- On est d'accord qu'il y a bien noté "all inclusive" sur ce billet, non ?
- Bien sûr madame.
- Alors pourquoi tout le monde peut venir dans le spa de luxe VIP ? Je croyais qu'il n'y avait que les personnalités mondiales qui le pouvait ?!
- Malheureusement le spa des classes inférieurs est condamné pour plusieurs heures... Un petit malin s'est amusé à jeter la fontaine de chocolat dedans...
- Un moyen débile de se faire connaitre en dégradant des installation, à tous les coups.
- Aussi, pour cette fois, nous nous excusons mais tout le monde sera accueilli ici.
- Tout le monde sauf Kamahlsson. Je vous préviens, si je la croise ici, c'est pas du chocolat que vous devrez nettoyer, compris ?
- Qu'est ce qu'on a dit Tahgel ?
- Amiral Tetsuda... Décidément, je vais commencé à me plaindre pour harcèlement...
Mais malgré son bob sur la tête et son cocktail surement sans alcool au vu de son air si sévère, Kindachi Tetsuda n'a pas envie de rire à ma blague...
- Ça va, je vais rien faire tant que je ne la recroise pas. Et c'est aussi pour ça que je viens me détendre au spa : pour calmer mes nerfs... Mais peut être que tu en as besoin aussi ?
- Je t'ai à l'œil Tahgel...
Ouais bah j'ai remarqué... Et alors qu'il tourne les talons, je lui fais une grimace qu'il a du capté avec son haki de l'empathie mais je m'en fou, j'ai bien compris qu'il ne pouvait pas me faire grand chose tant que j'étais sous la protection de Sainte Adela machin chose.
Franchement, roulée pour une des descendantes des créateurs du gouvernement mondial à quelque chose d'assez complaisant... C'est terriblement malsain, la révolution serai certainement outragée mais... C'est quand même parfois bon d'être privilégié.
Alors profitant de mon statut outrageux, j'entre dans le spa et choisi un emplacement pour me détendre. Et à peine posée sur mon transat, un des pacifista vient me voir, me donnant la carte des cocktails mais aussi celle des soin du visage.
Et dix minutes plus tard, me voilà allongée sur le dos sur mon transat, un masque chauffant sur le visage, deux rondelles de concombres sur les yeux et un verre de cocktail sur la petite table où ma main est posée, prête à m'abreuver.
Non, vraiment, être privilégiée, c'est le pied.
- Bien sûr madame.
- Alors pourquoi tout le monde peut venir dans le spa de luxe VIP ? Je croyais qu'il n'y avait que les personnalités mondiales qui le pouvait ?!
- Malheureusement le spa des classes inférieurs est condamné pour plusieurs heures... Un petit malin s'est amusé à jeter la fontaine de chocolat dedans...
- Un moyen débile de se faire connaitre en dégradant des installation, à tous les coups.
- Aussi, pour cette fois, nous nous excusons mais tout le monde sera accueilli ici.
- Tout le monde sauf Kamahlsson. Je vous préviens, si je la croise ici, c'est pas du chocolat que vous devrez nettoyer, compris ?
- Qu'est ce qu'on a dit Tahgel ?
- Amiral Tetsuda... Décidément, je vais commencé à me plaindre pour harcèlement...
Mais malgré son bob sur la tête et son cocktail surement sans alcool au vu de son air si sévère, Kindachi Tetsuda n'a pas envie de rire à ma blague...
- Ça va, je vais rien faire tant que je ne la recroise pas. Et c'est aussi pour ça que je viens me détendre au spa : pour calmer mes nerfs... Mais peut être que tu en as besoin aussi ?
- Je t'ai à l'œil Tahgel...
Ouais bah j'ai remarqué... Et alors qu'il tourne les talons, je lui fais une grimace qu'il a du capté avec son haki de l'empathie mais je m'en fou, j'ai bien compris qu'il ne pouvait pas me faire grand chose tant que j'étais sous la protection de Sainte Adela machin chose.
Franchement, roulée pour une des descendantes des créateurs du gouvernement mondial à quelque chose d'assez complaisant... C'est terriblement malsain, la révolution serai certainement outragée mais... C'est quand même parfois bon d'être privilégié.
Alors profitant de mon statut outrageux, j'entre dans le spa et choisi un emplacement pour me détendre. Et à peine posée sur mon transat, un des pacifista vient me voir, me donnant la carte des cocktails mais aussi celle des soin du visage.
Et dix minutes plus tard, me voilà allongée sur le dos sur mon transat, un masque chauffant sur le visage, deux rondelles de concombres sur les yeux et un verre de cocktail sur la petite table où ma main est posée, prête à m'abreuver.
Non, vraiment, être privilégiée, c'est le pied.