La nuit tombe sur les feuillages.
Dans l'ombre naissante des figures bougent, avançant vers un objectif précis. Leurs embarcations dans le village n'ayant pas été repéré le petit escadron s'aventura alors dans les habitations endormis et dans l'obscurité la plus totale, les rares patrouilles de bucherons ne faisant guère attention à ce qui rampait hors de leurs champs de vision. Ils étaient tous prêt et parmi eux des courbes envoutantes se matérialisèrent alors que le reste de la meute se dispersait. Un sourire avec des dents blanches à faire pâlir les marques de dentifrices modernes. Un signe de main de sa part et déjà ils sortaient hors des limitations d'habitations humaines pour s'aventurer dans la jungle et les feuillages. Ils n'étaient pas bien nombreux mais l'espoir et surtout l'envie de gagner de la femme guidait l'escouade.
Pendant ce temps à l'autre bout de l'île un autre groupe faisait son apparition, dont les effectifs étaient à peu près semblable au précédent. Cette fois ci des papiers officiels attestant de leurs 'mission' dans le secteur, visiblement la marine avait dépêché un groupe de ses soldats pour veiller aux divers problèmes dans l'île. Avec l'apparition d'un canard dans les derniers méfaits forcément ça coulait sous la logique. Le chef du groupe un homme charismatique donnait ses instructions à ses soldats. Sans le savoir ils n'étaient pas les premiers à s'enfoncer ainsi dans l'île à la recherche d'un objet inconnu de la populace visiblement pas très doté de matière grise dans le coin. Mais après tout ce n'est pas ce qu'on demandait à des bucherons n'est ce pas? Au contraire du groupe d'inconnus avec la femme, cette fois ci la marine décida de camper sur des positions bien confortables. Le petit et insignifiant chef de la troupe se contenta de penser que si les personnes trouveraient l'objet en question, et bien ma foi ils devraient sortir quelque part. Hors à part quatre villages aucun moyen de s'enfuir sans risque de se voir attraper par le gouvernement et ses fidèles marins. Et en ruminant sa futur victoire, Jean-Claudius, puisque c'était son petit nom, décida avec ses gars de gouter aux charmes locaux. Lui n'était que Sergent et en charge des affaires le temps que le Lieutenant n'arrive. Pour sur qu'il arriverait le Lieutenant c'était quand même un chic type, mais dont le principal défaut était un excès d'humeur. M'enfin si Jean-Claudius était ici c'était visiblement pour de la reconnaissance, et peut être que sur un malentendu ça marcherait. Un malentendu, il maudissait les dieux pour sa position actuel. Si il avait été plus taciturne peut être aurait-il été sous lieutenant ou mieux, colonel! M'enfin pour l'instant il disposait ses gars et les trois caporaux sa disposition dans les différentes villes. Une dizaine d'hommes dans chacune d'entre elles cela suffirait probablement à dissuader les potentiels pirates ou révolutionnaires voulant piquer l'arme tant prisée. Et au pire ils n'avaient qu'à tenir jusqu'à l'arrivée du lieutenant et du reste des renforts. Et en s'allumant une cigarette alors qu'il s'engouffrait dans un bar des locaux Jean-Claudius se mit à rire nerveusement. Tout se passait toujours à merveille avec ses idées de génie.
Sans même prendre le risque de remarquer la petite barque qui se dirigeait avec à son bord une armure dont les actes n'allaient pas foncièrement laisser de marbres les habitants de cette jolie et feuillue île. La boite de conserve était également en lice pour remporter cette épée faisant visiblement partie des concurrents qui allaient lutter pour sa possession. Lorsque sa frêle embarcation accosta sur les côtes la jeune femme dans son armure remarqua la population locale. Visiblement chacun ici misait tout sur la force physique. Comment un préjugé s'est il formé dans l'esprit de la pirate? En remarquant simplement les intonations des abrutis et leurs capacités cognitives lorsqu'ils remarquèrent l'étrange visiteur sur leurs île.
-Mais c'ke c'est qu'se foutoir là! Hé Boris appel de suite un des gars de la marine c'pas humain c'te chose si?
Un imbécile de plus, fort heureusement pour l'armure ses papiers et la raison de sa venu ici était tout à fait valable. Boris de surcroit n'avait jamais été bon dans le domaine de la mémoire aussi lorsqu'il arrêta une escouade de marine en fonction la raison qu'il donna provoqua un fou rire général. Visiblement le problème était une barque pas humaine débarquant sur une boite de conserve. Mais il insista tant, surtout que du haut de ses deux mètres cela donnait quand même un effet inquiétant, que l'escouade se résigna à faire un tour. Le détail fâchant et que le narrateur a omit de signaler c'est le moment de la journée ou ces évènements survinrent. Pour être franc il faisait si noir qu'on voyait pas à dix mètres devant nous. 'Aussi noir que dans le cul d'un Wok' selon les coutumes locales mais passons. Lorsque la brave équipe débarqua conduite par un gueulard tonitruant ils furent plus que désagréablement surpris de trouver le copain de Boris en piteux état pour ne pas dire mort. Le dit bucheron allongé à jamais sur les quais avec la carotide ouverte et des sales blessures partout sur le ventre, sa hache elle reposait à une demi douzaine de mètres planté dans un poteau. Diantre, immédiatement Boris pleura la mort de son fidèle et fière copain tandis que les marins envoyaient un émissaire prévenir le reste des troupes sur l'île à coup de den-den portatifs.
