Morai, Bloody Rose
Sexe : Femme
Race : SirèneMétier : Navigatrice/Cartographe
Groupe : Pirate
But : se sentir libre et explorer le monde
Équipement : Une robe de noble armée de pointe en or, et quelques bijoux.Parrain :
Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Oui, Aquila Risenkaul
Si oui, quel @ l'a autorisé ? Laurie
Codes du règlement :
Description physique
Même les plus belles roses ont des épines...
Étant une sirène pure souche, Morai a hérité de leur beauté légendaire. Mesurant un mètre soixante-dix pour cinquante kilos, elle possède un corps qui peut être à fois mince et musclée sans être vulgaire. Malgré sa condition d'esclave, elle continuait secrètement à s'entraîner au Karaté Aquatique, de manière à garder une certaine souplesse.
Son visage aux traits naturellement fins, montre qu'elle prend soin de sa peau et entretient sa beauté de manière à paraître belle et surtout désirable. Ses yeux de couleur or, montrent une détermination digne d'une femme de pouvoir, connaissant les rouages de ce qu'il faut faire pour arriver à ses fins. En même temps, avec son passé d'esclave et de prostitution, l'apprentissage était vite acquis pour ne pas finir dans une fosse avec les autres cadavres. Ses cheveux, aux couleur noir de jais sont, comme sa peau, d'une douceur très agréable au toucher. De plus, ils sont presque aussi longs que son corps et elle possède deux grandes mèches qui sont attachées au bout par une pointe en or, chacune. Depuis ses trente ans, où elle préféra avoir des jambes au lieu de sa nageoire, ses oreilles à la fois longues et pointues sont le seul aspect montrant qu'elle appartient au peuple du Royaume Sous-marin.
D'un point de vue vestimentaire, Morai adore les vêtements sombres. Pour ce qui est du haut du corps, elle préfère tout ce qui est bustiers ou corsets mettant sa poitrine en valeur. De plus, afin de compléter la garde-robe, elle possède des manches pour recouvrir ses bras, avec parfois des gants inclus.
Pour ce qui est du bas, depuis ses 30 ans, ses jambes sont souvent recouvertes de jarretelles en soie, maintenues par un porte-jarretelles de la même couleur que ses bas.
Le tout est recouvert généralement par de longues et amples robes qu'elle a prises l'habitude de porter pour masquer sa nageoire, lors d'événement mondain où elle servait d'attraction de la soirée. Depuis qu'elle possède ses jambes, en général, Morai porte des escarpins à talons hauts, toujours assortis à ses robes.
Pour ce qui est de se défendre, hormis le Karaté Aquatique qu'elle maîtrise depuis son plus jeune âge et dont elle a transformé certains mouvements en pas de danse, elle s'est équipé de pieux en or au niveau de ses pommes des mains et sur le dessus de ses chaussures, afin d'éradiquer la vermine qui oserait trop s'approcher d'elle.
Étant une sirène pure souche, Morai a hérité de leur beauté légendaire. Mesurant un mètre soixante-dix pour cinquante kilos, elle possède un corps qui peut être à fois mince et musclée sans être vulgaire. Malgré sa condition d'esclave, elle continuait secrètement à s'entraîner au Karaté Aquatique, de manière à garder une certaine souplesse.
Son visage aux traits naturellement fins, montre qu'elle prend soin de sa peau et entretient sa beauté de manière à paraître belle et surtout désirable. Ses yeux de couleur or, montrent une détermination digne d'une femme de pouvoir, connaissant les rouages de ce qu'il faut faire pour arriver à ses fins. En même temps, avec son passé d'esclave et de prostitution, l'apprentissage était vite acquis pour ne pas finir dans une fosse avec les autres cadavres. Ses cheveux, aux couleur noir de jais sont, comme sa peau, d'une douceur très agréable au toucher. De plus, ils sont presque aussi longs que son corps et elle possède deux grandes mèches qui sont attachées au bout par une pointe en or, chacune. Depuis ses trente ans, où elle préféra avoir des jambes au lieu de sa nageoire, ses oreilles à la fois longues et pointues sont le seul aspect montrant qu'elle appartient au peuple du Royaume Sous-marin.
D'un point de vue vestimentaire, Morai adore les vêtements sombres. Pour ce qui est du haut du corps, elle préfère tout ce qui est bustiers ou corsets mettant sa poitrine en valeur. De plus, afin de compléter la garde-robe, elle possède des manches pour recouvrir ses bras, avec parfois des gants inclus.
