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Comment ça un Zoo ? C'est le paradis ici !

La veille, Ginka Fû et Rio venaient de déposer les anciens révolutionnaire et de récupérer leurs primes. Ils s'étaient quitté en bon termes et désormais le blond était de nouveau livré à lui même. Bien qu'il avait l'impression d'avoir dormi des jours durant à cause des médicaments que lui avait refilé les médecins ainsi que le chasseur de prime fanatique des herbes, le blondinet était encore épuisé à cause des blessures que lui avait causé le combat qu'il avait eut il y a quelques jour. Il avait l'air fin avec ses bandages recouvrant la totalité de son buste. 

S'il avait l'habitude d'être en convalescence à cause de sa chère et tendre mère bien trop dur avec lui lors de ses entrainements, pour une fois Fû ne faisait pas le fier puisque dépenser de l'énergie dans son état était non-seulement proscrit par les médecins mais aussi douloureux. Imaginé bien qu'il était difficile pour lui de trouver un endroit tranquille pour se reposer dans une ville ou la végétation se faisait rare, pas introuvable cependant. C'était en se baladant à la recherches du spot ultime qu'il découvrait un endroit dont il avait uniquement entendu parlé jusqu'ici. Un zoo, des endroits fleurit et avec des spots de repos à foisons ! Un rêve éveillé que vivait notre paresseux en herbe. En parlant de l'animal le plus proche de sa condition physique quotidienne, il croyait rêvé en passant devant leurs enclot, des arbres pouvant adopter à merveille les courbures de son dos, de la végétation a foisons pour lui permettre de se mettre à l'ombre et surtout des voisins tout aussi énergique que lui qui ne viendront pas l'ennuyer. Le paradis sur terre !

En moins de temps qu'il ne fallait pour le dire ou plutôt pour réfléchir à cette idée. Fû avait sauté la barrière pour se rendre dans la cage des paresseux. Il y restait quelques seconde à découvert ignorant les cris des visiteurs et autres personnes lui sommant de sortir de là, avant de trouver le spot idéale. La place n'était pas prise et il avait l'impression qu'un halo de lumière lui désignait la place comme s'il s'agissait de la providence lui sommant d'y poser ses fesses pour se reposer.

"Mais sortez de la jeune homme ! Vous allez déranger les animaux ! Ca va pas la tête ?!" Hurlait un vielle homme avant de se rendre compte que le jeune blond n'en avait rien à faire des remarques qu'il pouvait lui faire. 

Ainsi Fû ignorant pendant plusieurs minutes les remarques qu'on lui balançait et s'étant confortablement installé, commençait à lentement fermer les yeux pour se joindre au pays des songes...

Après quelques minutes de sommeille mérité mais toujours pas suffisante pour se remettre d'aplomb, Fû était réveillé par un boucan se produisant à nouveau devant la grille. Persuadé que les visiteurs du Zoo avait fini par abandonné l'idée de le faire sortir, il ouvre tout de même les yeux pour voir ce qu'il se passait. Peut-être allait-il voir quelques choses de divertissant ?

"Par ici, par ici ! C'est la cage des paresseux, c'est la qu'il est rentré !" Disait l'un des gardiens du Zoo à une personne que Fû ne pouvait pas encore apercevoir tant il s'était parfaitement camouflé dans la végétation l'entourant. "Il a sauté par dessus comme s'il était capable de volé ! Je l'ai vu comme je vous vois ! Puis le temps que je viennes chercher de l'aide, il a disparu..." Continuait le garde avant d'être repris par le vielle homme. "Non, non ! Il a pas disparu, il s'est enfoncé dans la végétation ! Je l'ai vu, je suis resté la moi !" Confirmait-il alors que Fû ennuyé par toute ces discussions intempestive, s'était bouché les oreilles avec ses doigts pour cesser d'entendre tout ces gens brailler.
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Aujourd’hui c’était jour de garde. Comme un roulement bien huilé mais être trop graisseux, l’organisation militaire sur l’île tournait comme sur des roulettes. Chacun son tour, chacun son poste et tout allait bien dans le meilleur des mondes. Certes il y avait toujours des petits écarts, des nuisances ici ou là, du vol à la tire, des course-poursuites louches et toutes ces façons de contourner la loi. C’était d’ailleurs pour cela que j’étais de patrouille dans les rues cette fois-ci, afin de garantir au mieux la tranquillité de la population et de permettre aux gens de mener à bien leurs activités sans encombre.

