Shoma était tranquillement assis sur une chaise à boire un cocktail aux arômes fruités quand un homme l'aborda. Masqué par une capuche personne ne pouvait savoir qui était ce fou qui interrompait le capitaine des Red Spectres au milieu d'un bar uniquement composé de son équipage. Pour agir de la sorte il fallait avoir du culot et une grosse paire à l'intérieur du pantalon et pourtant c'est tout sans crainte que l'homme demanda au commandant des Spectres de lui accorder un peu de son temps.
Parler avec un homme qui ne retire pas sa capuche et qui ne souhaite pas décliner son identité, ce n'était pas pour Shoma, alors d'un revers de la main il demanda à ses hommes de se débarrasser de lui au plus vite. Cette histoire aurait très bien pu se terminer ainsi, du moins si cet étrange personnage n'avait pas jeté sur la table une bourse d'argent et en ajoutant qu'il était venu exclusivement le voir en connaissant les risques, mais qu'il ne voulait pas partir sans qu'on lui accorde au moins une minute de parole.
Par principe Shoma se tourna et demande à un de ses hommes de libérer une place à sa table afin d'accorder la minute de temps de parole à celui qui n'allait pas tarder à mourir. Qu'il est bon d'accorder un dernier souhait à un condamné à mort. Découvrant son visage, l'homme de taille normal et d'apparence assez vieille se présenta comme étant un chasseur de prime. Rien qu'avec cette simple phrase le bougre gagna l'attention du pirate et de son groupe qui de par sa profession se retrouva très vite sous la menace de plusieurs armes à feu.
S'il devait mourir rapidement, en disant qu'il était chasseur de prime le vieil homme venait d'accélérer le maigre temps de vie qu'il lui restait. Shoma demanda à ce que le vieil homme soit fouillé, une bombe peut très facilement être dissimulé et faire beaucoup de dégâts. Après une fouille complète et la certitude qu'il n'avait rien de dangereux sur lui, l'homme expliqua le pourquoi de sa venue. Une offre, il avait une offre à lui faire. La situation se transforma très vite en mascarade. Le chasseur de prime avait braver la mort afin de s'acoquiner avec un pirate, une scène des plus risibles pour Shoma.
Devant les rires du capitaine pirate et ses hommes, l'homme poursuivi même s'il était la cible des moqueries. Profitant au maximum de sa minute de parole le vieil homme continua et expliqua au capitaine pirate qu'il se trouvait au bout du gouffre. Cela faisait plusieurs mois qu'il n'avait pas eu de cible, que sa constitution ne lui permettait plus de partir à la chasse aux pirate et qu'une maladie grave développé par sa fille l'obligeait à tenter le tout pour le tout.
Pensait-il vraiment que Shoma avait une quelconque once de pitié pour les autres ? Il se fourvoyait complètement. La maladie, le malheur, l'infortune, tout cela ne le regardait pas, il s'en foutait royalement. Néanmoins le reste de l'offre semblait quelques peux attirer l'attention du capitaine pirate. Le chasseur de prime était en mesure de mettre sa licence de chasseur de prime sous la coupe du capitaine. Quesque cela voulait dire ? Tout simplement qu'il était prêt à jouer les fossoyeurs pour Shoma.
Livrer les victimes du capitaine pirate à la marine afin d'en tirer des bénéfices et ainsi faire du meurtre une affaire lucrative. Cette seule option était digne d'intérêt et même un homme tel que Shoma y trouverait son compte. D'une minute, le temps de parole du vieil homme s'étala sur plusieurs dizaines de minutes et au bout du compte son culot fut récompensé, car lui et son interlocuteur tombèrent sur un terrain d'entente.
Faire confiance à un type désespéré aurait pu donner naissance à une amitié florissante, mais l'appât du gain avait fait tourner la tête du vieil homme qui après la livraison de plusieurs cadavre recherché d'une valeur approchant les 50 millions de berry décida de faire cavalier seul et coiffer au poteau le capitaine pirate. Attaqué Shoma et tenter d'empocher la prime que la marine accordait pour sa tête était bien trop difficile pour un simple chasseur de prime, mais le rouler dans la farine était nettement plus facile.