Pour ce qui est du bas, depuis ses 30 ans, ses jambes sont souvent recouvertes de jarretelles en soie, maintenues par un porte-jarretelles de la même couleur que ses bas.
Le tout est recouvert généralement par de longues et amples robes qu'elle a prises l'habitude de porter pour masquer sa nageoire, lors d'événement mondain où elle servait d'attraction de la soirée. Depuis qu'elle possède ses jambes, en général, Morai porte des escarpins à talons hauts, toujours assortis à ses robes.
Pour ce qui est de se défendre, hormis le Karaté Aquatique qu'elle maîtrise depuis son plus jeune âge et dont elle a transformé certains mouvements en pas de danse, elle s'est équipé de pieux en or au niveau de ses pommes des mains et sur le dessus de ses chaussures, afin d'éradiquer la vermine qui oserait trop s'approcher d'elle.
Description psychologique
Sadique et manipulatrice...
Ces mots définissent très bien Morai. Bien qu'elle ait connu la chaleur d'un foyer et l'amour de parents aimant, depuis qu'elle est esclave prostituée et qu'elle a vu ses parents mourir sous ses yeux, son cœur et son âme se sont obscurcis. Elle n'hésitera pas à faire souffrir hommes, femmes ou même enfants de la noblesse, pour leur soutirer leurs richesses et libérer les esclaves qu'elles croisera. Elle a aussi appris, de force, que pour survivre, il valait mieux fermer son cœur pour ne pas souffrir.
Toutes ses passions et ses traits de caractère ont été mis de côté pour mieux jouer les femme-objets et obéir sagement aux ordres de ses "maîtres". Cependant, elle développa une certaine faculté de comprendre les désirs humains pour mieux anticiper les demandes, ce qui lui permit en utilisant son corps, de pouvoir manipuler le sexe opposé à sa guise. Suite à ceci, elle développa un côté égoïste lui permettant de faire passer les colères des "maîtres" sur les autres esclaves, ce qui lui valut la haine de certaines.
Avec sa liberté retrouvée, Morai recherche à retrouver ses passions d'antan, à savoir le dessin et la découverte du monde, passion qui lui a été donnée par ses parents, explorateurs ayant participé à la mise en place de Colonie 3.
Elle a développé des goûts de luxe. D'un point de vue gastronomique, Morai n'est pas difficile, sinon, elle serait morte depuis très longtemps. Cependant, il faut avouer qu'elle apprécie les plats raffinés, servis dans des plats d'argent ou des assiettes de porcelaine. Pour ce qui est des alcools, elle préférera toujours un bon verre de vin à un alcool fort. Ou alors, il faut que l'alcool ait plus de dix ans d'âge.
Pour ce qui est des vêtements, il faut et elle aime que ça représente une certaine noblesse, avec des matières agréable à porter, tout en mettant en valeur son corps. Il faut aussi qu'il y ait des dorures et que les couleurs soient assorties.
Ces mots définissent très bien Morai. Bien qu'elle ait connu la chaleur d'un foyer et l'amour de parents aimant, depuis qu'elle est esclave prostituée et qu'elle a vu ses parents mourir sous ses yeux, son cœur et son âme se sont obscurcis. Elle n'hésitera pas à faire souffrir hommes, femmes ou même enfants de la noblesse, pour leur soutirer leurs richesses et libérer les esclaves qu'elles croisera. Elle a aussi appris, de force, que pour survivre, il valait mieux fermer son cœur pour ne pas souffrir.
Toutes ses passions et ses traits de caractère ont été mis de côté pour mieux jouer les femme-objets et obéir sagement aux ordres de ses "maîtres". Cependant, elle développa une certaine faculté de comprendre les désirs humains pour mieux anticiper les demandes, ce qui lui permit en utilisant son corps, de pouvoir manipuler le sexe opposé à sa guise. Suite à ceci, elle développa un côté égoïste lui permettant de faire passer les colères des "maîtres" sur les autres esclaves, ce qui lui valut la haine de certaines.
Avec sa liberté retrouvée, Morai recherche à retrouver ses passions d'antan, à savoir le dessin et la découverte du monde, passion qui lui a été donnée par ses parents, explorateurs ayant participé à la mise en place de Colonie 3.
Elle a développé des goûts de luxe. D'un point de vue gastronomique, Morai n'est pas difficile, sinon, elle serait morte depuis très longtemps. Cependant, il faut avouer qu'elle apprécie les plats raffinés, servis dans des plats d'argent ou des assiettes de porcelaine. Pour ce qui est des alcools, elle préférera toujours un bon verre de vin à un alcool fort. Ou alors, il faut que l'alcool ait plus de dix ans d'âge.
