Alexander Mountbatten
Pseudonyme : La Mort Blanche
Age: 23 ans
Sexe : Homme
Race : Humain
Métier : Aucun
Groupe : Marine
But : Devenir le meilleur sniper du monde et devenir un amiral de la Marine.
Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Aucune.
Équipement : Je voudrais créer ma propre arme : Le Falcon II.
C'est un fusil de précision, ayant 8 balles dans son chargeur. Sa portée maximale découverte est de 2000 mètres. Il y a un viseur comportant un zoom pouvant être réglé entre 1 et 5.
Codes du règlement :
Parrain : Aucun
Ce compte est-il un DC ? : Non
Si oui, quel @ l'a autorisé ? : /
>> Physique
C'est un homme mince, pesant 50 kilos. Il mesure un 1 mètre 76. Il n'a pas de barbe ni de moustache. Ses yeux sont légèrement bridés et il a un air grave. Ses cheveux sont courts et noirs. C'est un excellent coureur et il a une très bonne vue, d'où sa passion pour le tir de précision. Il n'est pas très fort physiquement. Il est également très agile.
Il marche d'un pas élégant et droit. Il a le dos parfaitement droit, dû à son éducation. Il parle de manière lente et réfléchie. Il a une grosse cicatrice sur l'oeil droit. Il a adopté une moustache raffinée et il a des cheveux courts.
Sa cicatrice est dû à un combat avec son meilleur ami, Reamory.
Il a un regard perçant mais très calme. Cela inspire la crainte de ses ennemis. Cependant, avec ses alliés, il a un regard plus ou moins neutre, n'étant pas très apte à exprimer sa joie, sauf grâce à un léger sourire qu'il peut esquisser de temps en temps.
Son nez est petit et discret et ses oreilles son visibles.
En tenue de civil il porte habituellement un costard blanc et un pantalon en toile blanc. Sa tenue militaire est une simple chemise avec une cravate. Bien sûr, si jamais on lui demande de changer sa tenue, il le fera. Si il atteint son deuxième rêve (devenir amiral), il mettra le costume d'amiral par dessus sa chemise.
Il n'a pas une musculature imposante, cependant il est capable de se défendre car il a pratiqué un entrainement intensif d'art martial, le Shobunoka, un art martial se pratiquant sans armes. Il sait cependant manier une épée.
>> Psychologie
Il est ambitieux, patient, sérieux, stratège, raffiné et il a un moral d'acier. Il a une foi sans égale pour la marine et il méprise les pirates non civilisés. En revanche, il peut sympathiser avec n'importe quelle personne, du moment qu'elle est distinguée. C'est un combattant solitaire, mais qui ne se montre pas dédaigneux ou méchant envers ses alliés.
Il préfère capturer vivants ses adversaires afin de les livrer à la justice, du moins tant qu'il en a la possibilité. Il voit le monde comme une chose merveilleuse, qu'il se doit de protéger, lui et sa population. Mais il ne supporte pas de voir ce monde être ravagé par la guerre. Son objectif ultime est donc une paix totale, mais il n'est pas idéaliste : il sait très bien qu'il faudra livrer une guerre sans merci avant d'y arriver.
C'est un homme juste, intelligent et réfléchi. Nous ne pouvons donc pas dire si c'est un homme bon ou mauvais, il peut prendre des décisions bonnes ou mauvaises car elle sont toujours juste. Par exemple, si on lui demande de gracier un prisonnier qui a seulement volé un bout de pain, il le fera. Mais si on lui demande d'épargner des pirates qui ont étés ses alliés de circonstance, il ne le fera pas.
Il adore spécialement les pâtisseries ainsi que la viande de poisson. Ses endroits préférés sont les bases de la Marine, car il s'y sent en totale sécurité et il voit la représentation terrienne de la justice.
>> Biographie
Alexander Mountbatten est né il y a 23 ans sur l'île de Marie-Joie. C'est un descendant de la famille de noble Mountbatten qui habite à Marie-Joie. Cette famille de noble a vu la majorité de ses fils aller dans le gouvernement mondial, plus précisément dans l'administration. Certains cependant, comme Alexander, sont aller dans la Marine.
