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Composant chimique hautement explosif.

Mercury Tesla, Akarui.

Age : 23
Sexe : Homme.
Race : Humain.
Métier : Chimiste et Capitaine de son équipage.
Groupe : Révolutionnaire.
But : Faire payer le gouvernement pour ses crimes envers l'humanité, et rendre le monde plus juste pour tous.
Équipement : Un masque à gaz, un pulvérisateur...
Parrain : Rafaelo.
Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Oui reroll de Behnime.
Si oui, quel @ l'a autorisé ? Nom du @America.
Codes du règlement :

Description physique


Il paraît que la révolution se cache. Difficile à imaginer avec notre héro, Mercury. Cheveux verts pâles, yeux bleus glaciales et foudroyant d’un impassible éclair de lucidité. Il semble savoir lire en vous comme dans un livre ouvert. Possible, ou simplement que sa capacité d’analyse est effarante, ou bien qu’il possède l’un de ses pouvoirs du fluide qui permet la lecture des âmes les plus faibles, et lui permettant, avec de l’entrainement, d’esquiver la plupart des coups qu’on voudrait lui porter.

Silhouette gracile, divine, danseur intouchable capable de mouvements vifs. Un mètre quatre vingt huit de violence réfrénée, de puissance contenue et muselée ; Malgré sa frêle stature, sa force est impressionnante. Il est capable de rivaliser au corps à corps avec la plupart de ses contemporains, et ce, sans avoir à rougir de sa prestation. Il cache son visage aux traits gracieux sous un masque à gaz, capable de souffler également, pour disperser les fragrances et les poisons qu’il sait créer, autant que le protéger de l’air ambiant. On dit qu’une vilaine blessure et un environnement peu propice à la survie lui a laissé des séquelles à vie.

Il s’habille d’une longue cape à capuche, comme tous les vils criminels qui se respectent. Porte une chemise blanche à col mao par-dessous un sweat, et des pantalons ajustés. Il est un drôle de mélange, un patchwork qui semble pourtant cohérent. Autant capable de porter des costumes hors de prix, que des tenues plus urbaines, on dit qu’il a déjà été nominé « homme le plus classe » par un magazine révolutionnaire. Sachant s’adapter surtout, il est le genre de caméléon à passer partout, même avec ses goûts capillaires excentriques.

Il porte généralement des gants de cuirs pour cacher d’autres cicatrices, et protéger sa peau des toxines et des plantes dangereuses qu’il manipule. Il possède également une deuxième arme, un pulvérisateur amélioré, qui lui permet de disperser autant du liquide que du gazeux, sans doute que son utilité vous sera révélée un jour.

Description psychologique


Rebelle de la première heure, Mercury ne recule devant aucun sacrifice pour servir la cause. Pour lui, seul le but compte, pas la manière. La manière c’est pour ceux qui ont le luxe du temps, de l’argent et du pouvoir. Lui n’a aucun des trois. Il faut reformer le monde dans son intégralité, lutter contre les inégalités, abolir certaines pratiques, ne pas faire semblant et avoir la main lourde. Pas de négociations, pas de prisonniers, pas de pitié. Rien d’autre que de la haine envers ce gouvernement pourris, et tous ceux qui se mettent à son service. Pour lui il n’y a pas plus de deux catégories de personne, ceux qui sont avec lui, et ses ennemis.  

Ses ennemis, il leur réserve un sort atroce, parfois pire que la mort, parfois pire que ce qu’on lui a fait subir. Et après ? Il sait qu’il n’a pas le monopole de la souffrance et de la peine, mais la sienne l’a conduit à être impitoyable, réfléchis, et surtout, déterminé comme jamais. Une volonté de fer dans un gant de pierre, voilà qui est Mercury. Une personnalité inflexible, un leitmotiv inaliénable, car juste. En tout cas, il en va de sa conception de la justice :  Œil pour œil, dent pour dent.

La faute est humaine, le pardon, divin. Et il ne se targue pas d’être autre chose qu’un chimiste, pas comme un certain Empereur qui joue au dieu et dont il devra peut être s’occuper un jour. D’ici là, il a du chemin à faire. Il se sait encore trop faible pour aller taquiner les grands pouvoirs en place, réaliste, il est un rouage de l’engrenage, un capitaine de l’Armée révolutionnaire dévoué corps et âme à faire payer les cinq étoiles, et tous leur chiens fidèles et dégénérés. Espérer servir le bien commun, alors qu’on assassine et qu’on tue, tout ça pour quelques berrys de plus. Vraiment ? Son esprit hautement explosif bouillonne rien qu’à penser que certains dorment sur leur deux oreilles après leur boulot, ont des femmes et des enfants à embrasser le soir, et des choses à perdre. Lui n’a plus rien.