Pour ce qui est des vêtements, il faut et elle aime que ça représente une certaine noblesse, avec des matières agréable à porter, tout en mettant en valeur son corps. Il faut aussi qu'il y ait des dorures et que les couleurs soient assorties.
Biographie
Tout commença sur l'île des Hommes-Poissons, en 1598, où Mipha et Jabu donnèrent naissance à la petite Morai. Sa vie de bébé fut des plus normales. Entre allaitements et siestes, en plus de l'amour de ses parents, il n'y avait rien à dire, à part que c'était un bébé curieux de tout. En même temps, avec des parents comme les siens, c'était tout à fait normal. Mipha et Jabu étaient des explorateurs. Ils aimaient partir en voyage dans les fonds sous-marin pour étudier la flore et la faune subaquatique. Il participèrent aussi à différentes missions de colonisation pour le Roi, Manboshi 1er. Bien évidemment, ils mirent le côté aventureux de leur vie le temps de la grossesse et de l'accouchement, mais aussi le temps que Morai puisse les suivre sans problème.
En 1601, alors que Morai avait trois ans, ses parents furent demandés pour faire partie d'une nouvelle mission de colonisation dans le Nouveau-Monde. Mipha, inquiète pour sa fille se demandait si elle serait capable de tenir le coup du voyage. Mais Jabu était là pour la rassurer et disait que ça lui ferait une belle expérience, de voir le monde extérieur.
C'est un ainsi qu'ils partirent en direction du lieu qui allait devenir par la suite Colonie 3. Le voyage se passa plus ou moins sans encombre. Si la faune marine n'était pas forcément agressive, ou était rapidement calmer à coup de karaté aquatique, le plus dangereux dans le Nouveau monde était plus du côté des courants marins. Ceux-ci pouvaient changer çà et là, au gré des différents champs magnétiques des différentes voies : calme, agitée et dangereuse.
Afin de ne pas trop la fatiguer, Morai passait des bras de sa mère à ceux de son père, et inversement, en la tenant contre la poitrine, la protégeant des courants tel un baleineau avec sa mère.
Jusqu'à ses douze ans, la vie de Morai était de plus normale pour une vie d'enfant. Elle alternait entre l'école, la maison sur Colonie 3, ses cours de karaté aquatique prodigué par son père, et de temps en temps, des allers-retours entre l'île des Hommes-poissons et la colonie.
Ainsi, lors de sa treizième année, alors qu'ils faisaient route vers Colonie 3, la famille fut attaquée par une bande de chasseurs d'esclaves. Bien que Jabu ait essayé de protéger sa famille en utilisant ses connaissances en arts martiaux, ce dernier fut mis KO par des filets électriques. Mipha avait essayé de s'enfuir avec sa fille, mais ces malfrats étaient bien organisés et avaient encerclé une large zone, les empêchant de s'enfuir.
Lorsqu'ils furent hissés hors de l'eau, Mipha tenait Morai fortement dans ses bras, terrifiées à l'idée de ce qu'il allait leur arriver. Jabu, lui, était inconscient et possédait des marques de brûlure, suite aux chocs électriques qu'il eut subis.
Regardant la marchandise, le chef des bandits examina ses proies fraîchement pêchées et esquissa un immense sourire pour dire à ses gars :
"C'est bon ! Nous sommes à l'abri du besoin avant un bon moment ! Direction Shabondy !"
L'équipage hurla de joie et s'empressa de mettre des colliers-bombes autour de leur cou, en s'empressant de leur dire :
"Si vous les touchez, vous êtes morts, vous avez bien compris?"
Pleurant toutes les larmes de son corps, Morai fit un signe de la tête pour dire "oui". Mipha était aussi très effrayée, mais elle s'empêchait de pleurer pour réconforter sa fille. C'est ainsi que la petite famille était envoyée à fond de cale sans manger, ni boire pour être vendu au marché aux esclaves.
Une fois sur l'archipel Shabondy, les trois prisonniers furent placés dans une réserve. Si Mipha pouvait marcher, comme Jabu, Morai avait été placée dans un bocal, à cause de sa nageoire. Ils eurent tous un numéro et ils allaient être vendus aux enchères.
