Étape 1: Quand y'a embrouille...
Le Vigile regarda les vêtements tachés de sel de l’arrivant et secoua sa grosse tête
-Casse-toi, ce n’est pas un lieu pour les clochards.
-Un certain Toriji, sur le port m’a dit de venir ici. J’ai des coquillages pourpre à vendre.
-t’es quoi toi ? Un homme-poisson ?
-Un poulpe.
-les armes restent ici. Si tu nous déranges pour rien, on te revend à un aquarium.
Le gorille souleva avec dégout les pans du Manteau de Burin pour vérification et lui ouvris la porte. Le sculpteur pénétra dans le bâtiment cossu et déboucha dans une coure intérieure, une fontaine coulait au centre emplissant l'espace d'un agréable bruit d'eau, des arbres exotiques projetaient une ombre fraiche sur des bancs de pierre recouvertes de coussin. se devrait être un vrai ravissement de se prélasser ici, mais plus depuis l'orgie de la veille, qui avait souillé le sol, saccagée la végétation et emplie l'aire d'une puanteur d'urine et de vomissure. Une gamine un peu raide s'efforçait de rendre le lieu présentable, elle passa devant le céphalopode sans même lui accorder un regard.
Le gros bras rentré derrière lui, le dirigea vers un coin ou abandonné sur un grand divan un grand jeune homme, siroté un verre d'alcool. Ses vêtements en désordre et sa séduisante chevelure ébouriffée, laissaient penser qu'il venait de quitter de son lit, les cernes noires qui marquaient son visage, signalaient il ne l'avait pas utilisé longtemps. Une autre personne en costume trois pièces se trouvait derrière lui picorant un reste de viande dans un plat abandonné.
-Jared, commença d'une voix empâté le beau gosse, dit à ce monsieur qu'il doit faire vite, ou vire le.
Le dénommé Jared cracha ce qu'il avait dans la bouche.
-Vous avez entendu le patron ?
-Désolé boss, s'excusa le vigile, mais c'est Toriji qui l'envoie, il dit qu'il a des "Pourpre" à vendre.
Sentant que l'acheteur avait envie de tout sauf que la discutions s'éternise, Burin sorti les deux coquillages de sa poche. Le fêtard essaya de se redresser pour mieux voir, mais une brutal migraine l'en dissuada.
-Jared, dit moi si ça vaut quelque chose.
L'homme de main, récupéra les coquillages en prenant bien soin de ne pas toucher le tentacule. Et y jeta un coup d'yeux.
-Tu sais, je ne suis pas un expert mais, je pense que c'est bien ce qu'il dit que c'est.
-Sans blague ? Ce truc mal fringué se trimbale avec plusieurs dizaine de milliers de berry sur lui ?
-Il semblerait, Boss.
-Et tu en as d'autre à proposer ? Réussi à articuler le jeune homme.
-Non. Pris enfin la parole Burin, mais si vous me faites un bon prix je pourrais en avoir d'autres d'ici quelque temps.
-Tu en pense quoi , Jared ?
-Je pense que les chances qu'un type seul soit un fournisseur fiable est trop faible pour qu'on lui fasse un prix.
-Qui vous dit que je suis seul ? Riposta le poulpe pas très inspiré.
Le jeune garçon soupira et ferma les yeux
-Écoute, apparemment tu ne sais pas très bien où t'es, alors on l'a fait court pars ce que j'ai mal à la tête, on te donne 4 000 berrys et c'est une fleur qu'on te fait.
Burin, n'avait nullement l'intention de se faire dévaliser, il n'avait pas d'arme, mais ses opposants non plus visiblement, aussi il décida de tenter sa chance. Les Doris étaient encore dans la main de Jared il projeta un tentacule pour s'en saisir. Pas assez vite, son adversaire le surveillait du coin de l'œil et réagit à la vitesse d'un serpent, il escamota son bras et frappa avec son autre main. D'où a-t-il sorti cette matraque? Se demanda le sculpteur avant de la recevoir en plein entre les deux yeux.