Vêtue de l’uniforme réglementaire et d’un fusil homologué dans le dos tenu par une magnifique sangle de cuir et de broderies que m’avait offerte mes grands-parents. Plusieurs de mes camarades m’enviaient d’ailleurs ce magnifique présent que j’étais si fière d’afficher durant mes longues heures de travail.
Par groupe de trois donc, nous patrouillons à travers la ville et les petits patelins que comportaient l’île, saluant les braves commerçants et les marins dans leur labeur, rappelant à l’ordre éventuellement certains écarts au règlement mais autant que possible par la voie de la diplomatie plutôt que la répression. Après tout nous sommes là pour assurer leur sécurité. Ce sont nous les gentils, pas ces vils pirates.

C’est au moment de passer non loin du zoo que notre attention fut attirée. Un attroupement anormal grossissait de seconde en seconde devant l’une des cages. Et un homme effaré accouru, totalement hébété par ce qu’il venait de voir. Un inconnu de sexe masculin s’était infiltré dans la zone protégée et y avait disparu en profitant de l’épaisse végétation au moyen d’une capacité de vol. Probablement quelqu’un ayant mangé un de ces fruits du démon.

« N’ayez crainte nous allons nous en charger. Périmètre de sécurité, dispersion de la foule, moins il y aura de monde plus vite le problème pourra être solutionné. Exécution. »

Les deux soldats qui m’accompagnaient approuvèrent de la tête et s’empressèrent d’agir pour faire reculer tous les curieux et rassurer les éventuels inquiets.

« Qu’allez-vous faire Lieutenant ? » Demanda le civil.
« Mon travail. Merci pour le signalement, vous pouvez retourner à vos occupations. »

La réponse était sèche et ne permettait aucune répartie. Les yeux bioniques grands ouverts scannant la végétation derrière la haute grille, je ne repérais aucune trace de l’organisme étranger, seulement des feuillages dérangés par son passage. Il y avait bien eu quelqu’un sur cette branche et celle-ci avant de s’enfoncer plus encore. Du braconnage ? A ma connaissance le paresseux ne valait rien sur le marché, qu’il soit légal ou illégal. Et puis faire cela en plein jour avec une garnison militaire toute proche, ce n’était pas très judicieux.
Je pris appuis sur les ressors de mes jambes et bondis brusquement par-dessus la grille avec une petite pirouette au sommet pour éviter une délicate mésaventure, pour retomber avec une surprenante souplesse de l’autre côté sous les « ooooh » du public. Ça faisait toujours son petit effet, héhé.

En silence maintenant je me glissai à mon tour dans la végétation, le plus délicatement et silencieusement possible pour ne pas déranger les habitants à poils longs. Et au bout de quelques minutes à fureter je relevai la tête sur une silhouette qui n’avait de paresseux que le comportement. Il avait l’air de dormir, ou au moins d’essayer de dormir. Mais pourquoi ici ? Il y avait pleins d’autres endroits pour cela, à commencer par les hôtels.

« Hey pssit, hey vous là. Descendez immédiatement. Vous n’avez pas le droit d’être ici ni même de dormir ici. Descendez, exécution. »
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A peine notre Fû avait-il eut l'occasion de véritablement s'endormir qu'un autre évènement pour l'empêcher de se reposer survenait. Une voix venant lui sommer de descendre sous prétexte qu'il n'avait pas le droit de dormir. Selon qui ? Cela allait vite l'ennuyé d'être ainsi importuné par un inconnu et encore plus si ce dernier comptait lui donner des ordres. Il comptait bien l'ignorer mais après avoir ouvert un oeil pour regarder qui lui parlait, le blond eut un grand soupirement à son encontre.

