Caporal Charles Watson...
Je fermais les yeux et je priais pour que cet homme qui était dans mes bras puisse avoir une chance de survivre, moindre soit elle. Je ne connaissais pas le passé de ce marin, mais j'étais sur d'une chose...Il était différent de ceux avec qui je travaillais sur cette île. Ses compagnons aussi avaient un caractère, une rage en eux que je n'avais jamais vu auparavant. Serait-ce l'équipage qui nous délivrera du mal ? Peu importe...
Cette douce brise qui m'effleurait, qui s'étendait vers les collines où la verdure régnait me rappelait la fraicheur que pouvait nous apporter dame nature. Une bonté venant du ciel en cette terre infernal.
Je courais sur cette plage m'approchant des marines qui venaient de toucher terre...Ils étaient si rapide ! Leurs barques étaient doté de réacteurs à vent...Des dials ! J'en avais pas vu depuis mon escapade sur une île céleste.
Caporal Charles Watson...Cet homme a besoin de soins urgents, c'est un colonel de la marine qui a besoin qu'on le sauve des griffes de la mort.
Rompez Caporal, nous allons nous occupez de cet officier.
Je demande la permission de monter à bord.
Refusé ! l'OSS est un bateau scientifique hautement sécurisé, vous n'avez pas les accréditations nécessaire pour y accéder.
Lieutenant de la brigade scientifique...Yamato Kaneuji
Je m'allongeais sur la barque ordonnant à mes hommes de mettre le paquet sur la vitesse. Direction le navire ! Je m'étais recouvert d'une couverture rouge parce que j'étais un homme très sensible à la moindre brise, et je tombais calmement dans le doux pays des songes...
Je revoyais cette chambre que je détestais tant et des images me hantaient de souvenirs encombrants, je n'entendais plus que des cris, ces visages qui m'imploraient de les sauver et je me cachais, j'étais immobilisé par la peur...je m'abritais sous des poutres en bois. J'étais la grande honte de la marine, je n'avais pas pu les sauver ! Je ne pouvais pas bouger le moindre petit doigt...
La bataille s'était terminé par des explosions...Puis le silence reprit le dessus...Sous les décombres, j'essayais de sortir les corps peut être encore en vie...
Sortant de cette pièce, j'entendais des chants bien obscurs semblable à des lamentations qui s'alliaient au flux du vent, et s'étendaient sur des tombes qui m'entouraient...je revoyais mes semblables mort !
Haaaaa Houuuu ! Encore ce maudit cauchemars ! On était arrivé, on nous hissait jusqu'au pont. Mes subordonnés emmenèrent l'homme inanimé en salle de chirurgie. Tandis que je fis mon rapport à ma supérieur, Commandant Akina Mikazuki...
C'était une grande sensible...Elle essuyait la dernière larme qui glissait le long de sa joue. Puis elle me souriait sereinement en me disant qu'elle avait juste une poussière dans l'œil et que ce n'était rien...Je parierais sur ma vie qu'elle avait encore lu le fabuleux destin d'Olivia Poulain. J'étais perplexe face à son imprévisibilité, on avait du mal à la cerner. C'était une femme de caractère, une femme fragile mais qui commandait ses hommes avec fermeté et appuie.
Elle fermait les yeux, se jurant de ne plus les rouvrir, ses paupières la démangeait et son sourire se perdait. Il se transformait en grimace, d’autres larmes jaillissaient et moi qui croyait qu'elle en avait fini avec cette tristesse infini...J'étais effrayé de voir qu'elle ne trouvait plus la force de réfléchir. elle n’avait qu’une obsession, réussir...
Les larmes l’obligeaient à rouvrir les yeux, C'était comme si elle regardait le monde comme pour la première fois, tout était flou, elle n'y voyait plus rien...Elle me demandait la couleur du ciel...Je lui répondis bleu, puis elle ria aux éclats avant de me coller son poing sur la tête.
Elle se tenait sur la rampe à tribord , elle n'arrivait plus à tenir debout, je me demandais bien qu'est ce qu’elle avait ? Elle qui avait la plus grande des convictions, que lui arrivait-elle? Qu’est ce qui la torturait tant en son esprit? c’était pourtant simple, elle n’avait qu’à se relâcher...Si seulement je pouvais l'aider...Je l'aime tellement...Si seulement, elle connaissait mes sentiments, peut être que...NON ! *Peine de coeur*...
