Bakasaru Yukikurai [Présentation Terminée]

Bonjour à tous voilà ma présentation, qui quand je l'ai colé de word sur le forum ça m'a fait plein de grimace de mise en page que j'essaierai de régler demain. Désolé et bonne lecture.

Édit: Ça y est j'ai réussi à lui remettre une forme convenable. L'image que j'ai mise est surement trop grande je peut la changer si ça gène. J'ai relu les règles et j'ai quelques questions sur les 8 techniques à créer. On les crée quand, ou, comment et avec quel restriction?

Édite 2: Modification, rajout de partie manquante. Relecture demain, mais le fond est complet maintenant.


>> Bakasaru Yukikurai

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Pseudonyme : Yuki
Age: 25
Sexe : Homme
Race : Homme
Rang : /
Métier : Forgeron/Savant/Chasseur-assasin
Groupe : Révolutionnaire, je pense
Déjà un équipage : Non
But :Forger des armes qui auraient la qualité d’être dans le Meitou. Créer des armes innovantes se basant sur des propriétés physiques comme le magnétisme et l’électricité.
Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : Pas de fruit du démon.
Équipements : Mon marteau de forgeron dont je ne me sers pas comme arme. Un Wakizashi de 60cm qu’il a forgé lui-même, Mizuseisaku (est-ce que ça pourrait être un Meitou le plus bas?).
Armes suivante à forger, un poing américain et un « pied américain » en granite marin.

Codes du règlement (2) :

Parrain : Blacrow L. Rachel

>> Physique

Yukikurai est un humain qui peut être caractérisé par un adjectif, transparent. Quand on le remarque enfin, on se demande comment il se fait qu’on ne l’ait pas aperçu plus tôt que cela. Son mètre nonante, qui lui permet de voir au-dessus de la majorité des gens, ses cheveux et ses yeux bleus presque blanc devrait le rendre visible de loin et pourtant ce n’est pas le cas. En même temps, ce sont les seules choses remarquables de l’apparence de Yuki. Il porte un long manteau brun, avec une capuche profonde et de grandes poches de chaque côté. En dessous de son manteau il porte un gilet noir à tirette qui semble faite dans un coton épais, doux et chaud. Il porte encore en dessous, un singlet blanc avec le nombre onze dessus. Il n’est plus tout blanc, quand on regarde bien on s’aperçoit qu’il est comme roussi par la chaleur de la forge. Son pantalon, lui, est un pantalon sombre de forgeron épais avec plein de poches.

Physiquement, il n’est guère impressionnant. Il est grand et élancé, ses 80kg de muscles ne se voient pratiquement pas. Il n’est pas de ceux dont les muscles gonflent tel des ballons de baudruches. Ses muscles sont longs et souples, lui conférant la même puissance, mais avec moins de volume musculaire qu’un bodybuilder. Étant apprenti forgeron depuis l’âge de 12ans, il est habitué au travail dur et son corps est bien solide, endurant avec la peau épaisse comme du cuir.

Si ses vêtements et sa carrure font de lui un homme discret c’est surtout parce que sa démarche est souple et silencieuse, presque féline.

>> Psychologie

Que serait un homme transparent sans un charisme de bout de bois. Rien. Si son physique passe aussi inaperçu c’est qu’il ne se dégage aucune aura de Yuki, le charisme d’un conifère. Certaines personnes ont l’air cool, d’autres ont l’air dangereuses, lui a juste l’air de ne pas être là, de faire partie du décor.

Outre son manque de charisme, il est crédule, presque autant que Chopper. Une fois que vous avez passé le cap où il se méfie de vous, il peut presque vous faire confiance aveuglément et sauter du pont si vous lui dites que c’est pour son bien.

Il est méfiant et ce depuis son plus jeune âge, car les autres enfants et les adultes de son village le méprisait. Les enfants lui jouaient des tours, tous les jours, grâce à cela il a appris à se méfier et à analyser rapidement ce qui se passait autour de lui. Lui évitant ainsi, de tomber dans des trous profonds, des pièges à ours et autres joyeusetés.

Face à un adversaire sa seul et unique priorité est de sortir vivant du combat avec ses éventuels compagnons. S’il est seul il préféra la fuite à un combat d’orgueil perdu d’avance. Par contre, s’il a des choses à protéger, il se montrera un combattant déterminé et pugnace.