Dans l'ombre naissante des figures bougent, avançant vers un objectif précis. Leurs embarcations dans le village n'ayant pas été repéré le petit escadron s'aventura alors dans les habitations endormis et dans l'obscurité la plus totale, les rares patrouilles de bucherons ne faisant guère attention à ce qui rampait hors de leurs champs de vision. Ils étaient tous prêt et parmi eux des courbes envoutantes se matérialisèrent alors que le reste de la meute se dispersait. Un sourire avec des dents blanches à faire pâlir les marques de dentifrices modernes. Un signe de main de sa part et déjà ils sortaient hors des limitations d'habitations humaines pour s'aventurer dans la jungle et les feuillages. Ils n'étaient pas bien nombreux mais l'espoir et surtout l'envie de gagner de la femme guidait l'escouade.
Pendant ce temps à l'autre bout de l'île un autre groupe faisait son apparition, dont les effectifs étaient à peu près semblable au précédent. Cette fois ci des papiers officiels attestant de leurs 'mission' dans le secteur, visiblement la marine avait dépêché un groupe de ses soldats pour veiller aux divers problèmes dans l'île. Avec l'apparition d'un canard dans les derniers méfaits forcément ça coulait sous la logique. Le chef du groupe un homme charismatique donnait ses instructions à ses soldats. Sans le savoir ils n'étaient pas les premiers à s'enfoncer ainsi dans l'île à la recherche d'un objet inconnu de la populace visiblement pas très doté de matière grise dans le coin. Mais après tout ce n'est pas ce qu'on demandait à des bucherons n'est ce pas? Au contraire du groupe d'inconnus avec la femme, cette fois ci la marine décida de camper sur des positions bien confortables. Le petit et insignifiant chef de la troupe se contenta de penser que si les personnes trouveraient l'objet en question, et bien ma foi ils devraient sortir quelque part. Hors à part quatre villages aucun moyen de s'enfuir sans risque de se voir attraper par le gouvernement et ses fidèles marins. Et en ruminant sa futur victoire, Jean-Claudius, puisque c'était son petit nom, décida avec ses gars de gouter aux charmes locaux. Lui n'était que Sergent et en charge des affaires le temps que le Lieutenant n'arrive. Pour sur qu'il arriverait le Lieutenant c'était quand même un chic type, mais dont le principal défaut était un excès d'humeur. M'enfin si Jean-Claudius était ici c'était visiblement pour de la reconnaissance, et peut être que sur un malentendu ça marcherait. Un malentendu, il maudissait les dieux pour sa position actuel. Si il avait été plus taciturne peut être aurait-il été sous lieutenant ou mieux, colonel! M'enfin pour l'instant il disposait ses gars et les trois caporaux sa disposition dans les différentes villes. Une dizaine d'hommes dans chacune d'entre elles cela suffirait probablement à dissuader les potentiels pirates ou révolutionnaires voulant piquer l'arme tant prisée. Et au pire ils n'avaient qu'à tenir jusqu'à l'arrivée du lieutenant et du reste des renforts. Et en s'allumant une cigarette alors qu'il s'engouffrait dans un bar des locaux Jean-Claudius se mit à rire nerveusement. Tout se passait toujours à merveille avec ses idées de génie.
Sans même prendre le risque de remarquer la petite barque qui se dirigeait avec à son bord une armure dont les actes n'allaient pas foncièrement laisser de marbres les habitants de cette jolie et feuillue île. La boite de conserve était également en lice pour remporter cette épée faisant visiblement partie des concurrents qui allaient lutter pour sa possession. Lorsque sa frêle embarcation accosta sur les côtes la jeune femme dans son armure remarqua la population locale. Visiblement chacun ici misait tout sur la force physique. Comment un préjugé s'est il formé dans l'esprit de la pirate? En remarquant simplement les intonations des abrutis et leurs capacités cognitives lorsqu'ils remarquèrent l'étrange visiteur sur leurs île.
-Mais c'ke c'est qu'se foutoir là! Hé Boris appel de suite un des gars de la marine c'pas humain c'te chose si?
Un imbécile de plus, fort heureusement pour l'armure ses papiers et la raison de sa venu ici était tout à fait valable. Boris de surcroit n'avait jamais été bon dans le domaine de la mémoire aussi lorsqu'il arrêta une escouade de marine en fonction la raison qu'il donna provoqua un fou rire général. Visiblement le problème était une barque pas humaine débarquant sur une boite de conserve. Mais il insista tant, surtout que du haut de ses deux mètres cela donnait quand même un effet inquiétant, que l'escouade se résigna à faire un tour. Le détail fâchant et que le narrateur a omit de signaler c'est le moment de la journée ou ces évènements survinrent. Pour être franc il faisait si noir qu'on voyait pas à dix mètres devant nous. 'Aussi noir que dans le cul d'un Wok' selon les coutumes locales mais passons. Lorsque la brave équipe débarqua conduite par un gueulard tonitruant ils furent plus que désagréablement surpris de trouver le copain de Boris en piteux état pour ne pas dire mort. Le dit bucheron allongé à jamais sur les quais avec la carotide ouverte et des sales blessures partout sur le ventre, sa hache elle reposait à une demi douzaine de mètres planté dans un poteau. Diantre, immédiatement Boris pleura la mort de son fidèle et fière copain tandis que les marins envoyaient un émissaire prévenir le reste des troupes sur l'île à coup de den-den portatifs.
Dernière édition par Izumi le Jeu 5 Mar 2015 - 22:22, édité 1 fois