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Edgard (& co') et l'âme du samouraî

l'âme du samouraï !
L'honneur ou le déshonneur ne sont pas dans la lame, mais dans la main qui l'empoigne.


Le vaste horizon s'étendant vers l'océan… Ah mais qu'est-ce donc que ça ? Il semble que quelque chose fuse sur cet horizon à grande vitesse, un petit navire quelque peu original faisait divers ricochet en direction de la petite île de Shimotsuki, comment en était-il arrivé la ? Et bien...
Cela remonte a quelques minutes à peine, Edgard avait quitté son ile depuis quelques jours déjà, les mers d'East blue, bien que considérés comme calme regorgent de nombres de danger, et le petit navire qu'Edgard avait dérobé était seulement utilisé pour aller sur les iles environnantes, ainsi l'apparition des monstres marins propulsaient ce petit bateau de plus en plus à mesure que celles-ci s'enchainaient, l'apparition d'une dernière bête, gigantesque, dévorant celle qui avait précédemment émergé de l'eau l'avait ainsi envoyé à forte vitesse. Toutefois à chacun des rebonds que faisait ce navire, sa coque se détruisait de plus en plus, se laissant s'immerger de la manière proportionnelle aux morceaux de coques perdus.
Ce n'est qu'a une certaine distance de la plage de l'ile que le bateau s'enfonça dans l'eau sur un dernier rebond, si une personne était resté sur celui-ci le choc aurait pu paraitre fatal.


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D'une manière que l'on pourrait définir de fort prévisible, l'on pu observer Edgard, se servant du violent choc du navire comme d'un tremplin, lui permettant de surfer à vive allure en direction de la plage sur un morceau restant de la coque du navire, le voir si à l'aise pourrait donner l'impression qu'il avait pratiqué ça toute sa vie, pourtant il n'en était rien. Il était effrayé au plus haut point, ce n'est qu'en arrivant au niveau de la plage qu'il se retrouva propulsé, atterrissant avec fracas, tête la première, sur le sable chaud.

F'ai... Furfécu !!! Fufufufufufufufufu

Rester la tête dans le sable n'était pas une bonne idée. Edgard se décoinça d'une rotation des plus élégantes, se redressant mécaniquement, il extirpa dans un profond soupir son peigne rangé confortablement à l'intérieur de sa veste pour se recoiffer, puis le rangea de manière très précautionneuse. Il tapa sur ses vêtements pour les remettre aussi impeccable qu'ils l'étaient au départ, et c'est seulement lorsqu'il eut terminé qu'il porta attention aux diverses personnes présentes sur la plage. Une majorité de pêcheurs évidemment, tous fixés sur lui affichant une mine dépitée.
Les gens d'ici auraient l'habitude de situations ubuesques ? Cela sera retenu par l'esprit vif d'Edgard, qui sans prendre le temps de s'arrêter un peu plus, se dirigea vers l'un des plus grands bâtiments à enseigne de la petite ville, il s'agissait d'un café, pas des plus élégants, mais il semblait toutefois être d'assez bonne gamme. Puis il ne pourrait trouver mieux de toute façon


Edgard (& co') et l'âme du samouraî Spice_10

Ce n'est en qu'en ouvrant la porte qu'il s'aperçu que l'endroit n'était pas si bien famé qu'il l'aurait cru, quelques petits groupes d'individus peu recommandables et à l'air dangereux se trouvaient ça et la a quelques coins du café. Edgard lui ne pouvant plus faire marche arrière au risque d'être pris pour cible, entra d'un pas déterminé, le regard fort. Un seul pas, avant de s'arrêter les jambes tremblantes, perdant son courage d'alors d'un seul coup. Il tenta tant bien que mal de réfléchir après cette courte pause, si bien qu'il continua à marcher mécaniquement de sa gestuelle toujours aussi gracieuse en direction du comptoir. Quand il termina de reflechir il était assis devant un homme légèrement plus petit que lui (qui dois mesurer environ un mètre quatre-vingts à quelques centimères près) l'homme portait une barbe brune irisée moyennement longue, il était plutôt ventripotant et s'exprimait d'une voix forte et sèche tout en nettoyant une grande tasse à café.

