d'organisé et à qui les livres ne font pas peur. Bon, il n'en raffole pas mais n'est pas non plus du genre à rechigner à une bonne lecture de temps en temps.
En bon bretteur de la vieille école, Ez’ porte l'uniforme traditionnel avec aisance. Seule fantaisie à son ensemble violet et blanc, une longue veste de coton turquoise avec des motifs blancs aux extrémités qu’il aime parfois endosser. Ce morceau de tissu sans grande valeur matérielle fait l'objet d'une attention toute particulière de la part du jeune homme. La raison à cela remonte à son passé, un souvenir d'une période qu'il ne souhaite en aucun cas oublier, comme un deuil inachevé... Chacun possède un passé qu'il veut ou ne veut pas oublier, ceci est un choix que chacun masque à sa façon. Lui a choisi de faire avec et de cacher sa souffrance en essayant de montrer son bon côté en permanence. Perdre son sang-froid devant quiconque voir pire, en face de ceux pour qui il témoigne une aversion sans borne, serait pour lui une faiblesse et un manque à son devoir qui le détruirait intérieurement. Ceci permet de croire qu’Ezekiel ferait tout pour en finir avec le pirate qui croiserait son chemin, ce qui est vrai. Son comportement au quotidien lorsqu’il est chez lui est des plus honorable, ce qui lui a permis malgré lui d'instaurer une forme de respect mutuel entre lui et ceux qui ont l'occasion de le côtoyer.
Il est le genre de personne qui prône le dialogue avant les armes. Toutefois, soyez sûr que les lames à sa ceinture ne sont nullement là que pour décorer. Bretteur émérite doublé d'un athlète avéré, sa détermination le sabre à la main pourrait déstabiliser les plus aguerris. Ceci à cause d'un changement radical de son attitude, une sorte d'occlusion mentale qui occulte complètement la case « négociation » de son cerveau. C'est donc un système de pensées très binaire, mais qui a le mérite de ne pas laisser de place à la compassion ou au doute. Lorsque ce jeune chasseur de prime sort sa lame hors de son fourreau face à un ennemi qui serait sourd à ses propos, seul deux choses compteraient... Mettre à terre ou être mis à terre.
Passons maintenant à une note sensiblement moins barbares, ses goûts, ses petits plaisirs et ses aversions, ce qui le fait vibrer et ce que le révulse. La calligraphie... Même s'il n'est pas lui-même un calligraphe de renom, Ez’ éprouve un plaisir tout particulier à s’y adonner tranquillement au recoin d'un bâtiment, à l'orée des jardins entourant son école, ou encore tranquillement dans sa chambre. Le jeune homme possède une bibliothèque dans ses quartiers et il s'y essaye de temps à autre lors de ses temps libres. C'est une source d'évasion et d'apaisement véritablement efficace pour lui. Le jeune chasseur appréciait également le bon tabac, la nourriture fortement épicée, l’honnêteté, la douceur d'un bon thé, le rugissement du tonnerre par temps d’orages, les cerisiers en fleurs ainsi que les canidés... Sans pour autant tomber dans les clichés, Ragna considère l'indécision comme une plaie à panser. Il déteste les perroquets, ainsi qu'on lui touche les cheveux. À noter également, même si ce n'est qu'un détail, qu'il ne tient pas du tout l'alcool et que les femmes trop entreprenantes ont tendance à le mettre mal à l'aise.
❖Biographie:❖
Water Seven, l’ile de Grand Line. C’est dans cette ville, connue pour le savoir faire des maitres charpentiers qu’elle abrite, que naquit le onzième jour, du mois d’Août de l’an 1604 au sein de la famille Alexanders un garçon. Ce garçon porterait comme prénom Ezekiel. Un enfant vraiment aimé sachez-le. Pour preuve, on célébra la venue au monde du jeune garçon, sa famille commença à préparer une énorme fête pour le jour où sa mère et lui sortiraient de l’hôpital. La date arrêtée pour la sortie de la jeune mère était le trente-et-un du même mois, soit trois semaines plus tard. C’est à cette date-là que le nouveau-né fut présenté à tous les membres de la famille Alexanders qui habitait l’ile, ainsi qu’à tous ceux qui étaient venus pour l’évènement. Néanmoins, les festivités ne commenceraient réellement que lorsque le petit dormirait. C’est ainsi que bien installé dans son berceau, Ez’ put assister indirectement au début des festivités en son honneur et en l’honneur des jeunes parents. La fête dura toute la nuit, mais la jeune maman s’éclipsa à un moment pour aller dormir auprès de son bébé. Au petit matin, alors que tout le monde était siphonné et était en train de récupérer, elle était debout en pleine forme en train de commencer le ménage d’après fête. Nettoyage qui fut très vite écourté par les premiers hurlements que poussaient l’enfant dans sa nouvelle demeure en appelant sa mère. Cette dernière accourue aussitôt pour s’occuper de lui et le couvrir d’amour. Amour qui, en compagnie de beaucoup de tendresse, d’attention et de bonheur accompagnèrent le jeune garçon durant sa croissance. Et c’est dans cette atmosphère que les jours s’enchainèrent à une vitesse folle tant chaque journée fut pleinement remplie, et que cinq années passèrent.
Durant ces cinq premières années de sa vie, il était assez espiègle comme garçon, et commettait beaucoup de bêtises. Rien de bien grave en général, à l’exception d’une qui lui avait valu un grand sermon de la part de sa mère. Du fait que son père travaille au chantier naval et que sa mère ait une boutique d’armes, il y avait une salle où ses parents entreposaient leur matériel et où il réussit en une journée à foutre un bazar monumental, détruisant de même certaines pièces de collection que possédait sa mère. Il fallut alors comme chercher à canaliser l’excès énergétique du garçon. Malheureusement, du fait du travail des parents, ils ne pouvaient s’occuper de lui en journée, aussi fut engagée une gouvernante pour s’occuper du petit. La pauvre faut-il dire, elle ne pouvait pas imaginer ce qui l’attendait. Elle était une ancienne institutrice et devait également veiller à parfaire l’éducation du garçon, mais elle qui avait la lourde charge de s’occuper de l’enfant vivait un véritable enfer. À cet âge, l’enfant si curieux et joueur était tout simplement infernal. Un jour il s’échappa en douce de la maison et alla s‘aventurer en ville, à la recherche du fameux trésor mentionné dans les récits que lui racontait sa mère lorsqu’il fallait le coucher. Après avoir longtemps erré, il attend l’un des docks où la fortune voulut que son père s’y trouve. Il se faufila dans les installations du chantier naval et commença à farfouiller un peu partout en espérant trouver l’objet en question. Après un bon moment de fouille hasardeuse, il avait fini par pénétrer dans un hangar où il avait pu apercevoir une caisse. Courant vers cette dernière en étant convaincu qu’il avait trouvé le gros lot. Il fut rapidement déçu et allait reprendre le chemin de la maison lorsqu’il s’arrêta un moment pour s’extasier devant la beauté du lieu. Il fut si subjugué qu’il ne remarqua même pas l’arrivée de son père qui le ramena à la maison. La beauté de ce lieu avait tout simplement lancé un charme. Il souhaita dès lors accompagner son père à chaque fois que ce dernier se rendait au travail.