Ce qu’il aime le plus, ce sont dans l’ordre, la bière, la viande, le métal, la nature et la chasse. Aimer le métal et la nature, cela peut paraitre antagoniste, mais sa grande intelligence reprend le métal comme une singularité de la nature. Il possède lui aussi sa volonté, sa vibration et ses propriétés, comme un animal sauvage.


>> Biographie

L’île d’où est originaire le jeune Yukikurai est une ile assez sauvage de North Blue. Elle est vraiment très petite, ne possédant que deux villages. Le premier s'est implanté au nord avec vue sur North Blue. Le second, celui de Yuki a les pieds dans Calm Belt. Haruame s'est son nom n'est pas situé sur les routes habituels de navigation. Ce qui fait que bien souvent les gens qui y accostent, se sont perdu ou échoué. De par sa situation géographique, la nature a pu continuer à dominer et l’homme n’a pratiquement pas modifié son environnement. Il y a de grandes forêts denses, habitée par des animaux sauvages et quelque plaine menant à la mer. Le climat est plutôt chaud et les hivers y sont doux, sans neige, ni gelée. La nature y est généreuse, de nombreuse plantes comestibles poussent en abondance et le gibier foisonne. C'est pour ses raisons que les habitants de l'ile l'ont nommé Haruame, « la pluie du printemps » qui apporte l'abondance. Toutes les conditions sont réunies pour que les hommes qui vivent sur cette ile, développent une société de chasseur, cueilleur. Cette communauté que vous trouvez sans doute archaïque, l’est. Ils vénèrent la force et l’habilité de leurs chasseurs et guerriers. Ils sont aussi très croyants, ils vouent un culte à la déesse de la chasse et la nature Kitsune. S'ils vouent un culte à la déesse renard, c'est que vivent sur l'ile trois ou quatre espèces de monstre géant capable de tuer les chasseurs et de détruire le village. Les accidents arrivant souvent, ils en sont arrivé à imploré la déesse au forme multiple, Kitsune, de calmer ses enfants géants. Maintenant que le décor est planté on peut passer à l’histoire de Yukikurai à proprement parler.

La malédiction de la naissance

Yukikurai est né en plein mois de décembre, ce qui sur l’ile d’Haruame n’est habituellement pas un problème vu que les hivers n’y sont pas rigoureux. Cependant, tous les cinquante ans, l’hiver est plus rude et la neige tombe même parfois. Il y a 25 ans lors de sa naissance nous étions dans ses circonstances exceptionnelles. Il neigeait et le ciel était sombre comme en pleine nuit. Les sages du village déclarèrent que ce temps était un mauvais présage et que rien de bon n’arriverait. C’est ce jours-là, que Yuki choisit de naitre avec ses cheveux et ses yeux bleus/blancs comme la neige qui tombait dehors. Les sages qui assistaient à l’accouchement, quand ils virent le petit bonhomme chétif aux cheveux bleus, furent tourmenté. Ils prédirent que rien de bon n’arriverait à cette enfant qu’il serait maudit toute sa vie. Le conseil du village qui choisissait les noms de tous les nouveaux nés, décida qu’il s’appellerait Yukikurai. Ce qui signifie neige sombre, comme le jour qui l’a vu naitre.

Les sages ne c’étaient pas vraiment trompés en disant que le petit Yukikurai serait maudit. Alors qu’il n’avait qu’un an, son père mourut des suites des blessures qu’une panthère géante lui avait infligées. Il existait sur cette ile quelque race d’animaux géant, comme la grande panthère noire. Elles étaient considérées comme les manifestations de Kitsune. Un an plus tard, alors que sa mère était encore attristée et affaiblie par son deuil, elle attrapa une mauvaise grippe. Leur civilisation n’étant pas la plus avancée en médecine, il arrivait encore que les gens meurent de la grippe. C’est ce qui arriva, malheureusement, à sa mère. A deux ans, Yuki se retrouvait orphelin. Sa réputation était désormais faite, quiconque se liait avec lui risquait de mourir dans les mois qui suivent. Il devint ainsi, un paria, un laissé pour compte de cette société archaïque. Il fut néanmoins recueillit par son grand-père qui était le forgeron du village, qui l’éleva, sans craindre la malédiction. Il lui enseigna dès le plus jeune âge l’art de la forge.

Ce qui forgea l’homme qu’il est aujourd’hui

Yuki grandit et son grand-père se rendit vite compte qu’il était très intelligent, qu’il comprenait vite les choses, mais il gardait le corps d’un gringalet légèrement empoté. Ce qui dans un monde où la force est reine, renforçait son statut de paria.

