Il y a peu de choses aussi majestueuses qu'une flotte de la marine qui avance à vive allure à travers les mers. En commander une, c'est régner sur quelques milliers d’âmes dures à la tache et au feu, avoir la main haute sur des centaines de tonnes de d'acier et de bois, pouvoir déchainer sur commande une puissance de feu suffisante pour raser un port et n'en laisser que ruines, cadavres épars et cendres fumantes.
C'est un pouvoir, une responsabilité, un honneur !
Et alors que le vice amiral Miguel Del Grande Jimenez Vasco observe à la lunette la progression impeccable de sa flotte, Ses quatre cuirassés naviguant deux par deux, encadrés par un essaim de caravelles jouant les guetteurs tout autour du convoi, assurant ainsi que rien ne puisse atteindre le cœur du convoi sans avoir a subir la déferlante de fer et de feu que peuvent délivrer des cuirassés de la marine, il est pleinement conscient de tout ce qu'implique le pouvoir dont il dispose.
Et de l'importance que les prisonniers qu'il transporte, pour la plupart raflés au sein des criminels de Jaya, comme le dangereux Othar, le plus sauvage barbare qu'ait jamais accueilli la révolution, ou l'étrange pirate Sirquiz Sylvano que son fruit semble avoir rendu un peu trop fou pour sa propre santé, soient amenés sans encombre à l'échafaud on ou pourra les décapiter convenablement.
Et même si dans le fond il regrette un peu la présence à son bord de menu fretin ajouté au convoi, comme ce Pakbo qui a l'air d'un pirate au rencart tout ce qu'il y a inoffensif, il est tout entier dévoué à sa tache.
Y compris et surtout sa seconde partie clairement inéluctable et qui le réjouit d'avance. Attendre et repousser les pirates ou les révolutionnaires qui ne manqueront pas de venir tenter d'attaquer le convoi pour libérer leurs amis.
C'est un pouvoir, une responsabilité, un honneur !
Et alors que le vice amiral Miguel Del Grande Jimenez Vasco observe à la lunette la progression impeccable de sa flotte, Ses quatre cuirassés naviguant deux par deux, encadrés par un essaim de caravelles jouant les guetteurs tout autour du convoi, assurant ainsi que rien ne puisse atteindre le cœur du convoi sans avoir a subir la déferlante de fer et de feu que peuvent délivrer des cuirassés de la marine, il est pleinement conscient de tout ce qu'implique le pouvoir dont il dispose.
Et de l'importance que les prisonniers qu'il transporte, pour la plupart raflés au sein des criminels de Jaya, comme le dangereux Othar, le plus sauvage barbare qu'ait jamais accueilli la révolution, ou l'étrange pirate Sirquiz Sylvano que son fruit semble avoir rendu un peu trop fou pour sa propre santé, soient amenés sans encombre à l'échafaud on ou pourra les décapiter convenablement.
Et même si dans le fond il regrette un peu la présence à son bord de menu fretin ajouté au convoi, comme ce Pakbo qui a l'air d'un pirate au rencart tout ce qu'il y a inoffensif, il est tout entier dévoué à sa tache.
Y compris et surtout sa seconde partie clairement inéluctable et qui le réjouit d'avance. Attendre et repousser les pirates ou les révolutionnaires qui ne manqueront pas de venir tenter d'attaquer le convoi pour libérer leurs amis.