Yorokobi Egao, L'angelot
Sexe : Homme
Race : Ange / Ascendance LunarienneMétier : Jeune recrue Révolutionnaire
Groupe : Révolutionnaire
But : Unifier le monde dans la paix
Équipement : Deux épées classiquesParrain : Auto parrainé
Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Oui de Lola Coelho
Si oui, quel @ l'a autorisé ? Nom du @Izya
Codes du règlement :
Description physique
Yorokobi est un jeune homme âgé de 12 ans descendant de la race des lunariens connu aujourd'hui sous le nom des anges. Il tire certain trait physique de ses origines comme ses cheveux aussi blanc que la lune et ses grandes ailes plumeuse autant blanche que son cœur. Ses cheveux sont d'ailleurs mi long. Même décoiffé, le garçon ne perds pas de son image. D'ailleurs, ses parents avaient essayé de lissé ses cheveux mais au final, les laisser s'ébouriffer est beaucoup plus mignon et plus jolie qu'un crane tout lisse. A l'instar des lunariens de l'époque, sa peau est plutôt clair et encore vierge de tout signe de combat, une vraie peau de bébé comme on le dit. Ses yeux reflètent sont caractère doux, innocent et gentille avec une lueurs bleutée comme le ciel et comme la mer. Ce garçon à tout du parfait enfant mignon et gentil. Son sourire ne cesse de croître sur son visage, qui combiné avec ses ailes, reflètent parfaitement la vison qu'on peut avoir d'un petite angelot.
Yorokobi n'est pas une brut de force et son corps le montre assez bien avec sa carrure toute légère. Ses vêtements sont d'ailleurs toujours impeccable et ne changent jamais, si ce n'est leur taille au fil des années. Une petite tradition familial que le garçon conserve avec fierté. Et oui ses habits sont un cadeau de génération en génération du côté de sa famille Egao. Un long veston blanc orné de bouton dorés, un petit short oversize noir et des mittens de la même couleur. En dessous, une petite chemise blanche au col noir. Ce mélange de noir et de blanc était à l'époque le signe de la vraie paix, celle qui n'est ni 100% bonne et ni 100% mauvaise. Tel les couleurs du Ying et du Yang qui cohabite dans la même symbiose.
On peut aussi reconnaître Yorokobi par sa démarche et ses petites manies. Il marche toujours d'un entrain positif, le regard sur l'horizon et l'allure d'un petit danseur volant. Sa marche laisse paraître la légèreté de son corps et peu parfois prendre l'apparence d'une représentation de patinage artistique si le jeune homme s'emballe dans ses paroles et se laisse porter par ses ailes. Au première abord on peut se faire duper par son langage raffiner de part son éducation, mais un tique de langage trahi son jeune âge. En effet, malgré les plus beau discours, il ne pourra s'empêcher de parler de jouet ou de sucrerie. Il sait déjà parler de politique pour certain point, mais il ne pourra ne le faire sans évoquer un nounours ou une glace au chocolat. Du haut de ses 150cm, cela donne alors un spectacle assez drôle, touchant et surtout, très mignon. Mais vous le verrez, tout ceci n'empêche pas au petit garçon d'avoir déjà un avis très trancher sur ce qu'est la paix.
Yorokobi n'est pas une brut de force et son corps le montre assez bien avec sa carrure toute légère. Ses vêtements sont d'ailleurs toujours impeccable et ne changent jamais, si ce n'est leur taille au fil des années. Une petite tradition familial que le garçon conserve avec fierté. Et oui ses habits sont un cadeau de génération en génération du côté de sa famille Egao. Un long veston blanc orné de bouton dorés, un petit short oversize noir et des mittens de la même couleur. En dessous, une petite chemise blanche au col noir. Ce mélange de noir et de blanc était à l'époque le signe de la vraie paix, celle qui n'est ni 100% bonne et ni 100% mauvaise. Tel les couleurs du Ying et du Yang qui cohabite dans la même symbiose.