--Enfance--
Il a donc eu une enfance aisée sur cette île remplie de noble. Le calme et la sécurité y régnant, lui et ses deux frères voulurent avoir des frissons. C'est pour cette raison qu'ils partirent dans une forêt située à quelques kilomètres du domaine familial. C'est là-bas qu'ils chassaient. De cette manière, Alexander développa ses qualités de tireur d'élite. Son frère aîné préférait chasser avec des couteaux de lancer, et son frère cadet préférait établir des pièges. Ils formait un trio très solides, une fratrie très soudée.
Ils savaient donc se battre, et même très bien. C'est pour cette raison que pour l'anniversaire d'Alexander, ses frères et leurs nounou se cotisèrent pour lui acheter le Falcon, un fusil de précision produit par l'île industrielle de la Ruche. Plus tard, il fera évoluer ce fusil afin de pouvoir l'utiliser en combat réel et afin d'augmenter largement ses capacités combattantes. Le Falcon amélioré s'appelle le Falcon II, l'arme qu'il utilise à présent.
Sa famille était donc composée de ses deux frères et de sa mère, son père travaillant pour en tant que conseiller du juge à Enies Lobby. Son père, il ne le voyait pas souvent car il passait la majorité de son temps à Enies Lobby. Sa mère quant à elle était la secrétaire du Conseil des Cinq Etoiles. De ce fait, lui et ses frères ne voyait pas souvent leurs parents. Ce fut leur nounou qui les éleva comme si ils étaient tous ses fils. Ils aimaient autant leur nounou et leurs parents.
Leur nounou s’appelait Eve, comme le fameux arbre sacré. Elle quitta sa mère et parti donc à Marie-Joie et devins, malgré ce qu'elle aurait voulu faire, nounou de la fratrie.
--De 16 à 18 ans--
A 16 ans, son frère aîné partir du nid familial car il avait deux ans de plus de Alexander. Le benjamin avait deux ans de moins que lui. Lorsque son frère aîné partit, les parents des trois frères renvoyèrent Eve, ce qui déstabilisa l'équilibre émotionnel d'Alexander et de son frère.
Il continua à étudier à l'école et à s'entraîner au fusil de précision.
--De 18 à 23 ans--
Il dut donc intégrer une école supérieur. Il choisit donc l'Ecole supérieure de la Marine, où on enseignait tout les savoirs de la Marine.
Le benjamin quant à lui intégra l'Ecole du Génie de la Marine à 18 ans.
Dans cette école il se fit de nombreux amis comme Reamory. Ce dernier devint un Contre-amiral. Ils finirent premier et deuxième de leurs promotions, de cette manière ils ont reçu une lettre de recommandation pour intégrer un régiment spécial de leurs choix.
Cependant, après la fin de sa scolarisation, Reamory et lui eurent une terrible dispute, dont le sujet était purement compétitif : Qui est le plus fort. Reamory affirmait que c'était lui car il avait fini premier de la promotion. Mais Alexander voulais prouver que c'était lui le plus fort. S'en suivit un terrible combat, qui dura 4 heures. Alexander avec son fusil, Reamory avec son sabre. Alexander tenait à distance Reamory, mais il arriva à sa hauteur une fois. Cette fois là, il lui a fait perdre un oeil. Ils durent cesser le combat pour cette raison. Il partit donc dans un hôpital, où l'on lui greffa un prototype d'oeil "parfait". Il l'a toujours, mais il n'a pas pardonner à Reamory.
Lors des entraînements au combat, il était tellement fort avec son fusil de précision qu'on lui donna le surnom de "Mort Blanche", à cause de ses vêtements de civil ; de plus cette couleur est majoritaire sur les vêtements de la Marine.
Cependant, ses parents n'étaient pas satisfait de son parcours scolaires. Ils lui demandèrent donc d'intégrer l'Ecole Gouvernementale. Après 3 ans d'ennui total, il finit par en avoir marre et se détacha de ses parents. Il eut une violente dispute avec eux, et cela se finit par une exclusion de la maison d'Alexander. Cela attrista terriblement Alexander car il aimait ses parents et en plus, son père lui avait clairement dit qu'il ne recevrai plus d'argent de leurs parts. Il devait à présent se débrouiller seul.