Dans la salle, on pouvait voir de tout. On avait aussi bien des pirates et autres criminels, comme les brigands qui les ont capturé, comme des nobles de toutes parts et la pire chose qu'il puisse y avoir dans une enchère aux esclaves, des Dragons Célestes.
Tout se passa vite et bien évidemment la famille fut séparée. Jabu fut acheté par un riche marchand pour en faire son homme de main personnel et pour faire plaisir à sa femme. Mipha fut vendue à des Dragons Célestes comme animal de compagnie, et Morai, à cause de sa jeunesse, fut vendue comme animal de compagnie, comme sa mère, mais à un noble de bien moindre stature.
Voyant qu'ils allaient être séparés, de retours dans la réserve, Mipha craqua et ne supporta pas de ne plus revoir son amour et son bébé. Essayant de l'en empêcher, Mipha mit fin à ses jours sous les yeux de Jabu et de Morai en faisant exploser le collier explosif qu'elle avait autour du cou.
Voyant cela, les acheteurs prirent vite leur dus avant qu les Dragons Célestes ne décident de prendre les biens des autres en compensation de leur perte. C'est ainsi que Morai était séparée de son père, Jabu, qui lui hurla :
"GARDE ESPOIR, MA FILLE. ON SE RETROUVERA, JE TE LE PROMETS. JE T'AIME !"
"PAPAAAAAAAAAAAAAAAAA..."
C'est ainsi que Morai partit en direction de North Blue, pour l'île de Boréa, dans la riche ville de Bourgeoys. Les premiers temps, Morai était exposée comme un objet de grande valeur ou un animal dans un vivarium qui devait animer certaines soirées et divertir d'autres nobles. Mais plus les années passées, plus Morai grandissait et son corps prenait de belles formes, ce qui intéressa beaucoup son propriétaire. Il fallait dire que ce qui lui servait de femme, n'était plus d'une beauté très fraîche et le fait d'avoir un exutoire comme Morai lui donna un élan de seconde jeunesse.
C'est ainsi qu'à sa quatorzième année, Morai fut prise par des gardes du noble pour être enchaînée à un lit, de manière à ce que son propriétaire se satisfasse et assouvît ses plus bas instincts. À chaque fois, Morai se sentait de plus en plus sale, tremblante apeurée et essayant de retirer les fluides séminaux de son corps en usant du karaté aquatique. De plus, elle attirait la jalousie d'autres esclaves féminines qui étaient "les préférées du maître", ainsi que de la femme du maître. Morai ne savait plus quoi faire entre se laisser violer et attirer les foudres des autres, ou essayer de refuser les rapports aux risques de mourir comme sa mère, ou pire, par la torture pire que ce qu'elle subit de manière plus ou moins quotidienne.
Décidant de vivre, voire de survivre, Morai se promit de tout faire pour se sortir de ce merdier sans nom. Et pour y arriver, même si ça la dégoûtait, elle allait devoir se faire de son plus bel atout : son corps.
C'est ainsi qu'elle décida de ne plus résister à ses séances de viols et prit même, par moment, les devant, ce qui n'était pas pour déplaire à son maître. Le tout, bien évidemment, en disant que certaines esclaves voulaient attenter à sa vie et que l'idée de ne plus pouvoir servir son "maître" lui était pénible à supporter. Sachant que certaines voulaient casser son jouet favori, le noble n'hésita pas soit à revendre, soit à torturer et tuer certaines de ses esclaves, de manière à faire des exemples.
À côté de ça, le fils du noble, lui, était tombé amoureux de Morai. Il était dégoûté par ce que lui faisait subir son père, mais il était trop jeune pour pouvoir le contrer. Mais depuis que Morai était tranquille avec les autres esclaves, il faisait en sorte que Morai ait des cadeaux, une meilleure nourriture, enfin tout ce qu'il pouvait pour améliorer le confort de celle qu'il aimait. Lorsqu'il eut assez de courage pour aller la voir, il lui dit tout ce qu'il avait sur le cœur, de tenir bon, qu'il allait remplacer son père, l'affranchir et faire d'elle sa femme.
Là, elle vit une opportunité de lancer une rivalité amoureuse père/fils. C'est ainsi que Morai prépara sa vengeance sur le long terme. Pour commencer à l'accomplir, elle devait attendre de pouvoir se mouvoir de manière libre et de ne plus être bloquée dans l'eau.
C'est ainsi que jusqu'à ses trente ans, elle joua le jeu de la pute préférée du père et la maîtresse non-atteignable pour le fils. En contrepartie, elle avait réussi à manipuler les deux hommes et obtenir par des confidences sur l'oreiller un certains pouvoirs en discutant de sujets plus ou moins importants.