"La marine ici ? Pourquoi faire ? Ya un meurtrier ou un truc du genre dans le coin ?" Demandait-il avant de refermer l'oeil ignorant complètement l'ordre qu'il venait de recevoir pour le faire descendre. Dépenser de l'énergie pour sortir du paradis sur terre ? Pas la moindre chance que le Ginka bouge d'un seul milimètre. "Vous devriez parler moins fort et être un peu moins agressif. Les paresseux c'est lent, mais ca fait très très mal quand ils se sentent menacé." Ajoutait Fû alors qu'un paresseux s'avançait lentement vers lui avant de venir l'enlacer comme s'il souhaitait le protéger ou plutôt parce que notre blond semblait si paisible et calme dans sa façons de se parler et de se tenir que l'animal n'avait même pas réalisé qu'il ne s'agissait pas d'une branche d'arbre inoccupé. "Toi tu me comprends..." Disait-il à l'animal de manière stoïque avant de bailler et d'observer la soldate sous lui.

"Je vous déconseille vivement de bouger trop." Ajoutait-il alors qu'un autre paresseux s'était accroché à la jambe de la jeune femme. "Enfin moi je dis ça... La protection animal ca fait aussi partie de vos obligations dans la marine non ? Les paresseux ne bouge pas lentement uniquement parce qu'ils sont flemmard, c'est aussi parce qu'ils ont une pression sanguine très basse. Faites augmenter un peu trop leurs battement de cœur et... paf... La crise cardiaque." Finissait-il alors que de son côté on pouvait apercevoir qu'il n'avait pas bouger d'un millimètre depuis que l'animal c'était accroché à lui.

Il n'avait donc pas hésiter à mentir pour qu'on lui foute la paix puis surtout il s'imaginait que la jeune soldate allait gentiment faire demi-tour quand soudainement il sentait que l'un de ses arguments avait décidé de se faire la malle. Le paresseux qui s'était accroché à lui et lui servait accessoirement de couverture était désormais en voyage vers un endroit un peu plus frai. La température d'un corp humain étant un peu trop élevé à son gout...

"Eh merde..."Disait-il avant de se dresser droit comme un mat tout en restant perché sur sa branche. "C'est pas illégale d'empêcher les gens de dormir ?" Demandait-il à la femme avant de s'étirer légèrement. "Ca devrait l'être !" Ajoutait-il avant de faire du parcourt de branche en branche pour tenter de trouver une cachette un peu plus viable que celle que la soldate avait trouvé.
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Hélas l’individu refusa. Et sa façon de faire était d’autant plus révoltante qu’il osait prendre de haut une représentante de l’autorité publique ! Outrage ! L’imbécile heureux ne voyait même pas ce qu’il faisait de mal, bon sang !

« Dormir n’est pas interdit, c’est le lieu qui pose problème. » M’efforçai-je de répondre le plus calmement possible malgré la tension croissante dans mes veines. « Si vous voulez dormir il y a des hôtels tout confort pour ça, ou une cellule cosy, chauffée et à l’abri de la météo si vous continuez à faire le malin. »

Je ne voulais pas trop bouger pour autant, car comme il l’avait lui-même remarqué un paresseux était venu entre temps admirer mes chaussures. Peut-être attiré par leur état parfaitement impeccable et lustré qui détonnait dans cet environnement naturel faussement sauvage.
Malgré tout je tentai de me défaire de son emprise de plus en plus resserrée autour de ma jambe. La taille de ses griffes ne rassurait pas plus que la lenteur de son métabolisme. Bon sang, comment est-ce qu’une telle chose peut survivre dans la nature ? Le temps de réagir elle se sera déjà fait dévorée.
Soigneusement je pris la créature sous les bras en les écartant juste assez pour libérer mon pied de ses longues excroissances tranchantes, puis souleva la bête pour la déposer sur la branche la plus proche.

« Accroche-toi bordel, je n’ai pas que ça à faire. Aller. Accroche. Bon ça me soul, tu resteras par terre. »

La patience dans la Marine, une légende. Fort heureusement l’individu avait entre temps décidé de descendre de son perchoir. Ou pas. Il se déplaçait maintenant de branche en branche pour changer de coin ? Non mais le culot !
A coup de ressort je profitai d’être débarrasser momentanément de toutes les bestioles alentours pour me propulser à sa hauteur et attraper son poignet, faire une clé de bras et le plaquer contre le tronc dans le même mouvement.

