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Scaphandre - Terminé

Age : 36 ans
Sexe : Masculin
Race : Nain Tontatta
Métier : Bricoleur / Plongeur abyssal / Émissaire Révolutionnaire
Groupe : Révolution – Armée Révolutionnaire
But : Renverser le Gouvernement Mondial pour lui substituer un Ordre Nouveau plus équitable.
Équipement : Une lumière rouge dans le casque.
Parrain : -
Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Oui, DC d’Alegsis Jubtion
Si oui, quel @ l'a autorisé ? Ambrosias
Codes du règlement :

Description physique

Scaphandre ; cette ample carcasse faite d’aciers et de tissus hermétiques, on la sait remplie de mécanismes divers et grinçants. Cette cuirasse inquiétante n’est autre que le réceptacle creux où s’y calfeutre un Tontatta. Avec un siège confortable installé dans le casque d’une armure sous-marine, celle-ci conçue de ses petites mains, personne ne sait ou même, ne se doute qu’autre chose qu’un homme sommeille dans cette combinaison de deux mètres trente.

Tout, dans l’élaboration de cette armure abyssale aura alors été minutieusement pensé et conçu de sorte à dissimuler la race improbable de celui qu’elle referme. Pourvu de cordes vocales propres à sa taille, Sébastion, son occupant, pareil à tous les Tontatta de son état, ne se manifeste jamais à voix haute que d’une voix aiguë. Aussi est-ce pour ça qu’il a, dans son « habitacle », jumelé deux Mimo Den-Den, appareils escargophoniques utilisés pour changer la voix. Le combiné du premier, situé dans le casque où s’était établi Sébastion, est en constante communication avec le second, situé au niveau de la gorge du scaphandre. L’intérieur du heaume amphibie ayant été parfaitement insonorisé, chacun, aux alentours, lorsqu’il écoute parler Scaphandre, n’entend guère qu’une voix rauque et grinçante comme le cri d’une bête survenue depuis le fond des océans. De quoi intimider un auditoire qui, en aucune façon, n’oserait même supputer qu’un nain se trouva dans la cuirasse marine.

Certes intimidant avec ce scaphandre hermétique, rendu plus imposant encore avec le lourd récipient métallique à valve qui lui traîne derrière les épaules, il y a, sous ces apparats d’acier – ceux-ci recouverts d’une combinaison hermétique aux bottes aussi larges que les gants – un petit bonhomme qui vous tient tout debout dans la main.

Sébastion Gluji, Tontatta en vadrouille loin de chez lui, en impose moins s’il se révèle, lui et sa queue touffue d’un poil rose et dru. Raison pour laquelle il ne se dévoile jamais.
Petit, le regard mauvais, souvent exprimé en biais d’ailleurs, on le devine acariâtre avant de mesurer à quel point on vise juste. Ce bon garçon, il a de l’hostilité larvée plein les mirettes et ne s’en cache jamais. À la fois méprisant et blasé dans ses seules postures, que ce soit dans la manière dont il se tient et scrute les alentours, il apparaît inabordable par nature.

Un couvre-chef noir, haut et fendu en deux pointes qu’on jurerait cornues, descend jusqu’à lui masquer les yeux, ceux-ci rendus plus pénétrant encore par ce masque qui, ainsi porté, n’accentue ainsi que mieux l’image d’un justicier implacable. Sévère dans ses posture et, d’ailleurs même dans son apparence à en juger ses rouflaquettes violettes, Sébastion est aussi drapé pour la guerre, avec son manteau noir boutonné et son col kaki dont le moindre attribut suggère quelques vagues relents militaires.
Et pourtant ; en dépit de l’armure oppressante, de l’accoutrement et de ses yeux méchants, chacun le découvrant sous ces atouts lui trouvera cet irrésistible aspect « choupinet », n’aidant décidément pas à ce qu’on le prenne au sérieux. D’où l’armure, d’où l’aigreur, d’où ce regard mauvais qu’on lui jurerait collé dans les orbites à la naissance.  