Quoi qu'il en soit après les rires, vient le temps des larmes. Shoma n'ayant pas accepté de passer pour le dindon de la farce avait réussi à trouver la piste du chasseur de prime en question. Après deux mois sans donner signe de vie, voilà la proie du capitaine pirate abord d'un navire et la seule chose qui le séparait encore de lui était les quelques nautiques qui séparaient leur deux navires.
Parler avec un homme qui ne retire pas sa capuche et qui ne souhaite pas décliner son identité, ce n'était pas pour Shoma, alors d'un revers de la main il demanda à ses hommes de se débarrasser de lui au plus vite. Cette histoire aurait très bien pu se terminer ainsi, du moins si cet étrange personnage n'avait pas jeté sur la table une bourse d'argent et en ajoutant qu'il était venu exclusivement le voir en connaissant les risques, mais qu'il ne voulait pas partir sans qu'on lui accorde au moins une minute de parole.
Par principe Shoma se tourna et demande à un de ses hommes de libérer une place à sa table afin d'accorder la minute de temps de parole à celui qui n'allait pas tarder à mourir. Qu'il est bon d'accorder un dernier souhait à un condamné à mort. Découvrant son visage, l'homme de taille normal et d'apparence assez vieille se présenta comme étant un chasseur de prime. Rien qu'avec cette simple phrase le bougre gagna l'attention du pirate et de son groupe qui de par sa profession se retrouva très vite sous la menace de plusieurs armes à feu.
S'il devait mourir rapidement, en disant qu'il était chasseur de prime le vieil homme venait d'accélérer le maigre temps de vie qu'il lui restait. Shoma demanda à ce que le vieil homme soit fouillé, une bombe peut très facilement être dissimulé et faire beaucoup de dégâts. Après une fouille complète et la certitude qu'il n'avait rien de dangereux sur lui, l'homme expliqua le pourquoi de sa venue. Une offre, il avait une offre à lui faire. La situation se transforma très vite en mascarade. Le chasseur de prime avait braver la mort afin de s'acoquiner avec un pirate, une scène des plus risibles pour Shoma.
Devant les rires du capitaine pirate et ses hommes, l'homme poursuivi même s'il était la cible des moqueries. Profitant au maximum de sa minute de parole le vieil homme continua et expliqua au capitaine pirate qu'il se trouvait au bout du gouffre. Cela faisait plusieurs mois qu'il n'avait pas eu de cible, que sa constitution ne lui permettait plus de partir à la chasse aux pirate et qu'une maladie grave développé par sa fille l'obligeait à tenter le tout pour le tout.
Pensait-il vraiment que Shoma avait une quelconque once de pitié pour les autres ? Il se fourvoyait complètement. La maladie, le malheur, l'infortune, tout cela ne le regardait pas, il s'en foutait royalement. Néanmoins le reste de l'offre semblait quelques peux attirer l'attention du capitaine pirate. Le chasseur de prime était en mesure de mettre sa licence de chasseur de prime sous la coupe du capitaine. Quesque cela voulait dire ? Tout simplement qu'il était prêt à jouer les fossoyeurs pour Shoma.
Livrer les victimes du capitaine pirate à la marine afin d'en tirer des bénéfices et ainsi faire du meurtre une affaire lucrative. Cette seule option était digne d'intérêt et même un homme tel que Shoma y trouverait son compte. D'une minute, le temps de parole du vieil homme s'étala sur plusieurs dizaines de minutes et au bout du compte son culot fut récompensé, car lui et son interlocuteur tombèrent sur un terrain d'entente.
Faire confiance à un type désespéré aurait pu donner naissance à une amitié florissante, mais l'appât du gain avait fait tourner la tête du vieil homme qui après la livraison de plusieurs cadavre recherché d'une valeur approchant les 50 millions de berry décida de faire cavalier seul et coiffer au poteau le capitaine pirate. Attaqué Shoma et tenter d'empocher la prime que la marine accordait pour sa tête était bien trop difficile pour un simple chasseur de prime, mais le rouler dans la farine était nettement plus facile.
Quoi qu'il en soit après les rires, vient le temps des larmes. Shoma n'ayant pas accepté de passer pour le dindon de la farce avait réussi à trouver la piste du chasseur de prime en question. Après deux mois sans donner signe de vie, voilà la proie du capitaine pirate abord d'un navire et la seule chose qui le séparait encore de lui était les quelques nautiques qui séparaient leur deux navires.