B'jour,
Une division que ça me plairait bien d'ajouter aux Divisions et équipages célèbres. Les PNJ (lieutenants et sergents et ptet même hommes du rang) devrait arriver bientôt/un d'ces quatres.
Une division que ça me plairait bien d'ajouter aux Divisions et équipages célèbres. Les PNJ (lieutenants et sergents et ptet même hommes du rang) devrait arriver bientôt/un d'ces quatres.
La 20ème Division d’élite
Cela faisait des années que la 20ème Division d’élite était une des divisions les plus réputées de la Marine d’élite et de la Marine en général. En effet, ils avaient la réputation d’être envoyés dans tous les points chauds du monde, ceux qui inquiétaient les autres Marines, sans sourciller. Et au prix d’opérations héroïques (et généralement relativement coûteuses en hommes), ils atteignaient les objectifs atteints voire les dépassaient.
Leur devise viendrait de l’attaque de la Gueule de Requin en 1615. Ils auraient été l’avant-garde puis, quand l’ordre de la retraite avait été donné, auraient couvert le départ de leurs collègues jusqu’au bout, permettant, par leur combat d’arrière-garde, d’assurer la survie du plus grand nombre. C’est depuis cette date que la 20ème a commencé à rimer avec gloire, prestige, et tournées à l’œil pour ses membres.
En 1620, la 20ème est envoyée nettoyer Alvel, repère de forbans et d’esclavagistes. Mais l’accès à l’île est difficile, et quand il s’agit de s’unir contre les mouettes, les pirates parviennent toujours à s’entendre. Le manque de moyens et d’hommes alloués font que la 20ème essuie plusieurs revers jusqu’à perdre son Commandant d’élite, l’emblématique Theodore Lewis.
C’est là que la cassure s’est opérée entre le cadre de la 20ème et le reste du commandement de la Marine d’élite. Persuadés que la mission était soit mal calibrée, ce qui les place sous les ordres d’incapables de l’état-major, soit faite pour les envoyer à la mort, les lieutenants et sergent d’élite de la division se sont divisés en deux camps.
D’un côté, ceux qui veulent accomplir la dernière mission prise en charge par leur Commandant d’élite pour honorer sa mémoire. De l’autre, ceux qui, déçus par l’état-major, attendent vaguement un supérieur hiérarchique digne d’eux. Dans tous les cas, depuis la mort de Lewis, et compte tenu de la réputation de prestige de la division, de nombreux fils à papa et autres pistonnés se sont succédés à sa tête. Tous ont trouvé la mort dans des circonstances tragiques qui n’ont jamais pu incriminer les officiers, bien que les rumeurs aillent bon train. La 20ème est devenue célèbre pour autre chose que ses succès : l’indiscipline de ses hommes et le turnover de son commandement.
Jadis forte de 300 hommes qui représentaient la crème de l’élite, elle n’est plus désormais composée que de 200 Marines ayant tous fait preuve d’indiscipline dans leurs affectations précédentes, et qui sont mutés là en attendant de les envoyer dans une mission à moitié suicidaire accomplie au prix de nombreuses morts.
Leur devise viendrait de l’attaque de la Gueule de Requin en 1615. Ils auraient été l’avant-garde puis, quand l’ordre de la retraite avait été donné, auraient couvert le départ de leurs collègues jusqu’au bout, permettant, par leur combat d’arrière-garde, d’assurer la survie du plus grand nombre. C’est depuis cette date que la 20ème a commencé à rimer avec gloire, prestige, et tournées à l’œil pour ses membres.
En 1620, la 20ème est envoyée nettoyer Alvel, repère de forbans et d’esclavagistes. Mais l’accès à l’île est difficile, et quand il s’agit de s’unir contre les mouettes, les pirates parviennent toujours à s’entendre. Le manque de moyens et d’hommes alloués font que la 20ème essuie plusieurs revers jusqu’à perdre son Commandant d’élite, l’emblématique Theodore Lewis.
C’est là que la cassure s’est opérée entre le cadre de la 20ème et le reste du commandement de la Marine d’élite. Persuadés que la mission était soit mal calibrée, ce qui les place sous les ordres d’incapables de l’état-major, soit faite pour les envoyer à la mort, les lieutenants et sergent d’élite de la division se sont divisés en deux camps.
D’un côté, ceux qui veulent accomplir la dernière mission prise en charge par leur Commandant d’élite pour honorer sa mémoire. De l’autre, ceux qui, déçus par l’état-major, attendent vaguement un supérieur hiérarchique digne d’eux. Dans tous les cas, depuis la mort de Lewis, et compte tenu de la réputation de prestige de la division, de nombreux fils à papa et autres pistonnés se sont succédés à sa tête. Tous ont trouvé la mort dans des circonstances tragiques qui n’ont jamais pu incriminer les officiers, bien que les rumeurs aillent bon train. La 20ème est devenue célèbre pour autre chose que ses succès : l’indiscipline de ses hommes et le turnover de son commandement.
Jadis forte de 300 hommes qui représentaient la crème de l’élite, elle n’est plus désormais composée que de 200 Marines ayant tous fait preuve d’indiscipline dans leurs affectations précédentes, et qui sont mutés là en attendant de les envoyer dans une mission à moitié suicidaire accomplie au prix de nombreuses morts.