Description psychologique

Que cela se sache et cela se saura, il existe une césure relativement nette entre Sébastion Gluji et Scaphandre. Rien qui ne se rapporte à un quelconque dédoublement de personnalité, heureusement, mais plutôt à une distinction qui tiendrait de l’ordre de la carte et du territoire. Sébastion se sait Sébastion là où, bon nombre de ses contemporains, pour la quasi-intégralité d’entre eux, ne le connaissent que comme Scaphandre ; ignorant ainsi que, derrière le hublot opaque et rougeoyant de la combinaison, on ne trouva guère autre chose qu’un Tontatta à la manœuvre. Chacun le croit humain, Scaphandre, tout le monde s’en doute toutefois, mais personne, en vérité, ne sait.

À s’en tenir à la devanture, imposante bien qu’à peine plus haute de deux mètres, on lui découvre, à ce Scaphandre, une rude personnalité.
Le genre taiseux, habituellement chiche de ses mots, on devine, sans apercevoir ses yeux à travers le hublot derrière lequel n’émane qu’une inquiétante lumière rouge, que l’occupant vous toise d’un regard altier et pesant chaque fois qu’il se tourne vers vous. Le silence, alors, joue pour beaucoup à présenter Scaphandre comme ce héros impassible qu’il n’est pas.

De derrière la façade, l’affaire se présente à revers. Loin de la figure héroïque qu’on croirait raide comme Justice, trépigne en réalité un petit bonhomme acariâtre et patibulaire. Rétif à tout par principe, même ce avec quoi il est d’accord, Sébastion ; le Nain derrière la casque, a pour habitude de débuter ses phrases avec une tournure foncièrement orientée à la négative. Lui échappent ainsi, en entame d’une  moindre réplique, quelques « Non », « Jamais », « Que dalle » entre autres « Plutôt mourir » et « Tu peux te brosser », tous énoncés d’un ton sec et autoritaire, quitte à se contredire dans une seule et même phrase.
Lui demander s’il va bien, en l’occurrence, peut ainsi le conduire à répondre « Certainement pas ! Très bien, merci », ne rendant chaque interaction avec lui que plus confondante.

L’individu, finalement, s’avère plus bougon et grincheux qu’il n’est foncièrement atrabilaire. S’en tenant le plus généralement à des regards en biais, ceux-là compris entre l’hostilité et la lassitude, il agit à la manière d’un chat farouche qui s’enfuit dès lors où on l’approche.

Parmi ses excentricités de caractère ; qu’on ne lui soupçonne que peu du fait qu’il apparaisse si imposant derrière sa combinaison de toile et d’acier, on le sait capables de colères soudaines et improbables. Bien qu’on le pense calme et posé, auguste à la manière d’une force tranquille, surgissent soudain des réactions épidermiques dès lors où le mot « chapeau » est prononcé en sa présence. Jamais qui que ce soit n’a jamais deviné quel curieux déclencheur pouvait être l’origine de pareils soubresauts, mais on sait qu’allié ou ennemi dégustent au même titre dès lors où le « mot en C » leur échappe malencontreusement.

Au fond, Sébastion est un homme ; ou plutôt un Tontatta, porté par une rancune mesquine lui faisant office de pierre angulaire, sur laquelle se sera dressé son sacerdoce ; sa motivation révolutionnaire. Bien que sa cause soit noble, ses intentions, au demeurant, le sont bien moins.

En dépit de son statut de membre de l’Armée Révolutionnaire, partageant quelques objectifs communs avec ses camarades, il ne s’entend cependant avec personne. On dit de lui, par politesse, qu’il est une personnalité « hermétique » à toute chose. La réalité, moins noble en ce qui la concerne, tient au fait qu’il soit simplement l’heureux possesseur d’un tempérament acrimonieux dans lequel tout ce qui y mijote se trouve prétexte à l’irritabilité du moment. Mais l’armure et la voix sombre, parce qu’elles font illusion, le consacrent ainsi frauduleusement comme un caïd des grands fonds.

