Ah, une permission comme je les aime. Et cette fois-ci, je ne la fais pas sur Suna Land, mais sur Bliss, l’endroit même où j’ai acquiert mon fruit du démon. J’ai un but bien particulier ce coup-ci : me procurer des armes. Des sabres de préférence. Il est vrai que depuis que je suis dans la Marine, je n’ai acheté que mes deux lames secrètes et je n’ai pas acheté d’autres armes depuis. En revanche, j’ai amélioré mon fusil, mon Falcon.
Je déambule dans les rues animées de Portgentil. Je suis en plein centre-ville et les rues sont remplies. Il y a beaucoup de familles car c’est samedi. Aucun nuage à l’horizon, le ciel est d’un bleu limpide et le soleil illumine cette radieuse journée. Je cherche un magasin d’arme.
Après quelques minutes de recherches, j’en trouve enfin un. Je me suis écarté du centre-ville et le magasin se trouve sur les hauteurs de la ville. Il est un peu à l’écart des autres bâtiments, ce qui lui laisse un petit côté tranquille et calme. La porte est ouverte et je rentre. Un homme se trouve derrière le comptoir. Il doit sûrement être un vendeur. Il doit avoir une soixantaine d’année, a une petite barbe grise, il est chauve et en kimono.
- Bonjour à toi étranger. Que puis-je faire pour toi ?
- Oh, rien de spécial. Je regarde.
La boutique est relativement petite, une trentaine de mètre carré a vu d’œil. Il n’y a pas beaucoup d’étalages, seulement cinq, contenant chacun deux ou trois sabres. Il n’y a aucune arme à feu, seulement des sabres. Que des sabres. Je m’approche de l’un d’entre eux. Il m’a attiré l’œil parce que son fourreau est très joli. Il est bleu, bleu comme le lapis-lazuli, d'un bleu tellement profond. Des cristaux de cette même pierre ont l'air d'orner ce fourreaux si sublime.
- Il vous plaît hein ?
- Oui. Combien coûte-il ?
- Trois cents miles Berrys.
- Trois cents milles Berrys pour un sabre ??!
L’homme rigole. Pourtant, je ne vois pas ce qu’il y a de si drôle. Un sabre normal coûte au maximum cent mille Berrys ; et là il me dit qu’il vaut trois fois cette somme. L’air rieur du vendeur s’estompe et fait place à un air fier.
- Ce sabre jeune homme, est un sabre de qualité supérieure.
- Et alors?
- Et bien ils sont largement plus robuste que les normaux, bien plus maniables, légers pour certains et ils tranchent bien mieux et plus nettement.
- Ah ouais… Je comprends mieux.
- Ce sabre se nomme Maelstrom. Apparemment, selon les dires des sabreurs qui l'ont déjà eu en main, il est bien plus maniable et léger qu'un sabre ordianaire. Mais dans la limite des sabres... normaux, si tu vois ce que je veux dire.
- Des sabres normaux? Parce qu'il y en a des non-normaux?
- Hé oui, il existe des sabres que l'on appelle Meitous. Ce sont des sabres légendaires, indestructibles, si rares que certains mettent toute une vie pour en trouver.
- Ah, je vois... Bon, sinon je le prend votre sabre. Avez vous-en un autre d'une telle qualité?
- Mais oui mon garçon.
Il rigole, puis pars vers un autre étalage, puis prend un autre sabre. Du bleu on passe au blanc. Le fourreau du sabre est tout blanc, d'un blanc tellement pur. Deux petits bandeaux de rubans adhésifs blancs se trouvent vers la garde, qui est blanche également. Le manche lui, est blanc. Bref, tout est blanc dans ce sabre, ce qui lui donne un aspect suprême et pur. Pourtant, je suis sûr qu'il a déjà connu le rouge.
- Voici la deuxième meilleure épée que j’entrepose dans mon humble boutique. Je te présente Shinsei.
- Je le prends aussi.
- Oh, pas d’impatience ! Regarde, tu n’as même pas encore vu sa lame.
Il enlève le fourreau et je découvre une lame presque parfaite. Aucune irrégularité.
- Tu as du sûrement remarquer sa trempe parfaite.
- Oui, c’est ce qui ressort le plus.
- Eh bien vois-tu, c’est lié à l’histoire de cette lame. Veux-tu que je te la conte ?
- Euh...
- Ah, je comprends. Moi aussi à ton âge, je me fichais pas mal de l’histoire des lames que j’ai eu entre les mains. Et puis je n’ai pas envie de te fatiguer avec ça si tu n’as pas envie de l’écouter. Mais le jour où tu voudras écouter son histoire, alors tu viendras me voir, ici.
- Ahah ! Comptez sur moi.
- Donc, de ce que j’ai compris tu veux les acheter ?
- Oui tout à fait. Combien coûte Shinsei ?
- Trois cents milles Berrys, comme le dragon noir.
Je fais une petite grimace. C'est que les deux réunis, ça me fait six cents milles Berrys, soit presque un salaire ! Mais je les veux, vraiment. Je me suis déjà entrainé au combat à deux lames, et j'adore ça.
- Parfait, j’ai assez sur moi.
Il va donc derrière son comptoir, et moi devant pour officialiser la transaction. Six cents milles Berrys les deux sabres… J’espère que je ne me suis pas fait arnaqué… Mais qu’importe. L’homme a l’air honnête et il n’a pas une tête à être un menteur. Je sors mes billets et le paie, puis je prends en main mes deux nouvelles armes.