C’est à l’âge de six ans que les enfants apprennent les rudiments de la chasse avec leurs ainés les plus expérimentés. Cela passait de la traque, au combat au poignard en passant par les cours théoriques sur les animaux de la forêt et les croyances de la tribu. Yuki ne suivit ses cours que pendant deux longs mois, durant lesquels il se fit persécuter par ses camarades plus grand et plus fort que lui. Il avait deux raisons d’être le souffre-douleur, il y avait la malédiction et il y avait son intelligence incomprise couplé à son corps maigrelet. Au bout de deux mois, le jeune Yukikurai était devenu pratiquement paranoïaque, se méfiant de tout. Shiroi, son grand-père, décida qu’il n’était pas obligé de continuer les cours avec les autres enfants. Il se chargerait de l’éducation de son petit-fils, lui-même. Il commença donc à lui apprendre tout ce qu’il savait de la chasse, mais bien vite la soif d’apprendre de Yuki eut épuisé tout ce que le vieux forgeron, qui n’avait plus chassé depuis longtemps, pouvait lui apprendre. Il lui enseigna donc l’art de forger le métal, l’art qu’il connaissait le mieux. Il lui montra comment purifier le minerai, comment le faire fondre et le façonner. Yuki était fasciné par ce que son grand-père était capable de faire avec le métal incandescent. Les propriétés des métaux le fascinaient elles aussi, leur conductivité, leur solidité, leur malléabilité et leur brillance. Ainsi commença son long voyage d’apprentis forgerons.

Shiroi chercha un professeur particulier pour l’art de la chasse. Sa vieille amie, Zoé, prêtresse de Kitsune voulut bien prendre Yuki comme disciple. Une vraie complicité s’installa entre eux. Elle devint la présence féminine qui manquait à Yuki. Ce dernier, comme à son habitude était très bon pour reconnaitre les traces de pas des animaux et tout ce qui était théorique, mais il avait beaucoup plus de mal avec la pratique. A force de travail, d’acharnement et d’encouragement, Yuki commençait à faire des progrès.

Le deuxième nom

C’était la tradition de la tribu, on donnait le deuxième nom à l’âge de 16 ans quand le caractère, la corpulence et les premiers faits d’armes commençait à être bien définit. Yuki ayant atteint ses 16 ans, lui aussi, le temps fut venu pour lui de recevoir son deuxième nom. Comme il ne passait son temps avec personne de la tribu à part Shiroi et Zoé qui vivait recluse dans la forêt, personne ne voulait lui donner un nom chouette à porter. Le conseil décida, pour montrer qu’il ne l’aimait toujours pas plus de lui donner comme deuxième nom, « l’idiot au singe ». Ce qui donna Bakasaru. Au lieu de dépité Yuki, cela le ravit. Il aimait les singes. C’était les seuls hormis Shiroi et Zoé à l’accepter réellement. Cela faisait 6 ans, maintenant, qu’il jouait dans les bois avec les singes qui y vivaient. Parfaisant par la même occasion son habilité de déplacement et les liens qu’il était capable de nouer avec tous les animaux. Il avait apprivoisé ou été apprivoisé par les singes. Plus tard, il deviendra même, l’ami d’un faucon.

Avec le temps, son corps se forgeait comme une belle lame aiguisée. Son corps devenait puissant tout en restant souple. C’est de la souplesse de ses muscles que lui vient sa puissance. A force de jouer avec les singes, il était capable de faire le grand écart debout et d’exécuter divers sauts périlleux. C’est aussi à cet âge qu’il comprit comment fonctionnait son corps. Pour qu’il arrive à effectuer un mouvement précis, comme une botte au couteau, il devait l’avoir répété encore et encore. Et seulement après l’avoir exécuté un millier de fois, le mouvement était graver en lui à la perfection pour le restant de ses jours. Comme si Zoé l’avait toujours su, elle lui avait fait répéter inlassablement les mouvements de base de toutes les disciplines qu’elle lui enseignait. Il maîtrisait donc maintenant la technique de déplacement des chasseurs, le pas silencieux, le Kage, le coup de poing du volcan, le Kazan punch et les rudiments du combat à l’épée. Cela faisait aussi, 4 ans que Shiroi l’avait mis devant la forge pour la première fois, il commençait à gérer les coups de marteau et à faire des lames qui ressemblent à des lames.