On peut aussi reconnaître Yorokobi par sa démarche et ses petites manies. Il marche toujours d'un entrain positif, le regard sur l'horizon et l'allure d'un petit danseur volant. Sa marche laisse paraître la légèreté de son corps et peu parfois prendre l'apparence d'une représentation de patinage artistique si le jeune homme s'emballe dans ses paroles et se laisse porter par ses ailes. Au première abord on peut se faire duper par son langage raffiner de part son éducation, mais un tique de langage trahi son jeune âge. En effet, malgré les plus beau discours, il ne pourra s'empêcher de parler de jouet ou de sucrerie. Il sait déjà parler de politique pour certain point, mais il ne pourra ne le faire sans évoquer un nounours ou une glace au chocolat. Du haut de ses 150cm, cela donne alors un spectacle assez drôle, touchant et surtout, très mignon. Mais vous le verrez, tout ceci n'empêche pas au petit garçon d'avoir déjà un avis très trancher sur ce qu'est la paix.
Description psychologique
Si l'on doit commencer avec quelque chose, c'est bien sa joie de vivre. Il est très rare de voir ce jeune homme sans sourire car il vit avec le regard braquer sur les bonnes choses même dans les pires moments. En effet, ce jeune homme ne distingue presque que le bon et considère le mauvais comme un équilibre nécessaire pour la paix. Si quelqu'un est méchant c'est parce qu'il y a des gents trop gentil. Si des héros existent, c'est parce qu'il y a des méchants. D'ailleurs pour Yorokobi, ni la marine, ni les pirates ne sont les gentils, ou les méchants. Sa vision du monde l'empêche de dire qui sont les gentils ou les méchants du monde, ne voyant que la symbiose potentiel de toute ces énergies. Oui, c'est un rêveur, optimiste, utopiste et parfois bien sensible.
Yorokobi aime discuter, rigoler et traîner avec les adultes pour entendre leur histoire. Il est fasciné par les comptes de ses senpai et en redemande toujours pour remplir sa tête d'aventure. Oui, malgré son amour pour une paix futur, il n'en reste pas moins qu'un enfant et fait donc ces choses d'enfants comme posé plein de questions aux adultes, ne pas comprendre des choses trop complexes, ne pas aimer perdre à un jeux ou même réclamer encore trop souvent qu'on le porte. Son âge fait que il est capable de voleter un petit peu mais il ne sait pas encore bien se servir de ses ailes encore trop grande pour sa petite taille. Alors il adore demander à être sur les épaules des collègues de ses parents. Il en faut peut pour rendre heureux le petit angelot. Il se contentera de petite chose aussi simple mais sera souvent le plus heureux du monde.
Bien sûr, il n'est pas immunisé à la colère, la tristesse ou la peur. Comme tout enfant, il ressent toute ces choses et parfois bien forte à cause de sa sensibilité trop forte. Si l'ont peut dire qu'il est majoritairement le sourire au lèvre, il arrive parfois que sortent des larmes ou que la colère explose. Comme il en faut beaucoup pour le pousser dans ces émotions, quand ça arrive, et bien pas besoin de dire que c'est une cocotte minute. De ce côté, il est encore loin de respecter son propre discours sur le Ying et le Yang, mais bon, c'est encore un enfant, cela viendra avec la maturité.
Comme tout enfant de la ligné Egao, Yorokobi à été formé au Nitôryû traditionnel de sa famille. Cependant, avec son tempérament passif, il dégaine très rarement ses lames et si il doit se battre, il essaiera d'abord de mettre fin au combat sans violence, si cela ne marche pas, il utilisera ses lames dans leur fourreau et ne les sortira réellement que si sa vie, ou celle d'un autre, est en danger et que la communication ne peut rien y faire. C'est vraiment en cas de dernier recours qu'il blessera quelqu'un et dans des cas vraiment sans espoir qu'il se verra obliger de tuer. Cela n'est encore jamais arrivé pour le moment et le jeune homme souhaite que cela ne change pas.