Après avoir étudier pendant 2 ans dans l'Ecole supérieure de la Marine et 3 ans dans l'Ecole Gouvernementale, une école où l'on étudie le fonctionnement du monde pour pouvoir mieux le diriger, Alexander décida pour de bon de s'engager dans la Marine, et le voici à présent.
>> Test RP
Thème :
Reberro et moi sommes à la tête du navire. Derrière nous, quinze marins. Nous nous détestons, mais le contre-amiral nous a dit de bien nous comporter devant nos hommes. Très bien, on joue le jeu devant eux, mais on se regarde de manière hostile. Cette mascarade dura tout le trajet, jusqu'à notre débarquement dans une petite crique, à un kilomètre du village ravagé par les pirates Moukou, dirigés par le capitaine Platas.
Reberro est un homme grand et musclé ; c'est une vrai brute qui n'a pas d'éducation. Son seul atout est sa montagne de muscle. Il combat avec un poing américain et il n'a aucune pitié. Il dit toujours une phrase "Personne ne m'arrêtera". Il entends par là que personne ne l’arrêtera dans son ascension dans la Marine ainsi qu'en combat.
On débarque dans le silence le plus total. Un simple choc entre deux épées alerterai un pirate ; il doit surement avoir une sentinelle pas très loin. Nous prenons une route secondaire qui mène au village. Aucun bruit. Nous arrivons à hauteur de la première maison et déjà nous voyons une femme en pleur au dessus de ce qui semble être un cadavre d'homme, probablement son mari. Moi et Reberro l'interrogeons sur la raison de sa tristesse. Elle nous réponds que son mari a été tué par un pirate, sûrement un membre de l'équipage Moukou. Sa réponse est bien entendu accompagné d'une cascade de larme, ce qui est largement compréhensible.
Mais notre petit interrogatoire est rapidement interrompu par des tirs de fusil. Je braque mon arme vers le village, et je vois une bande de sept pirates. Je ne m'attarde pas ; les pirates sont des hors-la-loi à éliminer ou à capturer. Je préfère les capturer, alors je tire une rafale de balles qui atteignent toutes leurs cibles aux jambes. Deux pirates arrivent cependant à se cacher et Reberro ne tarde pas à charger vers la maison en ruine où ils se trouvent. La maison étant petite, il les trouva facilement et les frappa avec une violence insoutenable.
Nos hommes se précipitent pour capturer les pirates atteints par mes balles. Ils les menottent et trois de nos quinze hommes se chargent de les emmener et de les garder sur le navire. Et cinq pirates livrés à la justice! Un sentiment de fierté m'envahit. Ma première prise en mission! Le même sentiment envahit Reberro (on peut le lire sur ses yeux), sauf que lui c'est d'avoir tué deux pirates.
Mais bon, peut importe, ils sont hors de combat. Le problème est que mes cinq tirs ont dû être entendu par les autres pirates. On continue notre progression malgré tout, avec vigilance. Deux minutes après, nous nous engageons dans une rue perpendiculaire à la route principale. Nous entendons des bruits, mais nous ne voyons personne. Nous redoublons de vigilance. La rue est entouré de haut immeuble, ce qui me semble plutôt bizarre. Je saute à la fenêtre du premier étage d'un immeuble ; grâce à cela je suis en hauteur et j'ai une vue dégagée sur la suite de la rue. Je sens que quelque chose cloche. Mon arme prête, j'épie chaque endroit visible.
Tout à coup, des pirates sautent de chaque immeuble! Ils sont à vue d’œil une cinquantaine, voir plus ; impossible à estimer. Je ne sais qu'une chose, ils sont largement plus nombreux. Ma surprise dure quelques secondes, mon calme revenu, je tire des balles précises avec une cadence de tir très haute. Et très rapidement, Reberro m'imite, cette fois-ci en frappant ses ennemis. Un combat sans pitié et acharné se mène à présent. Il sera bref mais d'une violence inouï et, au bout d'une dizaine de minutes, il ne restait aucun soldat opérationnel, sauf Reberro et moi. Malgré le combat vaillant que les soldats ont menés, il reste encore une vingtaine de pirates.
