Bonjour, un scénario à faire valider pour ma prochaine quête. C'est encore un peu flou et je compte un peu évoluer au gré des RPs, donc voilà une première demande de quête, suivie par deux ou trois autres lorsque la situation en aura besoin.
Je pose ça maintenant pour pouvoir évoquer la situation dans mon RP au présent avec Sloan O'Murphy, l'administrateur du CP9 qui donne directement la mission à Anna.
Merci bien.
Nombre et noms des participants : Anna
Difficulté : ~~~~~~~~~~
Récompense voulue : pour le moment, infiltrer la Vox Dystopia
PNJ présents : http://oprannexe.forumotion.com/t1181-la-bourgeoisie-d-arcadia
PNJ destiné à mourir lors de la quête : personne de bien intéressant pour le moment
Voulez-vous qu'ils soient joués par PNJ Requiem ? ~~~~~~~~~
Situation initiale : https://www.onepiece-requiem.net/t16034-fiche-d-ile-necropole-d-arcadia
Partie I :
Pour le Gouvernement Mondial, Arcadia est une pustule. Un furoncle que l'on a laissé s'infecter puis se nécroser pour donner un résultat immonde et purulent. Une horreur parmi le conseil des nations. Pour un pays qui faisait pourtant partie du Cercle d'or auparavant, l'endroit peut désormais se targuer d'être l'un des plus grands repères à criminels du Nouveau Monde. De tous les horizons, pas juste des pirates. Mais aussi de tueurs à gage, des révolutionnaires et des criminels recherchés. Le domaine des contrebandiers, mais aussi des Bourgeois comme ils aiment se faire appeler. Des nobles malhonnêtes profitant de leur main mise sur l'île pour pratiquer l'esclavagisme. Et si jusque là les différents CP ont peiné à infiltrer la structure oligarchique de l'île, il faut croire que le CP9 a récemment fini par trouver une brèche.
Au vu de ses récentes actions et de son efficacité remarquable sur le terrain, c'est donc Anna qui est envoyée par l'administrateur du CP après un court entretien. Les points évoqués et mis sur la table, il ne lui reste plus qu'à faire le voyage en train pour débarquer sur l'île et profiter d'un relâchement des limiers pour passer entre les mailles du contrôle. Pour cause ? Une insurrection récente dans la garde des Bourgeois, l'infiltration d'une unité révolutionnaire qui s'est faite prendre après avoir assassiné l'un des gentilshommes. Et qui oblige ainsi tous les nobles à faire le tri dans leurs hommes de main. Moins de douanes locales donc, mais aussi la possibilité de profiter de cette situation tendue et de la fragilité temporaire de la classe aisée pour mettre le feu aux poudres. Et engager un conflit direct avec les forces concernées.
Pour ce faire, Anna a carte blanche. Et l'option la plus logique qui apparaît à la jeune femme, tandis qu'elle se projette sur les éléments de son enquête à bord du train qui la mène à la Nécropole, c'est d'infiltrer la révolution locale pour la pousser à faire front aux Bourgeois. Pour cela, rien de très difficile : il va simplement falloir un motif assez gros pour qu'elle se fasse repérer. De préférence par la révolution, mais s'il s'agit des chiens de garde de la bourgeoisie, ça n'en sera que mieux lorsqu'elle se présentera avec les cadavres de ses détracteurs devant son recruteur.
Le voyage s'effectue donc rapidement et sans encombres, bien qu'à l'approche d'Arcadia le train semble étonnamment vide. Une fausse impression toutefois renforcée par la solitude d'Anna lorsqu'elle met pied à terre et découvre des quais vides. Wagons mis à part, avec les cris des pauvres hères y étant emprisonnés. Des esclaves voués à être expédiés comme de la marchandise, dans des conteneurs fermés. Suffoquant. Mais comme prévu, pas de Limiers pour l'alpaguer, lui demander son identité, juste un ronfleur assis sur un banc que la CP9 contourne prestement, pour préférer la froideur des docks et de leurs entrepôts à la traversée habituelle du hall de la station. Finalement la jeune femme arrive à rallier la sortie de la zone de dépôt, témoin d'un dernier arrivage d'esclaves, parqués dans un énième wagon, avant de fuir en direction de la Capitale.
Proche du Seizième, la gare est elle-aussi entourée d'un no-man's-land de débris et de cadavres. Obligée de se tartiner de boue pour passer inaperçue dans le paysage morne et gris, la jeune femme se fond assez naturellement dans le décors. Et à son arrivée dans la capitale, elle comprend ne pas être la seule, lorsque son pied trébuche sur le corps maltraité d'une jeune femme. Et que sa route est semée d'embuches du même type. Elle parvient de justesse à échapper à une bande de voleurs pour mieux retomber dans les griffes d'un gang local de proxénètes. Qu'elle sème finalement dans l'un des quartiers les plus malfamés, où même les criminels n'osent pas mettre les pieds. Et pour cause, c'est celui des cannibales.
