Yvraline Valkan Yvraline
Sexe : Femme
Race : SirèneMétier : Médecin
Groupe : Pirate
But : Trouver l'amour, le vrai, le pur.
Équipement : Un simple sceptre, donc le bout ressemble à un éventail de plumes. Il n'a aucune valeur.Parrain : Je pense que je peux dire Red et Izya.
Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Non
Si oui, quel @ l'a autorisé ? ///
Codes du règlement :
Description physique
Arpentant les deux mètres, Yvraline est une sirène svelte pouvant en laisser plus d’un sceptique quant à ses capacités physiques. Et cela sera amplement justifié. Si son esprit est toujours enclin à la découverte et l’exploration de milieu abrupt et sauvage, son corps l’est beaucoup moins. Ne vous laissez pas tromper par ses cuisses épaisses et charnues qui n’ont de raison d’exister qu’à cause des hanches larges de la pirate. Elle est en réalité très peu athlétique. Ses mollets et ses pieds sont fins, cachant un équilibre approximatif et une démarche assurée mais maladroite. Sa taille est fine et son ventre plat. Ses épaules courbées suivis de ses bras élancés laissent peu de place au doute quant à son genre. Sa silhouette est très féminine. De plus, elle supporte une poitrine large l’encombrant bien souvent lors de ses courses. Toute sa musculature est recouverte d’une peau très claire.
Les traits de son visage sont fins et doux. Ses pommettes saillantes soutiennent avec grâce ses yeux bleu océan. Des expressions joviales ornent toujours sa figure. Une bouche légèrement relevée, des dents nacrées et un large sourire, elle aborde toujours d'un air enthousiaste les autres, les invitant à s’adresser à elle. Ses cheveux sont d’un bleu profond rappelant les abysses. Particulièrement longs, Yvraline les laisse retomber sur ses seins et dans son dos sans jamais les attacher. Des mèches plus courtes encadrent son visage et se teignent de reflets d'un bleu plus clair. Elle orne le haut de son crâne d'une sorte de tiare doré qui laisse se dresser sur les côtés de sa tête des nageoires rosées rappelant son ascendance de téléostéen. Loin d'être de véritables nageoires, elle aime cependant cet accoutrement lui attribuant des traits princiers.
Des véritables traits de sirène, elle possède son épaisse nageoire caudale remplaçant ses jambes dès qu’elle entre dans l’eau. Ses écailles nacrées renvoient des reflets rosés et l’extrémité de sa queue se termine en un voile fin et translucide. Ce dernier rappelle bien souvent les tenues légères et amples dont elle s’habille, aimant laisser de longs morceaux de tissu voler derrière elle quand elle se déplace.
Description psychologique
Yvraline aime son prochain et ce, même si ce dernier ne lui rend pas. Elle est persuadée que personne n’est foncièrement mauvais et que tout le monde peut arriver à s’aimer, même si pour ça, il faut qu’elle force un peu. Elle a du mal à comprendre lorsqu’elle va trop loin. S’immisçant facilement dans l’intimité des gens, elle est loin d’être pudique. En revanche, elle reste extrêmement pure vis-à-vis des relations charnelles. Pour elle, le seul et vrai amour est celui qui est passionnel. Voyant les relations amoureuses comme des utopies romantiques nappées de pétales de cerisiers voletant de çà et là.
Si la jeune femme peut paraître naïve au premier abord, c’est qu’elle l’est. Il est très simple d’obtenir sa confiance et de lui faire croire à des mensonges. Elle ne remet que rarement en question la parole de ses interlocuteurs. Loin de comprendre le sarcasme, elle prend bien souvent les choses au premier degré avant d’afficher un regard d’incompréhension lorsque les gens lui en font la remarque.
Extrêmement curieuse et très peu dégourdie, elle se retrouve souvent dans des situations délicates. Pourtant, une fois sorti du pétrin, il est bien rare qu’elle retienne la leçon. Elle a toujours été une grande exploratrice dans l’âme et une femme facilement distraite. Cependant, cela fait d’elle quelqu’un de très enthousiaste et de facilement émerveillé. Un mal pour un bien.