« Ça suffit je vous embarque, vous pourrez dormir autant que vous voudrez en cellule. »

Mais ça aurait été trop facile n’est-ce pas ? Beaucoup trop facile, car avec tout ce remue-ménage nous avions attiré l’attention de toute la faune locale. Des dizaines et des dizaines de paires d’yeux fixés sur nous. Profitant de la proximité je baissai la voix à l’oreille du délinquant tout en resserrant bien ma prise métallique contre les os de son poignet.

« Vous allez descendre bien gentiment de cet arbre, sans geste brusque et m’accompagner à l’extérieur. Est-ce clair ? Je n’accepterais aucune autre réponse que oui. »
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Alors que Fû n'aspirait qu'à retrouver des forces paisiblement dans un petit coin de paradis trouver au hasard, il était en train d'user de ses forces pour fuir le nuisible de la marine qui avait décider de l'empêcher de profiter de sa trouvaille. Bien qu'il ne comprenait pas en quoi sa présence pouvait déranger les animaux environnant étant donné qu'il était tout aussi énergique qu'eux, il avait bien saisit que la jeune femme frigide ne le laisserait pas filer à son bon vouloir.

Dans un grand soupire en la voyant se rapprocher dangereusement d'elle, il se laissait tomber de tout son long de sorte à amortir sa chute et celle de sa poursuivante. Maintenu au sol par une prise qu'il reconnaissait tant sa mère la lui avait infligé, le blondinet grimaçait légèrement de douleur n'étant toujours pas remis de son précédent combat. Avec un calme olympien et ce en dépit de la situation dans laquel il était rétorquait. "Aie... C'est bon, j'ai compris... Lâchez moi... Je vais sortir. C'est quoi ces manières de marine sur cette île ? Jamais j'aurai été traité comme ça sur Shimotsuki, et pourtant... C'est une véritable bourreau..." Laissait-il s'échapper de ses lèvres attendant que la femme le laisse se mouvoir.

Cependant Fû bien que soumis, était incapable de rester plus longtemps dans cette posture et la femme pourrait rapidement le comprendre en voyant sur son dos une large trainée de sang se former. Ses points de suture était très clairement en train de lâcher. "Non... Vraiment... Lâch.. Lâc..lâ..." Il commençait alors à tourner de l'oeil comme si la fatigue l'avait prit de court et qu'il était en train de s'évanouir. Après plusieurs seconde, voir minutes, il reprenait ses esprit en secouant la tête. Incapable de savoir combien de temps ses yeux s'étaient fermer il semblait lutter contre une fatigue provoquer par la perte de sang occasionnée par la prise de la jeune marine.
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L’homme se plaignit aussitôt et l’inverse aurait été louche, mais je m’attendais à bien plus de résistance de sa part, surtout après son comportement. Il rouspétait et réclamait sa liberté, que je me calme et que je le lâche, ce qui était bien entendu hors de question. Si on devait obéir à tous les malfrats sitôt qu’ils exigent quelque chose, on ne s’en sortirait plus.
Cependant c’est en voyant tout ce rouge traverser peu à peu sa chemise que je compris qu’il y avait un souci, et un gros. Immédiatement je lâchai ses bras alors qu’il semblait être sur le point de perdre connaissance. Mais enfin ! Punaise la tuile. Bordel pourquoi il faisait le malin s’il était aussi mal en point ? Rah merde …

J’étudiai rapidement mes options alors que nos agissements attiraient les bestioles curieuses. Première étape, sortir d’ici. Ensuite l’hôpital, on verra après pour le séjour en cellule.
Remerciant généreusement mon paternel pour ces bras aux pistons surpuissants je soulevai l’inconnu blessé sous les genoux et les épaules, comme une Princesse oui, et sautai de l’arbre avant d’être définitivement envahit de paresseux.