Biographie

- Non !

Bien qu’il la mordait chaque fois qu’elle chercha à se saisir de lui, Mademoiselle Marjorie Lariftel, belle enfant de la jeunesse dorée de Luvneel, ne déméritait jamais dans ses efforts afin de lui mettre la main dessus. Ce Tontatta, qu’on distinguait si bien de ses congénères du fait qu’il avait à l’arrière-train une queue touffue, bataillait comme un beau diable – ou plutôt un diablotin – lorsque sa « maîtresse », de plus de vingt ans sa cadette, cherchait à s’emparer de lui.

De cette cage littéralement dorée, Sebastion s’en était échappé par cent fois au moins, toujours pour manquer de finir boulotté par le mastiff familial à chaque grande évasion. C’était sa vie, à présent, de servir de « poupée » vivante à une morveuse de cinq ans, celle-ci plus opiniâtre qu’elle était à vouloir de faire de lui son jouet qu’il ne l’était à vouloir s’évader constamment.

- Ne faites pas l’andouille Monsieur Tontinette ! L’exhorta-t-elle lorsqu’elle lui noua enfin la pogne autour du corps. Vous devez essayer votre nouveau chapeau !

Toute jeune, elle avait déjà son caractère et ses lubies. Ne restait à « Monsieur Tontinette » qu’à subir le sort peu enviable qui était le sien. Car, esclave de fait, traité comme un vulgaire hamster au mieux, il aurait tout donné pour trimer comme un damné à Whiperia plutôt que d’éprouver cette torture-ci.

- Nenni, sale moche ! Haro sur le chapeau ! Haro sur le chapeau ! Persistait le bougre qui, prisonnier d’une main solidement serrée autour de lui, donnait des coups de dents dans le vide afin que jamais il ne démérita dans ses efforts de résistance.

À la jeune Marjorie, son père, ingénieur auprès de la Marine, lui avait un jour ramené cette petite créature remuante et coriace comme un cadeau. Il lui avait juré alors que ce minuscule spécimen, haut d’une dizaine de centimètres à peine, lui tiendrait compagnie durant ses longues absences passées en mer. Ainsi, le Tontatta malheureux servit de béquille à une relation parentale bancale. Cela, après qu’il fut capturé sur sa terre natale. Rares étaient en principe les humains à se risquer sur l’île des Nains, mais un individu aussi mal embouché et grognon qu’avait pu l’être Sébastion – Monsieur Tontinette à la ville – à vivre sa vie en reclus, n’avait ainsi que trop facilité le travail d’esclavagistes en vadrouille. C’est ensuite pour trente mille berries qu’il fut ainsi bradé sur un marché où passa un jour le père de Marjorie ; une somme qu’on savait plus de vingt fois inférieure aux prix du marché. Revêche qu’il était, Sébastion avait en effet forte tête et mauvais caractère, c’est presque à perte qu’il fallut le solder afin qu’on puisse vivre sans.

Plus caractérielle encore que ce petit personnage à forte tête, Marjorie se plaisait à lui faire essayer chaque jour des chapeaux miniatures de sa confection. De longue date déjà, elle lui avait attaché les mains dans le dos avec de la ficelle pour qu’il ne n’ôta pas ses parures. Un nouveau couvre-chef vissé autour du crâne – chacun plus ridicule que le précédent – Sébastion vivait chaque jour dans l’infamie, contraint – sans qu’il ne put faire usage de ses bras – de manger et boire la tête dans une auge afin qu’il fit perdurer son calvaire.

Au sommet de ce riche appartement logé à dix étages de la chaussée, il avait maintes fois envisagé l’échappée. Mais de si haut, sans ses mains en appui, et sans que sa voix fluette de Nain ne put apostropher qui que ce soit en bas, il ne put au mieux que passer d’une fenêtre à l’autre. L’autre, entrouverte pour qu’elle aéra la pièce en l’absence du maître de maison, fut le bureau du docteur Lariftel. Un bureau bien curieux que le sien, cloisonné derrière une porte dotée d’une écoutille, rendue ainsi infranchissable. Excepté, en tout cas, par cette fenêtre par laquelle s’introduisait parfois Sébastion.