À partir de là, le petit bonhomme devint comme obsédé par la mer. Dès qu’il avait une occasion il sortait avec son père et allait sur les docks regarder pirates, navigateurs et marines venir pour les réparations de leurs navires. Il put ainsi contempler nombre de bâtiments, depuis les plus petits et insignifiants, jusqu’aux grands et imposants, ce qui ne faisait qu’attiser le feu que l’étendue salée soulevait dans son cœur. Néanmoins, il ne pouvait pas passer ses journées au port, aussi ses parents l’inscrivirent dans un club de kendo car les sabres étaient la chose qui l’intéressait le plus après la mer. Après cette inscription, il mit comme en retrait la mer et se plongea dans ses cours de Kendo, allant jusqu’à s’instruire sur l’histoire de grands bretteurs du passé et converser sur la qualité des sabres avec sa mère. Et c’est sur ce rythme plutôt tranquille qu’il grandit en devenant plus sage et plus gentil que jamais. À l’âge de 10 ans, il était tout simplement devenu un ange, ce qui lui valut un voyage en mer avec son père, un voyage qui marqua sa vie.
Alors qu’en général il ne pouvait qu’attendre leur retour lorsque ces derniers prenaient la mer, il eut l’opportunité de les accompagner lors d’un de leurs déplacements. Ce fut la première fois qu’il monta sur un navire. Il fut intenable et s’amusa comme un fou sur le bateau qu’avait construit son père durant toute le traversée jusqu’à l’ile de Kokoyashi. Si La traversée de trois semaines en mer était fantastique pour le garçon, la destination l’était encore plus. Il fut simplement subjugué par le paysage qu’il y découvrit. Contrairement à Water Seven, c’était un paysage plutôt sauvage qu’il découvrit durant la visite du marché des lieux. Ils ne devaient en principe qu’y faire un mois mais prolongèrent d’une semaine de plus le séjour pour faire plaisir au garçon qui s’y plaisait vraiment. Et c’est au cours de cette semaine bonus qu’il la rencontra. Alors qu’il allait en exploration dans les plantations comme il le faisait habituellement depuis son arrivée sur l’ile avec pour consigne de rentrer avant 6h du soir, il dut avorter son excursion sur la terre des mandarines à cause d’une jeune fille.
Il passait devant cette maison lorsqu’elle apparut telle une étoile qui illumine la voute lorsque le soleil daigne bien vouloir aller se reposer. Une rouquine semblant plus jeune que lui. Le coup de foudre pour le jeune garçon, mais qui voulut ne rien laisser paraitre. Il fit mine de vouloir reprendre sa route lorsque la jeune fille s’avança jusqu’à lui et se présenta. Ariane, tel était son prénom. Ils firent un bout de chemin ensemble en bavardant et éclatèrent de rire à plusieurs reprises. Lorsqu’il fallut se séparer, ils se donnèrent rendez-vous le lendemain devant la maison de la fillette mais un peu plus tôt, et chacun rentra chez lui, impatient de ce que réservait le lendemain. Et ce fut sur ce rythme que la semaine passa, elle lui montra une facette de l’ile dont il ne soupçonnait même pas l’existence, et finit par devenir sa première et meilleure amie. Du moins amis ils se disaient, car le cœur du garçon lui en était à un autre stade… Je vous laisse deviner… ()… Lorsque la semaine fut achevée, il était le temps des aux revoirs. C’est avec une peine non dissimulée qu’il quittait la douce Ariane pour reprendre la mer, avec comme unique lot de consolation, un ruban. Le ruban qu’elle lui avait donné pour ne pas qu’il oublie fut comme un trésor pour le garçon, l’empêchant de pleurer durant la traversée retour.
Cette semaine qui eu l’air d’un conte de fée et resta surement le plus beau souvenir du garçon de son escapade à Kokoyashi. Et c’est plus motivé que jamais qu’il rentra à Water Seven. Il se plongea dans ses études et montra un autre visage à ses parents bien réjouis de son changement espérant y retourner l’année suivante, malheureusement le temps passa et toujours aucun voyage en vue. Ezekiel grandissait, n’apportant que joie, bonheur et fierté à ses parents, une vie paisible sur une ile en proie à l’Aqua Laguna et dont l’absence n’aurait été que bénéfique au garçon.