Lui n’a plus que la vengeance, la vendetta, la violence et la déraison.

Biographie


Une nouvelle terre à conquérir, c’est à chaque fois des centaines, des milliers de personnes qui s’emparent et s’accaparent une île, ses ressources, éliminant tout les obstacles sur sa route ; Surtout quand l’île en question regorge de ressources inutilisées par les indigènes, fleurissent alors les mines, les forages, les hommes et les enfants, faisant peut cas de ceux qui habitaient là depuis des milliers d’années, vivant en harmonie avec leur environnement.

Logique du gouvernement mondial oblige, on donna un nouveau nom à cette terre sainte, et l’île fut nommée « Eldorado ».  Quexacualt, de son vraie nom, avait tout d’une vitrine ou l’on pouvait se servir avidement, et sans remords, ni regrets. L’armée fit la guerre, les pionniers firent mains basses, tout le monde y trouva son compte, et la vie continua ainsi sans autre forme de procès, le juge et le bourreau étant une seule et unique personne.

Certains virent dans la venue d’étranger le moyen d’obtenir un peu plus de confort et de pouvoir, et certains natifs s’allièrent à eux, mettant fin à toutes formes de résistance, et la guérilla pour obtenir la paix, cet absolu en forme d’épée de Damoclès quand on conquière une île, fut bien vite menée par le pouvoir en place. Le bois, les habitations de fortunes, s’estompèrent au profit du béton, de la ville et de la technologie qu’apportaient les nouveaux venus, industrialisant ce qui ne devait pas l’être, pourrissant l’atmosphère verte et l’odeur subtile de l’herbe par les fumées des usines de traitement de la ressource principale, la coca. Une plante qui une fois broyée et mélangé à divers composants s’avérait énergisante et suffisamment bonne pour inonder le marché des boissons et autres produits dérivés, d’un tout nouveau produit : Le Cola.

Ce n’était pas tout car si ce qui poussait en quantité sur l’île ne suffisait pas à vouloir garder le contrôle gouvernemental en place, le sol regorgeait d’un terreau fertile, et les montagnes de minerais lourds comme précieux … Les raffineries et l’activité minière se multiplia par cinquante en quelques années, finissant de tuer l’atmosphère de l’île en basse strate. Les plus riches se refugièrent dans les montagnes, dans des tours ventilées, assainie chaque jour, tandis que le commun des mortels vivait en dessous d’un nuage noir de pollution et l’air toxique faisait des morts chaque année.

Certains indigènes n’eurent pas le choix que d’accepter cette situation pour survivre, mes parents en faisaient partis. Les ruelles devinrent des coupe gorge ou s’entretuaient les petites gens, pour un morceau de pain, ou un caillou d’or pur, qui se retrouvaient dans les veines aqueuses asséchées de l’île.

On détermina alors que deux pays existaient, celui de la technologie et de l’air pur : New-Leigon.
Et celui de la pollution, des morts et de la pauvreté : Zion.

Je suis né à Zion, là ou tout finit par mourir et pourrir a même le sol, oxydé par l’air nauséabond et caustique des usines et des raffineries de cola.

Je vous raconte ça, pas pour que vous me preniez en pitié, mais comprenez que quand on tâche ses draps de sangs à la moindre toux, on commence à avoir des doutes sur ce monde, et sur son bien fondé.

Mon père était guérisseur, comme son père avant lui et le père de son père encore plus tôt. Il connaissait bon nombres de plantes utiles pour aider les gens. Le problème était l’approvisionnement, c’était dangereux. Il fallait se rendre à la frontière entre Zion et New-Leigon, là ou poussait encore quelques denrées rares, au pieds du mur qui ceinturait la ville haute, pour empêcher les petites mains de l’île, d’entrer dans leur paradis de verres et d’argent, de pouvoirs et de faux semblants. Mon père risquait sa vie tous les jours pour les autres. Remarquez, pour ce que cela lui a servi, j’aurais tendance à croire que le destin et les gens sont ingrats, rancunniers, et surtout pernicieux. C’est qu’un avis.