À ses trente ans, de sa nageoire, se forme deux jambes longues et fines, aussi belles que le reste de son corps. Son maître, en voyant cela se mit dans l'idée de la faire "sortir" de son statut d'esclave en la montrant à des bals et autres cérémonies. Elle était devenue sa maîtresse, tout en gardant son collier d'explosif.
Entre le père et le fils, Morai fut couverte de cadeaux et de tenues plus luxueuses les unes que les autres. Pouvant se mouvoir correctement, lors de ses moments tranquilles, Morai réapprenait à se servir du karaté aquatique non plus comme protection pour elle, mais de manière à pouvoir combattre et tuer. De plus, elle profita aussi de sa position pour passer à l'acte avec le fils en faisant semblant de prendre du plaisir et de se sentir libre avec lui.
Or, au bout d'un an, le soir de son trente-et-unième, elle avait laissé un mot dans sa chambre disant qu'elle était avec le fils du maître. Les gardes, qui allaient la chercher, trouvèrent le message et l'apportèrent aussitôt à leur maître. Ce dernier, en voyant le message, se mit dans une colère noire. Même s'il savait que son fils avait des sentiments pour Morai, tant qu'il était le préféré, il était dominant sur son fils. Mais là, c'était une trahison et Morai allait le payer. Défonçant la porte de la chambre de son fils, il le vit en train de chevaucher la belle sirène qui le tenait dans ses jambes. Aussitôt, il cogna son fils et le sortit des jambes de Morai, pour après, frapper Morai et la traiter comme la sale traînée qu'elle était. Se laissant faire, elle se précipita vers le fils en lui implorant son aide :
"Je t'en supplie, aide-moi ! Il va me tuer. Je n'aime que toi. Je veux être qu'avec toi, tu le sais !"
"Espèce de salope ! Alors que je t'ai tout donné ? Attends que je fasse exploser ta sale gueule !"
"Tu ne la toucheras pas !"
Dans un élan désespéré, le fils prit un objet contondant et frappa son père jusqu'à le tuer. Morai se jeta dans ses bras, en larme, le remerciant. Les gardes présents ne savaient plus quoi faire. Mais Morai, qui était dans les bras du fils et faisait en sorte que les gardes soient dans son dos, fit en sorte de stopper le flux sanguin des gardes, et les tua. Les entendant tomber, le fils se retourna et les vit gisant sur le sol. Là, Morai lui dit qu'ils allaient le tuer parce qu'il avait tué son père, et qu'elle avait décidé de le protéger parce qu'elle l'aimait. Heureux de sa preuve d'amour, le fils embrassa Morai et décida de tenir sa promesse en la libérant de son collier d'explosif.
Le collier à terre, Morai commença à pousser un rire de plus en plus fort et sadique. Elle immobilisa le corps et lui dit :
"Tu sais que le corps humain est composé d'eau ? Nous, les habitants des profondeurs connaissons un art martial propre à notre race, qui nous permet de manipuler l'eau sous toutes ses formes.
Toi et ta famille avez été mes tortionnaires pendant presque vingt ans. Si j'ai pris goût à un certains style de vie, se faire violer par un vieillard et un éjaculateur précoce n'a rien eu de marrant, ou de satisfaisant. Maintenant, tout cela est terminé, je suis libre et vous, vous allez mourir..."
Et d'un coup, enfermant son poing, elle fit jaillir le sang du fils hors de son corps, qui tomba au sol.
Nue, Morai se mit à danser dans la chambre en manipulant toutes les formes d'eau se trouvant près d'elle, dont le sang. Elle créa un cercle de liquide l'entourant et continuant à danser et à sautiller dans les couloirs, elle tua tout ceux qu'elle croisa. Elle en profita pour aller dans toutes les pièces de la demeure et tuer tout le monde. Elle tua même les esclaves en leur disant que maintenant, ils étaient libres.
Une fois, tout le monde mort, elle chercha de quoi s'habiller de manière noble, ainsi que des bijoux. Elle trouve d'étranges pointes en or qu'elle prit avec elle. Elle en prit deux pour mettre au bout de deux longues mèches de cheveux. Réfléchissant pour les autres pointes, elle se disait que s'en servir comme armes, pouvait être une bonne idée. C'est ainsi qu'elle en plaça deux dans ses manches, au niveau de ses pommes de ses mains et les deux autres, au niveau des pointes de ses bottes.