Le Vigile regarda les vêtements tachés de sel de l’arrivant et secoua sa grosse tête
-Casse-toi, ce n’est pas un lieu pour les clochards.
-Un certain Toriji, sur le port m’a dit de venir ici. J’ai des coquillages pourpre à vendre.
-t’es quoi toi ? Un homme-poisson ?
-Un poulpe.
-les armes restent ici. Si tu nous déranges pour rien, on te revend à un aquarium.
Le gorille souleva avec dégout les pans du Manteau de Burin pour vérification et lui ouvris la porte. Le sculpteur pénétra dans le bâtiment cossu et déboucha dans une coure intérieure, une fontaine coulait au centre emplissant l'espace d'un agréable bruit d'eau, des arbres exotiques projetaient une ombre fraiche sur des bancs de pierre recouvertes de coussin. se devrait être un vrai ravissement de se prélasser ici, mais plus depuis l'orgie de la veille, qui avait souillé le sol, saccagée la végétation et emplie l'aire d'une puanteur d'urine et de vomissure. Une gamine un peu raide s'efforçait de rendre le lieu présentable, elle passa devant le céphalopode sans même lui accorder un regard.
Le gros bras rentré derrière lui, le dirigea vers un coin ou abandonné sur un grand divan un grand jeune homme, siroté un verre d'alcool. Ses vêtements en désordre et sa séduisante chevelure ébouriffée, laissaient penser qu'il venait de quitter de son lit, les cernes noires qui marquaient son visage, signalaient il ne l'avait pas utilisé longtemps. Une autre personne en costume trois pièces se trouvait derrière lui picorant un reste de viande dans un plat abandonné.
-Jared, commença d'une voix empâté le beau gosse, dit à ce monsieur qu'il doit faire vite, ou vire le.
Le dénommé Jared cracha ce qu'il avait dans la bouche.
-Vous avez entendu le patron ?
-Désolé boss, s'excusa le vigile, mais c'est Toriji qui l'envoie, il dit qu'il a des "Pourpre" à vendre.
Sentant que l'acheteur avait envie de tout sauf que la discutions s'éternise, Burin sorti les deux coquillages de sa poche. Le fêtard essaya de se redresser pour mieux voir, mais une brutal migraine l'en dissuada.
-Jared, dit moi si ça vaut quelque chose.
L'homme de main, récupéra les coquillages en prenant bien soin de ne pas toucher le tentacule. Et y jeta un coup d'yeux.
-Tu sais, je ne suis pas un expert mais, je pense que c'est bien ce qu'il dit que c'est.
-Sans blague ? Ce truc mal fringué se trimbale avec plusieurs dizaine de milliers de berry sur lui ?
-Il semblerait, Boss.
-Et tu en as d'autre à proposer ? Réussi à articuler le jeune homme.
-Non. Pris enfin la parole Burin, mais si vous me faites un bon prix je pourrais en avoir d'autres d'ici quelque temps.
-Tu en pense quoi , Jared ?
-Je pense que les chances qu'un type seul soit un fournisseur fiable est trop faible pour qu'on lui fasse un prix.
-Qui vous dit que je suis seul ? Riposta le poulpe pas très inspiré.
Le jeune garçon soupira et ferma les yeux
-Écoute, apparemment tu ne sais pas très bien où t'es, alors on l'a fait court pars ce que j'ai mal à la tête, on te donne 4 000 berrys et c'est une fleur qu'on te fait.
Burin, n'avait nullement l'intention de se faire dévaliser, il n'avait pas d'arme, mais ses opposants non plus visiblement, aussi il décida de tenter sa chance. Les Doris étaient encore dans la main de Jared il projeta un tentacule pour s'en saisir. Pas assez vite, son adversaire le surveillait du coin de l'œil et réagit à la vitesse d'un serpent, il escamota son bras et frappa avec son autre main. D'où a-t-il sorti cette matraque? Se demanda le sculpteur avant de la recevoir en plein entre les deux yeux.