On approchait du seizième anniversaire du garçon, et l’Aqua Laguna était pour bientôt. Un groupe de pirates débarqua sur l’ile et demanda à Albion, le père d’Ez’ de s’occuper des rénovations de leur navire. Le père s’exécuta du mieux qu’il aurait pu comme d’habitude et abattit un travail hors pair pour satisfaire ses clients. Une fois le bateau rénové, il annonçait comme d’habitude à la bande de pirates que tout était OK. Ceux-ci voulurent prendre la mer aussitôt, malgré les réticences et oppositions d’Albion. En effet, l’Aqua Laguna, cette vague énorme arrivait. Les pirates s’entêtèrent et prirent la mer, à leurs risques et périls. Leur navire fut englouti par les flots et il n’en resta que quelques survivants sur tout l’équipage. Des survivants qui vinrent crier vengeance auprès du père d’Ezekiel. Il avait déjà eu vent de ce qui se tramait par l’intermédiaire d’un collègue de travail de son père, et avait décidé de passer après ces cours de kendo pour rentrer avec son père. Son instinct avait eu bon car il ne se passa pas une semaine après qu’il ait fait ce choix que les pirates débarquèrent sur les docs, l’accusant d’avoir fait un travail bâclé ayant entrainé le naufrage du bateau. Ils voulurent s’en prendre à Albion mais Ezekiel riposta. Mauvaise pioche pour eux car le petit n’avait plus rien d’un amateur lorsqu’il avait une arme en main, bien loin de là, il était l’une des plus fines lames de l’ile alors qu’il n’avait que seize ans. Et c’est ainsi simplement armé de son shinaï qu’il remballa vite fait les pirates qui décampèrent en jurant de revenir se venger lorsque d’autres charpentiers de Galley-la-compagnie arrivèrent prêt à en découdre. Le pire fut évité et la famille Alexanders reprit le cours de sa vie comme si rien n’était arrivé. C’est alors que le drame arriva. Profitant d’un soir où Ez dormait chez ses grands-parents logés bien loin, les pirates attaquèrent et assassinèrent les parents du jeune garçon
Lorsque la nouvelle lui parvint, elle sonna comme un prélude à une tempête. L’enfant endeuillé ne pleurait pas. Nul ne comprit. Il ne versa aucune larme, même durant l’enterrement de ses parents. L’entendre parler devint de plus en plus rare, celui qu’on connaissait comme l’enfant le plus souriant n’était plus désormais qu’une ombre inquiétante. Il abandonna ses études pour chercher un travail, afin de conserver la maison familiale et pouvoir subvenir à ses besoins. Il commença à travailler apprenti charpentier à mi-temps. Le matin il était sur les docks, en soirée il s’occupait du magasin de sa mère. Il tint ce rythme pendant un an, jusqu’à ce qu’il rencontre un soir le groupe de pirates à l’origine de ses malheurs alors qu’il se rendait au dojo pour une entrevue avec son maitre. L’adolescent jusqu’à lors indifférent à quoi que ce soit laissa s’exprimer toute sa rage, tuant les pirates un par un, mais ne put tous les tuer car son maitre l’arrêta. Le jeune garçon fut emprisonné pendant deux mois et fut relâché lorsque ses grands-parents payèrent la caution, utilisant la somme qu’avaient mis de côté ses parents. À sa sortie, le magasin de sa mère, ainsi que la demeure de ses parents n’étaient plus que ruines. Ce fut la goutte qui lui fit voir rouge. Il savait qui était à l’origine de cet incendie et voulait se venger. Mais il ne voulait pas non plus poser de tords à ses proches et surtout à son maitre qui lui avait proposé de prendre les rênes de l’école, et aussi parce qu’il ne voulait pas devenir un être que rejetterait la jeune fille qu’il avait croisé sur cette île il y a onze années. Il hésita longtemps avant de se laisser guider sur la voie du chasseur par un homme qu’il rencontra. Un chasseur de prime nommé Sören Hurlevent, qui fut le précurseur et mentor de ce que les pirates craindraient bientôt sous le nom de Ragna.
Durant ces cinq premières années de sa vie, il était assez espiègle comme garçon, et commettait beaucoup de bêtises. Rien de bien grave en général, à l’exception d’une qui lui avait valu un grand sermon de la part de sa mère. Du fait que son père travaille au chantier naval et que sa mère ait une boutique d’armes, il y avait une salle où ses parents entreposaient leur matériel et où il réussit en une journée à foutre un bazar monumental, détruisant de même certaines pièces de collection que possédait sa mère. Il fallut alors comme chercher à canaliser l’excès énergétique du garçon. Malheureusement, du fait du travail des parents, ils ne pouvaient s’occuper de lui en journée, aussi fut engagée une gouvernante pour s’occuper du petit. La pauvre faut-il dire, elle ne pouvait pas imaginer ce qui l’attendait. Elle était une ancienne institutrice et devait également veiller à parfaire l’éducation du garçon, mais elle qui avait la lourde charge de s’occuper de l’enfant vivait un véritable enfer. À cet âge, l’enfant si curieux et joueur était tout simplement infernal. Un jour il s’échappa en douce de la maison et alla s‘aventurer en ville, à la recherche du fameux trésor mentionné dans les récits que lui racontait sa mère lorsqu’il fallait le coucher. Après avoir longtemps erré, il attend l’un des docks où la fortune voulut que son père s’y trouve. Il se faufila dans les installations du chantier naval et commença à farfouiller un peu partout en espérant trouver l’objet en question. Après un bon moment de fouille hasardeuse, il avait fini par pénétrer dans un hangar où il avait pu apercevoir une caisse. Courant vers cette dernière en étant convaincu qu’il avait trouvé le gros lot. Il fut rapidement déçu et allait reprendre le chemin de la maison lorsqu’il s’arrêta un moment pour s’extasier devant la beauté du lieu. Il fut si subjugué qu’il ne remarqua même pas l’arrivée de son père qui le ramena à la maison. La beauté de ce lieu avait tout simplement lancé un charme. Il souhaita dès lors accompagner son père à chaque fois que ce dernier se rendait au travail.
À partir de là, le petit bonhomme devint comme obsédé par la mer. Dès qu’il avait une occasion il sortait avec son père et allait sur les docks regarder pirates, navigateurs et marines venir pour les réparations de leurs navires. Il put ainsi contempler nombre de bâtiments, depuis les plus petits et insignifiants, jusqu’aux grands et imposants, ce qui ne faisait qu’attiser le feu que l’étendue salée soulevait dans son cœur. Néanmoins, il ne pouvait pas passer ses journées au port, aussi ses parents l’inscrivirent dans un club de kendo car les sabres étaient la chose qui l’intéressait le plus après la mer. Après cette inscription, il mit comme en retrait la mer et se plongea dans ses cours de Kendo, allant jusqu’à s’instruire sur l’histoire de grands bretteurs du passé et converser sur la qualité des sabres avec sa mère. Et c’est sur ce rythme plutôt tranquille qu’il grandit en devenant plus sage et plus gentil que jamais. À l’âge de 10 ans, il était tout simplement devenu un ange, ce qui lui valut un voyage en mer avec son père, un voyage qui marqua sa vie.
Alors qu’en général il ne pouvait qu’attendre leur retour lorsque ces derniers prenaient la mer, il eut l’opportunité de les accompagner lors d’un de leurs déplacements. Ce fut la première fois qu’il monta sur un navire. Il fut intenable et s’amusa comme un fou sur le bateau qu’avait construit son père durant toute le traversée jusqu’à l’ile de Kokoyashi. Si La traversée de trois semaines en mer était fantastique pour le garçon, la destination l’était encore plus. Il fut simplement subjugué par le paysage qu’il y découvrit. Contrairement à Water Seven, c’était un paysage plutôt sauvage qu’il découvrit durant la visite du marché des lieux. Ils ne devaient en principe qu’y faire un mois mais prolongèrent d’une semaine de plus le séjour pour faire plaisir au garçon qui s’y plaisait vraiment. Et c’est au cours de cette semaine bonus qu’il la rencontra. Alors qu’il allait en exploration dans les plantations comme il le faisait habituellement depuis son arrivée sur l’ile avec pour consigne de rentrer avant 6h du soir, il dut avorter son excursion sur la terre des mandarines à cause d’une jeune fille.
