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Savonner la planche.

Quelque part en mer, sur le Cuirassé pirate "Usage modéré de la Force", quelques temps après l'attaque de Marineford.


- Cinquante berrys sur le Lion contre le requin !
- Tenu !
- Le Lion ! Le Lion ! Le Lion !
- Allez bosco ! Fais bouger cette planche pour qu'on le voit enfin plonger !
- Bien dit ! Pas de temps à perdre, on en a un deuxième a passer par dessus bord !


S'il y a bien une chose qu'il est important de travailler au sortir d'une belle bataille, c'est le moral des troupes. Et sur un navire pirate, s'il y a bien une activité fédératrice, joyeuse, et facile à mettre en place, c'est bien le passage à la planche des quelques prisonniers qui ne valent rien, ou des pirates qui n'ont pas accepté de changer de bord et de capitaine. On sort une planche bien savonnée qu'on pousse par dessus bord, on colle un type dessus, et on le pousse en lui titillant délicatement le dos a coups de pointe de sabre, jusqu’à ce qu'il saute tout seul et aille nourrir les requins.

Un bon moment en somme. Qui réussit l'exploit de faire consensus aussi bien chez l'équipage que chez les requins, deux populations qui se détestent viscéralement le reste du temps.

- Mais je suis avec vous !
- Garde ta salive pour le requin, sale espion !
- Je suis venu aider Izya !
- C'est exactement ce que dirais un espion !

Sur la planche qui commence a osciller dangereusement sous son poids, le mink a tête de lion a de plus en plus de mal a garder son équilibre. Mais il faut reconnaitre que pour un agent il est plutôt couillu, même a deux doigts de passer par dessus bord il continue à préserver sa couverture et a prétendre qu'il n'a pas embarqué avec nous sur ordre du gouvernement. Bon, le probléme évidemment c'est que son histoire n'a aucun sens. Elle est presque aussi mauvaise que celle de l'autre taupe, celle qui prétend qu'il s’est attaqué un dragon céleste pour sauver une amie d'enfance qui était devenue sa femme... Je ne sais pas qui est responsable de ses fiches, mais le Cipher Pol a visiblement perdu en qualité depuis que je l'ai quitté.

- Navire en vue ! Babord avant ! Un marine !
- Branle bas de combat !
- Oh merde ! Quelle bande de gâcheurs ! Qu'est ce que je fais chef ? On les balance rapide à la flotte ?
- Mais puisqu'on se tue a vous dire qu'on est avec vous !
- C'est l'occasion de vérifier ça. File un sabre à ses deux guignols et mets les en première ligne. Si vous vous battez bien on oublie la planche.
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J'étais dans une mouise couleur arc-en-ciel. Je n'avais pas pu fuir aux côtés d'izya et j'ai été obligé de suivre les pires de l'escouade Tora. En même temps en me voyant donner des gnons a des agents de cipher pol et aux marines, je pensais qu'ils donneraient un peu de crédibilité à ce que je racontais. Enfin, ils m’ont permis de fuir avec eux quand soudain, je me retrouvais là entouré de sabres. De ce que j'avais compris pendant notre altercation, le type aux cheveux blancs lui pour le coup méritait d'être suspecté. Mais en voyant sa compagne, je commençais à comprendre peut-être les raisons de son retour de veste. L'amour est une chose bien étrange par ici et visiblement ça pousse à trahir le monde entier pour sa moitié, es ce qu'il n'était plus fiable du coup ? Difficile à dire. Mais pourquoi moi ? Moi, je n’avais rien à gagner ! Tout ce que j'avais gagné, c'est un paquet de blessures.



Cela faisait quelques jours que j'étais sur le navire et je n'avais clairement pas récupéré. Mon corps, tailladé par ma rencontre avec ce Clint, ressemblait à montagne de bandage. Le fameux fruit du démon de la momie. Et maintenant j'étais sur une planche savonnée au-dessus de l'océan menacé par des alliés de la capitaine.


"Vous pouvez ... Croire ce que vous voulez. J'nai pas risqué ma vie contre le gouvernement mondial, la marine et les dragons célestes pour me faire arrêter par un empereur !"



Je disais ça, mais je trébuchais m’accrochant de justesse à la planche. Je savais nager bien entendu, mais pour combien de temps dans cet état. Tout d'un coup, quelqu'un sonna une espèce d'alarme. Un navire arrivait, il était de la marine. Ce red haussa la voix disant que je devais faire mes preuves et de me forcer a aller en première ligne contre le navire de la marine pour prouver que j'étais bien ce que je racontais.


"Je n'ai rien à vous prouver ! Aie aie !!"


Bordel, c'était donc ça la vie de pirate ? Poussé au cul à coup de pied et de sabres à aller aborder un navire de la marine. Est-ce que j'avais vraiment le choix ? Izya n'était pas là, ils avaient l'air sérieux dans le fait de m’exécuter si je ne prouvais pas ma valeur. Je m'adressais à l'homme aux cheveux blancs qui était poussé lui aussi.


"Hé ! Jvais pas pouvoir faire ça tout seul dans mon état. Un coup de main serait apprécié..."


Le navire pirate chevauchant les vagues se soulevait et redescendait éparpillant l'eau des vagues contre la proue et le pont. Quand une voix se leva :


"Allez, les gars tous à l'abordage !"


Le bateau pirate avait rejoint celui de la marine trop vite pour mes préférences et au moment fatidique, on me donna un sabre et on me poussa menacé par un pistolet. Je pris mon courage a deux mains. Ce n'étais qu'une nouvelle étape de mon voyage, non ? En-tout-cas, c'est ce que je me disais en sautant sur le pont du bateau de la marine qui n'était pas préparé visiblement pour une échauffourée avec des pirates. J'arborais alors un sourire charmeur et regardais l'entièreté des marins :


"Allez, gars rendez vous. Ça vaudra mieux."

Un bruit de fusil préparé à tirer et pointé vers moi me fis pousser un soupir.

"UN TIGRE MOMIFIE NOUS ATTAQUE !"

Je n’appréciais pas vraiment la remarque. Il le faisait exprès là ? Vraiment ?


"Bon très bien... Désolé d'avance.



Je me jetais sur un des marins les plus proche de moi. Lui sautant sur la tête alors que le bruit de tir résonnait. Un coup de pied dans un autre l'envoya valser sur un de ses compagnons. Je ne pouvais pas utiliser mes bras à cause de mon dernier combat alors j'utiliserais mes griffes et mes crocs pour incapaciter les marins. Hors de question de tuer.


" Lâchez-moi ! Je peux me débrouiller seule !"


"Pas question les pirates sont là, allez vous cacher en bas !"

Mon pied heurta la joue du marin qui tomba au sol.

"Tu n'as pas entendu la dame ?"