« Rester avec moi, les yeux ouverts et ne m’obligez pas à vous coller des tartes pour vous garder éveiller. »

La douceur dans la Marine, une délicieuse illusion.
En vitesse je couru jusqu’à l’immense grille mais avec un corps à transporter en plus il était trop risquer de sauter au-dessus comme à l’aller. Le public était d’ailleurs toujours là derrière, bien plus nombreux que tout à l’heure, tous à chercher le prochain rebondissement ou la prochaine péripétie à se mettre sous la dent. Et surtout aucun pour proposer son aide, ça non !
A la suite d’un soupire je fis demi-tour, ignorant totalement les animaux eux aussi avide de nouveaux évènements, je grimpai rapidement la branche la plus proche de la grille et m’en servit comme tremplin pour passer au-dessus. Inutile de vous dire que nos deux poids couplé à la gravité firent très mal à mes engrenages. J’avais besoin d’une pause, même de quelques secondes alors que la foule commençait déjà à se reformer autour de nous.

« Ça va ? Hey oh réveillez-vous. Oh ouvrez les yeux c’est un ordre. Je vous emmène à l’hôpital, vous pouvez marcher ? »
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Le repos dûment mérité n'avait été que de courte durée. Si Fû avait l'impression qu'il était réprimé pour pas grand chose, il réalisait tout de même à son réveil qu'il était dans de beau drap avec une marine cyborg bizarre sur le dos. Bien qu'il n'avait pas sentit une grande force le poussant à lui obéir, il était dans un état bien trop piteux que pour continuer de résister. Aussi, il n'avait pas du tout envie de s'attirer les foudres de la marine, il pourrait être compliqué pour lui d'apporter des criminelles pour gagner sa vie s'il était lui-même rechercher.

Quoi qu'il en soit, lorsqu'il entendit la question que la jeune femme venait de lui poser il se redressa lentement pour ne pas aggravé son cas. Douloureusement mais néanmoins silencieusement, il opinait du chef avant de la suivre. C'était une fois arrivé à l'hôpital qu'il réalisait qu'au final, séché les soins la dernière fois n'était absolument pas une bonne idée, pire elle était très mauvaise cette idée et il aurait mieux fait de s'abstenir de partir le plus vite possible.

"On est pas partit du bon pieds toi et moi..." Avait-il lancé à l'attention de la jeune marine. "J'trouvais juste l'endroit sympas et j'voulais me reposer." Finissait-il avec son stoïcisme légendaire. C'est à la suite de ses paroles que Fû était prit en charge par les médecins et infirmière, ceux constatait avec effroi le traitement qui avait été infligé au blondinet, bien qu'il avait l'habitude de ce genre de cas l'une s'était tout de même targué de dire à la jeune marine. "Je ne sais pas si qu'il à fait pour mérité un telle sort madame, mais il faut choisir entre les tuer et les capturer, si vous nous ramenez encore des patients comme celui-ci pas sur qu'on puisse les soignés !" Fit-elle avant de suivre la masse et de rejoindre Fû qui était directement amené au bloc opératoire.

Finalement, Fû fut opéré et mis sous surveillance. Après avoir épluché son dossier médicale, les médecins c'était rendu compte qu'il avait quitté l'hôpital de Pétales sans demander son reste. Ils avaient pu identifié cela grâce à Fû qui leurs avait expliqué que son état n'était pas dû au traitement que lui avait infligé la marine mais à une bataille qu'il avait mené sur l'île précédemment mentionné il y a quelques jours de cela. Ce n'était qu'après une petite semaine de repos forcé mais tout fois apprécié par le principale concerné, que notre blondinet fut autorisé à sortir. Il s'attendait à devoir rendre des comptes à la marine et n'en avait pas vraiment envie. A sa grande surprise, il n'eut personne pour l'escorté à sa sortie, pas de garde de la marine prêt à lui sauté dessus, pas d'infirmier souhaitant lui donné des consignes, rien. Était-il à nouveau en train de s'échappé de ses soins ? Avait-il vraiment l'autorisation de sortir ? C'était-il trompé de jour ? Il n'en avait pas la moindre idée mais puisque personne ne lui barrait la route, il finit par prendre le chemin du port. Décidément, le paradis n'était pas un endroit facile d'accès, une leçons que Fû avait apprit avec la manière forte.
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