- On m'avait dit qu'il y avait un phare...
Sur le Kiosque du Mecakraken, nous tentons de percer l'épaisse brume qui nappe la mer autour de nous, mais rien à faire. On voit la coque, un bout de mer autour, et au delà, rien. Juste un épais mur gris qui flotte juste au dessus des vagues et nous donne l'impression d'avoir fermé les yeux.
- Moi je vois rien. Et ton Haki ?
- Il me dit ou est l'ile, mais pas les rochers.
- Et y'a l'air d'en avoir un paquet...
Parce que même si on n'y voit pas a deux encablures il y a des bruits qui ne trompent pas. Et celui des vagues se brisant sur des récifs à fleurs d'eau est un son que tout marin qui l'a déjà croisé n'oublie jamais, tant il est évident que si la terre est toujours bienvenue à l'horizon, la plupart des bateaux flottent mal sur des rochers pointus. Ouais, l'ile est la devant nous, et entre nous il y a un paquet de récifs qui attendent de nous transformer en épaves.
- Hum. En attendant il était censé y avoir un phare.
- Mais il y en a un étranger ! Bien sur qu'il y a un phare, évidemment. Sans phare, tous les bateaux qui voudraient rejoindre Alvel ne seraient que de futures épaves !
Surgi de la brume, la voix nous atteint avant qu'une vague lueur n'apparaisse sur tribord pour se rapprocher de nous, restant flou jusqu'a percer le rideau de brume en surgissant le long de la coque. Une barque, une barque avec un type en ciré gris...
- Sauf qu'on ne voit pas le phare...
- Le probléme des phares c'est que leur entretien coute cher. Si on laisse la lumière allumée tout le temps on consomme du carburant, on use les lentilles, et puis les fanal, si vous saviez le coup de ces petites balises !
- Je vois le topo. Combien pour l'allumage ?
- Un million tout rond. J'encaisse, je vous allume le chenal, et tout Alvel s'offre à vous sans poser de questions. Qu'est ce qu'un million pour des hommes fortunés comme vous ?! Je n'ai jamais vu de bateaux comme le votre mais ça sent la richesse et l'aisance.
- Baker. Va chercher du pognon pour le monsieur.
- Merci mon prince. Si vous saviez le nombre de gens qui tentent de me forcer à leur ouvrir la route sans payer. Y'a plus de respect sur Grand Line...
- Je serais dans ta barque je pense que j'aurais un chemin de rechange exprès pour ces types la droit vers les rochers les plus accessibles depuis la plage.
- Je vois que monsieur est non seulement riche mais rusé.
Baker remonte de l'entrepont avec une poignée de lingots clinquants dans un sac, le temps de balancer ça sur la barque et de laisser notre guide vérifier l'or et passer un coup de den den, et la bas dans la brume, un puissante lumière s'allume soudain, pendant qu'un chemin de bouée lumineuse s'éclaire devant nous dans le brouillard.
- Qui dois je annoncer à terre ?
- Red, Capitaine Red.
Le type se fige dans sa barque, le den den reproduisant parfaitement un rictus de surprise et de peur pendant que les hélices du Kraken nous éloignent déjà du pilote pour nous mener vers le port d'Alvel.
Sur le Kiosque du Mecakraken, nous tentons de percer l'épaisse brume qui nappe la mer autour de nous, mais rien à faire. On voit la coque, un bout de mer autour, et au delà, rien. Juste un épais mur gris qui flotte juste au dessus des vagues et nous donne l'impression d'avoir fermé les yeux.
- Moi je vois rien. Et ton Haki ?
- Il me dit ou est l'ile, mais pas les rochers.
- Et y'a l'air d'en avoir un paquet...
Parce que même si on n'y voit pas a deux encablures il y a des bruits qui ne trompent pas. Et celui des vagues se brisant sur des récifs à fleurs d'eau est un son que tout marin qui l'a déjà croisé n'oublie jamais, tant il est évident que si la terre est toujours bienvenue à l'horizon, la plupart des bateaux flottent mal sur des rochers pointus. Ouais, l'ile est la devant nous, et entre nous il y a un paquet de récifs qui attendent de nous transformer en épaves.
- Hum. En attendant il était censé y avoir un phare.
- Mais il y en a un étranger ! Bien sur qu'il y a un phare, évidemment. Sans phare, tous les bateaux qui voudraient rejoindre Alvel ne seraient que de futures épaves !
Surgi de la brume, la voix nous atteint avant qu'une vague lueur n'apparaisse sur tribord pour se rapprocher de nous, restant flou jusqu'a percer le rideau de brume en surgissant le long de la coque. Une barque, une barque avec un type en ciré gris...
- Sauf qu'on ne voit pas le phare...
- Le probléme des phares c'est que leur entretien coute cher. Si on laisse la lumière allumée tout le temps on consomme du carburant, on use les lentilles, et puis les fanal, si vous saviez le coup de ces petites balises !
- Je vois le topo. Combien pour l'allumage ?
- Un million tout rond. J'encaisse, je vous allume le chenal, et tout Alvel s'offre à vous sans poser de questions. Qu'est ce qu'un million pour des hommes fortunés comme vous ?! Je n'ai jamais vu de bateaux comme le votre mais ça sent la richesse et l'aisance.
- Baker. Va chercher du pognon pour le monsieur.
- Merci mon prince. Si vous saviez le nombre de gens qui tentent de me forcer à leur ouvrir la route sans payer. Y'a plus de respect sur Grand Line...
- Je serais dans ta barque je pense que j'aurais un chemin de rechange exprès pour ces types la droit vers les rochers les plus accessibles depuis la plage.
- Je vois que monsieur est non seulement riche mais rusé.
Baker remonte de l'entrepont avec une poignée de lingots clinquants dans un sac, le temps de balancer ça sur la barque et de laisser notre guide vérifier l'or et passer un coup de den den, et la bas dans la brume, un puissante lumière s'allume soudain, pendant qu'un chemin de bouée lumineuse s'éclaire devant nous dans le brouillard.
- Qui dois je annoncer à terre ?
- Red, Capitaine Red.
Le type se fige dans sa barque, le den den reproduisant parfaitement un rictus de surprise et de peur pendant que les hélices du Kraken nous éloignent déjà du pilote pour nous mener vers le port d'Alvel.