Yorokobi aime discuter, rigoler et traîner avec les adultes pour entendre leur histoire. Il est fasciné par les comptes de ses senpai et en redemande toujours pour remplir sa tête d'aventure. Oui, malgré son amour pour une paix futur, il n'en reste pas moins qu'un enfant et fait donc ces choses d'enfants comme posé plein de questions aux adultes, ne pas comprendre des choses trop complexes, ne pas aimer perdre à un jeux ou même réclamer encore trop souvent qu'on le porte. Son âge fait que il est capable de voleter un petit peu mais il ne sait pas encore bien se servir de ses ailes encore trop grande pour sa petite taille. Alors il adore demander à être sur les épaules des collègues de ses parents. Il en faut peut pour rendre heureux le petit angelot. Il se contentera de petite chose aussi simple mais sera souvent le plus heureux du monde.
Bien sûr, il n'est pas immunisé à la colère, la tristesse ou la peur. Comme tout enfant, il ressent toute ces choses et parfois bien forte à cause de sa sensibilité trop forte. Si l'ont peut dire qu'il est majoritairement le sourire au lèvre, il arrive parfois que sortent des larmes ou que la colère explose. Comme il en faut beaucoup pour le pousser dans ces émotions, quand ça arrive, et bien pas besoin de dire que c'est une cocotte minute. De ce côté, il est encore loin de respecter son propre discours sur le Ying et le Yang, mais bon, c'est encore un enfant, cela viendra avec la maturité.
Comme tout enfant de la ligné Egao, Yorokobi à été formé au Nitôryû traditionnel de sa famille. Cependant, avec son tempérament passif, il dégaine très rarement ses lames et si il doit se battre, il essaiera d'abord de mettre fin au combat sans violence, si cela ne marche pas, il utilisera ses lames dans leur fourreau et ne les sortira réellement que si sa vie, ou celle d'un autre, est en danger et que la communication ne peut rien y faire. C'est vraiment en cas de dernier recours qu'il blessera quelqu'un et dans des cas vraiment sans espoir qu'il se verra obliger de tuer. Cela n'est encore jamais arrivé pour le moment et le jeune homme souhaite que cela ne change pas.
Biographie
Un jour, deux partisans de la révolutions se rencontre lors de la formation des nouvelles recrues sur West Blue : Chūjitsu Egao, un descendant lunarien et Jiki Dento une épéiste. Au départ, ces deux jeunes recrues seront comme des rivaux et passeront leur temps à se défier à tout et n'importe quoi. Leur rivalité se transformera petit à petit en amitié qui deviendra vite un amour fou. Le descendant de la famille Egao est même assez confiant en son amour pour avouer ses origines caché à sa femme. A l'instar de leur futur enfant, la seule chose qui rappelait un Lunarien chez cette homme, c'était son teint de peau. Cela rendait la chose facile à caché. Il avait grandit sur une toute petite île secrète ou résidait jadis sa ligné maintenant presque éteinte. C'est à cet endroit que sera aménagé le père de Jiki pour sa propre sécurité. Durant les années qui ont suivie, Jiki à voulu apprendre l'histoire de la famille de son mari car les deux tourtereaux ne cachaient pas leur envie d'avoir un enfant. Cette enfant serait donc lui aussi un descendant de la famille Egao, et sera donc par conséquent un descendant de la ligné des lunariens. Avec un peu de chance, le petit ne prendrait que la forme des anges comme beaucoup aujourd'hui et n'aurait pas de traits lunariens en lui. Mais dès la naissance du petit enfant, les parents comprennent que le jeune homme tiens encore plus des lunariens que son père. D'après Chūjitsu, son propre père était lui aussi très marqué de cette ligné et que cette aspect à dû sauter une génération. Cela ne perturba pas Jiki qui était plus que contente d'avoir donner naissance à un vrai petite ange tomber du ciel.
