An'i s'approchait discrètement du rivage, dissimulé dans une petite barque précornienne qu'il avait "empruntée" à son village natal. Les vagues tumultueuses de la mer de Grand Line se brisaient contre les parois rocheuses qui entouraient l'île, créant un bruit assourdissant qui contrastait avec la sérénité de l'endroit. Alors que la barque glissait sur le sable blanc, une brume épaisse enveloppait peu à peu l'horizon, ajoutant une touche de mystère à l'atmosphère déjà chargée de tension.
L'île se dressait devant An'i comme un joyau caché. Les falaises abruptes étaient recouvertes d'une végétation luxuriante, mais ce qui attirait immédiatement son regard étaient les vastes champs de bananiers qui s'étendaient à perte de vue. Les arbres majestueux se dressaient fièrement, leurs feuilles d'un vert éclatant dansant sous la caresse du vent. Les régimes de bananes, lourds et savoureux, pendaient en grappes abondantes, créant des arcs de couleurs allant du vert vif au jaune doré.
Les habitants de l'île, très pauvres, s'étaient spécialisés dans la culture de ces fruits. Des rangées ordonnées de bananiers s'étiraient dans toutes les directions, formant un paysage aussi exotique que luxuriant. Les champs étaient entretenus avec soin, chaque plante recevant l'attention nécessaire pour assurer une récolte abondante.
Les cultures de bananes étaient d'une diversité étonnante. Certaines variétés étaient petites et délicates, leurs fruits sucrés fondant en bouche. D'autres étaient plus imposantes, leurs régimes massifs se courbant sous le poids de multiples bananes. Les habitants de l'île connaissaient les subtilités de chaque variété, cultivant des bananes pour différentes occasions et utilisations.
Dans cette merveilleuse plantation, An'i s'avançait avec prudence, veillant à ne pas perturber le précieux équilibre de ce monde. Les sentiers entre les champs étaient étroits, mais bien entretenus, révélant le savoir-faire et le soin apportés à la culture des bananes. Alors qu'il se frayait un chemin, il pouvait entendre le doux murmure du vent à travers les feuilles, comme un écho mélodieux du commerce florissant de la banane.
L'odeur sucrée des fruits mûrs flottait dans l'air. Le jeune homme décrocha l'un de ces fruits qu'il croqua sans vergogne. Les bananes, dans leurs différentes stades de maturité, embaumaient l'atmosphère d'un parfum enivrant. C'était un paradis pour les amateurs de ce fruit exquis, un lieu où la richesse se mesurait en régimes juteux et savoureux.
Alors qu'An'i poursuivait sa progression à travers les champs, il pouvait apercevoir des habitants de l'île vaquant à leurs tâches quotidiennes. Des hommes et des femmes, vêtus de vêtements colorés et pratiques, s'affairaient à la récolte de ces fruits, vérifiant leur maturité et les cueillant avec précaution. D'autres étaient assignés au tris, les préparant pour le commerce.
Des étals improvisés étaient installés à proximité des champs, où les habitants vendaient fièrement leur récolte. Les bananes étaient disposées avec soin, formant un éventail de couleurs et de tailles, attirant l'œil des acheteurs potentiels. L'activité grouillante du marché ajoutait une touche de vie à cette île autrement paisible.
An'i observait tout cela avec une fascination dissimulée. Bien qu'il se cachait dans l'ombre de ses propres intentions mauvaises, il ne pouvait s'empêcher d'admirer le travail acharné et l'ingéniosité des habitants de l'île. Leur dépendance à l'égard du commerce de la banane était évidente, et il savait que perturber ce fragile équilibre aurait des conséquences dévastatrices.
Alors qu'il poursuivait son avancée vers l'intérieur de l'île, An'i gardait en tête l'ampleur de la tâche qui l'attendait. Il était conscient que sa présence ne serait pas la bienvenue parmi ces paisibles cultivateurs de bananes, mais il était prêt à tout pour accomplir sa mission, même si cela signifiait perturber le commerce prospère et plonger l'île dans le chaos.
Son objectif était simple : profiter de la venue de la Marine afin de mettre l'île à feux et à sang. Convaincu que l'apocalypse est le catalyseur nécessaire pour que Joy Boy émerge et réalise sa vision d'un monde meilleur, An'i n'a d'autre choix que de répandre le chaos.