Une fois toute belle et fin prête à reprendre sa vie en main, elle décida de prendre toutes les bouteilles d'alcool qu'elle trouva et fit en sorte de les verser à des endroits plus ou moins stratégiques de manière à brûler cette demeure, synonyme de malheurs à ses yeux.
Après avoir mis le feu, elle regarda le spectacle avec attention. Mais l'émotion étant trop forte, elle se mit à rire au éclat, tout en versant des larmes le long de ses joues. Puis, avant que les soldats de la Marine arrivèrent pour éteindre le feu, Morai prit la fuite de manière à disparaître de cette ville, et enfin commencer à vivre...
En 1601, alors que Morai avait trois ans, ses parents furent demandés pour faire partie d'une nouvelle mission de colonisation dans le Nouveau-Monde. Mipha, inquiète pour sa fille se demandait si elle serait capable de tenir le coup du voyage. Mais Jabu était là pour la rassurer et disait que ça lui ferait une belle expérience, de voir le monde extérieur.
C'est un ainsi qu'ils partirent en direction du lieu qui allait devenir par la suite Colonie 3. Le voyage se passa plus ou moins sans encombre. Si la faune marine n'était pas forcément agressive, ou était rapidement calmer à coup de karaté aquatique, le plus dangereux dans le Nouveau monde était plus du côté des courants marins. Ceux-ci pouvaient changer çà et là, au gré des différents champs magnétiques des différentes voies : calme, agitée et dangereuse.
Afin de ne pas trop la fatiguer, Morai passait des bras de sa mère à ceux de son père, et inversement, en la tenant contre la poitrine, la protégeant des courants tel un baleineau avec sa mère.
Jusqu'à ses douze ans, la vie de Morai était de plus normale pour une vie d'enfant. Elle alternait entre l'école, la maison sur Colonie 3, ses cours de karaté aquatique prodigué par son père, et de temps en temps, des allers-retours entre l'île des Hommes-poissons et la colonie.
Ainsi, lors de sa treizième année, alors qu'ils faisaient route vers Colonie 3, la famille fut attaquée par une bande de chasseurs d'esclaves. Bien que Jabu ait essayé de protéger sa famille en utilisant ses connaissances en arts martiaux, ce dernier fut mis KO par des filets électriques. Mipha avait essayé de s'enfuir avec sa fille, mais ces malfrats étaient bien organisés et avaient encerclé une large zone, les empêchant de s'enfuir.
Lorsqu'ils furent hissés hors de l'eau, Mipha tenait Morai fortement dans ses bras, terrifiées à l'idée de ce qu'il allait leur arriver. Jabu, lui, était inconscient et possédait des marques de brûlure, suite aux chocs électriques qu'il eut subis.
Regardant la marchandise, le chef des bandits examina ses proies fraîchement pêchées et esquissa un immense sourire pour dire à ses gars :
"C'est bon ! Nous sommes à l'abri du besoin avant un bon moment ! Direction Shabondy !"
L'équipage hurla de joie et s'empressa de mettre des colliers-bombes autour de leur cou, en s'empressant de leur dire :
"Si vous les touchez, vous êtes morts, vous avez bien compris?"
Pleurant toutes les larmes de son corps, Morai fit un signe de la tête pour dire "oui". Mipha était aussi très effrayée, mais elle s'empêchait de pleurer pour réconforter sa fille. C'est ainsi que la petite famille était envoyée à fond de cale sans manger, ni boire pour être vendu au marché aux esclaves.
Une fois sur l'archipel Shabondy, les trois prisonniers furent placés dans une réserve. Si Mipha pouvait marcher, comme Jabu, Morai avait été placée dans un bocal, à cause de sa nageoire. Ils eurent tous un numéro et ils allaient être vendus aux enchères.
Dans la salle, on pouvait voir de tout. On avait aussi bien des pirates et autres criminels, comme les brigands qui les ont capturé, comme des nobles de toutes parts et la pire chose qu'il puisse y avoir dans une enchère aux esclaves, des Dragons Célestes.
Tout se passa vite et bien évidemment la famille fut séparée. Jabu fut acheté par un riche marchand pour en faire son homme de main personnel et pour faire plaisir à sa femme. Mipha fut vendue à des Dragons Célestes comme animal de compagnie, et Morai, à cause de sa jeunesse, fut vendue comme animal de compagnie, comme sa mère, mais à un noble de bien moindre stature.