J'te sers quoi le p'tiot ?


Deux doigts de scotch et deux glaçons.

C'est ainsi qu'Edgard s'alluma une cigarette, devant son verre, son regard toujours sérieux il réfléchissait à ce qu'il allait faire à partir de maintenant, peut être poser des questions au barman

Edgard (& co') et l'âme du samouraî I7jo
(c) sweet.lips


Dernière édition par Edgard Boomer le Mer 20 Juil 2022, 21:33, édité 1 fois
    Passer des bureaux de Grand Line, aux mers des Blues, lui faisait l’impression de quitter le panier de crabes, pour le bac à sable. Hors, il était important pour la trésorière, première force de recrutement dans l’association, comme le prouvait son visage affiché aux murs pour la troisième années consécutives, sur le tableau des meilleurs éléments de l’association. Cette simple distinction assurait à Abdul un climat de juste camaraderie, ou plutôt d’une compétition assassine sous couvert de sarcasmes et de beaucoup d’acidité. Salé comme deux morues des eaux profondes de North Blue, les deux femmes de l’UFP se tiraient la bourre sur le recrutement, même si leur attributions différaient et que leur qualité intrinsèques étaient fort différentes. Les avantages de la trésorière étaient une plus grande marche de manœuvre sur le plan géographique, ainsi que l’avantage de connaître tout le montage financier de l’association. De son côté, la secrétaire générale, devait rester au bureau toute la journée pour y suivre les dossiers, mais pouvait lui mettre fort nombreux bâtons dans les roues d’un point de vu administratif. En conséquence de quoi, malgré une efficacité redoutable, les deux diablesses se tiraient la bourre au cordeau dans la course qui les opposaient.

    Sans joie, ni crainte, Lilia se mit en route pour East Blue, et malgré sa réticence à quitter le  bureau central en cette saison, les intérêts de l’UFP prévaudraient toujours sur ses conflits internes. Sa destination se trouvait être Shimotsuki, et elle avait comprit que cela venait d’en haut comme requête. Abdul devait avoir un problème avec un syndiqué important, ou un receleur mécontent de l’un des adhérents, elle ne le savait pas encore, la lettre dans sa main toujours cacheté tant elle s’était pressée sur ordre du capitaine-président de l’Union. Maintenant, d’une main habile, l’épine noire de l’union ouvrit son ordre de mission, écrit à la va-vite sur une bout de parchemin vieillot. Les affaires semblaient difficile en ce moment, l’argent sortant plus vite qu’il n’entrait dans les caisses. Et elle le savait pour être celle qui signait les papiers et autorisait la sortie de toutes les liquidités.

    Apparemment, un receleur ne respectait pas la charte, et facturait une mains d’œuvre hors de prix aux adhérents, et cela faisait mauvaise presse pour l’ensemble du réseau. Elle comprenait très bien qu’Adbul veuille d’abords essayer la diplomatie, avant de taper du poing sur la table, le receleur se trouvant sur Shimotsuki, et étant l’un des seuls dans le coins à pratiquer son art, semblait essentiel à une couverture globale du territoire d’East Blue. Le perdre serait aussi dramatique que de le voir retourner sa veste, donc on envoyait la belle Lily, pour prendre les choses en mains.

    Elle n’était pas si douce, mais on ne pouvait que l’aimer, elle était d’un naturel rayonnant. Son navire quitta l’île de Grand Line qu’occupait l’assoc’, pour East Blue. Une traversée longue, qui lui rappela ses premièrs heures en temps que pirate.

    - Un verre de rhum, et une ombrelle Hombre ! Fut le code qu’elle utilisa pour interpeller le serveur, un code établis pour tout ceux qui venait faire de la contrebande dans le coin.