Le jeune homme aperçu alors sa destination : une auberge bruyante des plus classiques. Il remit sa capuche pour recouvrir ses cornes et se mit en marche.
L'île se dressait devant An'i comme un joyau caché. Les falaises abruptes étaient recouvertes d'une végétation luxuriante, mais ce qui attirait immédiatement son regard étaient les vastes champs de bananiers qui s'étendaient à perte de vue. Les arbres majestueux se dressaient fièrement, leurs feuilles d'un vert éclatant dansant sous la caresse du vent. Les régimes de bananes, lourds et savoureux, pendaient en grappes abondantes, créant des arcs de couleurs allant du vert vif au jaune doré.
Les habitants de l'île, très pauvres, s'étaient spécialisés dans la culture de ces fruits. Des rangées ordonnées de bananiers s'étiraient dans toutes les directions, formant un paysage aussi exotique que luxuriant. Les champs étaient entretenus avec soin, chaque plante recevant l'attention nécessaire pour assurer une récolte abondante.
Les cultures de bananes étaient d'une diversité étonnante. Certaines variétés étaient petites et délicates, leurs fruits sucrés fondant en bouche. D'autres étaient plus imposantes, leurs régimes massifs se courbant sous le poids de multiples bananes. Les habitants de l'île connaissaient les subtilités de chaque variété, cultivant des bananes pour différentes occasions et utilisations.
Dans cette merveilleuse plantation, An'i s'avançait avec prudence, veillant à ne pas perturber le précieux équilibre de ce monde. Les sentiers entre les champs étaient étroits, mais bien entretenus, révélant le savoir-faire et le soin apportés à la culture des bananes. Alors qu'il se frayait un chemin, il pouvait entendre le doux murmure du vent à travers les feuilles, comme un écho mélodieux du commerce florissant de la banane.
L'odeur sucrée des fruits mûrs flottait dans l'air. Le jeune homme décrocha l'un de ces fruits qu'il croqua sans vergogne. Les bananes, dans leurs différentes stades de maturité, embaumaient l'atmosphère d'un parfum enivrant. C'était un paradis pour les amateurs de ce fruit exquis, un lieu où la richesse se mesurait en régimes juteux et savoureux.
Alors qu'An'i poursuivait sa progression à travers les champs, il pouvait apercevoir des habitants de l'île vaquant à leurs tâches quotidiennes. Des hommes et des femmes, vêtus de vêtements colorés et pratiques, s'affairaient à la récolte de ces fruits, vérifiant leur maturité et les cueillant avec précaution. D'autres étaient assignés au tris, les préparant pour le commerce.
Des étals improvisés étaient installés à proximité des champs, où les habitants vendaient fièrement leur récolte. Les bananes étaient disposées avec soin, formant un éventail de couleurs et de tailles, attirant l'œil des acheteurs potentiels. L'activité grouillante du marché ajoutait une touche de vie à cette île autrement paisible.
An'i observait tout cela avec une fascination dissimulée. Bien qu'il se cachait dans l'ombre de ses propres intentions mauvaises, il ne pouvait s'empêcher d'admirer le travail acharné et l'ingéniosité des habitants de l'île. Leur dépendance à l'égard du commerce de la banane était évidente, et il savait que perturber ce fragile équilibre aurait des conséquences dévastatrices.
Alors qu'il poursuivait son avancée vers l'intérieur de l'île, An'i gardait en tête l'ampleur de la tâche qui l'attendait. Il était conscient que sa présence ne serait pas la bienvenue parmi ces paisibles cultivateurs de bananes, mais il était prêt à tout pour accomplir sa mission, même si cela signifiait perturber le commerce prospère et plonger l'île dans le chaos.
Son objectif était simple : profiter de la venue de la Marine afin de mettre l'île à feux et à sang. Convaincu que l'apocalypse est le catalyseur nécessaire pour que Joy Boy émerge et réalise sa vision d'un monde meilleur, An'i n'a d'autre choix que de répandre le chaos.
Le jeune homme aperçu alors sa destination : une auberge bruyante des plus classiques. Il remit sa capuche pour recouvrir ses cornes et se mit en marche.