Je me tournais vers la jeune femme surprise. M'assurant qu'elle allait bien pour refaire face aux ennemis. Si l'autre ne se ramenait pas, je n'allais pas tenir longtemps.
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La fuite de Marine Ford s'était passé non sans mal. Aquila dut dire adieu à ses amis, dont Shoga, en fuyant avec des pirates, sur les conseils d'Izya. Cependant, sur le navire, tout ne se passa pas bien comme il le faut. Déjà, il n'y avait pas Izya. Ensuite, on était sur le bateau d'un Empereur et l'équipage de se dernier voulait s'amuser avec nous en nous jetant par-dessus bord avec le supplice de la planche. Voyant cela, Aquila n'était encore qu'un être bouillonnant de colère et de haine, maudissant tout sur son passage. Essayant de protéger Kensa du mieux qu'il le pouvait, il était tel un animal sauvage prostré et protégeant sa progéniture d'ennemis. Impossible de se calmer et de réduire son attention. Ses Yeux du Démon étaient toujours actifs et repoussé comme il pouvait les sbires de l'Empereur, en se servant de son corps, de sa tête et de ses dents.
Mais le pire, c'est qu'ils s'en prenaient aussi à Léo, un Mink Lion qui avait aidé le jeune bretteur dans la bataille de Marine Ford. Ils avaient fui ensemble, faisant lui aussi confiance à Izya, et il fut trahi lui aussi par celle-ci. Le pauvre était plus mort que vif, entouré de bandages et devant souffrir le martyre. Aquila ne pouvait malheureusement pas le défendre à part hurler contre la fange de cette société. Fange qu'il s'était juré de combattre pour devenir un homme d'honneur, un héraut de la Justice, même si cette dernière n'était pas aussi du côté du Gouvernement Mondial et des Dragons Célestes. Les fondements même de ce qu'il pensait être une société juste, venaient d'être ébranlées. Même Kensa, qui était effrayée par les pirates commençaient à avoir peur d'Aquila jusqu'au moment où il lui dit :


"Ne t'inquiète pas. Je te protégerai de ma vie s'il le faut."

Ce à quoi elle lui répondit : "Nous mourrons ensemble dans ce cas."

Puis en regardant les pirates : "Soyez maudits tous autant que vous êtes, bande de salaires ambulants ! Soit maudite Izya de nous avoir abandonnés aux mains d'un homme soit disant de confiance. Toi aussi, Red, je te maudis !"

Puis d'un coup, une annonce fit changer les pirates de cible. Un navire de la Marine venait de montrer le bout de son nez. Et là, Red se mit à parler :

- C'est l'occasion de vérifier ça. File un sabre à ses deux guignols et mets les en première ligne. Si vous vous battez bien, on oublie la planche.

Aquila dévisagea le pirate qui lui tendit un sabre, regarda Red et lui dit droit dans les yeux :

"Pourquoi je devrais attaquer un navire qui ne m'a encore rien fait ? Et puis, la seule avec qui j'ai une dette d'honneur et de vie, c'est Izya. Je ne la remercierais jamais assez pour avoir sauvé Kensa des griffes de ce connard de Dragon Céleste. Certainement pas toi qui es devenu Empereur en même temps qu'un vulgaire canard !" Puis, il regarda le pirate complètement bouche bée devant ce qu'il venait de dire : "Dégage avec ta merde, si tu ne veux pas te la prendre dans la gorge ! Si je dois me battre, ça sera avec mes armes !"

Et là, Léo regarda Aquila pour lui dire : "Hé ! Jvais pas pouvoir faire ça tout seul dans mon état. Un coup de main serait apprécié..."

"Parce que t'es assez con pour leur obéir aveuglement ?! Tu n'as aucune volonté, pour un Mink !"

Non seulement, Aquila venait de comparer Red à un canard, mais en plus, il a décidé de lui désobéir en le regardant droit dans les yeux. Il savait que les risques encourus pour son comportement étaient très graves, mais il n'en avait rien à foutre. Aquila avait ses principes, et il n'allait certainement pas s'asseoir dessus.
Retournant dans un coin avec Kensa, il savait qu'il pouvait mourir d'une attaque dans le dos, tout en regardant les autres attaquer le navire de la Marine...
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... Une plante à la mer.


‘’Alors, ceci est un Eternal pose qui nous guide vers Marineford ? Il existe plusieurs objets de ce genre pour la navigation sur les eaux ? Ils sont obligatoires ?’’ Demande la rouquine qui avait retrouvé une chevelure flamboyante depuis son départ de l’île hivernal.

Sous le soleil et la température chaude de la mer, elle avait retrouvé sa palette d’été. Sa longue chevelure en bataille était redevenue volumineuse, son regard avait changé pour son émeraude brillante et sa peau commençait à virer légèrement au vert, signe qu’elle retrouver le pique de sa saison d’été. Elle tenait un carnet et un crayon en main, prenant des notes sur ce que le timonière du bateau scientifique lui offrait comme information. Ce retrouvant entourer de gens, elle avait gardé son habit de travail, son pantalon cargo vert défraîchit, crop top noir usé et sa veste assortie au pantalon cargo qui entourait ses hanches sous la chaleur ambiante, dévoilant son corps athlétique.

‘’Oh oui, il en a plusieurs, un Log Pose est un type de boussole spécialisé, une nécessité pour naviguer sur la Grand Line. Où les minéraux uniques de chaque île produisent des champs magnétiques atypiques qui rendent les boussoles ordinaires inutiles. Il en faut un pour chacune des îles. Il y a les Eternal pose, qui est un type spécial de boussole utilisé dans la Grand Line. Comme un Log Pose, il enregistre les ondes magnétiques spéciales d'une certaine île au sein de la Grand Line, permettant à l'utilisateur de savoir quel chemin emprunter pour arriver à destination.’’
‘’Je vois… Il y a d’autre manières de naviguer ?’’
‘’Les Vivre Cards, également connues sous le nom de "Paper of Life", sont une forme spéciale de papier fabriquée dans le Nouveau Monde, mais c’est surtout pour un endroit ou une personne bien précise.’’ Explique le navigateur.
‘’Hmm… Intéressant. C’est difficile d’apprendre le boulot que vous faite ?’’
‘’Par spécialement, de l’étude, de l’expérience et du temps. Surtout un navire, je vous conseille de commencer avec quelque chose de léger. Si vous voulez, je dois bien avoir un vieux bouquin sur la navigation pour les nulles dans ma cabine. MARIA ! Va chercher mon vieux bouquin navigation. Celui avec le relieur de cuir usé avec les petites notes sur les rebords. Merci.’’
‘’Vous êtes sûr ?’’ Demande la rouquine.
‘’Bien sûr, il me sert plus et il prend la poussière.’’