    Normalement, si elle se trompait pas, un homme viendrait à sa table pour voir ce qu’elle avait à proposer. Normalement. Elle espérait ne pas s’être trompé de boui-boui, car jamais elle ne serait descendu naturellement dans ce genre d’établissement … Elle aurait su, elle aurait ramené son  propre verre, mais bon … Les aléas du métier de pirate.


      l'âme du samouraï !
      L'honneur ou le déshonneur ne sont pas dans la lame, mais dans la main qui l'empoigne.


      Edgard sirotait dans la plus grande des élégances son petit verre de scotch, il s'agissait d'alcool bas de gamme, il pouvait le deviner car il avait pris pour habitude de siroter de l'alcool venant de l'armoire personnelle du Don de la famille qu'il venait de quitter. L'arome de cet alcool la n'arrivait pas à la cheville de celui qu'il buvait à Frog island, depuis son arrivée dans ce misérable café la plupart des personnes présentes ne pouvaient le quitter du regard. Il se disait que c'était dû au fait qu'il était cool, super cool, ultra cool, magnifiquement cool, en vérité la plupart devait juste ce demander qui était ce bâtard impertinent qui faisait le beau. Après quelques instants de réflexion devant son verre et le temps qu'il fallu à sa cigarette pour se consumer il prit une grande inspiration, toujours aussi éblouissante avant de commencer à discutailler avec le tavernier, celui-ci paraissant moins intimidant maintenant qu'Edgard avait consommé dans l'établissement..

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      Dites chef, on est sur quel île ici ?





      Uh ? Gamin ? Tu débarque ici et tu sais même pas ou tu fous les pieds ? T'es ici sur l'ile de Shimotsuki, on dit qu'un vieil homme originaire d'une ile lointaine a crée une ville ici ya longtemps et c'est comme ça qu'on s'est développé. Ici les armes à feu sont interdite, d'ailleurs tu devrais ranger ton jouet ou il va t'arriver des problèmes, ici c'est une ville portuaire du nom de Nagaya, ya un paquet d'étranger comme toi et pas des plus sympa.


      C'est sur ces paroles qu'Edgard se retourna pour dévisager les individus présent dans ce café, quelques personnes attirèrent son attention notamment une personne qui donnait un air un peu excentrique mais duquel l'on sentait le danger émaner. Sa prestance et la qualité du katana dans son fourreau ceintural témoignait de la prestance de l'homme

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      Celui-ci paraissait bien sérieux en observant méticuleusement notre jeune Edgard, il pu également constaté qu'aucun des hommes présent ne portait d'arme à feu, tous étaient équipés d'armes blanches, il remarquait également une jeune femme qui passait commande à l'une des personnes  de l'établissement


      Un verre de rhum, et une ombrelle Hombre !

      Une ombrelle, cela paraissait ridicule de demander un tel accessoire dans un café, mais l'expérience d'Edgard dans le monde souterrain lui servi pour comprendre qu'il s'agissait d'un langage codé, à peine eut-il le temps de se pencher sur la question de savoir quel genre de trafique se déroulait dans ce bar, un homme visiblement essouflé fît alors irruption dans le petit établissement en hurlant, tout les hommes se retournèrent vers lui, Edgard compris

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      LES GARS !! C'EST GRAVE !!  YA UN CONTRAT SUR LA TÊTE D'UN TYPE QUI DOIT ÊTRE SUR LES ILES ALENTOURS, ILS VEULENT ABSOLUMENT SA  ........


      C'est alors que l'homme eut un moment d'absence en bloquant son regard en direction d'Edgard, l'homme se trouvait devant la porte grande ouverte et lâcha tout à coup la pile de documents qu'il portait, tous affichaient le même portrait, celui d'un homme recherché mort par la mafia. Edgard ne pouvait point voir exactement quel visage figurait sur la photo jusqu'à ce qu'un des documents arriva emporté par le vent sur le comptoir, face à lui. Tout les autres documents s'étaient éparpillés dans le commerce, il y eut un petit silence général qui dura quelques secondes, comme si tout le monde prenait le temps de réaliser quelque chose de manière commune.

      Ah.. Pas bon pour moi...