Un jour la terre se mit à trembler et divers choses se brisèrent sous le regard médusé de Bakasaru Yukikurai. Ce tremblement de terre eut deux conséquences sur la vie de Yuki. Dans un premier temps, il se mit à étudier le phénomène de vibration capable de tordre des piliers d’acier. En menant diverse expériences dans la forêt, ce qui occupa un long moment son temps libre, il arriva à une conclusion. Ce sont les vibrations qui en sont responsable. Pour que le phénomène soit destructeur, il y avait deux possibilités, soit que les vibrations soient très forte comme lors d’un tremblement de terre, soit que la fréquence des impulsions soit en résonance de phase avec le matériau. Il s’est rendu compte de cela en tapant en rythme dans l’eau, ce qui produisit des vaguelettes de plus en plus grosses. Depuis ce jour, il s’entraine à essayer de détruire des choses grâce à des chocs à la bonne fréquence. Un jour cela donnera des résultats.

Dans un second temps le séisme a ouvert l’accès à une nouvelle grotte dans la forêt contenant un drôle de minerai bleu.

Pour expliquer le passage qui va suivre remontons en peu de le temps. Un jour, avant le tremblement de terre, alors qu’il jouait avec les singes comme à son habitude, il découvrit un œuf tombé de son nid sans se casser. Yuki qui avait appris à aimer la nature et à la respecter voulu sauver l’œuf qu’il venait de trouver. Il le ramena donc chez lui et le couva pour qu’il puisse éclore. Au bout de deux semaines l’oisillon sortit de sa coquille. Il avait un bec et des serres pointues d’oiseau de proie. C’était un petit faucon crécerelle. Avec l’aide de la prêtresse de Kitsune, Yukikurai le nourrit et l’apprivoisa. Quand Yuki sifflait deux fois de manière spécifique, Ryu, son faucon venait près de lui. Il était très douer avec les animaux, il arrivait à les comprendre et à se faire comprendre. Ryu était devenu ses yeux du ciel et c'est lui qui trouva l’entrée de la nouvelle grotte et qui y amena Yuki.

Yuki passa plusieurs jours à explorer la grotte avant de tomber sur la plus grande découverte de vie actuelle. Il trouva un filon de minerai doté d’une magnifique couleur bleue. Il entreprit de l’extraire et chaque jour il rentrait avec une petite quantité de minerai. Quand il rentrait l’après-midi avec son trésor, il entreprenait de le purifier pour pouvoir en faire un sabre. Cependant, il n’était pas comme le minerai de fer qu’il avait l’habitude de purifier. La première fois quand il utilisa la même technique que pour le minerai classique, il n’arriva à aucun résultat. Ce n’est qu’après plusieurs dizaines d’essai qu’il arriva à établir le protocole de purification de ce qui devait être un oxyde de cuivre bleu, couplé à du cobalt. Maintenant qu’il était capable d’obtenir la matière première, il pouvait passer au dessin de la lame qu’il voulait créer. Il mit plusieurs jours à décider le modèle qu’il voulait. N’étant pas capable de purifier une grande quantité de minerai à la fois, il ne pouvait pas faire un long katana. En plus, il préférait manier des lames pas trop longue ni trop lourde. Il se dit qu’un Wakizashi de 60 cm de long, avec une poignée de 20cm serait bien. Avec ces dimensions, il avait la place pour mettre ses deux mains sur le manche si la situation l’exigeait. Il y aurait à l’extrémité du manche une floche de 10cm dans un tissu bleu. Une fois cette étape accomplie vint le temps de la confection du moule. Sa qualité déterminerait, la qualité de la lame. Il était devenu assez bon pour fabriquer le moule. Il fut satisfait de lui après trois essais seulement. On arrivait à la partie qui lui prit le plus de temps coulé et façonné la lame sur l’enclume. Cela lui prit 100 jours et 100 tentatives avant que Mizuseisaku ne soit achevée. Le problème provenait du minerai bleu. Pur, la lame était molle et s’émoussait dès le premier choc. Il dû mettre au point un nouvelle alliage qui lui donnerait satisfaction. Solide, mais pas cassant, brillant d’un beau reflet bleu, qui accepte de se faire effiler pour donner un bon tranchant à la lame. Le centième jour, il y arriva sa technique s’était améliorer au fil du temps, son travail de forgeron fut quasiment parfait. Il avait déterminé la bonne proportion pour son alliage, 90% de fer et 10% de son minerai. Le fer assure la résistance et les 10% suffise à teinté la lame de magnifique reflet bleuté. Une fois le mélange chauffé et coulé. Il la laissa refroidir à l’aire avant de la démoulé. Ensuite, il frotta des deux côté avec une corne de bœuf sauvage, à fin d’apporter du carbone au mélange le rendant, ainsi plus solide. Pour finir, il l’a trempa à l’eau et la façonna à coup de marteau. Action qu’il avait déjà répétée au moins mille fois, ce qui le rendait maintenant précis comme un vieux forgeron. Ce soir-là, il alla dormir content et fatigué, rêvant de son beau sabre. Le lendemain, il effectua les tests de solidité et cette fois c’était, enfin, réussi. Il ne restait plus qu’à parer le manche de son pommeau, de sa garde et de sa floche. Il fit un travail soigné qui donna un résultat sobre et élégant, la lame de 40 cm sombre au reflet bleuté, une garde en forme de flocon de neige stylisé, le pommeau noir entouré de deux rubans bleu qui finissaient en floche de 10cm. Il confectionna le fourreau avec une essence de bois sombre et solide. Mizuseisaku venait de voir le jour. La première œuvre digne de ce nom réalisé par le forgeron en devenir, Bakasaru Yukikurai.