Rapidement prise en chasse à nouveau, la jeune femme qui ne trahit personne ici avec sa couverture de crasse n'a plus le choix. Elle doit se battre. Sa maîtrise du rokushiki lui donne un avantage monstrueux sur ses adversaires qui, en fin de compte, ne sont plus que des hommes et des femmes ayant perdu la raison. Il n'en faut pas plus pour que l'agente comprenne à quelle point la situation est grave, à quel point le pays est enfoncé jusqu'au cou dans sa propre misère. Et que cela repousse toutes les limites qu'elle a pu un jour côtoyer. Même lorsqu'elle vivait dans la rue, à Logue Town, en tant que marchande d'armes ambulante.
Et comme visiblement les cannibales, voleurs et autres meurtriers ne sont que des victimes, il faut attaquer le mal à la source si elle espère avoir assez de visibilité pour être considérée comme une révolutionnaire. Passant donc la nuit dans un bâtiment abandonné, elle attend le lever du jour pour retourner à la gare et attendre qu'un nouveau convoi arrive. Que de nouveaux esclaves soient enfermés dans des conteneurs et chargés à bord du train. Une manœuvre qu'elle interrompt brusquement en s'infiltrant dans la station, en mettant hors d'état de nuire les Limiers, en libérant les esclaves et en sabotant le matériel. Pour finir par jeter un bidon d'essence et une allumette sur les docks, laisser tout cela prendre feu. Il ne lui reste plus alors qu'à déployer sa crinière blanche comme neige devant les otages, un signe distinctif lui permettant probablement de gagner en notoriété. Un premier acte révolutionnaire suivi de bien d'autres.
Car cela ne sera probablement pas suffisant. Alors les jours s'enchaînent et cette fois-ci ce sont les Limiers chargés de moissonner la Capitale qui rencontrent la "Sauveuse". Qui peinent à lui faire face et échouent ainsi à capturer des esclaves pour leur maîtres. Revenant ainsi bredouille et toujours moins nombreux. Mais un survivant, toujours, pour faire passer le message.
Au bout d'une semaine, Anna s'est assez faite remarquée pour attirer les foudres des Bourgeois, qui quadrillent désormais la capitale avec leurs chiens de chasse rien que pour lui mettre le grappin dessus. Par chance, ils ne sont pas les seuls, puisque la Vox Dystopia, plus rapide, parvient à contacter la jeune femme avant et lui proposer de l'amener dans un endroit où elle sera en sûreté. Ni une ni deux, l'agente accepte et fait route avec un étrange roublard en direction de la Cavité.
Je pose ça maintenant pour pouvoir évoquer la situation dans mon RP au présent avec Sloan O'Murphy, l'administrateur du CP9 qui donne directement la mission à Anna.
Merci bien.
Demande de Quête
Cherche : l'actionNombre et noms des participants : Anna
Difficulté : ~~~~~~~~~~
Récompense voulue : pour le moment, infiltrer la Vox Dystopia
PNJ présents : http://oprannexe.forumotion.com/t1181-la-bourgeoisie-d-arcadia
PNJ destiné à mourir lors de la quête : personne de bien intéressant pour le moment
Voulez-vous qu'ils soient joués par PNJ Requiem ? ~~~~~~~~~
Situation initiale : https://www.onepiece-requiem.net/t16034-fiche-d-ile-necropole-d-arcadia
Partie I :
Pour le Gouvernement Mondial, Arcadia est une pustule. Un furoncle que l'on a laissé s'infecter puis se nécroser pour donner un résultat immonde et purulent. Une horreur parmi le conseil des nations. Pour un pays qui faisait pourtant partie du Cercle d'or auparavant, l'endroit peut désormais se targuer d'être l'un des plus grands repères à criminels du Nouveau Monde. De tous les horizons, pas juste des pirates. Mais aussi de tueurs à gage, des révolutionnaires et des criminels recherchés. Le domaine des contrebandiers, mais aussi des Bourgeois comme ils aiment se faire appeler. Des nobles malhonnêtes profitant de leur main mise sur l'île pour pratiquer l'esclavagisme. Et si jusque là les différents CP ont peiné à infiltrer la structure oligarchique de l'île, il faut croire que le CP9 a récemment fini par trouver une brèche.
Au vu de ses récentes actions et de son efficacité remarquable sur le terrain, c'est donc Anna qui est envoyée par l'administrateur du CP après un court entretien. Les points évoqués et mis sur la table, il ne lui reste plus qu'à faire le voyage en train pour débarquer sur l'île et profiter d'un relâchement des limiers pour passer entre les mailles du contrôle. Pour cause ? Une insurrection récente dans la garde des Bourgeois, l'infiltration d'une unité révolutionnaire qui s'est faite prendre après avoir assassiné l'un des gentilshommes. Et qui oblige ainsi tous les nobles à faire le tri dans leurs hommes de main. Moins de douanes locales donc, mais aussi la possibilité de profiter de cette situation tendue et de la fragilité temporaire de la classe aisée pour mettre le feu aux poudres. Et engager un conflit direct avec les forces concernées.