Yorokobi est donc né en 1617 dans un lieu inconnu. C'est évidemment sur la petite île secrète des Egao que les parents élèveront le petit angelot. Personne n'est au courant de la naissance du petit garçon, même chez les révolutionnaires eux même. Sur cette petit île, au milieu d'une forêt, la famille des Egao vie en toute tranquillité. Les parents font des allez retours entre la maison caché et leur missions pour la révolution alors que le petite ange passe son temps sur l'île avec son grand père. Comme toute enfant, il passera la plupart de son temps à jouer, se balader dans la forêt et discuter avec les nombreux animaux comme si il les comprenait. Mais avec le temps, le grand père remarqua que sa fille et son beau fils rentrait de plus en plus tard, de plus en plus blessé et de moins en moins sûr de leur prochain départ. Alors, alors que le petit garçon n'a que 9 ans, son grand père décide de l’initier à la défense en prévention des mauvais jours potentiel à venir. Très vite, le jeune homme démontre un attrait à se battre dans le style Nitôryû avec deux petites épées en bois pour s'entraîner. Le grand père n'est plus à son prime mais enseigne le maximum à son petit fils pour qu'il puisse se défendre quand il sera plus grand. Même si le vieillard n'est pas un Egao, il retrouve dans les archives conservé dans la maison secrète, des instructions concernant le Nitôryû traditionnel de la famille Egao et peut donc l'enseigner à son petit fils qui se sortira mieux que le grand père qui n'est plus dans l'âge idéal pour apprendre un nouveau style de combat à l'épée.
Voici donc comment se compose les 11 premières années de la vie de cette enfant. Des parents mi présents mais aimants, des animaux comme meilleur amis, un grand père protecteur et à partir de 9 ans, un entraînement dur, quotidien mais nécessaire. C'est à ses 12 ans que les choses vont commencer à bouger. En effet, les parents du jeune homme ne sont plus rentrer depuis bientôt un mois. Le grand père sait très bien ce qui peut se passer et comprends qu'il est l'heure de révéler certaine vérité à son petit fils. Les nouvelles sur ses parents ne semblent pas trop le perturber, ils trouvent même cela classe que ses parents soit des révolutionnaires qui veulent changer le monde, en revanche, lorsque son grand père lui apprends qu'ils ne rentreront peut être jamais, le jeune homme va alors connaître la première et peut être la plus grande de ses grandes tristesses.
Les choses devient alors plus compliquer car le jeune homme est donc le dernier descendant de la ligné Egao. Finit alors les épées en bois, son grand père lui offre deux katanas qu'ils possédaient. Ce ne sont pas les meilleurs lame du monde, mais ils protégeront sûrement mieux le jeune garçon que ces deux bout de bois. Mais le jeune homme n'a ni le temps de faire son deuil et ni le temps de faire un vrai entraînement avant que son grand père ne s'endorment pour la dernière fois. Sur son lit de mort, il annoncera au petit garçon qu'il a contacté la révolution avec un escargophone secret pour les avertir de venir chercher le jeune homme. Ses parents sont sûrement morts et le grand père sait qu'il ne tiendra pas une nuit de plus. Il a confiance que les collègues et amis des parents de l'angelot viendront chercher cette enfant secret et l'aideront à grandir dans ce monde perturbé. Avant de s'endormir, il annoncera à son petit fils qu'un jour, son sourire traversa le monde et les océans, qu'il ne doit jamais cessé de rigoler et de sourire à la vie peut importe ce qui se passe. Voilà les derniers mots transmis alors au dernier membre de la famille Egao.