Il continua de travailler toutes ses techniques jusqu’à l’âge de 25 ans ou Shiroi l’exhorta à quitter l’île pour continuer son apprentissage du métier et de la vie. Shiroi lui remit son marteau de forgeron en guise de cadeau de départ et une lettre avec l’adresse d’un ami forgeron qui pourrait lui apprendre d’autre chose. C’est comme cela que commença le voyage de Bakasaru Yukikurai apprenti forgeron.


>> Test RP
Le Test rp est obligatoire, il vous sera donné par le modérateur responsable de la section présentation.Faire un test rp avant l'intervention sera totalement inutile : il ne comptera pas.
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Informations IRL
Prénom : Rémy
Age : 22 ans
Aime :Le basket-ball, la viande, les mangas, les séries, la viande, la bière.
N'aime pas :Les légumes, les VF pourries qui gâche tout
Personnage préféré de One Piece : C’est une question difficile ça, tous. Chopper, car ses nouvelles transformations on l’air d’avoir trop la classe et puis c’est la joie de vivre même.
Caractère : (définissez-vous en quelques mots)Je suis calme, posé. J’aime le sport
Fais du RP depuis : 1ans et demi
Disponibilité : (en jours par semaine, c'est bien sûr, approximatif)
Pour passer lire sur le forum, on va dire tous les deux jours. En production de RP je suis assez lent donc un par semaine en général.
Comment avez vous connu le forum ? Via Edword Boobap sur One Piece Reign

Bonjour,

Aujourd'hui est un grand jour. Ça y est, j'ai posé les questions qui fallait à mon parrain et eut les réponses qui allait avec. Je pense que ma fiche est complète et finie. J'espère avoir fait disparaitre les fautes qui font mal au yeux. Maintenant, c'est à vous de jouer les staffeux. Je suis preneur de tous les commentaires qui pourraient m'aider dans ma progression en RP.

En espérant avoir vite de vos nouvelles.

Bakasaru Yukikurai.

Ben oui avec grand plaisir, ho Panda tout puissant!

Alors le voici donc :

Raconte comment s'est passé ton apprentissage du métier de chasseur//assassin !

Bonne chance
(merci de cibler un entraînement ou une journée, maximum !)

Ah et pour le meitou c'est non désolé, ils sont plus vieux que ton personnage.

Bonjours, cette fois ça y est le staffe va pouvoir bosser.
Je suis désolé, mon test RP est un peu long, mais j'espère qu'il sera agréable à libre


*Whaaaaaaaaaaha ! C’est déjà le matin. Chouette, une nouvelle journée d’entrainement avec Zoé. J’ai bien travaillé hier, j’espère qu’aujourd’hui se sera aussi fructueux.Whaaaaaaaaaaha, mais bon c’est quand même mieux si je mange avant.