Il passait devant cette maison lorsqu’elle apparut telle une étoile qui illumine la voute lorsque le soleil daigne bien vouloir aller se reposer. Une rouquine semblant plus jeune que lui. Le coup de foudre pour le jeune garçon, mais qui voulut ne rien laisser paraitre. Il fit mine de vouloir reprendre sa route lorsque la jeune fille s’avança jusqu’à lui et se présenta. Ariane, tel était son prénom. Ils firent un bout de chemin ensemble en bavardant et éclatèrent de rire à plusieurs reprises. Lorsqu’il fallut se séparer, ils se donnèrent rendez-vous le lendemain devant la maison de la fillette mais un peu plus tôt, et chacun rentra chez lui, impatient de ce que réservait le lendemain. Et ce fut sur ce rythme que la semaine passa, elle lui montra une facette de l’ile dont il ne soupçonnait même pas l’existence, et finit par devenir sa première et meilleure amie. Du moins amis ils se disaient, car le cœur du garçon lui en était à un autre stade… Je vous laisse deviner… ()… Lorsque la semaine fut achevée, il était le temps des aux revoirs. C’est avec une peine non dissimulée qu’il quittait la douce Ariane pour reprendre la mer, avec comme unique lot de consolation, un ruban. Le ruban qu’elle lui avait donné pour ne pas qu’il oublie fut comme un trésor pour le garçon, l’empêchant de pleurer durant la traversée retour.
Cette semaine qui eu l’air d’un conte de fée et resta surement le plus beau souvenir du garçon de son escapade à Kokoyashi. Et c’est plus motivé que jamais qu’il rentra à Water Seven. Il se plongea dans ses études et montra un autre visage à ses parents bien réjouis de son changement espérant y retourner l’année suivante, malheureusement le temps passa et toujours aucun voyage en vue. Ezekiel grandissait, n’apportant que joie, bonheur et fierté à ses parents, une vie paisible sur une ile en proie à l’Aqua Laguna et dont l’absence n’aurait été que bénéfique au garçon.
On approchait du seizième anniversaire du garçon, et l’Aqua Laguna était pour bientôt. Un groupe de pirates débarqua sur l’ile et demanda à Albion, le père d’Ez’ de s’occuper des rénovations de leur navire. Le père s’exécuta du mieux qu’il aurait pu comme d’habitude et abattit un travail hors pair pour satisfaire ses clients. Une fois le bateau rénové, il annonçait comme d’habitude à la bande de pirates que tout était OK. Ceux-ci voulurent prendre la mer aussitôt, malgré les réticences et oppositions d’Albion. En effet, l’Aqua Laguna, cette vague énorme arrivait. Les pirates s’entêtèrent et prirent la mer, à leurs risques et périls. Leur navire fut englouti par les flots et il n’en resta que quelques survivants sur tout l’équipage. Des survivants qui vinrent crier vengeance auprès du père d’Ezekiel. Il avait déjà eu vent de ce qui se tramait par l’intermédiaire d’un collègue de travail de son père, et avait décidé de passer après ces cours de kendo pour rentrer avec son père. Son instinct avait eu bon car il ne se passa pas une semaine après qu’il ait fait ce choix que les pirates débarquèrent sur les docs, l’accusant d’avoir fait un travail bâclé ayant entrainé le naufrage du bateau. Ils voulurent s’en prendre à Albion mais Ezekiel riposta. Mauvaise pioche pour eux car le petit n’avait plus rien d’un amateur lorsqu’il avait une arme en main, bien loin de là, il était l’une des plus fines lames de l’ile alors qu’il n’avait que seize ans. Et c’est ainsi simplement armé de son shinaï qu’il remballa vite fait les pirates qui décampèrent en jurant de revenir se venger lorsque d’autres charpentiers de Galley-la-compagnie arrivèrent prêt à en découdre. Le pire fut évité et la famille Alexanders reprit le cours de sa vie comme si rien n’était arrivé. C’est alors que le drame arriva. Profitant d’un soir où Ez dormait chez ses grands-parents logés bien loin, les pirates attaquèrent et assassinèrent les parents du jeune garçon
Lorsque la nouvelle lui parvint, elle sonna comme un prélude à une tempête. L’enfant endeuillé ne pleurait pas. Nul ne comprit. Il ne versa aucune larme, même durant l’enterrement de ses parents. L’entendre parler devint de plus en plus rare, celui qu’on connaissait comme l’enfant le plus souriant n’était plus désormais qu’une ombre inquiétante. Il abandonna ses études pour chercher un travail, afin de conserver la maison familiale et pouvoir subvenir à ses besoins. Il commença à travailler apprenti charpentier à mi-temps. Le matin il était sur les docks, en soirée il s’occupait du magasin de sa mère. Il tint ce rythme pendant un an, jusqu’à ce qu’il rencontre un soir le groupe de pirates à l’origine de ses malheurs alors qu’il se rendait au dojo pour une entrevue avec son maitre. L’adolescent jusqu’à lors indifférent à quoi que ce soit laissa s’exprimer toute sa rage, tuant les pirates un par un, mais ne put tous les tuer car son maitre l’arrêta. Le jeune garçon fut emprisonné pendant deux mois et fut relâché lorsque ses grands-parents payèrent la caution, utilisant la somme qu’avaient mis de côté ses parents. À sa sortie, le magasin de sa mère, ainsi que la demeure de ses parents n’étaient plus que ruines. Ce fut la goutte qui lui fit voir rouge. Il savait qui était à l’origine de cet incendie et voulait se venger. Mais il ne voulait pas non plus poser de tords à ses proches et surtout à son maitre qui lui avait proposé de prendre les rênes de l’école, et aussi parce qu’il ne voulait pas devenir un être que rejetterait la jeune fille qu’il avait croisé sur cette île il y a onze années. Il hésita longtemps avant de se laisser guider sur la voie du chasseur par un homme qu’il rencontra. Un chasseur de prime nommé Sören Hurlevent, qui fut le précurseur et mentor de ce que les pirates craindraient bientôt sous le nom de Ragna.
❖Test RP❖
Bonjour, Ezekiel Alexanders.
