Ces événements se sont passés après qu'Attila est attenté à la vie de son ancien seigneur, à ce moment son dôriki s'élève à 325 et ceux de ses adversaires à 265 et 235 dôriki.
C'était un jour comme les autres, Attila venait tout juste de quitter son ancienne patrie pour vivre une vie de pirate sans foi ni loi. Le brigand venait alors de débarquer au royaume de Bliss par une si belle après midi. C'était la première fois qu'il quittait la contrée lointaine du royaume de Firania, son île natale. A ce moment là il était loin d'imaginer qu'il était prit en chasse par deux chasseurs de primes envoyés par le seigneur Asmodehus son ancien souverain. Bien qu'au fond de lui il savait que c'était son genre, le seigneur de Firania n'était pas homme à laisser un traite en vie qui plus est un homme ayant attenté à sa vie. Néanmoins Attila pouvait se vanter d'avoir apprit ce qu'était la véritable force au côté ce tyran mégalomane.
Le forban se promenait tranquillement dans les rues du royaume, la cité était plutôt pas mal, une forte activité et une technologie qui attirait les foules. En bref un endroit plutôt fréquenté de toutes les ethnies de ce monde.
Les gens vivaient en paix ici, et Attila devant leurs airs joyeux et insouciant n'aspirait qu'à une seule chose, ôter ses expressions mielleuses de leurs visage. Et pour cela seule la peur inspiré à autrui pouvait y aboutir. C'est seulement dans cette optique qu'il trouvait sa source d'inspiration, et quoi de mieux qu'un incendie majeur pour arriver à ce résultat.
Il alla tout de même visiter les environs pour trouver l'endroit qui mériterait d'être brûlé par ses flammes. Ne voyant rien de particulier, il entra dans une taverne pour glaner quelques informations. Des cites particuliers à la culture de cette ville, des édifices historiques, ce genre de chose. Il s'installa donc tranquillement au comptoir. Comme à son habitude, et aller savoir pourquoi, un bédouin bourré venu lui chercher des crosses. Il était tellement habitué à se genre d’accueil qu'il finissait par ne plus s'intéresser à ses interlocuteurs. Avant même qu'il ne finisse sa phrase il attrapa sans lui lancer un regard l'arrière de sa tête et lui explosa sur le bois du comptoir, brisant au passage un verre à moitié vide. La tête de l'individu s'encastra sévèrement mais pas complètement dans le bois. Du sang coulait en abondance du crâne du malheureux, ses yeux étaient devenu tout blanc, signe qu'il était dans les vapes, et pas qu'un peu.
Attila pria le tavernier de continuer la conversation comme si de rien n'était alors que le restes des clients fixaient de manière horrifier la scène du crime. Il était clair qu'il valait mieux ne pas le faire chier ce bonhomme.
Une fois qu'on lui suggéra deux ou trois endroits plutôt côtoyés des habitants et des étrangers de passages, il demanda où il pouvait trouver de l'huile inflammable dans le coin. C'était sans arrêt les mêmes courses qu'il faisait quand il arrivait dans une nouvelle ville. Sa manie de vouloir marquer chaque endroit de son passage par des incendies indélébiles lui venait également de son ancien roi. Vous l'aurez vite comprit, Attila est le genre de pirate dont il faut se méfier à tout les points de vue. Loin d'être un criminel sanguinaire comme beaucoup de ses paires le son, il possède malgré tout une folie risquant de faire basculer ce monde dans le chaos.
Après qu'on lui est montré le chemin, il sortit de la taverne en remboursant tout de même le barman avec la bourse du bonhomme qu'il avait étalé quelque minute plutôt.
Il marcha en déambulant dans la ville pendant plusieurs minutes. Une demi-heure plus tard il arriva enfin au dit lieu, qui d'après les dires du tavernier était le plus réputé du coin. C'était un musé plutôt splendide, avec de belle courbe et une architecture aussi raffinée qu'un ballet de danseuses étoiles. Le pirate inspecta les lieux d'un œil observateur puis finit par rentrer avant de ce faire interpeller par deux vigiles. Quoi de plus normal, un type louche fringué à la délinquant qui veut entrer comme ça dans un lieu publique avec un énorme bidon suspect sur l'épaule, c'est le genre de truc qui met la puce à l'oreille.
Voyant qu'il n'avait aucune chance d'entrer de manière diplomate, il en éjecta un dans le hall d'entrée avec un furieux directe du pieds en pleine cage thoracique, l'homme s'écroula sur quelques mètres derrières en crachant un filet de bave. Le second saisit Attila au niveau de la taille étant donné la différence de taille plutôt conséquente. Son but était clairement de le retenir mais ce dernier l'envoya valser d'une main en le balançant sur un des deux piliers qui formait l'entrée du musé. Ce n'était clairement pas des hommes de combats, mais ils ne manquaient pas de courage. seulement c'est la loi du plus fort dans un monde tel que celui-ci où le désordre et l'insécurité règne par la présence des pirates.
Le pauvre homme s'était déboîté l'épaule et semblait avoir perdu toute trace de combativité. Il se tenu le bras en échappant quelque crie de douleur, pendant que le boucanier marche comme si de rien n'était affichant son sourire diabolique.
