Après mes aventures sur les mers bleues, j’étais de nouveau seul sur ma barque. Le soleil cognait contre ma peau brulé par le temps et la réverbération de l’océan. Je me sentais faible. Ce n’était plus une galère, mais presque une habitude depuis ma chute de Reverse. Et puis, j’avais beau user de mes forces pour bouger les rames, il n’y avait pas de terre à l’horizon. Je commençais à désespérer.
La nuit tomba enfin, me laissant du répit et la fraicheur tant souhaité. J’étais tellement fatigué, que mon sommeil tomba en même temps que la pénombre. C’est donc tout simplement que mes yeux se sont fermés peu de temps après.
C’est étrange, mais il y a des moments où le rêve ce mélange avec la réalité. C’était maintenant le cas. Je me voyais être transporté dans une civière, puis emmené dans un lit douillet.
C’est rare d’avoir une douleur en rêve ! Mais le temps que sorte de mon délire, le mal avait disparu et Morphée avait repris ses droits.
A mon réveil, j’étais toujours dans ce lit onirique. Après quelques minutes, j’avais compris que rien de tous cela était faux, mais bien la réalité. Pour la première fois depuis longtemps, j’avais enfin l’espoir de m’en sortir. Et je ne devais pas laisser passer ma chance de survire.
J’ai regardé autour de moi. Mise à part le plumard, pas grand-chose à dire. J’étais perfusé, sans doute pour me redonner des forces, mais menottés aussi par l’autre bras. Ce n’était pas très rassurant, pas clair non plus. Une fenêtre opaque m’indiquait qu’il faisait jour et c’était tout.
Ma solitude fut rompue au moment où quatre personnes entrèrent sans sommation dans la pièce.
Il y avait deux gardes. C’était assez simple de les reconnaitre, car habillé en mode militaire, armés et avec un balai dans le cul. Il y avait une femme en blouse, sans doute la toubib. Heureusement que je ne suis pas trop con pour déduire ce genre de truc. Le dernier en revanche… Le patron sans doute ? Un homme en costume blanc et des lunettes rondes. Il semblait mener la danse. Mon intuition fut confirmée lorsque ce dernier prit la parole.
Andrei : Bonjour Monsieur, mes hommes vous ont repêchés sur la côte à moitié mort. Heureusement qu’ils vous ont vus et que nous avons les moyens de vous soigner.
Pouvez-vous nous dire qui vous êtes ?
La nuit tomba enfin, me laissant du répit et la fraicheur tant souhaité. J’étais tellement fatigué, que mon sommeil tomba en même temps que la pénombre. C’est donc tout simplement que mes yeux se sont fermés peu de temps après.
C’est étrange, mais il y a des moments où le rêve ce mélange avec la réalité. C’était maintenant le cas. Je me voyais être transporté dans une civière, puis emmené dans un lit douillet.
Ulcky : Outch…
C’est rare d’avoir une douleur en rêve ! Mais le temps que sorte de mon délire, le mal avait disparu et Morphée avait repris ses droits.
A mon réveil, j’étais toujours dans ce lit onirique. Après quelques minutes, j’avais compris que rien de tous cela était faux, mais bien la réalité. Pour la première fois depuis longtemps, j’avais enfin l’espoir de m’en sortir. Et je ne devais pas laisser passer ma chance de survire.
J’ai regardé autour de moi. Mise à part le plumard, pas grand-chose à dire. J’étais perfusé, sans doute pour me redonner des forces, mais menottés aussi par l’autre bras. Ce n’était pas très rassurant, pas clair non plus. Une fenêtre opaque m’indiquait qu’il faisait jour et c’était tout.
Ma solitude fut rompue au moment où quatre personnes entrèrent sans sommation dans la pièce.
Il y avait deux gardes. C’était assez simple de les reconnaitre, car habillé en mode militaire, armés et avec un balai dans le cul. Il y avait une femme en blouse, sans doute la toubib. Heureusement que je ne suis pas trop con pour déduire ce genre de truc. Le dernier en revanche… Le patron sans doute ? Un homme en costume blanc et des lunettes rondes. Il semblait mener la danse. Mon intuition fut confirmée lorsque ce dernier prit la parole.
Andrei : Bonjour Monsieur, mes hommes vous ont repêchés sur la côte à moitié mort. Heureusement qu’ils vous ont vus et que nous avons les moyens de vous soigner.
Pouvez-vous nous dire qui vous êtes ?