Yukikurai se leva à l’aube, comme tous les jours de cours de chasse avec Zoé. Il était toujours un peu dans les vapes tant qu’il n’avait pas mangé quelque chose. Il se rendit dans la cuisine où son grand-père déjeunait déjà. Il s’assit et mangea en vitesse trois tartines, de quoi tenir jusque midi. Une fois tous ses préparatifs habituels effectués, il partit en trottinant jusqu’au temple de Kitsune, qui se trouvait à dix minutes du village en retrait dans la forêt. Son petit jogging du matin lui servait d’échauffement pour la journée. Cela lui permettait aussi de travailler son endurance. Sa course l’emmenait d’abord le long du ruisseau qui traversait le village. Ensuite, le sentier bifurquait à gauche pour renter dans la forêt. Là, il serpentait entre les arbres de plus en plus grand et au feuillage de plus en plus dense au fur et à mesure que l’on avançait. Il finissait sa course dans une clairière, un puits de lumière naturelle. C’est à cet endroit qu’avait été construit le temple de la déesse Kitsune. Il y avait deux statues représentant des renards qui gardaient l’entrée. Ensuite, il y avait trois bâtiments, trois temples de style bouddhiste. L’un à gauche du chemin, c’est là que vivait les prêtresses. L’autre à droite, c’était le dojo, il donnait sur une cour extérieure avec différents emplacements d’activité. Le dernier, le plus beau des temples, se tenait au bout du chemin. Il y avait là une statue de Kitsune, représentée avec ses neuf queues, c’était le lieu des prières et des offrandes. Yuki rejoignait toujours Zoé qui l’attendait devant la statue. Il priait, ainsi, la déesse pendant dix minutes. Dix minutes de méditation.

* Ho déesse, aide moi à bien m’entrainer. Faits que la nature soit de mon côté, accepte que l’on prélève de quoi se nourrir sur tes terres nourricières. Aide moi à communier avec la nature, quelle me donne force et sagesse.*

*Pfff c’est long, quand est-ce qu’on commence. Ha zut ! Allez, concentre-toi sur ta respiration au lieu de penser à des bêtises. Faits le vide.*

"Humm Pffff humm pfff ….."

« Allez Yuki ! C’est bon, on va commencer. »

Elle continua de parler pendant qu’ils quittaient le temple. Ils contournèrent le temple et se dirigèrent vers l’intérieur de la forêt, pour l’exercice matinal.

« Bon, comme hier, tu es parvenu pour la dixième fois à toucher de la main un buffle sauvage, aujourd’hui on va passer au niveau supérieur. Tu vas devoir trouver et toucher un sanglier. Ils sont plus petits et plus farouche que ta cible précédente. Tu auras donc plus de mal à en trouver. De plus, ils sont beaucoup plus rapides. Maintenant que tu connais la cible, les règles sont le même que d’habitude, tu as jusque 10h pour y arriver. Le bonus, comme toujours arriver à le capturer à mains nues. »

« Chouette, le niveau suivant. On va voir ce qu’on va voir. Sanglier ! Caché ou pas j’arrive. »

Content de sa petite blague Yuki pénétra dans l’étendue sauvage à la recherche de la piste d’un sanglier. C’était l’exercice que Yuki préférait, il permettait de parfaire la recherche d’une piste, la traque de la proie, l’approche silencieuse et puis l’attaque. Oui c’est bel et bien une attaque, même s’il n’est pas armé et que son but premier est juste de toucher la proie. S’il est capable de le toucher dans ces conditions, il pourra chasser au couteau. Yuki était maintenant en pleine nature, à proximité d’un cours d’eau. Il s’arrêta et fit le vide en lui. Il se concentra et exacerba ses sens. Son ouïe, sa vue, son odorat et sa recherche de présence poussée à leur paroxysme.

* Rien de mieux pour trouver une piste que les abords d’un point d’eau. Bon, à quoi ressemble leurs empruntes encore ? Oui ça y est, je me souviens.

Au bout d’un quart d’heure à remonter le cours de la rivière, il trouva la trace de pas qu’il cherchait. Il commença à remonter la piste en courant le plus discrètement possible. Il perdit la piste trois ou quatre fois, le sanglier cassait beaucoup moins de branche sur son passage et ses empruntes moins profondes s’effaçaient plus vite. Chaque fois, il faisait marche arrière jusqu’à un endroit où les traces étaient fiables et reprenait son avancée. Cela faisait maintenant une heure et demie qu’il suivait sa piste et Yuki commençait à désespérer d’avoir la chance d’arriver à en voir un. Zoé qui servait de juge, le suivait à distance, sa présence totalement effacée.

* Raaaaaaaaaa ! J’en ai marre, est-ce qu’il existe vraiment ce cochon de malheur. C’est pas d’un niveau que je viens de monter, mais de dix, là. »

Le manque de résultat, commençait à énervé passablement Yuki, ce qui avec la fatigue, lui faisait être moins efficace. Il commençait à ne plus faire attention à sa discrétion, quand soudain, au détour d’un arbre, il vu enfin le postérieur qu’il cherchait depuis deux heures. Il était là, en train de manger une fougère. Un beau spécimen d’une soixantaine centimètre, avec une belle fourrure brune qui laissait voir ses muscles puissants. Cependant, lui aussi l’avait vu et il déguerpit à toute vitesse. Yuki pu au moins apprécier, le périmètre de surveillance de sa proie, ainsi que la vitesse de sa fuite. Il restait à peu près une heure à Yuki pour le retrouver de nouveau et tenter de le toucher.