Le Gouvernement Mondial étudie votre demande d'attribution d'une lettre de marque avec attention. C'est pourquoi nous voudrions des détails sur le triste soir de votre vengeance, afin d'avoir une description de votre manière et votre niveau de combat. Comment avez-vous réussi à tuer ces meurtriers?
Le Gouvernement mondial… Quel bande de blaireaux…Et on va s’étonner que le nombre de repris de justice augmente de la sorte. Non mais N’importe quoi… Tu fais une demande pour le grade de chasseur… Et tu reçois ce genre de courrier…De quoi je parle ? Ah ouai désolé, j’ai dû oublier de commencer le début du commencement. Whaat? Je fais peur là… Mais non je suis juste un peu en train de dire des bêtises pour commencer par le moment où je me suis dit "The Fuck ?" Donc maintenant, vous vous la fermez correctement et me laissez continuer ce que j’ai commencé vous voulez bien ? Merci
Alors comme vous les savez déjà, des pirates m’ont privé de la joie que représentaient mes parents… À cause de ça disons que j’ai un peu pété les plombs par la suite. Et maintenant tout ce sur quoi avaient travaillé mes parents est parti en fumée. Triste ? Oui j’avoue, ma vie est assez triste mais bon je ne vais pas m’en plaindre. Après tout, rien n’arrive par hasard, tout est lié. Non non, je ne crois pas aux conneries comme le destin et tout le tralala qui va avec je vous rassure. Ce dont je parle c’est ce que d’autres appellent le "principe de l’échange équivalent". Quel nom débile pas vrai ? Enfin pour ma part je préfère en parler sous l’appellation "régression vers la moyenne". Classe hein ? Oui je sais, j’ai de bonnes inspirations le soir après un bon bain, lui-même qui survient après un bon entrainement … Oui merci de m’arrêter… Je repartais en vrille désolé. Enfin ce que je voulais dire c’est qu’on soit triste ou heureux on finit toujours par se retrouver un jour au milieu des deux voies, et c’est là le plus important car c’est à cet instant que tout se décide. Où je veux en venir ? Au fait que je suis enfin d’accord pour vous raconter ce qui me met un rire jaune à la tête…
Il y a eu ce fichu courrier donc comme je disais en guise de réponse à ma demande… Devinez ce que je lis… "Le gouvernement….blablabla….C'est pourquoi nous voudrions des détails sur le triste soir de votre vengeance…" J’ai tué pour me venger et ils me demandent de raconter ce meurtre par écrit… Alors soit ceci est une mauvaise blague…Alors soit ce monde est condamné… Quel genre de connard peut demander qu’on lui raconte une vengeance à moins d’être profondément malade et assoiffé de sang. Ça ne vous choque aussi pas vrai? Dites-vous que ce genre de personne travaille pour le gouvernement mondial… Enfin, je vais m’arrêter là de m’exposer sur la question, les murs ont des oreilles… Et puis Nan il faut le dire… Ce sont des malades à la marine… Et ça me plait vachement… Nan chui pas un chien fou, juste plus il y a de pirates sur les mers, plus je pourrais en trancher de ma lame… C’est pourquoi j’ai demandé à mon senseï de venir m’aider à rédiger cette lettre…Enfin lui il écrira plus ce que je raconterais avant qu’on la poste…De quoi Senseï, il serait temps qu’on s’y mette il va faire nuit ? Oui, vous n’avez pas tort… Allons-y alors.
Ça devait faire un bon moment que je n’étais plus passer ici pour m’entrainer avec vous senseï, et ce jour-là, le travail fut rude. Sur les docks ce ne fut pas du joli-joli, on avait une commande express pour 5h du soir. Je vous laisse imaginer le rythme de fou qu’il a fallu pour finir les révisions de cet immense navire afin de ne pas ternir l’image de la Galley-La. J’en sortis totalement lessivé. J’étais si hors service qu’à la boutique d’armes j’étais tout simplement affalé sur mon siège derrière mon comptoir, à mi-chemin entre le sommeil et la pleine conscience de ce qui se passait autour, lorsqu’il n’y avait pas de clients. À certains moments je crois bien que je me suis endormi avant d’être réveillé par le tintement des clochettes qui annonçait que quelqu’un entrait. Heureusement, ce petit temps de repos m’a permis de récupérer un peu. Tout juste assez pour que je puisse une fois la boutique fermée, me trainer jusqu’à chez moi pour rapidement avaler quelque chose et monter au dojo. Ce que j’ai mangé ce jour-là ne vous regarde pas. C’est la suite de l’histoire qui est importante… Donc après avoir fait le légume et ingurgité suffisamment d’aliments pour presque ressusciter, je descendis à la cave prendre "Hakurei" le sabre préférée de ma défunte mère, et également la plus belle lame de sa collection. Je le mis dans le sac de déplacement et je sortis comme je le faisais habituellement lorsque je me rendais au dojo. J’avais du temps devant moi vu que j’avais annoncé la veille que j’arrivais à une certaine heure, alors je pris mon temps pour marcher en regardant pour une fois ce qui se passait autour de moi, chose que j’avais cessé de faire à la suite de l’assassinat de mes parents, et c’est là que je cru reconnaitre les tronches de pain que je cherchais.