Tout en continuant d’écouter l’homme qui partageait une partie de son savoir sur la navigation, la dénommée Maria, un jeune soldat qui devait être transféré à Marineford pour un entraînement poussé, revenait avec le dit livre, mais aussi un carnet bien coincé entre les pages. Elle le donne sans plus de manège à la rouquine qui passe à deux doigts de l’échapper tellement la chose, c’était passer rapidement. Elle glisse son Notepad et son crayon dans l’une des poches de son pantalon et elle prend le temps de feuilleter le bouquin en question. Elle semble remarquer plusieurs feuilles avec des notes plus détaillées entre les pages, comme si on avait cherché à cacher des trucs et en son centre, se trouve un paquet de feuilles mince gribouillées.

‘’Vous êtes sûr que vous ne voulez pas jeter un coup d’œil avant…’’ Commence la rousse avant d’être coupée.
‘’Nah, il est tout à toi. Il me sert plus depuis longtemps et puis je suis content de partager mes connaissances avec quelqu’un de motivé.’’
‘’D’accord, je ne vais pas me plaindre. Merci encore. Je vais aller à ma chambre pour commencer à lire un peu.’’ Souffle-t-elle en soulevant les épaules.

Elle n’allait pas cracher sur la possibilité d’avoir accès à de l’information peut être importante ou secrète… Sur ces dernières paroles, elle s’éloigne lentement, observant les premières lignes qui lui faisait découvrir ce qu’était la navigation sur les eaux. Toutefois, à peine eut-elle le temps de s’installer confortablement, qu’une alarme résonna, n'avertissant qu’un danger imminent. Le petit bateau, contenant presque que des scientifiques avec une troupe d’une dizaine de soldats, étaient davantage taillées pour la vitesse que le combat. Tandis qu’elle attrape son sac et qu’elle y met le bouquin, elle ramasse son équipement. Elle sent la vitesse augmenter, les hommes hurler aux pirates et un frisson d’excitation traverse le dos d’Helia qui se fige un instant. Elle écoute les pas qui résonnent au-dessus de sa tête et le bateau qui semble être passé à un brusque arrêt. La rouquine se précipite dans l’escalier qui la mène vers le pont, débouchant sur une populace fébrile et apeurer. Plusieurs scientifiques se précipitent vers l’intérieur, la bousculant au passage. Tout en s’extirpant et posant ses grands yeux sur le bateau ennemi, quelqu’un l’attrape par le bras, la serrant fortement.

‘’Lâche-moi.’’ Demande une première fois la voix base d’Helia qui n’apprécie aucunement que quelqu’un est poser la main sur elle.
‘’Pas temps de faire la fine bouche, dans la cale maintenant.’’ S’énerve la voix d’un soldat qui essaye de la pousser.
‘’Lâchez-moi ! Je peux me débrouiller seule !’’ S’exclame cette fois la scientifique qui donne un coup sur son bras emprisonné.

Même si le soldat réplique un truc, l’attention de la rousse est tournée sur l’immensité qui se précipite dans sa direction. Un mélange de montagnes de muscles, de poil et de… Bandages ? La créature est si énorme que même avec ses 182 cm, elle se sent petite et comme de fait, elle lui arrive à peine à la poitrine quand son corps animal frappe l’homme qui la tenait. Elle ne porte plus aucune attention à l’humain qui interagissait avec elle, les yeux rivés sur la momie ? Ou créature blesser qui se tenait devant elle et qui lui cachait la vue du bateau pirate pour le moment. Des éclats de voix paniqués s’élèvent dans l’air, des coups de métal qui se fracasse suivit de coup de feu explose finalement dans l’air. Et malgré tout, les yeux émeraude de la ‘grande’ humaine son rivé sur la stature animale donc l’ombre l'avale complètement.

‘’F*ck that big…’’ Laisse-t-elle échapper dans la surprise avant que son instinct de survie ne reprenne le dessus.

Helia n’était pas la meilleure des combattantes, elle est même encore une débutante pour le corps-à-corps. Sa spécialité était davantage l’utilisation du fouet, donc tenir les ennemis à distance. Cependant, durant son passage à Bulgemore, elle avait fait la rencontre d’Ash qui lui avait offert quelques connaissances basiques très utiles au cas où. Tout en sentant les poils de sa nuque se redresser, son corps se mit à bouger de lui-même. Elle ramena les bras près de son corps, offrit une légère rotation et replia la jambe pour récupérer le maximum de force. Elle avait un avantage, l’homme était seul, blessé et surtout distrait. Se tenant en équilibre sur une jambe, elle frappe finalement à l’horizontale, visant la partie intime de la créature, sa seule chance de survie dans l’immédiat. Dès que son pied percuta avec la chair tendre, elle put entendre la chose pousser un grognement de douleur et elle ne perdit pas de temps pour enchaîner avec la suite de son plan. De son autre main libre, elle avait récupéré l’un de ses fouets pour le lancer sur l’une des poutres horizontales du mât et se souleva en utilisant le corps de l’homme qui se pliait en deux sous la douleur. Elle était habituée à utiliser les branches de la forêt de Born de la sorte comme support pour se sortir d’une situation dangereuse ou encore comme propulseur pour utiliser l'efet de la gravité comme en ce moment.

Elle souleva, fit le tour du poteau par le haut et grâce à sa prise avec le fouet, elle fit un saut digne d’un gymnaste et vient brusquement atterrir de tout son poids sur les épaules de la bête pour lui fracasser le visage dans le plancher en espérant que ceci serait suffisant pour le rendre inconscient. Elle garda de peine et misère son équilibre grâce au fouet qui se trouvait toujours accrocher au poteau. Elle vient prendre une grande respiration et d’un coup sec, elle vient défaire le fouet et venir utiliser le fouet pour offrir un coup de un bruit digne d’un coup de tonnerre pour attirer l’attention de tous. Toujours sur sa montagne de muscle, en espérant que la scène soit un minimaux impressionnante. Elle parle fort dans le but de se faire entendre de tous.

‘’Vous ne trouverez rien de valeur ou d’intéressant autre que des provisions sur ce bateau. Nous ne sommes qu’un bateau de voyage et de scientifiques… Je suis prête à faire un marché avec vous, j’ai de l'information sensible qui pourrait sûrement vous intéresser, laisser partir le bateau sans faire de mal à qui que ce soit et je viens avec vous.’’
‘’Hey ! Non…’’ S’élève la voix d’un soldat, mais il se fait couper par un coup de fouet qui vient le désarmer et lui imposer le silence.
‘’Je ne crois pas que vous êtes en position de marchander…’’ Souffle la rousse.


“Is the land a source of belongings, or a source of belonging ?”

“The underlying melody via every rock, plant, animal, sky and star, inside the water, from the dirt, through the light: only love lasts.”