Voyant qu'ils allaient être séparés, de retours dans la réserve, Mipha craqua et ne supporta pas de ne plus revoir son amour et son bébé. Essayant de l'en empêcher, Mipha mit fin à ses jours sous les yeux de Jabu et de Morai en faisant exploser le collier explosif qu'elle avait autour du cou.
Voyant cela, les acheteurs prirent vite leur dus avant qu les Dragons Célestes ne décident de prendre les biens des autres en compensation de leur perte. C'est ainsi que Morai était séparée de son père, Jabu, qui lui hurla :
"GARDE ESPOIR, MA FILLE. ON SE RETROUVERA, JE TE LE PROMETS. JE T'AIME !"
"PAPAAAAAAAAAAAAAAAAA..."
C'est ainsi que Morai partit en direction de North Blue, pour l'île de Boréa, dans la riche ville de Bourgeoys. Les premiers temps, Morai était exposée comme un objet de grande valeur ou un animal dans un vivarium qui devait animer certaines soirées et divertir d'autres nobles. Mais plus les années passées, plus Morai grandissait et son corps prenait de belles formes, ce qui intéressa beaucoup son propriétaire. Il fallait dire que ce qui lui servait de femme, n'était plus d'une beauté très fraîche et le fait d'avoir un exutoire comme Morai lui donna un élan de seconde jeunesse.
C'est ainsi qu'à sa quatorzième année, Morai fut prise par des gardes du noble pour être enchaînée à un lit, de manière à ce que son propriétaire se satisfasse et assouvît ses plus bas instincts. À chaque fois, Morai se sentait de plus en plus sale, tremblante apeurée et essayant de retirer les fluides séminaux de son corps en usant du karaté aquatique. De plus, elle attirait la jalousie d'autres esclaves féminines qui étaient "les préférées du maître", ainsi que de la femme du maître. Morai ne savait plus quoi faire entre se laisser violer et attirer les foudres des autres, ou essayer de refuser les rapports aux risques de mourir comme sa mère, ou pire, par la torture pire que ce qu'elle subit de manière plus ou moins quotidienne.
Décidant de vivre, voire de survivre, Morai se promit de tout faire pour se sortir de ce merdier sans nom. Et pour y arriver, même si ça la dégoûtait, elle allait devoir se faire de son plus bel atout : son corps.
C'est ainsi qu'elle décida de ne plus résister à ses séances de viols et prit même, par moment, les devant, ce qui n'était pas pour déplaire à son maître. Le tout, bien évidemment, en disant que certaines esclaves voulaient attenter à sa vie et que l'idée de ne plus pouvoir servir son "maître" lui était pénible à supporter. Sachant que certaines voulaient casser son jouet favori, le noble n'hésita pas soit à revendre, soit à torturer et tuer certaines de ses esclaves, de manière à faire des exemples.
À côté de ça, le fils du noble, lui, était tombé amoureux de Morai. Il était dégoûté par ce que lui faisait subir son père, mais il était trop jeune pour pouvoir le contrer. Mais depuis que Morai était tranquille avec les autres esclaves, il faisait en sorte que Morai ait des cadeaux, une meilleure nourriture, enfin tout ce qu'il pouvait pour améliorer le confort de celle qu'il aimait. Lorsqu'il eut assez de courage pour aller la voir, il lui dit tout ce qu'il avait sur le cœur, de tenir bon, qu'il allait remplacer son père, l'affranchir et faire d'elle sa femme.
Là, elle vit une opportunité de lancer une rivalité amoureuse père/fils. C'est ainsi que Morai prépara sa vengeance sur le long terme. Pour commencer à l'accomplir, elle devait attendre de pouvoir se mouvoir de manière libre et de ne plus être bloquée dans l'eau.
C'est ainsi que jusqu'à ses trente ans, elle joua le jeu de la pute préférée du père et la maîtresse non-atteignable pour le fils. En contrepartie, elle avait réussi à manipuler les deux hommes et obtenir par des confidences sur l'oreiller un certains pouvoirs en discutant de sujets plus ou moins importants.
À ses trente ans, de sa nageoire, se forme deux jambes longues et fines, aussi belles que le reste de son corps. Son maître, en voyant cela se mit dans l'idée de la faire "sortir" de son statut d'esclave en la montrant à des bals et autres cérémonies. Elle était devenue sa maîtresse, tout en gardant son collier d'explosif.