Ils se trouvaient deux rues en contrebas, en train d’embêter une demoiselle. J’avoue que cette image m’a bien fait rire. Des pseudos pirates qui entourent une jeune fille ne lui laissant d’autre choix que dire oui à leurs demandes. Je peux le dire haut et fort aujourd’hui vu que seul le gouvernement le lira… Je connaissais cette brune et je serais passée malgré le fait que nos regards se soient croisés et qu’elle versait des larmes. Faut dire que la misère des autres me laissait de marbre. Mais il fallut qu’elle prononça mon prénom et qu’un des cons me reconnaisse et passe l’info au reste de son groupe… Ah ce p’tit merdeux…Imaginez-vous qu’il est venu jusqu’à mettre sa main sur mon épaule et demander à la demoiselle si elle comptait sur un mec avec un parapluie pour la sauver… Il osa même arracher la cigarette que j’avais dans la bouche…Non non, pas du tout ce n’est pas là que j’ai craqué… à vrai dire on répond aux idiots par le silence on dit… Moi je l’ai snobé et bon ça a commencé à devenir bruyant de l’autre côté… il me semble qu’ils essayaient de violer la fille à ce moment-là. Et bizarrement, je m’en foutais toujours, je les aurai laissé finir leur chose sans souci. Après tout, lorsqu’ils s’en sont pris à mes parents, qu’à fait la ville vis-à-vis d’eux ? Rien, on a dit non-lieu… Pourquoi j’aiderai quelqu’un moi ? ‘’Je me souviens même avoir lancé une pique en du genre essayez de faire moins de bruits petits joueurs‘’ avant de commencer à marcher… C’est là où le p’tit con a parlé de ma mère…Très mauvaise idée…
Il m’a sorti des inepties du genre je me défile comme mon père impuissant quand ils ravageaient ma mère…Mettons une pause… J’ai une poussière dans l’œil…
[Quelques minutes plus tard]
Bon Senseï reprenons, je pense que maintenant il n’y aura plus de poussière pour rentrer vu que tout est fermé. Alors j’en étais à quand le sauvage a parlé de comment ils m’ont ôté mes parents…Je me souviens m’être répété qu’il n’en valait pas la peine et me suis remis à marcher entendant la fille crier mon prénom. Et là je me suis mis à entendre la voix de ma mère, qui me sortait un de ses sermons sur aider son prochain et tout le tralala et mon père qui me disait qu’un homme ça protège les jolies filles et ça finit marié et fidèle à un canon comme ma mère…Nan senseï… j’ai juste les yeux qui s’irritent avec la chaleur… Enfin ne me distrayez pas s’il vous plait j’aimerai finir ça et qu’on aille s’entrainer…Oui, ce sont ces sermons-là qui m’ont fait craqué. Tel un poids qu’on retire sur mes épaules, je me souviens avoir versé des larmes et sourit à cet instant avant de déposer mon ombrelle et me retourner. Je n’avais plus qu’une idée en tête leur faire la peau, et croyez-le ou non… J’ai adoré le faire.
Je ne sais si vous pourrez imaginer cette joie, sans borne que j’avais à cet instant où je brandis Hakurei en face de ce pirate. Surprise et rage pouvait se lire sur son visage. Il essaya de sortir son pistolet pour faire feu… malheureusement pour lui la distance qui nous séparait était trop petite et lui beaucoup trop lent et prévisible. À l’instant où j’avais vu l’étonnement laisser place à une mine sérieuse j’avais bondi. Résultat, il était là vautré par terre à hurler de douleur. Sa main qui avait dégainé sa seule arme prenant des vacances un peu plus loin. Cette teinte rouge qui recouvrit le sol à cet instant, ces cris oui et ce plaisir. Rien ne me parut si beau que la douce symphonie que tout cela créait. Il aurait juste manqué un hurlement de terreur en plus… Pourquoi je dis ça? Les cris de leur ami avait fait oublier aux messieurs, la fille aux vêtements vraiment bien abimé dont ils voulaient prendre soin. À la vue de leur approche le p’tit con de tout à l’heure se mit à ramper vers eux... Malheureusement, on a suffisamment de créatures rampantes dans ce monde…L’on ne pouvait décemment pas laisser les hommes s’ajouter à la liste, ce serait une insulte envers notre évolution, une insulte envers MOI. Impardonnable n’est-ce pas ? Je ne le comprends que trop bien. C’est pourquoi mon jugement fut la mort pour, une sentence que j’exécutai sans sommation, en lui plantant le katana dans la nuque. À la vue de cela ses acolytes accoururent plus enragés que jamais, et nous dansâmes ce si doux balai en remerciement à la cette nuit de réjouissance.
Le sang coula à flots je dois dire. Nul ne fut épargné loin de là. Les sept hommes en face de moi attaquèrent à l’unisson. Coups de feu, de sabres, de poing, tout cela arriva telle une avalanche qui ne voulait point s’arrêté. Je morflais, me déplaçant juste assez pour n’être qu’érafler par les balles mais la pluie ne pouvait être totalement évitée. Je prenais des coups mais je ne ressentais rien… Je combattais sans être réellement conscient de ce qui se passait. Cet état dura environ deux minutes et pris fin lorsque je reçus une balle à l’épaule gauche. Cette douleur me fit reprendre conscience de ce qui se passait. Jusqu’à maintenant je m’étais déplacé à l’instinct et frappé dans le seul but de faire couler le sang, mais la douleur de cette balle et la vue du mien me figea un instant. Instant qui aurait pu m’être fatal car la pluie continuait d’arriver. Une patate dans le ventre et un coup de pied à la tête me firent voltiger sur quelques décimètres, avant d’heurter violemment le sol. À cet instant je me sentais perdre conscience. Mon regard était vague et flou, je ne discernais plus clairement ce qui était proche de moi, alors que je me remettais sur mes jambes en me servant de la lame comme appui, et c’est là que mon regard se déposa de nouveau sur la brune à laquelle ils s’en étaient pris. Je la voyais sans vraiment la voir. À vrai dire les cinq secondes où je la fixais, je vis se succéder la brune, ma mère et finalement une petite rousse qui pleurait en disant qu’elle avait peur.
Quand j’y repense encore, j’y serais resté sans cette hallucination car suite à cela, je pris réellement conscience de ce qui se passait. Ce n’est pas que jusqu’à maintenant j’étais inconscient, loin de là, c’est juste qu’après cela, un truc se déclencha en moi. Tout devint silencieux autour de moi, mais également j’arrivais à voir maintenant des détails que je ne voyais pas jusqu’alors. Les coups que les pirates portèrent par la suite me semblèrent arriver au ralenti… Je n’arrive toujours pas à m’expliquer ce qui se passait…Comment ?...Voir avec l’esprit ?? Vous en avez de bonnes senseï… On a toujours essayé et j’ai toujours échoué à ça… Haha... Enfin je n’ai jamais réussi donc vous avez peut-être raison. N’empêche que j’aimerais bien ressentir de nouveau cette sensation car je me rappelle que j’ai varié entre les mouvements composant le Samidare et que je les ai tous réussi sans faute, et surtout, j’ai pu les enchainer sans ce temps d’intermittence que j’avais à l’époque… Ah vous étiez déjà là Senseï ?... Haha c’est tout vous d’abord assister la demoiselle en détresse…Haha… Mr le tombeur….Hahaha… Oui oui c’est sûr que si vous n’étiez pas intervenu quand j’ai voulu essayé l’Ikazutchi que celui en retrait aurait péri lui aussi. N’empêche que c’était trop classe cet instant où vous bloquez ma lame avec la vôtre et que les six autres pirates derrière s’écroulent en baignant dans leur sang. Bah quoi, ce n’est pas ma faute si répandre le sang des pirates est si addictif et jouissif… Vous racontez n’importe quoi…Un bon pirate est un pirate MORT… Avec tout ça j’ai envie de m’entrainer maintenant… Allons à la grande salle senseï… Aujourd’hui je vais vous faire utiliser la cinquième forme pendant l'entrainement…Haha... On finira ça un peu plus tard, de toute façon tout est déjà dit en majorité… NAN…Ne chipotez pas… Vous êtes et resterez toujours mon senseï même si vous avez passé la main !