Sachant que quelqu'un allait venir le chercher. Le jeune homme s'habilla avec l’habit traditionnel de sa famille comme le veut la coutume. Son ancienne famille vouant un culte à l'image du Ying et du Yang, avait pour coutume de porter des vêtement rappelant les couleurs de ce symbole. La seul touche de couleur était les boutons de couleur doré qui rappelait le passé de cette famille qui fût un temps, une grande famille réputé d’épéiste. Les origines de la famille Egao trouvent leur racine au pays de Wano Kuni en des temps très reculés. Il est plus difficile de remonter à leur origine primaire qui c'est perdu au fil du temps. En prenant la tenue traditionnel, le jeune homme trouve en même temps un livre concevant une grande partie de l'histoire de sa famille. De génération en génération, cette famille avait toujours été contre le gouvernement et la piraterie. Ses ancêtres n'avaient pas respecter les lois de Wano et furent banni du pays avant de venir se réinstaller sur cette petite île inconnu et reculé du pays des Samouraïs. Vivant dans le secret de leur origine et reculé du monde, la famille commença à disparaître tout en laissant des traces pour des potentiels générations futur.
Yorokobi n'a pas le temps et l'énergie de lire le livre en entier et décide de le ranger dans son sac à dos pour l'emporter avec lui. Sa tenue et ce livre sont les derniers vestiges de sa ligné. Comme il ne sait pas si il reviendra un jour ici, le jeune garçon préfère les emmener avec lui. Après avoir récupérer quelques affaires dans la maison, il prends le temps de dire aurevoir à tout les animaux de la région avant de se rendre sur la berge la plus proche, ou les rares bateaux avaient l'habitude d’accoster, en attendant qu'on vienne le chercher. Il regarde l'horizon alors que le soleil semble se coucher doucement et donne alors une teinte rosé au ciel et brillante à la mer. Yorokobi commence à pleurer en souriant car ce qui lui arrive et triste, mais la vue est si belle depuis ici qu'il ne peut pas s'empêcher de sourire, comme il l'a promis à son grand père...
Yorokobi est donc né en 1617 dans un lieu inconnu. C'est évidemment sur la petite île secrète des Egao que les parents élèveront le petit angelot. Personne n'est au courant de la naissance du petit garçon, même chez les révolutionnaires eux même. Sur cette petit île, au milieu d'une forêt, la famille des Egao vie en toute tranquillité. Les parents font des allez retours entre la maison caché et leur missions pour la révolution alors que le petite ange passe son temps sur l'île avec son grand père. Comme toute enfant, il passera la plupart de son temps à jouer, se balader dans la forêt et discuter avec les nombreux animaux comme si il les comprenait. Mais avec le temps, le grand père remarqua que sa fille et son beau fils rentrait de plus en plus tard, de plus en plus blessé et de moins en moins sûr de leur prochain départ. Alors, alors que le petit garçon n'a que 9 ans, son grand père décide de l’initier à la défense en prévention des mauvais jours potentiel à venir. Très vite, le jeune homme démontre un attrait à se battre dans le style Nitôryû avec deux petites épées en bois pour s'entraîner. Le grand père n'est plus à son prime mais enseigne le maximum à son petit fils pour qu'il puisse se défendre quand il sera plus grand. Même si le vieillard n'est pas un Egao, il retrouve dans les archives conservé dans la maison secrète, des instructions concernant le Nitôryû traditionnel de la famille Egao et peut donc l'enseigner à son petit fils qui se sortira mieux que le grand père qui n'est plus dans l'âge idéal pour apprendre un nouveau style de combat à l'épée.
Voici donc comment se compose les 11 premières années de la vie de cette enfant. Des parents mi présents mais aimants, des animaux comme meilleur amis, un grand père protecteur et à partir de 9 ans, un entraînement dur, quotidien mais nécessaire. C'est à ses 12 ans que les choses vont commencer à bouger. En effet, les parents du jeune homme ne sont plus rentrer depuis bientôt un mois. Le grand père sait très bien ce qui peut se passer et comprends qu'il est l'heure de révéler certaine vérité à son petit fils. Les nouvelles sur ses parents ne semblent pas trop le perturber, ils trouvent même cela classe que ses parents soit des révolutionnaires qui veulent changer le monde, en revanche, lorsque son grand père lui apprends qu'ils ne rentreront peut être jamais, le jeune homme va alors connaître la première et peut être la plus grande de ses grandes tristesses.