Commandante Akina Mikazuki...
Mais que diable faisait-il ! Que lui arrivait il? Pourquoi n'essayait il pas de me consoler, de me parler...
Je ne pouvait continuer ainsi? La seule chose qui lui restait à faire était de me le dire. Une terrible contradiction se mit à lui torturer l’esprit, son estomac se noua, sa gorge se resserrait, aimer ou ne pas aimer, était la question...J'étais sur de ses sentiments, mais lui ne connaissait pas les miens...J'étais son supérieur et je devais me comporter comme tel.
Doucement, il reculait, ne sentant plus l'envie de me parler... Il se retournait pour aller suivre ses hommes qui avait emmené le blessé...Mon coeur battait de plus en plus fort...Je ne voulais réussir à tout prix, mais ce sentiment m'emparant était bien plus fort. A l'abris des regards, je l'attrapa par la main et le tira vers une porte. Nous étions enfermés dans la salle annexe des commandes, je me serrais contre lui...Ma respiration s'accentuait.
Médecin Chirurgien de la brigade scientifique, Colonel Fukuo Asazaki...En salle de chirurgie...
Matelot première classe Oshiro Baka...Allez donc me cherchez les fiches des officiers qui ont récemment entrer sur Grand Line !
Alors nous avons là, le colonel Hiro Shima...Installez le patient sur la table d'opération Sergent chef ! Infirmière qu'on lui place l'intraveineuse...2mg de composants parasympathique. Anesthésie à 70 %...Passez moi les gants je vous prie. Rythme cardiaque...0 Battements par minutes...Chances de survies à 0 % ! Le taux d'oxygène est très faible...Pompe à Air et vite ! Son état est critique, il lui faudra un nouveau pacemaker dans le meilleur des cas. Continuez à surveillez le taux par l'oxymètre de pouls.
Scalpel ! Commencez à intubez le patient, je vais voir ce qui cloche dans son organe...
Quelques instants plus tard...Le front en sueur...
C'est ce que je pensais....Les nœuds sinusaux sont en piteux états...Mettez moi en relation visiophonique avec le Dr Vegapunk et appelez moi le surveillant gouvernemental de ce brave Colonel. Cette opération nécessitera l'accord du gouvernement mondial...Je n'userais pas de mon temps pour un vulgaire colonel de pacotille.
Ici Marshal Law...Représentant et porte parole du Gouvernement Mondial...Le colonel Hiro Shima doit impérativement survivre...Il était sur une mission capitale, celle ci donné à Orange Town. Des criminels avaient l'intention de commanditer l'assassinat de l'amiral en chef, il devait s'assurer que cela n'arriverait pas. Sans lui, nous auront une partie manquante du puzzle ce qui signifie...Plus de risque !
Je vous ordonne l'application du projet 69 ! Si cet homme qui a été entrainé par nos meilleurs agents meurt sur votre bateau, je peux vous assurez, que vous allez le suivre tous autant que vous êtes !
Avec tout mon respect, le projet 69 comporte un risque majeur, ceci mérite l'intervention même du Dr Vegapunk...Seul lui peut amener à bien cette opération. Si je m'y confronte, les séquelles risque d'être plus graves.
Je suis vos conseils Dr Vegapunk même si j'aurais préférer vous voir à mes cotés réellement...Mettez en place les différents instruments ! Commencez à déclencher les mécanismes de la L-930 Déka ! N'ayez pas peur de son bruit strident, c'est tout à fait normal. Passez moi le tuyau 13...Voilà ! Je l'ai placé délicatement dans l'artère radiale...La pression artérielle est toujours à zéro...Vous voulez que j'emploie le produit B42 spécifiquement préparer par vos soins ?
Matelot ! Amenez moi le produit B42 qui se trouve dans l'autre salle d'urgence...Fantastique, son coeur commence à rebattre légèrement...Ok Dr Vegapunk...Placez une perfusion sur une veine de gros calibre...Non pas la jugulaire interne, c'est préférable de la mettre sur la veine sous clavière. Placez maintenant la sonde gastrique de manière à pomper toutes les sécrétions produites par l'estomac lors de l'intervention afin d'éviter que cela ne passe par les poumons. Introduisez maintenant la sonde de swan ganz sur une veine centrale...Nous sommes prêt Docteur.