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Il y a eu ce fichu courrier donc comme je disais en guise de réponse à ma demande… Devinez ce que je lis… "Le gouvernement….blablabla….C'est pourquoi nous voudrions des détails sur le triste soir de votre vengeance…" J’ai tué pour me venger et ils me demandent de raconter ce meurtre par écrit… Alors soit ceci est une mauvaise blague…Alors soit ce monde est condamné… Quel genre de connard peut demander qu’on lui raconte une vengeance à moins d’être profondément malade et assoiffé de sang. Ça ne vous choque aussi pas vrai? Dites-vous que ce genre de personne travaille pour le gouvernement mondial… Enfin, je vais m’arrêter là de m’exposer sur la question, les murs ont des oreilles… Et puis Nan il faut le dire… Ce sont des malades à la marine… Et ça me plait vachement… Nan chui pas un chien fou, juste plus il y a de pirates sur les mers, plus je pourrais en trancher de ma lame… C’est pourquoi j’ai demandé à mon senseï de venir m’aider à rédiger cette lettre…Enfin lui il écrira plus ce que je raconterais avant qu’on la poste…De quoi Senseï, il serait temps qu’on s’y mette il va faire nuit ? Oui, vous n’avez pas tort… Allons-y alors.
Ça devait faire un bon moment que je n’étais plus passer ici pour m’entrainer avec vous senseï, et ce jour-là, le travail fut rude. Sur les docks ce ne fut pas du joli-joli, on avait une commande express pour 5h du soir. Je vous laisse imaginer le rythme de fou qu’il a fallu pour finir les révisions de cet immense navire afin de ne pas ternir l’image de la Galley-La. J’en sortis totalement lessivé. J’étais si hors service qu’à la boutique d’armes j’étais tout simplement affalé sur mon siège derrière mon comptoir, à mi-chemin entre le sommeil et la pleine conscience de ce qui se passait autour, lorsqu’il n’y avait pas de clients. À certains moments je crois bien que je me suis endormi avant d’être réveillé par le tintement des clochettes qui annonçait que quelqu’un entrait. Heureusement, ce petit temps de repos m’a permis de récupérer un peu. Tout juste assez pour que je puisse une fois la boutique fermée, me trainer jusqu’à chez moi pour rapidement avaler quelque chose et monter au dojo. Ce que j’ai mangé ce jour-là ne vous regarde pas. C’est la suite de l’histoire qui est importante… Donc après avoir fait le légume et ingurgité suffisamment d’aliments pour presque ressusciter, je descendis à la cave prendre "Hakurei" le sabre préférée de ma défunte mère, et également la plus belle lame de sa collection. Je le mis dans le sac de déplacement et je sortis comme je le faisais habituellement lorsque je me rendais au dojo. J’avais du temps devant moi vu que j’avais annoncé la veille que j’arrivais à une certaine heure, alors je pris mon temps pour marcher en regardant pour une fois ce qui se passait autour de moi, chose que j’avais cessé de faire à la suite de l’assassinat de mes parents, et c’est là que je cru reconnaitre les tronches de pain que je cherchais.
Ils se trouvaient deux rues en contrebas, en train d’embêter une demoiselle. J’avoue que cette image m’a bien fait rire. Des pseudos pirates qui entourent une jeune fille ne lui laissant d’autre choix que dire oui à leurs demandes. Je peux le dire haut et fort aujourd’hui vu que seul le gouvernement le lira… Je connaissais cette brune et je serais passée malgré le fait que nos regards se soient croisés et qu’elle versait des larmes. Faut dire que la misère des autres me laissait de marbre. Mais il fallut qu’elle prononça mon prénom et qu’un des cons me reconnaisse et passe l’info au reste de son groupe… Ah ce p’tit merdeux…Imaginez-vous qu’il est venu jusqu’à mettre sa main sur mon épaule et demander à la demoiselle si elle comptait sur un mec avec un parapluie pour la sauver… Il osa même arracher la cigarette que j’avais dans la bouche…Non non, pas du tout ce n’est pas là que j’ai craqué… à vrai dire on répond aux idiots par le silence on dit… Moi je l’ai snobé et bon ça a commencé à devenir bruyant de l’autre côté… il me semble qu’ils essayaient de violer la fille à ce moment-là. Et bizarrement, je m’en foutais toujours, je les aurai laissé finir leur chose sans souci. Après tout, lorsqu’ils s’en sont pris à mes parents, qu’à fait la ville vis-à-vis d’eux ? Rien, on a dit non-lieu… Pourquoi j’aiderai quelqu’un moi ? ‘’Je me souviens même avoir lancé une pique en du genre essayez de faire moins de bruits petits joueurs‘’ avant de commencer à marcher… C’est là où le p’tit con a parlé de ma mère…Très mauvaise idée…
Il m’a sorti des inepties du genre je me défile comme mon père impuissant quand ils ravageaient ma mère…Mettons une pause… J’ai une poussière dans l’œil…
[Quelques minutes plus tard]
Bon Senseï reprenons, je pense que maintenant il n’y aura plus de poussière pour rentrer vu que tout est fermé. Alors j’en étais à quand le sauvage a parlé de comment ils m’ont ôté mes parents…Je me souviens m’être répété qu’il n’en valait pas la peine et me suis remis à marcher entendant la fille crier mon prénom. Et là je me suis mis à entendre la voix de ma mère, qui me sortait un de ses sermons sur aider son prochain et tout le tralala et mon père qui me disait qu’un homme ça protège les jolies filles et ça finit marié et fidèle à un canon comme ma mère…Nan senseï… j’ai juste les yeux qui s’irritent avec la chaleur… Enfin ne me distrayez pas s’il vous plait j’aimerai finir ça et qu’on aille s’entrainer…Oui, ce sont ces sermons-là qui m’ont fait craqué. Tel un poids qu’on retire sur mes épaules, je me souviens avoir versé des larmes et sourit à cet instant avant de déposer mon ombrelle et me retourner. Je n’avais plus qu’une idée en tête leur faire la peau, et croyez-le ou non… J’ai adoré le faire.