      Ce fut les paroles qu'il soupirait avant de se lever d'un geste tout aussi élégant qu'à son habitude. Toutefois cela ne perturba pas les plus durs à cuire présents dans le café, un peu moins d'une dizaine d'entre eux se levaient déjà de leurs table tout en dégainant leurs épées pour se préparer à empocher la somme promise pour le contrat, une cible apparaissant comme par magie sous le bout de leurs nez, tous s'imaginaient déjà passer la nuit au bordel du coin. La situation allait dégénérer mais au moins l'autre individus aux lunettes et au katana flamboyant ne semblait faire aucun mouvement signifiant qu'il souhaitait s'en prendre à Edgard. Toutefois notre jeune ami n'avait réellement aucune idée de comment se sortir de cette situation délicate, il ne ferait pas long feu lors d'un combat, c'est comme cela que son cerveau se mit en marche aussi vite qu'il le pouvait pour se sortir de ce mauvais pas
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        Franchement, cet établissement puait le non respect de la charte. Aucun effort sur la propreté, et il ne devait y avoir aucun registre dans lequel le propriétaire se devait de consigner ses transactions avec ses syndiqués. En passant la main sur la table, elle emporta un mouton de poussière qui eut tôt de finir à la dégouter des lieux. Elle voulait régler ses affaires, et partir au plus vite ; Cette île ne lui inspirait déjà pas grand chose de positif, alors la taverne du vieux prêcheur, comme on l'appelait officieusement car elle appartenait ... à un vieux pécheur qui adorait s'écouter parler, quand à elle, ne faisait pas vraiment office de villégiatures pour la belle épine pirate. Elle aimait les textures douces, les tables et les verres propres, les gens beaux et l'alcool à foison ! S'il était bon, c'était un plus. Rien de tout ça n'était réunit ici, les sièges grattaient ses cuisses découvertes par une robe échancrée à son habitude, et les verres semblait plus crasseux qu'un bourbier en plein été, alors que dire de l'alcool, la collection du patron faisait peur à voir ... On eut plutôt dit un amateur, qu'une taverne professionnelle et avisé ; Il n'y avait même pas de Don Luffy, un classique pourtant pour tout ceux qui recherchaient la félicité et la douceur, les rondeurs et la force du rhum ... Du vrais !

        Ce qui termina de la dégouter furent les clients. Tous se levèrent d'un bond pour une raison qui lui avait échappé de prime abords, mais qui sembla évidente quand un jeune homme s'exprima à haute voix, et que tous les regards se tournèrent vers lui. Il ne fallait pas être une tête pour présager qu'il avait des ennuis, tout de sa position de défense contrit, et de ses mimiques affolées. L'affiche qui était à ses pieds, termina de la mettre sur la voie.... Un compatriote pirate dans les ennuis ? Impossible ! Le scélérat à la tête de ce boui boui recelant de la marchandise volée, mais surtout affilié par adhésion à l'Union des Francs-Pirates, ne pouvait pas laisser faire ses clients ainsi !  Une prime, ne valait pas de se mettre à dos l'organisation qu'elle représentait, impossible.

        Elle décida de tirer ça au clair, le plus vite et le plus violemment possible. Enervée par ce qu'elle pensait être une violation manifeste de la charte de bonne entente entre les receleurs et l'UFP, elle vit rouge et se leva d'un bond, attrapa son verre et l'envoya voler dans la pièce, direction le plus charpenté et le plus déterminé des zouaves qui voulaient la peaux d'Edgard.

        - Ca suffit ! Lança-t-elle de sa voix de stentor, malgré son air de pimprenelle. Maintenant, VOUS ! Vous vous rasseyez ! Et TOI, tu vas me chercher le patron et que ça saute ! Et si on ne lui obéissait pas, elle allait faire un malheur. Car la diplomatie, n'est qu'une main de fer dans un gant de velours. Attention à ne pas échauder la chatte déjà bien tournebouler par son voyage soudain, et un établissement à la qualité pitoyable.