Je fermais les yeux et je priais pour que cet homme qui était dans mes bras puisse avoir une chance de survivre, moindre soit elle. Je ne connaissais pas le passé de ce marin, mais j'étais sur d'une chose...Il était différent de ceux avec qui je travaillais sur cette île. Ses compagnons aussi avaient un caractère, une rage en eux que je n'avais jamais vu auparavant. Serait-ce l'équipage qui nous délivrera du mal ? Peu importe...
Cette douce brise qui m'effleurait, qui s'étendait vers les collines où la verdure régnait me rappelait la fraicheur que pouvait nous apporter dame nature. Une bonté venant du ciel en cette terre infernal.
Je courais sur cette plage m'approchant des marines qui venaient de toucher terre...Ils étaient si rapide ! Leurs barques étaient doté de réacteurs à vent...Des dials ! J'en avais pas vu depuis mon escapade sur une île céleste.
Caporal Charles Watson...Cet homme a besoin de soins urgents, c'est un colonel de la marine qui a besoin qu'on le sauve des griffes de la mort.
Rompez Caporal, nous allons nous occupez de cet officier.
Je demande la permission de monter à bord.
Refusé ! l'OSS est un bateau scientifique hautement sécurisé, vous n'avez pas les accréditations nécessaire pour y accéder.
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Lieutenant de la brigade scientifique...Yamato Kaneuji
Je m'allongeais sur la barque ordonnant à mes hommes de mettre le paquet sur la vitesse. Direction le navire ! Je m'étais recouvert d'une couverture rouge parce que j'étais un homme très sensible à la moindre brise, et je tombais calmement dans le doux pays des songes...
Je revoyais cette chambre que je détestais tant et des images me hantaient de souvenirs encombrants, je n'entendais plus que des cris, ces visages qui m'imploraient de les sauver et je me cachais, j'étais immobilisé par la peur...je m'abritais sous des poutres en bois. J'étais la grande honte de la marine, je n'avais pas pu les sauver ! Je ne pouvais pas bouger le moindre petit doigt...
La bataille s'était terminé par des explosions...Puis le silence reprit le dessus...Sous les décombres, j'essayais de sortir les corps peut être encore en vie...
Sortant de cette pièce, j'entendais des chants bien obscurs semblable à des lamentations qui s'alliaient au flux du vent, et s'étendaient sur des tombes qui m'entouraient...je revoyais mes semblables mort !
Lieutenant !
Haaaaa Houuuu ! Encore ce maudit cauchemars ! On était arrivé, on nous hissait jusqu'au pont. Mes subordonnés emmenèrent l'homme inanimé en salle de chirurgie. Tandis que je fis mon rapport à ma supérieur, Commandant Akina Mikazuki...
C'était une grande sensible...Elle essuyait la dernière larme qui glissait le long de sa joue. Puis elle me souriait sereinement en me disant qu'elle avait juste une poussière dans l'œil et que ce n'était rien...Je parierais sur ma vie qu'elle avait encore lu le fabuleux destin d'Olivia Poulain. J'étais perplexe face à son imprévisibilité, on avait du mal à la cerner. C'était une femme de caractère, une femme fragile mais qui commandait ses hommes avec fermeté et appuie.
Elle fermait les yeux, se jurant de ne plus les rouvrir, ses paupières la démangeait et son sourire se perdait. Il se transformait en grimace, d’autres larmes jaillissaient et moi qui croyait qu'elle en avait fini avec cette tristesse infini...J'étais effrayé de voir qu'elle ne trouvait plus la force de réfléchir. elle n’avait qu’une obsession, réussir...
Les larmes l’obligeaient à rouvrir les yeux, C'était comme si elle regardait le monde comme pour la première fois, tout était flou, elle n'y voyait plus rien...Elle me demandait la couleur du ciel...Je lui répondis bleu, puis elle ria aux éclats avant de me coller son poing sur la tête.
Elle se tenait sur la rampe à tribord , elle n'arrivait plus à tenir debout, je me demandais bien qu'est ce qu’elle avait ? Elle qui avait la plus grande des convictions, que lui arrivait-elle? Qu’est ce qui la torturait tant en son esprit? c’était pourtant simple, elle n’avait qu’à se relâcher...Si seulement je pouvais l'aider...Je l'aime tellement...Si seulement, elle connaissait mes sentiments, peut être que...NON ! *Peine de coeur*...