Le simple fait d’avoir entrevu sa proie, le moral de Yuki remonta en flèche et par la même occasion sa concentration. Il se concentra et en moins d’une seconde, il était de retour en mode chasseur, tous ses sens dehors et sa présence dissimulée au maximum. Il s’élança immédiatement sur la piste toute fraiche qu’avait laissée le fuyard. Il lui laissa prendre de l’avance, pour qu’il se sente en sécurité, qu’il se calme et recommence à manger. Le sanglier était méfiant, mais aussi très sûr de lui au bout de cinq minutes de course il ralentit, vérifia les environs puis se remit à manger comme l’avait espéré Yuki. Ce dernier n’avait pas perdu la piste cette fois-ci. Il sut qu’il était proche avant de le voir, il entendait les grognements caractéristiques du sanglier. Yuki s’arrêta nette et commença son approche finale. Il repéra le sens du vent, pour attaquer en remontant le vent. Il avait désormais sa cible à vue, elle devait être à six mètres. Il avança, comme un félin, d’une démarche souple et silencieuse, en utilisant la technique qu’on lui avait appris le Kage. Arrivé à trois mètres de la cible, il banda ses muscles et bondit de son attaque la plus rapide.

* Ca y est, je l’ai ! Je suis trop fort. *

Mais Yuki c’était réjoui trop vite, sa main était encore à vingt centimètres de son objectif que celui-ci se déroba et partit à toute vitesse. Yuki roula au sol, suite à son plongeon raté. Il se releva et entreprit une poursuite effrénée. Il courait plus vite que son objectif, mais à chaque fois qu’il se rapprochait, ce dernier effectuait un changement de direction incisif qui mettait systématiquement Yuki dans le vent. Yuki mangea même un tronc d’arbre, lors d’un virage raté. Ce qui lui donna une idée.

*Je commence à fatiguer, mais lui aussi, il va de moins en moins vite. Vu qu’il est super bon au sol, je vais tenter une attaque par les arbres. Que mes jeux avec les singes me servent à quelque chose.*

Au virage suivant Yuki repéra un arbre propice à la grimpe. Il se hissa au niveau des branches pouvant supporter son poids et continua la poursuite. Il arriva grâce à cette tactique à suivre le sanglier. Il avait désormais la sensation d‘être suivi. Une présence forte, mais bien dissimulée qui se rapprochait. Au moment où il allait plonger sur sa cible de manière concluante, une panthère géante bondit et emporta le sanglier dans sa gueule. Elle disparut aussi vite qu’elle était apparue. Choqué Yuki se vautra comme une merde, s’étalant de tout son long dans la boue. Zoé surgit, alors de nulle part et siffla.

« Allez ! J’y étais presque. »
« Wahou, j’ai eu chaud là. Je pensais que pour une fois j’arrivais à sentir ta présence Zoé, mais visiblement c’était un vrai monstre que je sentais. Si j’avais pas été dans les arbres, il aurait aussi bien pu me chopper. »

« Tu as eu chaud aux fesses en effet. Bon il ne te reste pas assez de temps pour réussir à en retrouver un autre aujourd’hui. »

« Pffff…. C’est vachement dur et frustrant j’y étais presque et on me vole ma proie sous mon nez. Pffffffff. En plus je suis sûr que j’allais l’avoir. »

« Je n’en suis pas certain, je pense que tu l’aurais encore rater, mais c’est comme cela qu’on progresse. Souviens-toi, au début avec le buffle, c’était pas la joie non plus. Allez, on rentre au temple pour la suite de l’entrainement. »

Yukikurai était de mauvais poils d’avoir raté, à cause d’une mauvaise farce de Kitsune. Il n’avait plus connu l’échec depuis plus de deux semaines. Il avait commencé à prendre la grosse tête. L’exercice d’aujourd’hui, lui rappela qu’il existerait toujours plus fort et plus rapide que lui. Ils rentrèrent en trottinant au temple. Jusque midi, Yuki pratiqua la méditation régénératrice. La méditation était entre coupé de cours théorique, tantôt sur les animaux, leurs différents points vitaux à attaquer, tantôt sur les fondements des différents arts martiaux. A midi, ils mangeaient ensemble, un bon repas nourrissant qui redonne des forces. Ensuite, il avait une heure de temps libre pour digérer et pour que Zoé puisse effectuer ses prières de la mi-journée. Yuki, en général, faisait une petite sieste. A la suite de quoi, il profitait de son temps libre pour tenter de mettre au point ces différentes techniques personnelles.