Soudainement, j’entends quelqu’un derrière moi entrer.
Je déambule dans les rues animées de Portgentil. Je suis en plein centre-ville et les rues sont remplies. Il y a beaucoup de familles car c’est samedi. Aucun nuage à l’horizon, le ciel est d’un bleu limpide et le soleil illumine cette radieuse journée. Je cherche un magasin d’arme.
Après quelques minutes de recherches, j’en trouve enfin un. Je me suis écarté du centre-ville et le magasin se trouve sur les hauteurs de la ville. Il est un peu à l’écart des autres bâtiments, ce qui lui laisse un petit côté tranquille et calme. La porte est ouverte et je rentre. Un homme se trouve derrière le comptoir. Il doit sûrement être un vendeur. Il doit avoir une soixantaine d’année, a une petite barbe grise, il est chauve et en kimono.
- Bonjour à toi étranger. Que puis-je faire pour toi ?
- Oh, rien de spécial. Je regarde.
La boutique est relativement petite, une trentaine de mètre carré a vu d’œil. Il n’y a pas beaucoup d’étalages, seulement cinq, contenant chacun deux ou trois sabres. Il n’y a aucune arme à feu, seulement des sabres. Que des sabres. Je m’approche de l’un d’entre eux. Il m’a attiré l’œil parce que son fourreau est très joli. Il est bleu, bleu comme le lapis-lazuli, d'un bleu tellement profond. Des cristaux de cette même pierre ont l'air d'orner ce fourreaux si sublime.
- Il vous plaît hein ?
- Oui. Combien coûte-il ?
- Trois cents miles Berrys.
- Trois cents milles Berrys pour un sabre ??!
L’homme rigole. Pourtant, je ne vois pas ce qu’il y a de si drôle. Un sabre normal coûte au maximum cent mille Berrys ; et là il me dit qu’il vaut trois fois cette somme. L’air rieur du vendeur s’estompe et fait place à un air fier.
- Ce sabre jeune homme, est un sabre de qualité supérieure.
- Et alors?
- Et bien ils sont largement plus robuste que les normaux, bien plus maniables, légers pour certains et ils tranchent bien mieux et plus nettement.
- Ah ouais… Je comprends mieux.
- Ce sabre se nomme Maelstrom. Apparemment, selon les dires des sabreurs qui l'ont déjà eu en main, il est bien plus maniable et léger qu'un sabre ordianaire. Mais dans la limite des sabres... normaux, si tu vois ce que je veux dire.
- Des sabres normaux? Parce qu'il y en a des non-normaux?
- Hé oui, il existe des sabres que l'on appelle Meitous. Ce sont des sabres légendaires, indestructibles, si rares que certains mettent toute une vie pour en trouver.
- Ah, je vois... Bon, sinon je le prend votre sabre. Avez vous-en un autre d'une telle qualité?
- Mais oui mon garçon.
Il rigole, puis pars vers un autre étalage, puis prend un autre sabre. Du bleu on passe au blanc. Le fourreau du sabre est tout blanc, d'un blanc tellement pur. Deux petits bandeaux de rubans adhésifs blancs se trouvent vers la garde, qui est blanche également. Le manche lui, est blanc. Bref, tout est blanc dans ce sabre, ce qui lui donne un aspect suprême et pur. Pourtant, je suis sûr qu'il a déjà connu le rouge.
- Voici la deuxième meilleure épée que j’entrepose dans mon humble boutique. Je te présente Shinsei.
- Je le prends aussi.
- Oh, pas d’impatience ! Regarde, tu n’as même pas encore vu sa lame.
Il enlève le fourreau et je découvre une lame presque parfaite. Aucune irrégularité.
- Tu as du sûrement remarquer sa trempe parfaite.
- Oui, c’est ce qui ressort le plus.
- Eh bien vois-tu, c’est lié à l’histoire de cette lame. Veux-tu que je te la conte ?
- Euh...
- Ah, je comprends. Moi aussi à ton âge, je me fichais pas mal de l’histoire des lames que j’ai eu entre les mains. Et puis je n’ai pas envie de te fatiguer avec ça si tu n’as pas envie de l’écouter. Mais le jour où tu voudras écouter son histoire, alors tu viendras me voir, ici.
- Ahah ! Comptez sur moi.
- Donc, de ce que j’ai compris tu veux les acheter ?
- Oui tout à fait. Combien coûte Shinsei ?
- Trois cents milles Berrys, comme le dragon noir.
Je fais une petite grimace. C'est que les deux réunis, ça me fait six cents milles Berrys, soit presque un salaire ! Mais je les veux, vraiment. Je me suis déjà entrainé au combat à deux lames, et j'adore ça.
- Parfait, j’ai assez sur moi.
Il va donc derrière son comptoir, et moi devant pour officialiser la transaction. Six cents milles Berrys les deux sabres… J’espère que je ne me suis pas fait arnaqué… Mais qu’importe. L’homme a l’air honnête et il n’a pas une tête à être un menteur. Je sors mes billets et le paie, puis je prends en main mes deux nouvelles armes.
Soudainement, j’entends quelqu’un derrière moi entrer.
Dernière édition par Mountbatten le Sam 5 Nov 2016 - 17:48, édité 2 fois