Je me trouve à peu près à vingt-cinq mètre de Reberro, lui étant au corps à corps, et moi à distance pour mettre à profit mes talents de tireur d'élite. Ces quelques minutes m'ont paru très longue car je ne faisait que tirer. Mais au bout de ces quelques minutes, notre effort fut payant et tous les pirates furent hors de combat.
On se regarde et on se fait même un sourire. Nous sommes à présent des frères d'armes, même si notre hostilité mutuelle reste présente. Je descend de l'étage où je m'étais établi et je m'assois par terre et il fait de même. Nous sommes en train de suer et nous sommes pour le moins choqué. C'était notre baptême du feu.
Mais au bout de quelques minutes de repos, nous sommes interrompu par un bruit de pas qui vient dans notre direction. Il y a un léger brouillard, je n'arrive pas à savoir qui est-ce. Mais il marche vers nous et je commence à le distinguer. C'est un homme musclé, grand et fort. Il porte une casquette sur laquelle il se trouve le drapeau des pirates Moukou, c'est sûrement le capitaine. Malheureusement, j'ai un problème ; il a un bouclier qui couvre tout son corps qui est fabriqué à coup sûr en granit marin. C'est logique étant donné que le surnom de ce capitaine valant 15.000.000 berrys est le "Bouclier implacable".
Je tire, mais il annule mes efforts grâce à son bouclier. Je comprends rapidement qu'il faut lui enlever son bouclier. Je transmet cette information à Reberro et je fonce derrière lui avec une épée ramassée sur le champ de bataille.
Reberro chargea et frappa en premier de manière assez violent. Malgré cette violence, le capitaine des pirates ne reçu rien grâce à son bouclier. Je fonce sur lui et le frappe également. Inutile, ce bouclier est bien trop résistant. On essaye bien de le frapper, mais on ne lui assène aucun coup. Mais il ne tarde pas à répondre à l'aide de son épée. On l'esquive bien, mais je sens que ça ne va pas être tenable si l'on continue à se battre de cette manière. On ne peut pas le prendre en tenaille car il manie rapidement son épée, un seul moment d'inattention et il nous blesse.
Malheureusement, Reberro n'a pas autant réfléchi. Il bondit vers sa gauche et à ce moment précis, le pirate dévie sa lame sur Reberro. Ce sera fatal.
Il tombe sur le sol et gis là où il se trouve. Malgré notre hostilité, je vers une larme pour lui, il s'est bien battu. Mais ce n'est pas le moment de jouer les sentimentaux. J'essaie de le toucher mais je n'y arrive pas. Je pense que je dois changer de technique, mais je ne sais pas laquelle. Et là, je vois un lance-roquette vingt mètres plus loin. Je cours tandis qu'il essaie de me rattraper mais il est beaucoup plus lent que moi en raison de son bouclier.
Finalement, il voit le lance-roquette et prends peur. Il lâche son bouclier et fonce sur moi avec son épée. Quelle erreur. Je prends mon fusil de mon dos et lui tire deux balles dans les deux jambes. Je marche vers lui et je le débarrasse de son arme. Une fois menoté, je le ramène au navire. Je lance un coup d'oeil abattu aux trois marins présents, ils comprennent tout de suite.
Malgré de nombreuses pertes, la Marine a réussi à rétablir la justice et l'ordre dans ce petit village. Une fois rentré au G-4, je fais mon rapport au contre-amiral. Sur quinze hommes, sept ont survécu ( après la bataille, un autre navire est venu récupérer les blessés et capturer les pirates toujours vivants ) et quarante-deux pirates sont soit morts, soit capturés.
Le contre-amiral, malgré les pertes de la Marine, m'a quand même félicité et m'a accordé une promotion. Je suis si content!