A une heure et demie, Zoé revenait enfin et il pouvait commencer l’entrainement de l’après-midi. En général, ils commençaient par le Kempo des chasseurs. Un style de combat plutôt défensif, avec des mouvements d’esquive et de contre qui permettent aux chasseurs de survivre aux attaques de monstre géant. Ensuite, ils enchainaient avec le maniement des armes. Ils avaient complètement abandonné l’arc à flèche avec lequel Yuki n’avait vraiment aucune affinité. A la place, il s’exerçait au lancer de couteau et autre kunai. Comme il était forgeron et qu’il était très curieux, il passait une heure à découvrir une arme différente chaque fois, jusqu’à ce qu’il ait fait le tour et recommence le cycle. Cela allait du maniement de la lance, de la hache, du fléau, en passant par les différents types sabre et autre épée, les petits, les géants, ceux à double tranchant, etc… Il finissait par l’entrainement au maniement de l’arme qu’il avait choisi le Wakizashi, avant de rentrer chez lui exténué.

Hola Yuki.

Un ancien Reigneux de plus dans la place héhé.

Bon, concernant ta préz. Et bien globalement, c'est pas mal du tout. Pour avoir eu l'occasion de lire quelques-uns de tes RPs avec l'autre Yukikurai à l'époque, je trouve que tu as progressé. On trouve moins de fautes en tout genre, et la lecture est plus fluide. Les tournures de phrase bancales sont très rares, d'une manière générale donc, c'est bien.

Pour la suite, il y aura quelques efforts à faire ceci dit : il t'arrive assez régulièrement de faire des répétitions, et même si ce n'est pas choquant, c'est toujours mieux de ne pas en faire. Tu tiens le bon bout en ce qui concerne ta manière de partager les émotions de ton perso avec le lecteur, mais là aussi, cela reste perfectible. Parfois également la ponctuation n'est pas employée à bon escient.

Sur le fond maintenant, tu plantes bien le décor de ton histoire, et dans l'ensemble, tout s'enchaîne avec logique. C'est dommage que tu pares un peu au plus pressé à la fin de ton histoire sur sa période partant de la fabrication de son Wakizashi et amenant à ses 25 ans. Idem pour le test RP ou le résumé de ses après-midi d'entrainement standard gâche un peu le récit proposé avant.

Sinon, côté cohérence, une remarque : la transition entre la crédulité de ton personnage et sa naturelle méfiance à l'égard d'autrui est assez abrupte. On est pas loin d'une incompatibilité là, mais cela tient surtout aux tournures employées, qui rendent l'ensemble un peu mal habile.

Voilà, ce sera tout pour moi. Je maintiens donc, tu as effectué déjà pas mal de progrès, souhaitons que cela continue.

Pour le moment, je propose 400 Dorikis.

Je rajoute ma voix, c'est une présentation agréable à lire, tout le reste a déjà été dit, il te manque donc deux voix ! =3

Non non, juste une voix ;)

Merci pour les commentaires positifs.

Pour ce qui est des fins de la bio et du RP, un peu abrupte, c'est parce que d'une part je fatigue à la fin et d'autre part j'ai eu tendance à pas vouloir faire trop long. Ce qui ma pousser à détaillé les faits importants et à la fin de cité ce que je devais encore préciser. Je suis totalement d'accord avec vous que ça choque et que ce n'est pas très joli.

Sinon, pour ce qui est de sa crédulité et de sa méfiance. J'avoue que l'enchainement est pas terrible. J'aurais peut-être du le mettre de cette façon-ci.

Yuki est de nature méfiante envers les personnes qu'il rencontre et cela provient de son enfance. Cependant, une fois qu'il vous a accordé sa confiance, il est d'une crédulité, naïveté à toute épreuve. Si vous lui jurez être la reine d'Angleterre, il le croira sur parole.

Vivement ma dernière voix.

Je n'ai rien à rajouter de plus, les commentaires précédents étaient complets ! Je me contente donc de te valider à 400 dorikis ! Bienvenue parmi nous vil révolutionnaire ! Je pense que tes compatriotes gris vont être heureux de te recevoir et de voir leurs rangs se gonfler un peu =)