Entre le père et le fils, Morai fut couverte de cadeaux et de tenues plus luxueuses les unes que les autres. Pouvant se mouvoir correctement, lors de ses moments tranquilles, Morai réapprenait à se servir du karaté aquatique non plus comme protection pour elle, mais de manière à pouvoir combattre et tuer. De plus, elle profita aussi de sa position pour passer à l'acte avec le fils en faisant semblant de prendre du plaisir et de se sentir libre avec lui.
Or, au bout d'un an, le soir de son trente-et-unième, elle avait laissé un mot dans sa chambre disant qu'elle était avec le fils du maître. Les gardes, qui allaient la chercher, trouvèrent le message et l'apportèrent aussitôt à leur maître. Ce dernier, en voyant le message, se mit dans une colère noire. Même s'il savait que son fils avait des sentiments pour Morai, tant qu'il était le préféré, il était dominant sur son fils. Mais là, c'était une trahison et Morai allait le payer. Défonçant la porte de la chambre de son fils, il le vit en train de chevaucher la belle sirène qui le tenait dans ses jambes. Aussitôt, il cogna son fils et le sortit des jambes de Morai, pour après, frapper Morai et la traiter comme la sale traînée qu'elle était. Se laissant faire, elle se précipita vers le fils en lui implorant son aide :
"Je t'en supplie, aide-moi ! Il va me tuer. Je n'aime que toi. Je veux être qu'avec toi, tu le sais !"
"Espèce de salope ! Alors que je t'ai tout donné ? Attends que je fasse exploser ta sale gueule !"
"Tu ne la toucheras pas !"
Dans un élan désespéré, le fils prit un objet contondant et frappa son père jusqu'à le tuer. Morai se jeta dans ses bras, en larme, le remerciant. Les gardes présents ne savaient plus quoi faire. Mais Morai, qui était dans les bras du fils et faisait en sorte que les gardes soient dans son dos, fit en sorte de stopper le flux sanguin des gardes, et les tua. Les entendant tomber, le fils se retourna et les vit gisant sur le sol. Là, Morai lui dit qu'ils allaient le tuer parce qu'il avait tué son père, et qu'elle avait décidé de le protéger parce qu'elle l'aimait. Heureux de sa preuve d'amour, le fils embrassa Morai et décida de tenir sa promesse en la libérant de son collier d'explosif.
Le collier à terre, Morai commença à pousser un rire de plus en plus fort et sadique. Elle immobilisa le corps et lui dit :
"Tu sais que le corps humain est composé d'eau ? Nous, les habitants des profondeurs connaissons un art martial propre à notre race, qui nous permet de manipuler l'eau sous toutes ses formes.
Toi et ta famille avez été mes tortionnaires pendant presque vingt ans. Si j'ai pris goût à un certains style de vie, se faire violer par un vieillard et un éjaculateur précoce n'a rien eu de marrant, ou de satisfaisant. Maintenant, tout cela est terminé, je suis libre et vous, vous allez mourir..."
Et d'un coup, enfermant son poing, elle fit jaillir le sang du fils hors de son corps, qui tomba au sol.
Nue, Morai se mit à danser dans la chambre en manipulant toutes les formes d'eau se trouvant près d'elle, dont le sang. Elle créa un cercle de liquide l'entourant et continuant à danser et à sautiller dans les couloirs, elle tua tout ceux qu'elle croisa. Elle en profita pour aller dans toutes les pièces de la demeure et tuer tout le monde. Elle tua même les esclaves en leur disant que maintenant, ils étaient libres.
Une fois, tout le monde mort, elle chercha de quoi s'habiller de manière noble, ainsi que des bijoux. Elle trouve d'étranges pointes en or qu'elle prit avec elle. Elle en prit deux pour mettre au bout de deux longues mèches de cheveux. Réfléchissant pour les autres pointes, elle se disait que s'en servir comme armes, pouvait être une bonne idée. C'est ainsi qu'elle en plaça deux dans ses manches, au niveau de ses pommes de ses mains et les deux autres, au niveau des pointes de ses bottes.
Une fois toute belle et fin prête à reprendre sa vie en main, elle décida de prendre toutes les bouteilles d'alcool qu'elle trouva et fit en sorte de les verser à des endroits plus ou moins stratégiques de manière à brûler cette demeure, synonyme de malheurs à ses yeux.
Après avoir mis le feu, elle regarda le spectacle avec attention. Mais l'émotion étant trop forte, elle se mit à rire au éclat, tout en versant des larmes le long de ses joues. Puis, avant que les soldats de la Marine arrivèrent pour éteindre le feu, Morai prit la fuite de manière à disparaître de cette ville, et enfin commencer à vivre...
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