- Où sont-ils ?
- …
- Cherchez-les, ils ne doivent pas être loin !
- Mais…
- Pas de mais ! Retrouvez-moi ces bijoux !
Une dizaine d’hommes fuient la planque du Barbier, mieux vaut pour eux qu’ils exécutent ses ordres aux plus vites. L’homme tend ses muscles, ses tatouages semblent comme animés de vie. Sa mâchoire puissante est tendue, il passe une main sur son crâne chauve. Qui a pu oser le voler ? Lui. Quoi qu’il arrive, ils le paieront. Foi de Barbier.
Le Barbier. Un homme qui surpasse en taille la plupart des gens de deux bonnes têtes. Un homme qui, comme la plupart des gens ici, a réussi à revenir vivant de l’attaque de Goa. Un homme qui non content d’en sortir vivant, en est sorti plus riche. Riche, oui, mais coincé dans une forêt hostile entourée d’autre réfugié. La marine est à l’affut des fuyards. Pas impossible de se tirer d’ici, mais réussir à emmener tous ses trésors avec lui… Surtout que celui-ci grandi de jour en jour, la loi du plus fort étant mise à en œuvre ici.
Les hommes du Barbier arrivent enfin au Grey Terminal. La traversée du mont Corbo n’a pas été simple, mais chacun a dû s’endurcir. Ils se dispersent, des groupes de deux ou trois attirent moins l’attention. Important lorsque la marine traîne un peu partout. Des uniformes bleu et blanc, mais aussi des marines en civil. À croire qu’ils pensent vraiment pouvoir tromper quelqu’un.
Gwnael marche le plus tranquillement du monde. Avoir l’air naturel en toute circonstance est important, pour ce genre de mission encore plus. Arriver sur l’île et se faire passer pour un pique-assiette a été payant. Surtout le fait de devenir l’un des hommes du Barbier. L’homme s’est fait un petit pactole et est l’une des têtes qui se démarquent du lot des survivants, pas seulement littéralement. Son envie de quitter l’île au plus vite commence à être connu de certains cercles privés, avec un peu de chance cela intéresserait la révolution.
Mais pour l’instant, gagner sa confiance est le plus important. Le marine a donc envoyé ses hommes voler une part du butin du pirate, ce qui avait fait très plaisir à Matthias d’ailleurs. Il les a « pris la main dans le sac » et les a bien sûr laissé s’enfuir. Plus qu’à trouver des coupables maintenant.
- …
- Cherchez-les, ils ne doivent pas être loin !
- Mais…
- Pas de mais ! Retrouvez-moi ces bijoux !
Une dizaine d’hommes fuient la planque du Barbier, mieux vaut pour eux qu’ils exécutent ses ordres aux plus vites. L’homme tend ses muscles, ses tatouages semblent comme animés de vie. Sa mâchoire puissante est tendue, il passe une main sur son crâne chauve. Qui a pu oser le voler ? Lui. Quoi qu’il arrive, ils le paieront. Foi de Barbier.
Le Barbier. Un homme qui surpasse en taille la plupart des gens de deux bonnes têtes. Un homme qui, comme la plupart des gens ici, a réussi à revenir vivant de l’attaque de Goa. Un homme qui non content d’en sortir vivant, en est sorti plus riche. Riche, oui, mais coincé dans une forêt hostile entourée d’autre réfugié. La marine est à l’affut des fuyards. Pas impossible de se tirer d’ici, mais réussir à emmener tous ses trésors avec lui… Surtout que celui-ci grandi de jour en jour, la loi du plus fort étant mise à en œuvre ici.
Les hommes du Barbier arrivent enfin au Grey Terminal. La traversée du mont Corbo n’a pas été simple, mais chacun a dû s’endurcir. Ils se dispersent, des groupes de deux ou trois attirent moins l’attention. Important lorsque la marine traîne un peu partout. Des uniformes bleu et blanc, mais aussi des marines en civil. À croire qu’ils pensent vraiment pouvoir tromper quelqu’un.
Gwnael marche le plus tranquillement du monde. Avoir l’air naturel en toute circonstance est important, pour ce genre de mission encore plus. Arriver sur l’île et se faire passer pour un pique-assiette a été payant. Surtout le fait de devenir l’un des hommes du Barbier. L’homme s’est fait un petit pactole et est l’une des têtes qui se démarquent du lot des survivants, pas seulement littéralement. Son envie de quitter l’île au plus vite commence à être connu de certains cercles privés, avec un peu de chance cela intéresserait la révolution.
Mais pour l’instant, gagner sa confiance est le plus important. Le marine a donc envoyé ses hommes voler une part du butin du pirate, ce qui avait fait très plaisir à Matthias d’ailleurs. Il les a « pris la main dans le sac » et les a bien sûr laissé s’enfuir. Plus qu’à trouver des coupables maintenant.
Dernière édition par Gwnael le Mar 17 Mai 2016 - 15:47, édité 1 fois