Après plusieurs a avoir été coincé au lit, après avoir dû attendre patiemment pour récupérer mes forces, il est grand temps que je sorte enfin. Surtout que j'ai des choses à faire sur Armada. J'y ai pas pensé plus tôt, mais c'est un croisement de pirates qui viennent du monde entier ici. Avec un peu de chance, pas besoin d'aller jusqu'à Skypiea, je vais tenter d'obtenir mes dials ici. Je sais pas ce que c'est, mais on devrait pouvoir m'aider. Faut aussi que j'aille m'excuser auprès de Bob pour tout c'que j'ai dit durant l'combat. Sans oublier d'acheter des provisions pour les voyages à venir. Je dois aussi m'entraîner pour ne pas perdre la main, acquérir le Hasshoken, développer mes techniques, aider Franck avec son fruit du démon … Petit programme en perspective quoi.
Bon, le plus facile et rapide, ce sont les dials. Je quitte le bateau pour m'aventurer seul sur Armada. J'ai changé de vêtements pour éviter qu'on me reconnaisse trop vite. J'ai aucune idée d'où je dois aller, mais j'y vais quand même. Sachant où se trouve l'arène, j'évite cette direction. Me souvenant avoir vu des boutiques près de l'église/cathédrale/truc religieux, j'me dit que c'est ptet pas une mauvaise idée que d'y aller. Alors go. Par contre, c'est grand quand même Armada, faut bien lui r'connaître ça au piaf. Je ne sais pas depuis combien de temps je marche. Ca doit faire une heure. Pourquoi pas deux. Jusque ici, les commerces ne vendent principalement que de la nourriture, des trucs pour améliorer sa maison ... Là, je tilte. Je vais acheter des dials, mais je n'ai aucune idée de quoi ça à l'air. Les types du chantier me l'ont pas dit. Je sais juste que ça souffle de l'air, et que c'est assez puissant pour améliorer la vitesse de mon bateau. Je me retrouve donc comme un con.
Je vais chercher un truc, sans savoir à quoi ça ressemble, sans savoir où le trouver ni combien ça coute. Ca va que j'suis pas à la tête de la révolution, sinon elle aurait coulé dès mon ascension. Bon, on réfléchit. Je dois déjà trouver un endroit qui vend ces dials. J'demande au premier pecnot que j'croise. Il ne sait pas, voilà qui m'arrange bien. Le second m'indique une ruelle bizarre. Je m'y engouffre. Aussitôt, trois types bien baraqués me bloquent le chemin. Pas besoin de me retourner pour savoir qu'il y en a d'autres.
" Donne tout c'que t'as et tu restes en vie.
Vous êtes cons les gars.
C'est toi qu'est con.
Vous lisez jamais les journaux, non ? Parce que si vous les aviez lu, vous sauriez qui je suis.
On s'en fou d'savoir qui t'es. File nous ton fric ou on t'crève ! "
Ils pointent leurs flingues sur moi. J'suis tétanisé dis donc. Je lève mes bras, puis pointe mes doigts vers leurs armes. Ils rigolent, me demandant ce que je vais faire avec deux doigts contre cinq armes à feu. Je tire en plein dans le canon. Enfin, les canons. Avant qu'ils ne puissent percuter, au sens propre comme au figuré, leurs cinq pistolets sont remplis de terre. Mais ils essaient quand même de tirer. La balle, rencontrant la terre dans le canon, explose. Résultat, leurs morceaux de métal aussi. Inutile de dire qu'ils lâchent tous leurs armes en hurlant, la main en sang, bien abîmée. " La première règle de la chasse, toujours être sûr qu'il s'agisse bien d'une proie que l'on chasse. En cas de doute, s'abstenir. " Je sors de la ruelle et reprends ma route, les laissant là. J'ai d'autres chats à fouetter moi. Ils n'ont qu'à pas avoir les yeux plus gros que le ventre. C'est pour ça que je n'aime pas les pirates. Toujours à vouloir profiter des autres. Je hais les gens comme ça. Ceux là auront retenu la leçon au moins.
Bon, le plus facile et rapide, ce sont les dials. Je quitte le bateau pour m'aventurer seul sur Armada. J'ai changé de vêtements pour éviter qu'on me reconnaisse trop vite. J'ai aucune idée d'où je dois aller, mais j'y vais quand même. Sachant où se trouve l'arène, j'évite cette direction. Me souvenant avoir vu des boutiques près de l'église/cathédrale/truc religieux, j'me dit que c'est ptet pas une mauvaise idée que d'y aller. Alors go. Par contre, c'est grand quand même Armada, faut bien lui r'connaître ça au piaf. Je ne sais pas depuis combien de temps je marche. Ca doit faire une heure. Pourquoi pas deux. Jusque ici, les commerces ne vendent principalement que de la nourriture, des trucs pour améliorer sa maison ... Là, je tilte. Je vais acheter des dials, mais je n'ai aucune idée de quoi ça à l'air. Les types du chantier me l'ont pas dit. Je sais juste que ça souffle de l'air, et que c'est assez puissant pour améliorer la vitesse de mon bateau. Je me retrouve donc comme un con.
Je vais chercher un truc, sans savoir à quoi ça ressemble, sans savoir où le trouver ni combien ça coute. Ca va que j'suis pas à la tête de la révolution, sinon elle aurait coulé dès mon ascension. Bon, on réfléchit. Je dois déjà trouver un endroit qui vend ces dials. J'demande au premier pecnot que j'croise. Il ne sait pas, voilà qui m'arrange bien. Le second m'indique une ruelle bizarre. Je m'y engouffre. Aussitôt, trois types bien baraqués me bloquent le chemin. Pas besoin de me retourner pour savoir qu'il y en a d'autres.
" Donne tout c'que t'as et tu restes en vie.
Vous êtes cons les gars.
C'est toi qu'est con.
Vous lisez jamais les journaux, non ? Parce que si vous les aviez lu, vous sauriez qui je suis.
On s'en fou d'savoir qui t'es. File nous ton fric ou on t'crève ! "
Ils pointent leurs flingues sur moi. J'suis tétanisé dis donc. Je lève mes bras, puis pointe mes doigts vers leurs armes. Ils rigolent, me demandant ce que je vais faire avec deux doigts contre cinq armes à feu. Je tire en plein dans le canon. Enfin, les canons. Avant qu'ils ne puissent percuter, au sens propre comme au figuré, leurs cinq pistolets sont remplis de terre. Mais ils essaient quand même de tirer. La balle, rencontrant la terre dans le canon, explose. Résultat, leurs morceaux de métal aussi. Inutile de dire qu'ils lâchent tous leurs armes en hurlant, la main en sang, bien abîmée. " La première règle de la chasse, toujours être sûr qu'il s'agisse bien d'une proie que l'on chasse. En cas de doute, s'abstenir. " Je sors de la ruelle et reprends ma route, les laissant là. J'ai d'autres chats à fouetter moi. Ils n'ont qu'à pas avoir les yeux plus gros que le ventre. C'est pour ça que je n'aime pas les pirates. Toujours à vouloir profiter des autres. Je hais les gens comme ça. Ceux là auront retenu la leçon au moins.