Hello, un petit ajout pour MJ sans grande prétention.
[*]Le Grand Marijoa Hotel :
Bâti il y a plus d'un siècle par un jeune entrepreneur Marijoien, le Grand Marijoa Hotel a longtemps été au cœur des festivités mondaines de Marie-Joie. Situé en plein centre-ville, beaucoup l'ont d'ailleurs considéré comme l'endroit le plus huppé du microcosme de la capitale, en dehors du palais des Tenryuubitos évidemment. Avec ses nombreuses chambres et suites royales, son hall illuminé, sa salle de danse et ses lustres antiques, l'endroit pouvait bien se targuer de pouvoir accueillir régulièrement des gens de la Haute, avant. Toutefois, cela va faire plusieurs décennies que l'entrain s'est essoufflé, laissant désormais le Grand Marijoa Hotel plus ou moins à l'abandon avec un personnel de plus en plus réduit. Condamné à louer ses chambres aux premiers venus, l'hôtel a lentement mais sûrement sombré vers la médiocrité avec un service de plus en plus déplorable. Si bien qu'aujourd'hui le Grand Marijoa n'est plus qu'un lieu hanté par la nostalgie de son apex de jadis et quelques habitués venant encore s'y ressourcer. Verrouillée à double tour, la Grande Salle où se trouve la piste de danse n'a, pour sa part, plus accueilli de participants depuis près de vingt ans.
L'endroit possède toutefois une dernière lueur d'espoir à laquelle se rattacher puisqu'il accueille en son sein le meilleur pianiste de tous les temps, Andreas Kellinger. Et comme il s'agit du propriétaire, celui-ci n'est pas près de partir de sitôt. Ainsi il n'est pas rare d'entendre durant certaines nuits des mélodies mélancoliques résonner depuis la salle isolée où valsaient autrefois les métropolitains.
Merci d'avance !
[*]Le Grand Marijoa Hotel :
Bâti il y a plus d'un siècle par un jeune entrepreneur Marijoien, le Grand Marijoa Hotel a longtemps été au cœur des festivités mondaines de Marie-Joie. Situé en plein centre-ville, beaucoup l'ont d'ailleurs considéré comme l'endroit le plus huppé du microcosme de la capitale, en dehors du palais des Tenryuubitos évidemment. Avec ses nombreuses chambres et suites royales, son hall illuminé, sa salle de danse et ses lustres antiques, l'endroit pouvait bien se targuer de pouvoir accueillir régulièrement des gens de la Haute, avant. Toutefois, cela va faire plusieurs décennies que l'entrain s'est essoufflé, laissant désormais le Grand Marijoa Hotel plus ou moins à l'abandon avec un personnel de plus en plus réduit. Condamné à louer ses chambres aux premiers venus, l'hôtel a lentement mais sûrement sombré vers la médiocrité avec un service de plus en plus déplorable. Si bien qu'aujourd'hui le Grand Marijoa n'est plus qu'un lieu hanté par la nostalgie de son apex de jadis et quelques habitués venant encore s'y ressourcer. Verrouillée à double tour, la Grande Salle où se trouve la piste de danse n'a, pour sa part, plus accueilli de participants depuis près de vingt ans.
L'endroit possède toutefois une dernière lueur d'espoir à laquelle se rattacher puisqu'il accueille en son sein le meilleur pianiste de tous les temps, Andreas Kellinger. Et comme il s'agit du propriétaire, celui-ci n'est pas près de partir de sitôt. Ainsi il n'est pas rare d'entendre durant certaines nuits des mélodies mélancoliques résonner depuis la salle isolée où valsaient autrefois les métropolitains.
Merci d'avance !