        Mais au fond d'elle, elle savait, elle sentait ... Que ce n'était qu'un coup de sabre dans l'eau, une bouteille à la mer de la connerie humaine ...

          l'âme du samouraï !
          L'honneur ou le déshonneur ne sont pas dans la lame, mais dans la main qui l'empoigne.


          Edgard sentait sa fin arriver, il ne pouvait surement rien faire face à autant d'hommes. Il gardait toutefois à l'œil l'homme ressemblant à un rônin à quatre yeux. Il gardait une posture ultra cool tant elle paraissait sereine mais l'on pouvait toutefois en se concentrant ressentir de légères vibrations dans ses jambes, peut être qu'il était terrorisé à l'idée de terminer son aventure aussi tôt... C'est alors qu'il entendit les paroles de la femme qui avait attiré son attention un peu plus tôt. Sur le coup il affichait un regard rempli d'espoir en direction de celle-ci, voir quelqu'un d'aussi gentil c'était rare ! Peut être pouvait il profiter d'une quelconque manière de sa gentillesse nul ne pouvait changer de véritable nature après tout.
          Toutefois personne ne fût de cet avis, en l'entendant faire sa demande grotesque quasiment tout les hommes de la tavernes se tournèrent vers elle les joues gonflées, puis ils s'esclaffèrent tous en même temps dans un brouhaha digne d'un festival d'été, sauf bien évidemment le samouraï aux lunettes et l'homme tenant le bar qui paraissaient toujours stoïques quoi qu'il ai bien pu se dérouler depuis le début, même le jeune homme dont la vie était en jeu ne pouvait pas s'empêcher de rire avec les autres, demander à des hommes, pour la plupart mercenaires ou chasseurs de prime d'arrêter étant d'un ridicule, il avait toutefois placé sa main devant sa bouche dans la plus grande des classes.


          Fufufufufufufufufufufu !



          Et c'est en même temps qu'il riait, que sa tentative de repli devait commencer, il s'allongeait alors au sol tel une limace de mer sur le pont d'un bateau, tandis que tout le monde avait détourné le regard. Une seule sortie était visible, il se devait donc de s'évader par l'entrée, il n'avait pas d'autre choix que de tenter le tout pour le tout. L'erreur est humaine, c'était peut être pour cela que ce plan était voué à l'échec ? Il n'était même pas à la moitié du chemin vers la sortie qu'il entendit d'hors et déjà les hommes arrêter de rire. Il pu voir durant sa subtile et élégante retraite stratégique comme il aimait à se dire, quelques hommes retourner le regard vers sa position originelle.

          Hé ! Il se fait la malle !


          Sur ces paroles, Edgard exécuta une rotation parfaite de son corps au sol pour se mettre à rouler de coté vers la sortie le plus vite possible. Il parait que c'est ainsi que les ninja réussissaient à s'enfuir la plupart du temps. Enfin c'est ce que disait Jimmy un des laquais de la mafia de Frog Island, et il n'avait jamais vraiment vu de ninja. L'homme de qui tout était parti se tenait toujours devant la porte et il semblerait que notre jeune camarade ne l'eu point pris en compte dans son étrange planification. Erreur de débutant.

          Il est con ou quoi ?

          L'homme se contenta de frapper un penalty digne de France Italie 2002 dans les côtes de l'ancien mafiosi, ce qui stoppa net sa progression et le renvoya sur la case départ. Les autres hommes avaient également réagit encerclant maintenant ce pauvre jeune homme. Tremblant des chevilles au bassins tel un moteur de Harley Davidson, il tentait toutefois de garder un air digne toujours aussi cool qu'a son habitude, il adressait un dernier regard vers la femme qui avait tenté de s'interposer, laissant dans son regard se faire entendre qu'il attendait qu'elle intervienne.

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          Les personnes présentes assistant à cette mise en scène pour le moins déroutante, détournèrent leurs attention un petit instant de notre charmant camarade, le moment où ils reprirent leurs esprits ils ne virent que sa silouhette s'en allant de par la porte de la taverne et ce n'est qu'en le poursuivant qu'ils furent alors abasourdis devant de petites explosions de pétards assourdissants qui furent laissés en guise de cadeau de départ


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