Dernière édition par Heliamphora le Lun 14 Aoû 2023 - 20:03, édité 1 fois
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Ahlala, quand y'a une femme en jeu ça a assez de cran pour se dresser contre un dragon céleste, mais quand il s'agit de faire un brin d’honnête piraterie voila qu'on se débine. Je crois qu'il y a des gens qui manquent de lucidité sur leur futur. J’espère pour lui que ça changera quand il verra sa gueule encadré sur une affiche avec écrit mort ou vif dessous, et que n'importe quel marine aura envie de lui faire la peau, si c'est pas le cas, je connais une petite dame qui ne va pas filer le parfait amour longtemps.

- Mon gars. S'il y a bien une chose qu'il fait bon d'apprendre pour survivre sur la route de tous les périls, c'est que quand les gars a quinze mille dorikis disent certaines choses, ceux a trois mille dorikis les écoutent..

Comme dirait Baker, il ne fait pas bon être un œuf sur Grand Line. Alors je veux bien reconnaitre que jouer les rebelles maintenant c'est être parfaitement inconscient ou avoir de très grosses balloches, mais dans le contexte ce n'est pas un choix très malin. Surtout au vu des moyens de pression que trimballe notre embarqué pas vraiment volontaire.

D'un pas de coté couplé à un soru je me décale jusqu'au touriste sans même donner l'impression de bouger, et le saisissant à l'épaule dans une poigne tout à fait douloureuse, je l'expédie d'un geste, droit vers le pont du navire marine et le groupe de soldat le plus proche façon strike de bowling. Avant de suivre vaguement le mouvement plongeant en allant poser un pied sur le bastingage de mon cuirassé pour contempler la scéne en dessous, ou une autre tête a décidée qu'aujourd'hui on aurait pas le droit de s'amuser. C'est la journée de la bouderie et personne m'a prévenu ?

- Vous laisser partir en échange d'un otage et d'informations ? je vois mal pourquoi je me contenterais de si peu alors que je peux avoir le navire, les otages, et les informations.

D'autant que ce genre de négociation signifierait que je veux ces informations. Alors que je ne vous aborde que pour occuper mes hommes. Désolé mam'zelle, c'est non. Baker ? Monte moi un équipage de prise et mets moi tous ses guignols a fond de cale, avec un peu de chance la marine paiera pour les revoir. Et fais monter la dame dans ma cabine...


C'est pas comme si on allait laisser un navire marine se carapater tranquille à l'approche d'Armada. Et puis, un navire c'est toujours un navire. Et sait on jamais, peut être que la dresseuse de lion possède vraiment des informations qui valent autant qu'elle le croit.

En bas, sur le pont du navire marine, ça fait un peu la gueule, on s'est plus ou moins rendu mais on est pas vraiment sur, et chez les soldats on se verrait bien tenter de tabasser le lion quasiment neutralisé et l'Aquila en train de se relever, mais en même temps, on se rend bien compte que cet abordage sent le sapin et que résister n'est pas une super idée. On est donc en plein malaise tendu plutôt qu'en franche et sympathique bagarre quand une porte s'ouvre sur le gaillard avant, et qu'un type en uniforme d'ingénieur bondit soudain sur le pont avec le sourire radieux de celui qui vient de réussir un sale coup.

- TROP TARD ! J'AI ACTIVÉ L'UNITÉ DE DÉFENSE ! VOUS ÊTES TOUS FINIS PIRATES !

Et effectivement, s'encadrant dans la porte derrière l'ingénieur, la silhouette familière du plus célèbre de tous les corsaires s'avance pesamment sur le pont, son œil rougeoyant faisant immédiatement le pas sur les cibles que les marines lui pointent gentiment du doigt, en bons petits délateurs zélés. Aquila qui se relève, le lion, et manque de bol, la miss juchée sur ses épaules...

Peut être qu'on va finir par l'avoir notre baston finalement !
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La mort. La vie. Quels étranges concepts.

On pourrait dire qu'ils ne pourraient pas exister l'un sans l'autre. L'œuf et la poule, le bourgeon et la feuille-morte. Ces concepts s'affrontent et s'équilibrent par leur simple présence. Le yin et le yang, l'eau et le feu, la marine et les pirates. Tout dans l'univers à sa place en totale opposition avec un autre élément ou conviction. Tout ne forme qu'un dans la grande roue qu'est la vie en tant que tel.

Cette femme était la mort.
Elle avait, un seul mouvement détruit mon être tout entier. J'avais la vie, le bourgeon, le yin que dis-je le feu et en un souffle elle l'avais terrassée semblant détruire l’équilibre naturel du monde. L'arbre fut abattu, le yin sa couleur dévorée par l’autre, le feu éteint en un instant et mes noix dispersées aux quatre vents dans un océan si salé que rien ne poussera jamais.

J'avais si mal. Si putain de mal. Pardonnez le langage, mais j'avais fermé la bouche de peur à ce que mon âme ne sorte pas. Je me retrouvais à genoux, mes mains contenant ce qu'il restait de ce qui faisait de moi un homme, et le front contre le pont du bateau. Je n'entendis qu'un sifflement dans mes oreilles comme si j'avais frappé par une explosion trop proche. Je n’entendis rien. Je n'entendis pas les exclamations des uns, ni la négoce de la mort avec le capitaine, ni la jubilation du marine ni même les pas lourds et mécaniques du Pacifista px1 modelé corsaire qui sortait du bateau.


"RECHERCHE DE CIBLES. RÉSULTATS : 82. PLUSIEURS ENNEMIS EN DÉROUTE. PROTOCOLE DE LIQUIDATION ENGAGE."

La première chose que je vis, c'était un faisceau lumineux qui émanait de sa paume. Me visant exclusivement.

"CIBLE À TERRE. INDIVIDU LE PROTÉGEANT. ENTRAVE AU PROGRAMME JUSTICE. LIQUIDATION."


Ce dingue allait faire feu sur moi et la femme qui m'avait mis au tapis. Bouge Léo, bouge ! Il eut un sifflement dans l'air. Une gerbe de sang vint tacher le pont et le marine qui jubilait de son action. J'avais bondi sur le côté pour esquiver, agrippant au même moment la mortelle rouquine. Mais je n'avais pas été assez rapide. Le rayon m'avait transpercé l'épaule, laissant voir à celle-ci le Pacifista à travers mon corps mutilé.
Elle ne semblait ne rien avoir. Je parlait d'une voix rauque alors que les gouttes de sang perlaient au coin de mes lèvres.

"... Ne restez pas..."