Yvraline est accueillante et attentionnée vis-à-vis des étrangers. Très altruiste, elle se sent obligée d’aider quiconque est dans le besoin. Elle n’est pas, et ne sera jamais, indifférente devant le malheur des autres. Elle porte toujours une oreille attentive aux problèmes. Si elle aime garder les secrets et se sentir privilégiée dans sa relation avec une tierce personne, elle fera en sorte de ne jamais trahir cette confiance. À côté de ça, elle est très émotive et sensible.
Cependant, Yvraline n’est pas quelqu’un de particulièrement loyal. Elle n’a ni véritable cause, ni véritable attache. Elle aime tout le monde et peut suivre n’importe qui qui lui demande simplement. Considérée comme une girouette par beaucoup, elle est portée plus par la volonté d’aider tout le monde que par l’envie de se trouver un groupe d’appartenance. Étant fille de pirate, il est évident quelle en est une aussi.. Comme si la volonté d’écumer les mers et trouver des trésors étaient héréditaires, elle n’a jamais remis en question ce qu’elle était. Seulement, si on lui demande qui elle est, elle se présente comme médecin avant de se dire pirate.
Biographie
C’est l’amour qui est responsable de cet énergumène. Un amour simple, si simple qu’il ne durait pas dans le temps. Il ne fallut pas plus de quelques jours après la ponte pour que le triton et la sirène s'éloignent. Dans le cœur de la sirène, il y avait un autre homme, un homme-poisson. Un pirate, mieux un capitaine, qui écumait les mers avec simplicité et depuis quelques années, représentant la liberté et la découverte que la sirène avait finie par chercher pendant longtemps. C’est donc son œuf sous le bras qu’elle rejoignit l’équipage, laissant le triton sur l’île des hommes-poissons. Sur le bateau avait été aménagé un bassin juste pour la sirène et celle en devenir. Bien que les premiers temps leur présence fût quelque peu contestée par leur absence de véritable rôle, rapidement la sirène se montra maître dans l’utilisation des plantes marines et terrestres. Elle n’avait pourtant encore jamais posé pied-à-terre mais elle savait déjà tout de sa flore. Que ce soit des livres, des échanges avec les humains de passage sur son île natale ou de la passion de ses propres parents pour les végétaux, elle avait rapidement appris. Médecin devint alors une place toute trouvée et quelques années après, la capacité de marcher sur le sol des terriens acquises et alors il ne resta plus qu’une sirène dans le bassin.
Yvraline était une enfant … un peu spéciale. D’un émerveillement sans pareil et d’une curiosité parfois dérangeante. Toujours à interroger les pirates de l’équipage qui s'amusaient à lui raconter des mensonges avant de se moquer de sa naïveté. Si Yvraline ne leur portait aucune rancune, ils finissaient toujours par se faire alpaguer par la mère de la demi-poisson depuis devenue seconde du capitaine. Ce capitaine que la jeune sirène nommait papa sans la moindre hésitation. L’absence de réelle discussion autour de l’origine de sa naissance n’aidant pas, Yvraline avait toujours considéré l'amoureux de sa mère comme son père. Et cela même s’il s’agissait d’un homme-poisson au trait éloigné de ceux de la jeune fille.
Cependant, seule dans son bassin et sans avoir la possibilité de suivre l’équipage à terre, Yvraline s’ennuyait. Alors elle se mit à lire. Lire tout ce qu’elle avait à sa portée, lire tout ce qu’elle voyait au loin et rêver, imaginer de ce qui pouvait se passer par-delà le bord des constructions qu’elle distinguait de sa place. Elle voyageait, sans véritablement le faire. Parfois elle essayait de sortir, sautillant sur le bord de son bassin, au centre du pont principal, avant d’être remise à l’eau par sa mère. À la fois furieuse et inquiète, elle ne savait jamais trop quoi répondre à cette enfant prisonnière de son cercle d’eau. Elle avait elle-même oublié depuis le temps ce que cela faisait de ne pas posséder des jambes. Elle commença alors à lui passer la moindre demande, le moindre caprice.
Heureusement pour eux, Yvraline n’était pas une enfant très demandante. Sa seule volonté était de découvrir plus en profondeur le monde et alors que le bateau quittait les eaux de Grand Line pour retourner sur East Blue, la jeune sirène maintenant âgée de plus de 10 ans, avait lu plus de livres que certains savants de ce monde. Et si les connaissances retenues n'étaient finalement moindres que le nombre lu Yvraline devint rapidement une femme très cultivée pour l’équipage à l’esprit rustre et élémentaire. Puis un jour, son monde s’effondra. Phillibert ne devint pas un magnifique papillon de mer.
