Rappel du premier message :
De retour sur Armada après la bataille de Marineford, nous nous remîmes chacun à notre rythme, qu’il s’agisse de blessures physiques ou de cicatrices de l’âme. Je devais avouer ne pas avoir attendu d’être totalement guéri : pas à l’intérieur en tout cas. Je suis plus habitué à verrouiller les choses qu’à leur faire face. Alors, plutôt que m’interroger sur ce que j’ai ressenti en voyant Izya aux portes de la mort sur Marineford, ou Red à ses côtés l’instant d’après, je préfère fuir ces questions et les fuir eux.
L’excuse me fut apportée par Olek : la raison même de notre participation à la bataille. Je l’ai maintenu suffisamment longtemps en vie pour qu’il puisse obtenir les soins adéquats et, une fois en état et qu’il a appris mon implication, il est venu me remercier. De fil en aiguille, en racontant comment il en est arrivé là, sur l’échafaud, et les autres nouvelles du monde, il me fournit mon excuse pour m’en aller : Sainte Adela qui voyage sur Grandline avec son équipage de capitaines corsaires. Une dragonne céleste ! Les plus grandes personnalités que le gouvernement a pour devoir de protéger ! En d’autres termes : l’otage parfait.
Alors certes ce serait avoir un amiral sur le dos. Mais ils sont bien loin et Red en a même vaincu un. Qu’ils viennent. Et surtout : que je m’éloigne d’Armada, de Red, d’Izya, et de ces émotions enfouies en moi.
Alors je pris la mer sur mon fidèle monstre marin Plouf, direction Myriapolis d’abord dont je possède l’eternal pose avant de remonter les voies grâce à mon gyropose : kikai no shima et enfin notre destination : Jaya. Marc, l’un de mes hommes de main, prit évidemment soin de cartographier ces îles dans sa tête grâce à son pouvoir et j’avais modifié mon apparence pour passer incognito pour ne pas provoquer de conflit inutile et parvenir à destination le plus rapidement possible.
Nous arrivons donc sur l’île de Jaya où, d’après les estimations d’Olek qui m’accompagne, Sainte Adela et sa suite devaient être. Nous avons traversé le mur d’épaves sans grande difficulté : il permet peut-être de piéger les navires mais pas les animaux marins. Et puis, ce n’était pas la première fois que je venais sur cette île. Bon. Une dragonne céleste et un équipage de corsaire sur une île pro révolutionnaire, ça devrait se trouver plutôt facilement non ? Suffit de tendre l’oreille et de suivre le grabuge.
L’excuse me fut apportée par Olek : la raison même de notre participation à la bataille. Je l’ai maintenu suffisamment longtemps en vie pour qu’il puisse obtenir les soins adéquats et, une fois en état et qu’il a appris mon implication, il est venu me remercier. De fil en aiguille, en racontant comment il en est arrivé là, sur l’échafaud, et les autres nouvelles du monde, il me fournit mon excuse pour m’en aller : Sainte Adela qui voyage sur Grandline avec son équipage de capitaines corsaires. Une dragonne céleste ! Les plus grandes personnalités que le gouvernement a pour devoir de protéger ! En d’autres termes : l’otage parfait.
Alors certes ce serait avoir un amiral sur le dos. Mais ils sont bien loin et Red en a même vaincu un. Qu’ils viennent. Et surtout : que je m’éloigne d’Armada, de Red, d’Izya, et de ces émotions enfouies en moi.
Alors je pris la mer sur mon fidèle monstre marin Plouf, direction Myriapolis d’abord dont je possède l’eternal pose avant de remonter les voies grâce à mon gyropose : kikai no shima et enfin notre destination : Jaya. Marc, l’un de mes hommes de main, prit évidemment soin de cartographier ces îles dans sa tête grâce à son pouvoir et j’avais modifié mon apparence pour passer incognito pour ne pas provoquer de conflit inutile et parvenir à destination le plus rapidement possible.
Nous arrivons donc sur l’île de Jaya où, d’après les estimations d’Olek qui m’accompagne, Sainte Adela et sa suite devaient être. Nous avons traversé le mur d’épaves sans grande difficulté : il permet peut-être de piéger les navires mais pas les animaux marins. Et puis, ce n’était pas la première fois que je venais sur cette île. Bon. Une dragonne céleste et un équipage de corsaire sur une île pro révolutionnaire, ça devrait se trouver plutôt facilement non ? Suffit de tendre l’oreille et de suivre le grabuge.