Mon corps se fit lourd. Extrêmement lourd. Mes jambes me lâchaient alors que je m’effondrais lourdement sur le pont. La blessure aurait pu être plus grave, mais l'accumulation de toutes les blessures reçues jusqu’à présent se faisait sentir à cet instant précis. La seule chose qui me faisait encore tenir debout était mon genou qui au moment de ma chute a pris le plus gros impact.

"Là..."

Cette chose était trop dangereuse pour moi. Je ne pouvais pas la battre. Mais je pouvais ...l'entraver. LE regard vide, je me relevais encore une fois alors que le monstre mécanique chargeait sa paume vers moi. Je bougeais aussi vite que mon corps était capable pour me glisser sous le bras du géant et levait son bras grâce à ma force vers le haut. La machine dans une erreur tira plusieurs fois en l'air avant qu'elle n'ouvre la bouche dans ma direction, une autre lumière... Un autre faisceau.

C'était la fin.
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Oui ! Tenir tête à un Empereur de mers est une très mauvaise idée. C'était peut-être même la plus mauvaise idée des mauvaises idées qu'Aquila a eues dans sa vie. Voilà que Red se met à lui parler de dokiris. Le souci, c'était qu'il ne savait pas ce que ça signifiait et ne put que lui répondre :

"Doki-quoi ?!"

Mais à peine eut-il fini sa phrase que Red disparut pour se retrouver derrière lui et posa sa main sur une épaule du bretteur et exerça une pression atroce dessus qui fit plier Aquila sur place, pour ensuite l'envoyer d'un geste sur le pont du navire qu'il avait ordonné d'attaquer.
Sur le coup, Aquila se sentit très léger et n'avait plus mal. En effet, ce dernier était en train de tout simplement volé.



Mais le problème avec le vol, ce n'était pas le vol en lui-même. Avec un propulseur tel que Red, on pouvait sûrement passer d'une Blue à l'autre en traversant Grand Line. Non, le problème, c'était l'atterrissage. Et là, comment dire... Il y avait encore du travail à faire pour que ce soit parfait. C'est ainsi que tous ceux qui étaient présents sur les lieux virent un Aquila atterrir comme une grosse merde, roulant et dégommant tout ceux qui se trouvait sur son passage, telle une boule de bowling faisant un strike, jusqu'à aller se cogner contre le bastingage opposé. Aquila se releva non sans mal en poussant à voix basse :

"Ah tatata... Mais quel bâtard celui-là..."

Mais à peine finit-il de se relever qu'un des hommes du navire se mit à gueuler qu'il avait mis l'unité de défense en marche, que c'était fini de nous, et patati, et patata. Saoulant le type, quand même. Mais lorsque l'ex-chasseur de primes vit un colosse avec un bob sur la tête, parler comme un robot et cherchant à sortir des lasers par une de ses mains, Aquila eut du main à déglutir. Mais le pire, c'était que la chose commença par s'en prendre à Léo et une belle jeune femme à la chevelure de feu (encore une !). Le Mink lion, qui était déjà au bout de sa vie, fut comme envahi d'un esprit chevaleresque et protégea la jeune femme de son corps.

"LEO !!!"

Le lion tomba lourdement à genoux, mais alors que son esprit était éteint, son corps bougea instinctivement pour empêcher la chose de tirer sur le navire. Lui levant le bras, la créature se mit à tirer plusieurs salves en l'air. Voyant qu'elle était bloquée, son visage se tourna vers celui du Mink , ouvrit la bouche pour sortir un autre laser. Voyant cela, Aquila qui était bien vénère, bondit sur lui et lui mit un grand coup de latte dans sa gueule, afin que son rayon aille à l'opposé du Mink. Le souci, c'était que le bretteur découvrit par la même occasion que la créature était faite de métal, partout. Se réceptionnant, Aquila se tint le pied qui avait frappé le cyborg, sautant sur place, la larme à l'œil, et prononçant un "putain le con !" audible par tous. Mais au moins, le Mink n'était pas mort. Du moins, pas encore. Mais le cyborg n'en resta pas là. Ayant pris pour cible ce qu'il considérait comme dangereux, il pointa son joli minois sur Aquila et commença à charger son rayon. N'ayant pas d'armes sur lui, le bretteur se précipita sur un soldat pour lui emprunter le sien.

"Tu permets ?!"

Le pauvre soldat qui était plus effrayé par les événements qu'autre chose, secoua la tête d'acquiescement. Sabre en main, Aquila exécuta son attaque Tranche-Terre afin de couper le PX en deux. Cependant, le sabre était de mauvaises qualités et se brisa à la moitié du corps.

"Merde ! Fait chier !"

Ne cherchant pas à ce qu'aller faire le PX, Aquila attrapa Léo afin de l'amener vers la jeune femme qu'il avait protégée par son corps et il lui demanda :

"Désolé de vous demandez ça, mais pourriez-vous l'amener sur l'autre navire, je vous prie. Je vous en serai reconnaissant."

Puis, en regardant Red :

"Je t'envoie Léo. Il est très mal en point. Envoie-moi mes armes, s'il te plaît !"

En espérant qu'il le fasse...
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... Une plante à la mer.


Les yeux toujours posés sur le robot avec fascination, la rouquine ne réalise pas l’ampleur du danger. Elle avait bien aperçu la créature de métal en fond de cale, silencieuse et sans vie, mais du fait de son passif d’indigène elle n’en avait jamais vu un en action. Ainsi, quand la chose la prit pour cible, elle observa le point rouge se dessiner sur son corps puis les paroles étrangement distordues du Pacifista qui prenait maintenant action. L’excitation de l’homme qui avait armé le mécanisme de défense interpella la scientifique. Est-ce que c’était le genre de comportement que les ‘humains’ avaient envers les uns et les autres ? Elle avait cru remarquer que beaucoup avait besoin d’assouvir une certaine dominance ou pire encore… Les mots : ‘’cible à terre. Individu le protégeant. Entrave au programme justice. Liquidation’’, lui firent réaliser que ladite cible n’était nulle autre que le lion sous elle et que maintenant elle était elle-même prise pour cible. Il allait l’attaquer elle ? Pour avoir mot à terre un des individus qui avait attaqué leur bateau !? La confusion se dessine sur les traits de la rousse pendant que son regard tombe sur l’ingénieux puis glisse sur l’équipage qui ne réagit pas face à cette exécution.

Est-ce que ceci voulait dire que les dommages ‘collatéraux’’ étaient une option tolérable pour éliminer ceux qu’on désirait ? Est-ce que le fait de blesser, voire de tuer des alliés étaient un choix valable pour arriver à ses fins ? Est-ce que c’était réellement ce qu’était la Marine ? La confusion se transforme lentement en colère et finalement en rage déformant les traits de celle qui avait fait confiance à cet équipage. Elle finit par pincer les lèvres au point de ne laisser paraître qu’une fine ligne et son regard vert qui brillait de joie quelques minutes avant brillait maintenant d’une colère froide et sans la moindre pitié pour ceux qui lui avait tourné le dos… Et dire qu’elle avait été prêtre à se sacrifier pour leurs survies… Elle serre les poings si fort qu’elle sent ses jointures craquer dans les gants de cuir et s’il n’avait pas été de la protection du bout des doigts, probablement qu’elle aurait perforer sa propre peau avec ses ongles.