Son seul répit, alors, il le trouvait là-bas à la nuit tombée, forçant sans peine les barreaux de sa cage afin de s’en aller lire à la bougie les ouvrages d’ingénierie mécanique qu’il y trouva. Sébastion tournait alors les pages entre ses dents chaque soir afin de parfaire ses connaissances. Connaissances qu’il mit un jour à profit après cinq longues années de captivité.

Du bout des lèvres à peine et d’entre ses dents, il avait minutieusement bâti, à l’intérieur d’un scaphandre d’exposition présent dans la pièce, quelques mécanismes rudimentaires afin qu’il put contrôler la combinaison de l’intérieur. Cela, avec seulement le matériel que le paternel avait entreposé dans son bureau. Chaque nuit, inlassablement, à la seule force de ses minuscules gambettes et de ses quenottes, Monsieur Tontinette avait élaboré son sauf-conduit qui lui prit en tout une demi décennie à ériger. Il avait alors chaque fois prit soin de retourner dans sa cage avant le lever du jour, redoutant que la peste ne verrouilla autrement sa fenêtre à la nuit tombée. Avec abnégation, ruminant son humiliation jour après jour, le grincheux était finalement parvenu à ses fins.

Dans ce scaphandre de plus de deux mètres, à l’intérieur duquel il avait bricolé leviers, poulies et articulations de fers et de fils, il mania la bête après s’être un soir engouffré dedans au travers du hublot, actionnant ainsi chaque mécanisme de ses seules semelles. Il avait, par ce seul biais, enfoncé le mur, s’en remettant ainsi à cette armure géante – à son échelle du moins – pour compenser une force qui lui faisait défaut du fait de ses entraves.
L’invention de son crû, alors expérimentale et hasardeuse, ne pouvait faire mouvoir que les jambes de la combinaison. À Luvneel, alors que l’année 1626 s’apprêtait à se conclure, il sembla qu’un scaphandre, les bras ballants et les dos désarticulé, marcha à l’aveuglette dans les rues en enfonçant les murs indistinctement à la seule force de violents coups de pied. L’incident fut notoire et remarqué. Des autorités d’abord, de la Révolution surtout.

Capturé par le comité de Luvneel après qu’il fit tant de grabuge et manqua de leur causer du tort, Sébastion se vit ainsi offrir le gîte par l’Armée révolutionnaire locale pour ses hauts-faits. Plutôt qu’exiger qu’on le ramena chez lui, ayant ruminé des années durant une relative acrimonie après qu’on l’humilia si bien, le grincheux s’entraîna au combat tout en prenant soin de perfectionner son prototype de scaphandrier afin d’en créer un autre mieux à même de siée à sa grandeur.
Depuis l’année 1628, après qu’il s’émancipa de Luvneel pour mieux révolutionner son monde, chacun ne le connut plus que sous le nom de « Scaphandre », entité mystérieuse s’il en était, dont personne ou presque ne savait qu’il s’y trouva un Tontatta derrière le hublot. Seule peut être sa voix aiguë et sèche pouvait le trahir ; cela bien que la force de sa résolution, sans compter le Mimo Den-Den qui en travestissait la tonalité, le fit passer pour très haut personnage. Haut et néanmoins excentrique. Car en dépit de sa sévérité et son intransigeance, il arrivait parfois à Scaphandre de se faire remarquer curieusement de ses pairs. Notamment lorsque, dans ses ronchonneries, celui-ci en venait à jurer qu’il ferait porter des « petits chapeaux moches » à tous les partisans de l’esclavage qui se trouva en ce monde.

Il avait tant souffert.