_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _________Te voilà Marine, affecté en tant que marin sur South Blue dans la base G-4. Tu te débrouille plutôt bien seulement...un autre marin, un de tes collègues nommé Reberro, a exactement le même bilan de compétences que toi. Un seul montera en grade. Une chance qu'un navire Pirate se décide d'attaquer un petit village situé sur une île très proche de vous. Toi et ton collègues êtes envoyés pour calmer le jeu, en compagnie d'autres hommes sur un navire. Narre nous comment tu arrives à te démarquer et avoir la promotion.
Reberro et moi sommes à la tête du navire. Derrière nous, quinze marins. Nous nous détestons, mais le contre-amiral nous a dit de bien nous comporter devant nos hommes. Très bien, on joue le jeu devant eux, mais on se regarde de manière hostile. Cette mascarade dura tout le trajet, jusqu'à notre débarquement dans une petite crique, à un kilomètre du village ravagé par les pirates Moukou, dirigés par le capitaine Platas.
Reberro est un homme grand et musclé ; c'est une vrai brute qui n'a pas d'éducation. Son seul atout est sa montagne de muscle. Il combat avec un poing américain et il n'a aucune pitié. Il dit toujours une phrase "Personne ne m'arrêtera". Il entends par là que personne ne l’arrêtera dans son ascension dans la Marine ainsi qu'en combat.
On débarque dans le silence le plus total. Un simple choc entre deux épées alerterai un pirate ; il doit surement avoir une sentinelle pas très loin. Nous prenons une route secondaire qui mène au village. Aucun bruit. Nous arrivons à hauteur de la première maison et déjà nous voyons une femme en pleur au dessus de ce qui semble être un cadavre d'homme, probablement son mari. Moi et Reberro l'interrogeons sur la raison de sa tristesse. Elle nous réponds que son mari a été tué par un pirate, sûrement un membre de l'équipage Moukou. Sa réponse est bien entendu accompagné d'une cascade de larme, ce qui est largement compréhensible.
Mais notre petit interrogatoire est rapidement interrompu par des tirs de fusil. Je braque mon arme vers le village, et je vois une bande de sept pirates. Je ne m'attarde pas ; les pirates sont des hors-la-loi à éliminer ou à capturer. Je préfère les capturer, alors je tire une rafale de balles qui atteignent toutes leurs cibles aux jambes. Deux pirates arrivent cependant à se cacher et Reberro ne tarde pas à charger vers la maison en ruine où ils se trouvent. La maison étant petite, il les trouva facilement et les frappa avec une violence insoutenable.
Nos hommes se précipitent pour capturer les pirates atteints par mes balles. Ils les menottent et trois de nos quinze hommes se chargent de les emmener et de les garder sur le navire. Et cinq pirates livrés à la justice! Un sentiment de fierté m'envahit. Ma première prise en mission! Le même sentiment envahit Reberro (on peut le lire sur ses yeux), sauf que lui c'est d'avoir tué deux pirates.
Mais bon, peut importe, ils sont hors de combat. Le problème est que mes cinq tirs ont dû être entendu par les autres pirates. On continue notre progression malgré tout, avec vigilance. Deux minutes après, nous nous engageons dans une rue perpendiculaire à la route principale. Nous entendons des bruits, mais nous ne voyons personne. Nous redoublons de vigilance. La rue est entouré de haut immeuble, ce qui me semble plutôt bizarre. Je saute à la fenêtre du premier étage d'un immeuble ; grâce à cela je suis en hauteur et j'ai une vue dégagée sur la suite de la rue. Je sens que quelque chose cloche. Mon arme prête, j'épie chaque endroit visible.
Tout à coup, des pirates sautent de chaque immeuble! Ils sont à vue d’œil une cinquantaine, voir plus ; impossible à estimer. Je ne sais qu'une chose, ils sont largement plus nombreux. Ma surprise dure quelques secondes, mon calme revenu, je tire des balles précises avec une cadence de tir très haute. Et très rapidement, Reberro m'imite, cette fois-ci en frappant ses ennemis. Un combat sans pitié et acharné se mène à présent. Il sera bref mais d'une violence inouï et, au bout d'une dizaine de minutes, il ne restait aucun soldat opérationnel, sauf Reberro et moi. Malgré le combat vaillant que les soldats ont menés, il reste encore une vingtaine de pirates.