L'autre vigile qu'Attila avait envoyé perte, allait se relever quand il se ravisa voyant le force écrasante de son pieds peser sur son crâne. Il essaya tant bien que mal de se dégager mais en vain, car nul ne pouvait battre une telle force de la nature, du moins personnes dans un lieu pareil.
Une fois arrivée à l'intérieur il ne vit rien de très troublant pour le moment, il n'y avait que des aristocrates mal léché et une ribambelle de richou ingrat qui regardaient les tableaux tranquillement en se permettant quelques critiques ici et là avec ce même air hautain qu'ils arboraient tous en permanences. Il y avait de quoi en gerber, c'est vous dire.
Attila se débarrassa du reste des vigiles qui veillaient au bon déroulement de la visite. Ce fut exactement le même schéma qu'avec les précédents. Les malheureux n'avaient aucunes capacités combatives, mais d'un autre côté ils n'étaient pas engagés pour traiter se genre de chose. Après les avoir envoyés au tapis les uns après les autres, le criminel s'avança au milieu de l'immense pièce en traînant un pauvre type sur le sol et prévenu tout le monde qu'ils devaient fuir pour leurs survis.
"Si vous ne voulez pas finir en rôti vous ferriez mieux de dégager illico presto!"
Voyant qu'il ne rigolait pas en dépit de son sourire effrayant, toute la clique s’exécuta sans demander son reste. Bien qu'il était encore inconnu du grand publique Attila restait tout de même un homme peu recommandable.
En revanche il fallait avouer qu'il n'était pas aussi cruel que beaucoup de ses collègues pour avoir la bonté de laisser le choix à des innocents sur leurs droit de vivre ou non. En vérité Attila n'était pas le genre de personne qui voyait dans le meurtre gratuit une source de jouissance quelconque. Pour tuer quelqu'un il lui fallait une raison valable, ou bien qu'on le provoque. En revanche si par malheur vous vous mettiez en travers de sa route lorsqu'il réalise une des soit disant "œuvres", mieux vaut pour vous que vous aillez une bonne assurance.
Et comme il ne voulait pas de cloporte dans les pattes, la meilleur solution était qu'ils se sauvent sous peine d'attiser la colère du pyroman.
Une fois qu'il se retrouva « alone » avec pour seule compagnie les corps inertes ou agonisant des vigiles autours de lui, il lâcha le type qu'il tenait et commença à déverser l'huile inflammable un peu partout. En vérité il dessina quelque chose de particulier cette fois.
Quand il sortit un petit briquet en allumant sa flamme, il le lança sur l'huile, elle s'embrasa et révéla le nom de "ATTILA" marqué un grosse lettre sur le sol. A cette instant il resta quelques minutes en riant de tout son être les bras grand ouvert de chaque côté. Mais alors qu'il jubilait devant son art flamboyant, une voie inconnu venu l'interpeller.
Quand il se tourna pour faire face à ses nouveaux interlocuteurs il vit deux hommes à la peau mâte tout comme la sienne. A en juger par leurs attirails et leurs vêtements il ne s'agissait aucunement de soldat de la marine. L'un d'eux un peu plus petit était vêtu d'un ensemble grisâtre doublé d'une sorte d'armure en cuire qui recouvrait seulement une partie de son torse. Il portait également des brassards rouges et un bandeau frontale où était inscrit une drôle de symbole. Ainsi qu'un long sabre au style katana dans son dos. Le bonhomme à l'allure peut commode avait cependant une sucette dans la bouche rendant son aspect moins monotone et plutôt loufoque dans son genre.
- Spoiler:
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"Hum, vous êtes qui vous?"
Le plus grand prit la parole.
"Ont est des chasseur de primes envoyés par ton ancien seigneur pour te ramener à Firania, vivant si possible"
"Oh oh je vois, ça ne m'étonne pas de ce bon vieux Asmodheus, vous êtes donc des chasseurs de prime de Firania... je n'aurais pas cru que vous viendrez si vite, néanmoins je ne reconnais aucun de vos visages, je peux savoir à qui ais-je l'honneur?"
"Je suis Blink"
"Et moi Jay!"
Blink pointa deux doigts en direction du pirate et ajouta.
"Tu vas devoir te rendre mon gars ou sinon c'est la dérouillé!"
Jay dégaina d'une traite son sabre et le plaça à l'horizontal devant son visage, il semblait déjà bien excité ce jeunot mais son regard menaçant ne vacillait pas, tout comme sa confiance en lui même et sa lame face à un pirate.
"Pour sûr!"
"Ahaha la jeunesse est de plus en plus intrépide, approchez donc qu'ont rigolent un peu!"
Attila jubilait devant l'approche d'un combat qui s'annonçait très intéressant pour les deux partis. Qui du duo de choc et du vieux pirate allait l'emporter... à cette instant nul ne le savait bien qu'aucun camp ne croyait en sa propre défaite face à l'opposant. C'est ainsi que débuta la confrontation musclé d'Attila contre les deux sabreurs.
Blink fonça le premier en s'élançant à toute vitesse sur Attila sans même prendre le temps de dégainer. Attila emboîta le pas de son adversaire en perdant de vue le deuxième qui faisait mine de rester en retrait, c'est alors que les deux combattants s’entrechoquèrent violemment dans un grondement ahurissant.