Pour ce faire, Anna a carte blanche. Et l'option la plus logique qui apparaît à la jeune femme, tandis qu'elle se projette sur les éléments de son enquête à bord du train qui la mène à la Nécropole, c'est d'infiltrer la révolution locale pour la pousser à faire front aux Bourgeois. Pour cela, rien de très difficile : il va simplement falloir un motif assez gros pour qu'elle se fasse repérer. De préférence par la révolution, mais s'il s'agit des chiens de garde de la bourgeoisie, ça n'en sera que mieux lorsqu'elle se présentera avec les cadavres de ses détracteurs devant son recruteur.
Le voyage s'effectue donc rapidement et sans encombres, bien qu'à l'approche d'Arcadia le train semble étonnamment vide. Une fausse impression toutefois renforcée par la solitude d'Anna lorsqu'elle met pied à terre et découvre des quais vides. Wagons mis à part, avec les cris des pauvres hères y étant emprisonnés. Des esclaves voués à être expédiés comme de la marchandise, dans des conteneurs fermés. Suffoquant. Mais comme prévu, pas de Limiers pour l'alpaguer, lui demander son identité, juste un ronfleur assis sur un banc que la CP9 contourne prestement, pour préférer la froideur des docks et de leurs entrepôts à la traversée habituelle du hall de la station. Finalement la jeune femme arrive à rallier la sortie de la zone de dépôt, témoin d'un dernier arrivage d'esclaves, parqués dans un énième wagon, avant de fuir en direction de la Capitale.
Proche du Seizième, la gare est elle-aussi entourée d'un no-man's-land de débris et de cadavres. Obligée de se tartiner de boue pour passer inaperçue dans le paysage morne et gris, la jeune femme se fond assez naturellement dans le décors. Et à son arrivée dans la capitale, elle comprend ne pas être la seule, lorsque son pied trébuche sur le corps maltraité d'une jeune femme. Et que sa route est semée d'embuches du même type. Elle parvient de justesse à échapper à une bande de voleurs pour mieux retomber dans les griffes d'un gang local de proxénètes. Qu'elle sème finalement dans l'un des quartiers les plus malfamés, où même les criminels n'osent pas mettre les pieds. Et pour cause, c'est celui des cannibales.
Rapidement prise en chasse à nouveau, la jeune femme qui ne trahit personne ici avec sa couverture de crasse n'a plus le choix. Elle doit se battre. Sa maîtrise du rokushiki lui donne un avantage monstrueux sur ses adversaires qui, en fin de compte, ne sont plus que des hommes et des femmes ayant perdu la raison. Il n'en faut pas plus pour que l'agente comprenne à quelle point la situation est grave, à quel point le pays est enfoncé jusqu'au cou dans sa propre misère. Et que cela repousse toutes les limites qu'elle a pu un jour côtoyer. Même lorsqu'elle vivait dans la rue, à Logue Town, en tant que marchande d'armes ambulante.
Et comme visiblement les cannibales, voleurs et autres meurtriers ne sont que des victimes, il faut attaquer le mal à la source si elle espère avoir assez de visibilité pour être considérée comme une révolutionnaire. Passant donc la nuit dans un bâtiment abandonné, elle attend le lever du jour pour retourner à la gare et attendre qu'un nouveau convoi arrive. Que de nouveaux esclaves soient enfermés dans des conteneurs et chargés à bord du train. Une manœuvre qu'elle interrompt brusquement en s'infiltrant dans la station, en mettant hors d'état de nuire les Limiers, en libérant les esclaves et en sabotant le matériel. Pour finir par jeter un bidon d'essence et une allumette sur les docks, laisser tout cela prendre feu. Il ne lui reste plus alors qu'à déployer sa crinière blanche comme neige devant les otages, un signe distinctif lui permettant probablement de gagner en notoriété. Un premier acte révolutionnaire suivi de bien d'autres.
Car cela ne sera probablement pas suffisant. Alors les jours s'enchaînent et cette fois-ci ce sont les Limiers chargés de moissonner la Capitale qui rencontrent la "Sauveuse". Qui peinent à lui faire face et échouent ainsi à capturer des esclaves pour leur maîtres. Revenant ainsi bredouille et toujours moins nombreux. Mais un survivant, toujours, pour faire passer le message.
Au bout d'une semaine, Anna s'est assez faite remarquée pour attirer les foudres des Bourgeois, qui quadrillent désormais la capitale avec leurs chiens de chasse rien que pour lui mettre le grappin dessus. Par chance, ils ne sont pas les seuls, puisque la Vox Dystopia, plus rapide, parvient à contacter la jeune femme avant et lui proposer de l'amener dans un endroit où elle sera en sûreté. Ni une ni deux, l'agente accepte et fait route avec un étrange roublard en direction de la Cavité.
Dernière édition par Annabella Sweetsong le Dim 19 Fév 2017 - 18:46, édité 3 fois