Les choses devient alors plus compliquer car le jeune homme est donc le dernier descendant de la ligné Egao. Finit alors les épées en bois, son grand père lui offre deux katanas qu'ils possédaient. Ce ne sont pas les meilleurs lame du monde, mais ils protégeront sûrement mieux le jeune garçon que ces deux bout de bois. Mais le jeune homme n'a ni le temps de faire son deuil et ni le temps de faire un vrai entraînement avant que son grand père ne s'endorment pour la dernière fois. Sur son lit de mort, il annoncera au petit garçon qu'il a contacté la révolution avec un escargophone secret pour les avertir de venir chercher le jeune homme. Ses parents sont sûrement morts et le grand père sait qu'il ne tiendra pas une nuit de plus. Il a confiance que les collègues et amis des parents de l'angelot viendront chercher cette enfant secret et l'aideront à grandir dans ce monde perturbé. Avant de s'endormir, il annoncera à son petit fils qu'un jour, son sourire traversa le monde et les océans, qu'il ne doit jamais cessé de rigoler et de sourire à la vie peut importe ce qui se passe. Voilà les derniers mots transmis alors au dernier membre de la famille Egao.
Sachant que quelqu'un allait venir le chercher. Le jeune homme s'habilla avec l’habit traditionnel de sa famille comme le veut la coutume. Son ancienne famille vouant un culte à l'image du Ying et du Yang, avait pour coutume de porter des vêtement rappelant les couleurs de ce symbole. La seul touche de couleur était les boutons de couleur doré qui rappelait le passé de cette famille qui fût un temps, une grande famille réputé d’épéiste. Les origines de la famille Egao trouvent leur racine au pays de Wano Kuni en des temps très reculés. Il est plus difficile de remonter à leur origine primaire qui c'est perdu au fil du temps. En prenant la tenue traditionnel, le jeune homme trouve en même temps un livre concevant une grande partie de l'histoire de sa famille. De génération en génération, cette famille avait toujours été contre le gouvernement et la piraterie. Ses ancêtres n'avaient pas respecter les lois de Wano et furent banni du pays avant de venir se réinstaller sur cette petite île inconnu et reculé du pays des Samouraïs. Vivant dans le secret de leur origine et reculé du monde, la famille commença à disparaître tout en laissant des traces pour des potentiels générations futur.
Yorokobi n'a pas le temps et l'énergie de lire le livre en entier et décide de le ranger dans son sac à dos pour l'emporter avec lui. Sa tenue et ce livre sont les derniers vestiges de sa ligné. Comme il ne sait pas si il reviendra un jour ici, le jeune garçon préfère les emmener avec lui. Après avoir récupérer quelques affaires dans la maison, il prends le temps de dire aurevoir à tout les animaux de la région avant de se rendre sur la berge la plus proche, ou les rares bateaux avaient l'habitude d’accoster, en attendant qu'on vienne le chercher. Il regarde l'horizon alors que le soleil semble se coucher doucement et donne alors une teinte rosé au ciel et brillante à la mer. Yorokobi commence à pleurer en souriant car ce qui lui arrive et triste, mais la vue est si belle depuis ici qu'il ne peut pas s'empêcher de sourire, comme il l'a promis à son grand père...
Informations IRL
- Votre prénom / pseudo : Camille
- Êtes-vous majeur ? oui
- Vous aimez / n'aimez pas : J'aime écrire des histoires et partager des aventures sur ce forum. Mais mon vrai dada, c'est d'embêter le monde à savoir si quelque chose est canon ou pas éwè parce que j'aime pas les incohérences.
- Votre personnage préféré (de One Piece) : Carotte !
- Vous vous définiriez comme : Atypique et j'aime ça !
- Vous faites du RP depuis : Euuuhhh très longtemps !
- Vos disponibilités (approximatives) : Dès que je dors pas.
- Comment avez-vous connu le forum ? J'y suis déjà lol DC.
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