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Commandante Akina Mikazuki...
Mais que diable faisait-il ! Que lui arrivait il? Pourquoi n'essayait il pas de me consoler, de me parler...
Je ne pouvait continuer ainsi? La seule chose qui lui restait à faire était de me le dire. Une terrible contradiction se mit à lui torturer l’esprit, son estomac se noua, sa gorge se resserrait, aimer ou ne pas aimer, était la question...J'étais sur de ses sentiments, mais lui ne connaissait pas les miens...J'étais son supérieur et je devais me comporter comme tel.
Doucement, il reculait, ne sentant plus l'envie de me parler... Il se retournait pour aller suivre ses hommes qui avait emmené le blessé...Mon coeur battait de plus en plus fort...Je ne voulais réussir à tout prix, mais ce sentiment m'emparant était bien plus fort. A l'abris des regards, je l'attrapa par la main et le tira vers une porte. Nous étions enfermés dans la salle annexe des commandes, je me serrais contre lui...Ma respiration s'accentuait.
Embrasse moi !
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Médecin Chirurgien de la brigade scientifique, Colonel Fukuo Asazaki...En salle de chirurgie...
Matelot première classe Oshiro Baka...Allez donc me cherchez les fiches des officiers qui ont récemment entrer sur Grand Line !
Alors nous avons là, le colonel Hiro Shima...Installez le patient sur la table d'opération Sergent chef ! Infirmière qu'on lui place l'intraveineuse...2mg de composants parasympathique. Anesthésie à 70 %...Passez moi les gants je vous prie. Rythme cardiaque...0 Battements par minutes...Chances de survies à 0 % ! Le taux d'oxygène est très faible...Pompe à Air et vite ! Son état est critique, il lui faudra un nouveau pacemaker dans le meilleur des cas. Continuez à surveillez le taux par l'oxymètre de pouls.
Scalpel ! Commencez à intubez le patient, je vais voir ce qui cloche dans son organe...
Quelques instants plus tard...Le front en sueur...
C'est ce que je pensais....Les nœuds sinusaux sont en piteux états...Mettez moi en relation visiophonique avec le Dr Vegapunk et appelez moi le surveillant gouvernemental de ce brave Colonel. Cette opération nécessitera l'accord du gouvernement mondial...Je n'userais pas de mon temps pour un vulgaire colonel de pacotille.
Ici Marshal Law...Représentant et porte parole du Gouvernement Mondial...Le colonel Hiro Shima doit impérativement survivre...Il était sur une mission capitale, celle ci donné à Orange Town. Des criminels avaient l'intention de commanditer l'assassinat de l'amiral en chef, il devait s'assurer que cela n'arriverait pas. Sans lui, nous auront une partie manquante du puzzle ce qui signifie...Plus de risque !
Je vous ordonne l'application du projet 69 ! Si cet homme qui a été entrainé par nos meilleurs agents meurt sur votre bateau, je peux vous assurez, que vous allez le suivre tous autant que vous êtes !
Me suis je bien fait comprendre ?
Avec tout mon respect, le projet 69 comporte un risque majeur, ceci mérite l'intervention même du Dr Vegapunk...Seul lui peut amener à bien cette opération. Si je m'y confronte, les séquelles risque d'être plus graves.
Je suis vos conseils Dr Vegapunk même si j'aurais préférer vous voir à mes cotés réellement...Mettez en place les différents instruments ! Commencez à déclencher les mécanismes de la L-930 Déka ! N'ayez pas peur de son bruit strident, c'est tout à fait normal. Passez moi le tuyau 13...Voilà ! Je l'ai placé délicatement dans l'artère radiale...La pression artérielle est toujours à zéro...Vous voulez que j'emploie le produit B42 spécifiquement préparer par vos soins ?
Matelot ! Amenez moi le produit B42 qui se trouve dans l'autre salle d'urgence...Fantastique, son coeur commence à rebattre légèrement...Ok Dr Vegapunk...Placez une perfusion sur une veine de gros calibre...Non pas la jugulaire interne, c'est préférable de la mettre sur la veine sous clavière. Placez maintenant la sonde gastrique de manière à pomper toutes les sécrétions produites par l'estomac lors de l'intervention afin d'éviter que cela ne passe par les poumons. Introduisez maintenant la sonde de swan ganz sur une veine centrale...Nous sommes prêt Docteur.