Je ne sais si vous pourrez imaginer cette joie, sans borne que j’avais à cet instant où je brandis Hakurei en face de ce pirate. Surprise et rage pouvait se lire sur son visage. Il essaya de sortir son pistolet pour faire feu… malheureusement pour lui la distance qui nous séparait était trop petite et lui beaucoup trop lent et prévisible. À l’instant où j’avais vu l’étonnement laisser place à une mine sérieuse j’avais bondi. Résultat, il était là vautré par terre à hurler de douleur. Sa main qui avait dégainé sa seule arme prenant des vacances un peu plus loin. Cette teinte rouge qui recouvrit le sol à cet instant, ces cris oui et ce plaisir. Rien ne me parut si beau que la douce symphonie que tout cela créait. Il aurait juste manqué un hurlement de terreur en plus… Pourquoi je dis ça? Les cris de leur ami avait fait oublier aux messieurs, la fille aux vêtements vraiment bien abimé dont ils voulaient prendre soin. À la vue de leur approche le p’tit con de tout à l’heure se mit à ramper vers eux... Malheureusement, on a suffisamment de créatures rampantes dans ce monde…L’on ne pouvait décemment pas laisser les hommes s’ajouter à la liste, ce serait une insulte envers notre évolution, une insulte envers MOI. Impardonnable n’est-ce pas ? Je ne le comprends que trop bien. C’est pourquoi mon jugement fut la mort pour, une sentence que j’exécutai sans sommation, en lui plantant le katana dans la nuque. À la vue de cela ses acolytes accoururent plus enragés que jamais, et nous dansâmes ce si doux balai en remerciement à la cette nuit de réjouissance.
Le sang coula à flots je dois dire. Nul ne fut épargné loin de là. Les sept hommes en face de moi attaquèrent à l’unisson. Coups de feu, de sabres, de poing, tout cela arriva telle une avalanche qui ne voulait point s’arrêté. Je morflais, me déplaçant juste assez pour n’être qu’érafler par les balles mais la pluie ne pouvait être totalement évitée. Je prenais des coups mais je ne ressentais rien… Je combattais sans être réellement conscient de ce qui se passait. Cet état dura environ deux minutes et pris fin lorsque je reçus une balle à l’épaule gauche. Cette douleur me fit reprendre conscience de ce qui se passait. Jusqu’à maintenant je m’étais déplacé à l’instinct et frappé dans le seul but de faire couler le sang, mais la douleur de cette balle et la vue du mien me figea un instant. Instant qui aurait pu m’être fatal car la pluie continuait d’arriver. Une patate dans le ventre et un coup de pied à la tête me firent voltiger sur quelques décimètres, avant d’heurter violemment le sol. À cet instant je me sentais perdre conscience. Mon regard était vague et flou, je ne discernais plus clairement ce qui était proche de moi, alors que je me remettais sur mes jambes en me servant de la lame comme appui, et c’est là que mon regard se déposa de nouveau sur la brune à laquelle ils s’en étaient pris. Je la voyais sans vraiment la voir. À vrai dire les cinq secondes où je la fixais, je vis se succéder la brune, ma mère et finalement une petite rousse qui pleurait en disant qu’elle avait peur.
Quand j’y repense encore, j’y serais resté sans cette hallucination car suite à cela, je pris réellement conscience de ce qui se passait. Ce n’est pas que jusqu’à maintenant j’étais inconscient, loin de là, c’est juste qu’après cela, un truc se déclencha en moi. Tout devint silencieux autour de moi, mais également j’arrivais à voir maintenant des détails que je ne voyais pas jusqu’alors. Les coups que les pirates portèrent par la suite me semblèrent arriver au ralenti… Je n’arrive toujours pas à m’expliquer ce qui se passait…Comment ?...Voir avec l’esprit ?? Vous en avez de bonnes senseï… On a toujours essayé et j’ai toujours échoué à ça… Haha... Enfin je n’ai jamais réussi donc vous avez peut-être raison. N’empêche que j’aimerais bien ressentir de nouveau cette sensation car je me rappelle que j’ai varié entre les mouvements composant le Samidare et que je les ai tous réussi sans faute, et surtout, j’ai pu les enchainer sans ce temps d’intermittence que j’avais à l’époque… Ah vous étiez déjà là Senseï ?... Haha c’est tout vous d’abord assister la demoiselle en détresse…Haha… Mr le tombeur….Hahaha… Oui oui c’est sûr que si vous n’étiez pas intervenu quand j’ai voulu essayé l’Ikazutchi que celui en retrait aurait péri lui aussi. N’empêche que c’était trop classe cet instant où vous bloquez ma lame avec la vôtre et que les six autres pirates derrière s’écroulent en baignant dans leur sang. Bah quoi, ce n’est pas ma faute si répandre le sang des pirates est si addictif et jouissif… Vous racontez n’importe quoi…Un bon pirate est un pirate MORT… Avec tout ça j’ai envie de m’entrainer maintenant… Allons à la grande salle senseï… Aujourd’hui je vais vous faire utiliser la cinquième forme pendant l'entrainement…Haha... On finira ça un peu plus tard, de toute façon tout est déjà dit en majorité… NAN…Ne chipotez pas… Vous êtes et resterez toujours mon senseï même si vous avez passé la main !
Informations IRL
Prénom : Stann
Age : Plus haut c’est écrit
Aime : Bien trop de choses malheureusement
N'aime pas :Peu de choses. Mais le manque de respect et les concombres sont mes ennemis… Je suis irritable après une défaite du Real Madrid ^^
Personnage préféré de One Piece : Roronoa Zorro… Il est le meilleur *o*
Caractère : Amusons nous les amis !
Fait du RP depuis : Juin 2014
Disponibilité approximative : Every night! Sauf quand j’ai match le lendemain!
Comment avez-vous connu le forum ? L’ermite Google m’a montré la voie !
Prénom : Stann
Age : Plus haut c’est écrit
Aime : Bien trop de choses malheureusement
N'aime pas :Peu de choses. Mais le manque de respect et les concombres sont mes ennemis… Je suis irritable après une défaite du Real Madrid ^^
Personnage préféré de One Piece : Roronoa Zorro… Il est le meilleur *o*
Caractère : Amusons nous les amis !
Fait du RP depuis : Juin 2014
Disponibilité approximative : Every night! Sauf quand j’ai match le lendemain!
Comment avez-vous connu le forum ? L’ermite Google m’a montré la voie !
Dernière édition par Ezekiel Alexanders le Lun 22 Sep 2014 - 5:04, édité 23 fois