J'ai la boule au ventre de quand t'es amoureux
Et mon cœur qui bat comme si je sortais du dos d'un taureau
Merde
C'est une sensation qui fait tellement mal
Tu peux pas dire le contraire, me dites pas que c'est beau
Sous prétexte que c'est les prémices du sentiment amoureux
C'est bizarre, et la chaleur ronge le cœur et le fond de l'estomac
Je me répète mais c'est ça
Corps, douleur, cœur, estomac
Encore une fois...
Corps, douleur, cœur et estomac
J'vois ton visage en couleur dans ma tête
Et bon dieu que je hais ça
La sensation s'accentue quand il apparaît, plus forte
Je sens mes mains trembler, elles veulent tellement
Te toucher... Ou un truc qui y ressemble
Te frapper... Te faire mal. Mal comme tu me fais
Mais bien sûr que j'y arriverai pas, j'suis tout ce qui y a de plus fêlé
Et moi je laisse passer aucune lumière
Juste celle de ton visage, ta peau blanche comme la Lune
Là, c'est mes yeux qui bouillent, gonflent et bougent
Et ça pique, et je frotte, les larmes sont déjà là
Et elles coulent, elles, elles font leur vie
Mes larmes font leur vie
Je pleure encore plus
Parce que moi
J'y arrive pas
A faire ma vie et à oublier, j'y arrive pas
Ou je veux pas
Je veux pas, je veux rien oublier
Parce que c'était chouette. Tu te souviens ?
J'étais encore un type fréquentable et un de ceux qui disent
Que cette sensation, celle du début, est belle et apaisante
J'étais encore un rêveur. Mais là, c'est la réalité qui toque
Et j'ouvre, et je vois que ça n'a rien de beau ni d'apaisant
C'est une impasse avant même qu'on tourne
C'est un mur
Un grand mur gris, et qui fait peur
Y a qu'avec le rêve qu'on peut y voir un chemin
Mais dans tous les cas on se le prend en pleine face
Moi je me souviens et toi tu fais comme si t'avais oublié
Alors la sensation revient et me ronge l'intérieur
Et je pleure, et je crie, et j'ai mal
Mal bordel
Mal de l'âme
Et du putain de corps
Et du putain d'esprit
J'ai mal partout
Parce que je te déteste
Mais pas que
Parce que je sais
Que derrière toute cette haine
Germe encore
l'Amour.
Et mon cœur qui bat comme si je sortais du dos d'un taureau
Merde
C'est une sensation qui fait tellement mal
Tu peux pas dire le contraire, me dites pas que c'est beau
Sous prétexte que c'est les prémices du sentiment amoureux
C'est bizarre, et la chaleur ronge le cœur et le fond de l'estomac
Je me répète mais c'est ça
Corps, douleur, cœur, estomac
Encore une fois...
Corps, douleur, cœur et estomac
J'vois ton visage en couleur dans ma tête
Et bon dieu que je hais ça
La sensation s'accentue quand il apparaît, plus forte
Je sens mes mains trembler, elles veulent tellement
Te toucher... Ou un truc qui y ressemble
Te frapper... Te faire mal. Mal comme tu me fais
Mais bien sûr que j'y arriverai pas, j'suis tout ce qui y a de plus fêlé
Et moi je laisse passer aucune lumière
Juste celle de ton visage, ta peau blanche comme la Lune
Là, c'est mes yeux qui bouillent, gonflent et bougent
Et ça pique, et je frotte, les larmes sont déjà là
Et elles coulent, elles, elles font leur vie
Mes larmes font leur vie
Je pleure encore plus
Parce que moi
J'y arrive pas
A faire ma vie et à oublier, j'y arrive pas
Ou je veux pas
Je veux pas, je veux rien oublier
Parce que c'était chouette. Tu te souviens ?
J'étais encore un type fréquentable et un de ceux qui disent
Que cette sensation, celle du début, est belle et apaisante
J'étais encore un rêveur. Mais là, c'est la réalité qui toque
Et j'ouvre, et je vois que ça n'a rien de beau ni d'apaisant
C'est une impasse avant même qu'on tourne
C'est un mur
Un grand mur gris, et qui fait peur
Y a qu'avec le rêve qu'on peut y voir un chemin
Mais dans tous les cas on se le prend en pleine face
Moi je me souviens et toi tu fais comme si t'avais oublié
Alors la sensation revient et me ronge l'intérieur
Et je pleure, et je crie, et j'ai mal
Mal bordel
Mal de l'âme
Et du putain de corps
Et du putain d'esprit
J'ai mal partout
Parce que je te déteste
Mais pas que
Parce que je sais
Que derrière toute cette haine
Germe encore
l'Amour.