‘’Tss…’’

Au même instant, la montagne de muscle sur laquelle elle se tient bouge. Elle sent les larges mains l’agripper pour la faire pivoter sous lui et au même moment, un liquide poisseux éclabousse son visage. L’homme s’exprime lentement, échangeant un faible regard avec elle. Le sang qui perle les lèvres de la créature laisse une goutte venir s’échouer sur la joue de la rousse, imitant l’imagerie d’une larme qui coule sur sa peau d’un vert pâle et une nouvelle fois la confusion revient hanté son expression. Pourquoi l’avait-il protégé ? Elle l’avait attaqué non ? Alors pourquoi ?!

‘’Je… Pourquoi ?’’

Laisse-t-elle échapper d’une si petite voix qu’il ne semble même pas l’entendre. Il se relève pour se lancer dans une attaque folle contre le monstre mécanique. Il dévie la deuxième attaque, mais allait s’en prendre un autre plein la tronche s’il restait là. Un vent de panique gonfle le cœur de la rousse et elle se soulève brusquement. Elle allait utiliser une attaque avec son fouet pour essayer de dévier une nouvelle fois l’attaque, mais une ombre passe rapidement à côté d’elle pour venir frapper le robot pour en dévier une nouvelle fois l’arme et sauver la vie au Mink. Des émotions contradictoires gonflent le cœur de la scientifique. Le cerveau en ébullition par tout ce qui se produisait, elle avait combattu plus qu’une fois des créatures dans la forêt de Born, elle connaissait les dangers environnementaux naturels de son archipel natal. Elle avait visité l’île hivernale de Bulgemore, découvrant d’autres problèmes et encore, elle avait aperçu les monstres mécaniques cachés dans les entrailles de la base de Bulgemore. Combien de nuits blanches avait-elle passé à visiter l’endroit pour simplement passer le temps ? Et maintenant ceci. Elle passe une main sur son visage, une nouvelle résolution au fond des yeux, aux finales toutes les créatures étaient égoïstes et ne cherchaient qu’à survivre au détriment des autres. Son passage chez les humains, dans cette base confortable et loin des dangers lui avait temporairement fait oublier la loi principale qui régissait son mode de vie ; celui de la nature, la loi du plus fort.

Elle ne répond même pas à l’homme au cheveu blanc quand celui-ci lui demande de sortie Léo de la situation. Elle le réceptionne avec un peu de difficulté, mais elle se reprendre, positionnant un peu mieux sa prise sur son dos et le traîner vers l’autre bateau. Toutefois, un marin, costaud, mais loin d’être aussi impressionnant que le Mink qui reposait sur son dos s’interpose, pointant son arme vers elle.

‘’Ne bouge pas. Sois sage et ne fais rien de stupide. Tu es censée être un allié.’’

Elle dépose lentement le corps du lion et au sol et se redresse pour faire face à l’homme. Elle l’observe un instant avant de laisser un sourire carnassier s’étire, dévoilant ses canines. Et s’exprime en même temps qu’elle retire les gants de protections qui marquent ses mains et les glissent dans ses poches. Tout en parlant, elle tire le fouet qu’un coup sec vers l’arme tendu et le désarme pour envoyer le sabre en direction de l’autre homme qui en avait besoin.

‘’Vous avez perdu ce droit quand vous m’avez attaqué.’’

Puis sans rien ajouter, elle s’élance, se remémorant les paroles d’Ashlinn sur le combat au corps-à-corps, mais elle avait un avantage sur eux, elle connaissait leur style et elle avait son propre style plus des traits qu’ils ne connaissaient pas. Personne ici ne l’avait vu en colère ou encore en mode combat et ceci est à son avantage. En quelques mouvements de pieds, elle se retrouve face à l’homme, remonte le poing pour venir frapper sous le menton et avec la gorge dégagée, elle frappe à nouveau pour venir planter le bout de ses phalanges empoissonnées dans la chair tendre. Elle profite de la douleur et de l’effet de surprise pour se glisser derrière lui et sauter sur son dos, attraper sa tête sous le menton. Elle plante une nouvelle fois les ongles et les doigts et en utilisant la force de ses jambes et le poids de son corps, elle vient offrir une rotation de la tête vers la droite. Un craquement sonore résonne dans l’air, puis un autre mouvement vers la gauche qui est lui aussi accompagné par un craquement et finalement, elle vient tirer vers le haut le membre qu’elle vient arracher dans un bruit de craquement humide. Elle effectue une pirouette vers l’arrière, emportant avec elle son nouveau trophée, la tête de l’homme décapité avec sa colonne. Elle se redresse, soulevant la tête avec une expression de grimace qu’elle laisse tomber au sol comme s’il n’était rien d’autre qu’un pur déchet et elle s’avance vers Léo pour le récupérer et se diriger vers les pirates. C’était un avertissement silencieux à ceux qui voulait à nouveau se mettre entre elle et son objectif.


“Is the land a source of belongings, or a source of belonging ?”

“The underlying melody via every rock, plant, animal, sky and star, inside the water, from the dirt, through the light: only love lasts.”
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- Ouah, je m'attendais à rien mais je suis choqué quand même !
- Tu m'étonnes, t'imagines elle aurait fait la même avec les bijoux du Lion ?
- Ouillle..

Tout ce qui s'identifie comme mâle à bord du cuirassé porte la même main protectrice a son entrejambe en imaginant l'horrible séquence d'arrachage de tête de la demoiselle transposé un poil plus bas. Terrible vision d'horreur qui hantera même les plus terribles des pirates du bord...

- En tout cas elle en a !
- On peut la garder chef ? En plus elle voulait monter à bord toute seule !
- On verra, commencez par donner des armes au monsieur.

Et pendant que sur le bateau de la marine, tout le monde est en train de vomir de dégout devant l'horrible carnage opéré par Helia, et que le pacifista rajoute un case dans son listing de cible en passant la demoiselle coté pirate, sur le pont du cuirassé, toutes les bonnes âmes des joyeux pirates du bord viennent en aide à Aquila, qui se retrouve pris pour cible par une vraie pluie d'armes diverses. Une douzaine de sabres viennent se planter autour de lui, accompagné de quelques pistolet, d'un canon a main et d'une paire de grenades. Et il y même ces armes personnelles, lancé directement de la main de sa compagne qui l'encourage même de la voix.