Informations IRL

  • Votre prénom / pseudo : Jojo
  • Êtes-vous majeur ? Et non-vacciné
  • Vous aimez : Écrire, épanouir mon imaginaire
  • Votre personnage préféré (de One Piece) : Buggy, Foxy, tous les antagonistes marrants en règle générale et, dernièrement, Figarland Garling. Je me sens comme des accointances politiques avec le monsieur.
  • Vous vous définiriez comme : Ma professeur principale en cinquième avait écrit dans mon bulletin  trimestriel « Élève misanthrope et asocial »
  • Vous faites du RP depuis : Plus de quinze ans
  • Vos disponibilités (approximatives) : Au moins trois soirs par semaine
  • Comment avez-vous connu le forum ? J’étais destiné à le trouver. Et accessoirement ancien joueur (Joe Biutag). J’avais à l’époque (2015) trouvé le forum sur top-site.


Dernière édition par Scaphandre le Ven 14 Juil 2023 - 17:30, édité 2 fois
    Vous me dites si pour les Dials si c'est bon (y'en a beaucoup, je crois que c'est de trop pour une présentation mais j'ai pas retrouvé le nombre exact autorisé). Si ça ne l'est pas, on ôte les Thunder Dials et les Ventio Dials.

    Sinon, serait-il possible de récupérer la moitié des dorikis de Derrick Oletto et Jacob Longdrop, mes anciens DC et TC ?

      Coucou Scaphandre,

      Je viens pour ta validation.

      Bon comme d'hab, un personnage très sympa qui promet de bonne aventure. J'ai du voir une faute ou deux, pas plus donc très propre et juste une petite incohérence au niveau description vs histoire :
      d'un côté tu décris le mimo denden offrant une voix "rauque et grinçante" qui fait plutôt pensée à des ton graves et enraillé et finalement dans l'histoire tu as mis "Seule peut être sa voix aiguë et sèche pouvait le trahir". Bon, je me dis que ça doit surement être parce que tu as du pensé au mimo denden après coup.

      Bref, niveau commentaire je vais m'arrêter là parce que j'ai pas grand chose d'autre à dire et que ta pres vaut bien son 800.
      Et on peut te le compter comme le reroll de Derrick Ottelo, mais pas faire la somme des deux comptes (j'ai pris celui avec les plus élevé). Donc tu commence avec 2543 Dorikis.

      MAIS, je ne te valide pas de suite rapport aux dials. Pour rappel, la capacité Dials ne peut être obtenu à la présentation que si le personnage à un lien avec les îles célestes. Hors là tu n'en a aucun. Donc tu ne peux pas commencer avec la capacité, ni les dials.

      Par contre, tout ce que tu as décrit comme amélio dans ton scaphandre, tu peux évidemment le faire avec de la technologie. Et comme tu apprends d'un qg de la marine de Luvneel, ça semble beaucoup plus logique que tu partes la dessus. Pareil pour les révo qui mêmes s'ils ont quelques QG dans les îles célestes sont quand mêmes plus tournée technologie.

      Bref, je te laisse donc édité ta présentation pour enlever toute la notion de dial, et en FT tu pourras simplement remplacer ça par Armes Technologiques. Où sinon tu dois justifier d'un passage dans une île céleste par exemple pour avoir des dials et ce sera 3 au maximum.

      Tu me dis quand la modif est faite et je te validerai officiellement soldat de l'AR.

      Peluuuche


      Scaphandre - Terminé 1425067977-izya-sflagopr Scaphandre - Terminé Zps1 Scaphandre - Terminé 1lmh
      • https://www.onepiece-requiem.net/t3825-
      • https://www.onepiece-requiem.net/t3683-
      C'est édité, merci.
        Parfait, alors c’est validé !

        Pour le reste, tu connais la procédure !

        Peluuuche


        Scaphandre - Terminé 1425067977-izya-sflagopr Scaphandre - Terminé Zps1 Scaphandre - Terminé 1lmh
        • https://www.onepiece-requiem.net/t3825-
        • https://www.onepiece-requiem.net/t3683-