Phillibert était un concombre de mer. Orangé et boursouflé, il était rapidement devenu l’animal de compagnie et meilleur ami d’Yvraline. Seul compagnon dans son bassin d’eau marin et principal collaborateur de la Yvraline corporation, qui n’avait pour but que d’imaginer des relations amoureuses hypothétiques entre des personnages d’univers romancés, Phillibert était tout pour la jeune sirène. Alors le jour où elle découvrit, en feuilletant les pages d’un livre se désignant comme l’encyclopédie ultime de la biologie marine, elle découvrit d’emballer un concombre de mer d’algue verte lui permettrait au bout de quelques jours de se transformer en magnifique papillon de mer, elle n’eut aucune hésitation. Phillibert dans une main, des algues vertes et luisantes dans l’autre, rapidement, le concombre orangé eut l’apparence d’un maki pas frais. Puis, déposés délicatement au fond du bassin, la sirène laissa s’écouler quelques jours. Mais il ne se passait rien. Pire, qui eut cru que boucher les orifices naturels d’un animal pendant plusieurs jours suffirait à mettre fin à sa vie. C’est donc au cours de l’année 1609 que Phillibert, premier du nom, tomba au combat.
Après ces événements, Yvraline ne lisait plus de livre de biologie marine. À la place, elle avait rempli son esprit d’histoire d’amour, de chevalerie, et encore d’amour. De romance impossible ou bien totalement possible. Peu l’importait. Elle voulait lire de la passion et des pétales de rose. Ce travers la suivit bien longtemps et encore maintenant, elle semble persuadée que la vie est pleine d’amour. Amour que, âgée de 20 ans, elle commença à chercher. Toujours coincé dans son bassin, c’est donc vers les membres de l’équipage qu’elle se tourna en premier. Pourtant, peut-être que vivre avec la sirène depuis toutes ces années n’avait pas aidé à voir la jeune fille comme une femme. Ou bien l’histoire avec Phillibert lui avait donné mauvaise presse … non sûrement pas. Essuyant refus sur refus, la jeune fille se mit à profiter du temps à terre des hommes pour explorer les bords des îles à la recherche de potentiel amant. Mais en dehors de vieux pêcheurs ou de gros rochers, il y eut peu de rencontres. Soit, la jeune femme attendit les dix années restantes, devenant alors médecin suppléant de l’équipage. Suivant les traces de sa mère, elle exerçait sur le bateau jusqu’à son trentième anniversaire. Ce jour-là, elle obtenu enfin le premier pas vers la liberté et l’exploration : une paire de jambes. Bien pratique pour marcher sur la terre des îles pirates. Et c’est comme ça qu’elle commença son voyage.
Informations IRL
- Votre prénom / pseudo : Fate/Entrer l'Accusée
- Êtes-vous majeur ? Bien sûr
- Vous aimez / n'aimez pas : J'aime rager, donner mon avis quand il est pas demandé, bouder dans mon coin quand je suis frustrée. J'aime pas apprendre les choses au dernier moment et les gens qui parlent pas ouvertement des problèmes quand il y en a.
- Votre personnage préféré (de One Piece) : J'aime pas One Piece. C'est pas une réponse ? Bon bah, par défaut je dirais le Renne avec le chapeau.
- Vous vous définiriez comme : Gros geek, joueuse de LOL donc automatiquement une énorme rageuse.
- Vous faites du RP depuis : 6-7 ans (en vrai je sais plus)
- Vos disponibilités (approximatives) : Discord tous les jours, pour répondre une fois par semaine je dirais.
- Comment avez-vous connu le forum ? Je connais des joueurs ici, qui sont ... disons haut placé. Ils m'ont parlé de OPR et m'ont dit "hé viens c'est super cool les pirates" sauf que j'aime pas One Piece de base. C'était il y a fort longtemps et c'est que maintenant que j'arrive. J'ai trainé la patte.
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Dernière édition par Yvraline le Mar 27 Sep - 20:22, édité 8 fois