- Et Baker ? Essaye de me sauver le lion...
- Je gère patron. Vous avez entendu les gars ? Qui va m'accrocher le lion au palan ?
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J'étais livide. Le monstre de métal ne m'avais pas raté. Je saignais profusément et tant bien que mal je gardais l'une de mes pattes sur ma blessure essayant de retenir le sang en moi et pas par terre. Cela marchais comme ça non? Pour ma défense je n'étais pas médecin. On me trainais a gauche et a droite alors que le pont tout entier résonnais dans l'affrontement qu'il y avais entre les pirates et la marine non sans compter le robot gigantesque.

"Il va tuer tout le monde...il faut...faire quelque chose."

Mon regard alla vers la jeune femme rouge couverte de sang. Elle avais tué quelqu'un je crois, son visage ne reflétais qu'un air animal. Un prédateur qu'on aurait encerclé. Elle devait agir sous l'effet de la peur, pas de la raison.

"Je...vais...bien.toi..tu..a été touchée?"

Je crois que j'avais perdu la raison. Un sourire vint sur mon visage fatigué pour essayer de détendre la rousse alors que je posais une main au sol pour qu'elle arrête de m'y trainer.

"Il faut arrêter cette monstruosité. Le pacifista ...il ne va pas s’arrêter. L'équipage de la marine est mort sans nous.On...je dois faire quelque chose."


J'essaie de me lever et trébuchais avant de me tenir a la jeune femme un regard déterminé et certain alors qu'il va marcher jusqu’à un des canons du navire.

"T'es dingue, big boy !? Ta vu ton état ? Le mec aux cheveux blancs va s'en occuper ! Tu te vide de ton sang !"


Mon sourire a ce moment , émanait tellement de confiance et de folie en même temps que tous pouvaient se demander si j'étais pas devenu fou âpres avoir expérimenté la presque mort. Un sourire et une attitude se jouant de la mort elle même alors que je regardais le grand manitou, depuis l'autre bateau, dans les yeux. Il pouvait m'entendre non ? Surement. Ma main se pose sur le canon le plus proche. Chargé ? Parfait.

"J'ai pas fait tout ce chemin pour prouver que j'allais être ...un poids mort. Je deviendrais un empereur des mers-gaaou...Et s'ils pensent que m'être ma vie en jeu m'effraie..."


Je déployais tout ce qui me restait de force pour arracher le canon de son socle le posant sur mon épaule valide.Coupant ma phrase durant l'effort. Malheureusement mes forces me lâchait et je me retrouvais adossé contre le bastingage du navire.  Le canon tours sur mon épaule, toujours penché en arrière pour éviter que le boulet ne roule en dehors. De mon autre main je rapprochais deux doigts formant un arc électrique visible allumant la mèche du canon.

"Ils se trompent...Chaque vie est importante. Et cela ne devrait pas être jugé par une machine !
Prends ça tas de ferraille."


Il eu une détonation le bastingage du navire et mon corps se retrouvèrent projeté en arrière. Le bastingage pris environ les trois quart du recul craquant à cause de la force de celui ci. le boulet se propulsa a une vitesse telle que alors que le px1 levais ses deux paumes et ouvrait la bouche pour tirer une nouvelle salve de lasers le boulet rentra en collision  avec son crane. Il eu une détonation et soudainement le pacifista fut enveloppé dans la fumée.
Lâchant le lourd canon sur le pont remettant ma main sur sur ma blessure je hurlais aux gens de la marine:

"ARRÊTEZ DE VOUS BATTRE ! RENDEZ VOUS ! NE MOURREZ PAS POUR RIEN !"

J'essayais de les sauver. Peut être que Red se montrera clément une fois le montre désossé. Mais s'il continuait le sang ne ferait que couler jusqu’à égaler le volume de leur fierté. De mon côté il me fallait une minute pour reprendre mon souffle, mon souffle devenait plus difficile a reprendre.
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Le PX n'était pas détruit. Il était bien endommagé, mais ça ne suffisait pas, même si quelques étincelles sortaient de son corps et que certains de ses mouvements étaient saccadés, il était toujours aussi dangereux.
Après qu'Aquila eût fait son appel pour avoir ses armes, tout le monde répondit favorablement en envoyant tout un arsenal sur le pont où se trouvait Aquila, Léo et la jeune femme. Jeune femme qui, elle aussi, devait être bien énervée, vu le carnage qu'elle venait de faire à un pauvre homme. C'en était même horrible pour certains qui se sont mis à vomir tripes et boyaux. Aquila était tellement sur les nerfs que ça ne lui faisait plus rien. Lui, qui voulait les laisser tranquilles, avait décidé de les punir pour l'avoir attaqué sans même savoir qu'à la base, l'ex-chasseur de primes était un fervent défenseur de la Justice.
Dans le lot des armes, Kensa lui avait envoyé les siennes, qu'il s'empressa de remettre à sa ceinture et poussa un léger soupir de soulagement, comme si avant, il lui manquait quelque chose et que maintenant, il était complet.
Alors qu'il s'apprêtait à attaquer le PX, il remarqua vite fait Léo qui prit un canon et tira en direction du cyborg. Le souci, c'était que cette future descente de lit avait complètement omis qu'Aquila était dans la ligne de mire du boulet. Plongeant pour sa survie, il se mit à gueuler après le Mink lion :


"Hé ! Espèce d'enfoiré ! Tu veux ma peau ou quoi ? Mais va crever !!!"

Mais bien que le boulet est fait mouche dans le PX, ce dernier n'avait que des éraflures, mais avait arrêté ses tirs de laser. Se relevant, Aquila regarda la jeune femme rousse et la fusilla du regard en lui disant :

"Maintenant, si tu veux vivre, je te conseille d'aller sur l'autre navire avec le lion. Sinon, ton destin ne sera pas différent du leurs."

Dégainant Sandai Kitetsu, Aquila regarda fixement le PX, bondit sur lui et d'un geste net et précis reprenant sur l'entaille précédente, coupa en deux le PX, et donna un coup de pied dans la partie supérieure pour l'envoyer dans les eaux de Grand Line.
Ensuite, il se tourna et vit un homme se tenir devant lui, avec un sabre à la main et tremblant comme une feuille-morte en Automne. Aquila plongea son regard dans le sien afin de l'intimider un peu plus. Le pauvre homme recula de peur, trébucha et lâcha le sabre. En plus, il vint ajouter une nouvelle couleur à son pantalon, le jaune pisse. Là, Aquila le regarda et lui demanda :


"Est-ce que vous avez un denden avec vous ?"

"... O... Oui... Bien sûr..."

"Bien. Parce que je te conseille d'appeler des personnes pour venir vous chercher."

"Q... Quoi ?!"

Et c'est sans prévenir qui que ce soit, qu'Aquila mit toute sa rage et sa colère dans ce coup porté à même le pont.