Je me trouve à peu près à vingt-cinq mètre de Reberro, lui étant au corps à corps, et moi à distance pour mettre à profit mes talents de tireur d'élite. Ces quelques minutes m'ont paru très longue car je ne faisait que tirer. Mais au bout de ces quelques minutes, notre effort fut payant et tous les pirates furent hors de combat.
On se regarde et on se fait même un sourire. Nous sommes à présent des frères d'armes, même si notre hostilité mutuelle reste présente. Je descend de l'étage où je m'étais établi et je m'assois par terre et il fait de même. Nous sommes en train de suer et nous sommes pour le moins choqué. C'était notre baptême du feu.
Mais au bout de quelques minutes de repos, nous sommes interrompu par un bruit de pas qui vient dans notre direction. Il y a un léger brouillard, je n'arrive pas à savoir qui est-ce. Mais il marche vers nous et je commence à le distinguer. C'est un homme musclé, grand et fort. Il porte une casquette sur laquelle il se trouve le drapeau des pirates Moukou, c'est sûrement le capitaine. Malheureusement, j'ai un problème ; il a un bouclier qui couvre tout son corps qui est fabriqué à coup sûr en granit marin. C'est logique étant donné que le surnom de ce capitaine valant 15.000.000 berrys est le "Bouclier implacable".
Je tire, mais il annule mes efforts grâce à son bouclier. Je comprends rapidement qu'il faut lui enlever son bouclier. Je transmet cette information à Reberro et je fonce derrière lui avec une épée ramassée sur le champ de bataille.
Reberro chargea et frappa en premier de manière assez violent. Malgré cette violence, le capitaine des pirates ne reçu rien grâce à son bouclier. Je fonce sur lui et le frappe également. Inutile, ce bouclier est bien trop résistant. On essaye bien de le frapper, mais on ne lui assène aucun coup. Mais il ne tarde pas à répondre à l'aide de son épée. On l'esquive bien, mais je sens que ça ne va pas être tenable si l'on continue à se battre de cette manière. On ne peut pas le prendre en tenaille car il manie rapidement son épée, un seul moment d'inattention et il nous blesse.
Malheureusement, Reberro n'a pas autant réfléchi. Il bondit vers sa gauche et à ce moment précis, le pirate dévie sa lame sur Reberro. Ce sera fatal.
Il tombe sur le sol et gis là où il se trouve. Malgré notre hostilité, je vers une larme pour lui, il s'est bien battu. Mais ce n'est pas le moment de jouer les sentimentaux. J'essaie de le toucher mais je n'y arrive pas. Je pense que je dois changer de technique, mais je ne sais pas laquelle. Et là, je vois un lance-roquette vingt mètres plus loin. Je cours tandis qu'il essaie de me rattraper mais il est beaucoup plus lent que moi en raison de son bouclier.
Finalement, il voit le lance-roquette et prends peur. Il lâche son bouclier et fonce sur moi avec son épée. Quelle erreur. Je prends mon fusil de mon dos et lui tire deux balles dans les deux jambes. Je marche vers lui et je le débarrasse de son arme. Une fois menoté, je le ramène au navire. Je lance un coup d'oeil abattu aux trois marins présents, ils comprennent tout de suite.
Malgré de nombreuses pertes, la Marine a réussi à rétablir la justice et l'ordre dans ce petit village. Une fois rentré au G-4, je fais mon rapport au contre-amiral. Sur quinze hommes, sept ont survécu ( après la bataille, un autre navire est venu récupérer les blessés et capturer les pirates toujours vivants ) et quarante-deux pirates sont soit morts, soit capturés.
Le contre-amiral, malgré les pertes de la Marine, m'a quand même félicité et m'a accordé une promotion. Je suis si content!
Informations IRL
Prénom : Age :13 ans
Aime :
N'aime pas :
Personnage préféré de One Piece :
Caractère :
Fait du RP depuis :
Disponibilité approximative :
Comment avez-vous connu le forum ?
Dernière édition par Mountbatten le Mer 17 Fév 2021 - 3:11, édité 16 fois