"TRANCHE-TERRE !!!"

L'entaille produite trancha net le pont et une partie de la coque en deux. Si les soldats de la Marine ne faisaient pas attention ou répartissaient mal le poids, le navire pouvait se briser à tout moment.
Aquila rangea son meitou, ramassa ce qu'il put en armes qu'ils avaient envoyés et se rendit sur le navire de Red.


"J'ai récupéré ce que j'ai pu. Ce n'est pas bon de gaspiller les ressources en armement."

Puis, il alla voir Kensa pour voir si elle allait bien, puis Red pour lui dire :

"Écoute, je te dirais qui nous sommes vraiment si t'arrêtes de vouloir ma peau. Et je te dirais quel est mon lien avec Izya. Marché conclu ?"

Puis en signe de paix, Aquila lui tendit sa main...
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... Une plante à la mer.


Ok… Toute cette situation devient complètement absurde aux yeux de la rousse qui venait d’arracher à main nue une tête. Tandis qu’elle avait récupéré son fardeau, elle avait commencé à marcher vers l’autre bateau pour y déposer le lion qui lui avait sauvé la vie en utilisant son corps. Toutefois… Ce génie avait la fibre héroïque et demande à être guidé vers l’un des canons. Après lui avoir glissé un peu la tournure de sa pensée, elle s’était acquise et avait écouter sa demande absurde jusqu’à ce que tout explose et que finalement elle se fasse rappeler à quel point cette idée était complètement absurde. Elle se croyait littéralement dans ces comptes pour enfant ou tout n’avait pas de sens et semblait avoir des réactions incroyables. Sans oublier qu’une parties des hommes du bateau pirate semblait la dévisager comme si elle venait de commettre la pire des horreurs.

Puis il en vient la fin du monologue de ce Léo. Le Mink semblait vouloir demander un abandon de la part des marines et ceci sans la moindre douleur ou attaque. Elle n’était pas sûre si le chef du bateau pirate acceptait ceci, surtout que l’homme lui avait explicitement dit qu’il les avait abordés dans le but de désennuyé son équipage. Tandis que son cerveau essaye de faire du sens au vu de la situation, elle attrape finalement le gros félin qui n’a visiblement plus la force de faire quoi que ce soit et le tire vers l’autre bateau ou elle est rejointe par ce qui ressemble à un médecin. Elle allait lui poser des questions quand les sons de voix, d’exclamation et de bois fendu remplissent l’air. Elle eut à peine le temps de ce retourné que c’est la panique générale sur le pont ou l’homme aux cheveux blancs venait de fendre le pont comme s’il n’avait été rien d’autre que du beurre.

Elle secoue la tête, surprise et fascinée de voir une telle force de trappe chez quelqu’un et en même temps, elle est pratiquement sûre qu’elle n’avait rien vu encore. Elle mord sa lèvre inférieure, laissant le goût métallique remplir ses papilles, mais dans quel genre de merde venait-elle de mettre les pieds ? Elle s’accroupit auprès de Léo, sa meilleure chance de survie est avec ce gros nounours et elle se sent aussi redevable envers celui qui vient de lui sauver la vie. Elle soulève les yeux sur le pirate médecin et elle offre son aide.

‘’J’ai quelques bases et des produits naturels qui peuvent aider. Laissez-moi vous assister dans la tâche de prendre soin de lui, je lui dois bien ceci.’’

Elle en oublia presque qu’elle se trouvait sur un bateau pirate, probablement futur otage du chef avec qui elle avait essayé de négocier pour sauver la peau de ces hommes qu’elle avait côtoyés… Elle aurait ri de sa propre stupidité si son esprit n’était pas tourné vers le lion qui saigne encore énormément. Elle espère seulement que ces pirates seront assez bien équipés pour prendre soin du Mink. Elle pouvait très bien offrir une assistance et une surveillance sur lui, mais ses soins et produits n’était pas magique…


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J'ai l'impression que plus personne ne lit des romans de piraterie. Ou alors il y en a qui n'ont pas tout lu. Mais quand même il y a des bases ! Par exemple le fait qu'on en peut pas piller et tirer du pognon de quelque chose qu'on coule...

- Je crois que t'es un sacré boulet. Baker, explique au gamin...
- Gamin, si tu veux percer dans la piraterie il va falloir que t’apprennes que le nerf de la guerre c'est le pognon. Un bateau qui coule, ça rapporte pas de berrys. Et en plus ça fait perdre la cargaison ! Et puis on ne prévient pas la marine aussi, pas quand on s'approche d'Armada. Faire une connerie comme ça c'est de la trahison et la planche. Et pis on fait des prisonniers aussi, on aime pas trop les esclaves mais on peut demander des rançons pour tous ces braves marines, et puis c'est comme le den den, ça leur évite de parler trop vite.

Sur le pont du navire qui coule, un des marins essaye vainement de prévenir ses supérieurs, mais notre vigie a libéré notre miss den den dés qu'elle a vue le navire marine à l'horizon, et tant qu'elle ne sera pas retourné dans sa boite personne dans le coin ne pourra passer de coup de fil. De mon point de vue le navire est foutu, exit l'équipage de prise, tout ce qu'on peut faire maintenant c'est le maintenir à flot le temps de vider les soutes, et en brave gars efficaces les gars s'y emploient déjà. On abaisse les palans pour amarrer les deux navires, on invite les soldats a monter un peu par un à la corde sous la menace des armes et on s'empresse de les ligoter dés qu'ils mettent un pied sur le pont avant de les pousser vers les cales. Leur seule demande est d'éviter de finir dans la même cellule que leur passagère.

- Y'a encore du boulot mais vous avez eu le Pacifista... Messieurs de la flibuste, est ce qu'on garde ces trois la ou est ce qu'on remet la planche ?
- On les garde !

Sans surprise, les pacifistas sont des ennemis qui ont laissés trop de mauvais souvenirs aux gens qui les ont déjà croisés pour ne pas vouloir récompenser ceux qui arrivent à les démolir... Alors je me tourne vers nos 4 intrus. Le sabreur qui boude et sa copine, le lion qui saigne sur mon pont et sa très dangereuse infirmière.

- Trouvez une cabine à la demoiselle et aux deux tourtereaux, et suturez moi ce mink avant qu'il finisse de se vider sur le plancher. Pour l'instant vous êtes des nôtres. Bienvenue dans la piraterie, je suis le Capitaine Red.

Racontez moi donc encore ce que vous faisiez à Marinford et pourquoi vous êtes montés à bord de mon batiment quand on a levé l'ancre du coin. Quand à la demoiselle, j'aimerais bien savoir aussi pour quelle raison un navire de la marine scientifique trimballe une touriste dans ton genre.

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