Mais enlevez tout honneur, tout espoir à un peuple, et vous verrez qu’il se soulèvera. Alors pour éviter le problème, on commença à dispenser des « point de citoyenneté », on inventa des programmes pour que les enfants les plus brillants puissent avoir un « avenir plus beau », comme si tout cela n’était pas de la faute du gouvernement en place. Et comme si les enfants ne voyaient pas la séparation avec leurs parents comme une petite mort en soit. Je faisais partie du petit nombre d’enfant de la strate la plus pauvre, et qui avaient un cerveau plutôt fonctionnel, et presque génial même. J’avais rien demandé à personne, même si mes bronches étaient faibles et souffraient, j’étais heureux de suivre mon père dans ses aventures, l’observant de loin aller cueillir quelques plantes et denrées rares aux pieds de la tour d’ivoire, et de la cage dorée qu’ils s’étaient crées eux même. Avaient ils conscience de cela ? Qu’ils s’étaient enfermés dans un système défaillant, pourris jusqu’à l’os et que leur sois disant « méritocratie » ne méritait même pas qu’on y regarde de plus près ? J’avais huit ans quand on transforma mon âme de botaniste et de soigneur, en celle d’un chimiste doué mais impitoyable.

Mes parents décidèrent que c’était mieux pour moi.

Putain de monde de merde.

Composant chimique hautement explosif.  Xmte

La dernière chose que je vis dans le floue de mes pleurs, ce fut mon père qui me disait de rester fort, et qui m'emmitoufla dans un manteau qui lui appartenait, un long manteau de cuir noir, que je porte encore aujourd'hui. Mon père faisait la carrure de trois hommes, contrastant clairement avec la taille fine de ma mère, à se demander comment ils avaient finis ensemble. Je ne le saurais jamais, ce jour là serait le dernier ou je verrais mes parents en vie.


- Comment s’appelle-t-il  ? fit le vieil homme qui se penchait sur mon dossier, regardant mes notes à l’examens d’entrée  comme un buffet à volonté.

- Michiotalcozalt, mais tout le monde l’appelle Mich. Fit le directeur du programme du «parcours réussite » comme ils avaient appelé le fait d’enlever de sa famille des enfants ingénieux par cinquantaine chaque année, les mettre en compétition et les faire adopter par de vieux riches, ou des femmes stériles et leur époux à la pointe de la technologie, pour une somme astronomique.

- Qu’en dis-tu mon garçon ? Et si l’on changeait ton prénom ? Le vieux me regarda comme de la marchandise, mais je sentais une émotion vivace et une auto suffisante à gerber quand il finit par dire : Le mercure à fait ma réussite, je t’appellerai donc Mercury, dans la table des éléments chimiques, c’est un sacré numéro !  Pourquoi a-t-il les cheveux verts ? Fit dédaigneusement Monsieur Tesla à son interlocuteur qui haussa les épaules.

- Petit, on va couper cette tignasse fit-il en voulant me toucher la tête, je montrais les dents en signifiant par la que me toucher équivalait à se faire mordre, et qui savait de quelles maladies j’étais encore atteint et dont il fallait me débarrasser ? Je savais jouer de ça pour avoir ce que je voulais : La tranquillité, à défaut de ma famille.

***

New-Leigon, la cité blanche. Des fontaines à outrances, de grandes tours qui se ressemblaient presque toutes, si on ne remarquait pas les blasons des familles qui changeaient à chaque fois, sur le front des tours, taillée dans de la pierre d’albâtre qui devait coûter une fortune à la revente, mais dont les gisements abondaient dans la montagne sur laquelle s’appuyait la cité des pionniers. Un long pont permettait d’arriver directement dans les strasses basses, mais gardé par des soldats d’élites du GM, ne permettait aucune fuite, ou aucun raid sur New Leigon. Le seul point que je ne détestait pas du fait d’être là, était le système éducatif dans lequel je fus pris.

On adaptait en fonction des désirs des élèves et de leur intérêt, ce que le programme enseignerait.

Rapidement, la chimie devient un moyen de m’enfermer et de ne parler à personne, de ne pas copiner avec les riches, et de rester en colère, dans mon labo, sans amis, sans famille. Je n’imaginais pas autrement que de m’enfuir un jour, et de faire payer ceux d’en haut, qui ne partageaient rien avec ceux d’en bas, et nous laissait dans notre merde, avec tout les problèmes que cela impliquait.

Alors en attendant mon jour, je faisais des préparatifs, j'apprenais à devenir une arme, je suivis des cours de close combat, en même temps que de chimie et d'autres trucs qui me serait pratique dans notre monde. Personne ne se posa de questions, personne n'osa. J'étais le rejeton d'une des plus grandes familles de New Leigon, pas un vulgaire roturier, mais pas vraiment légitime non plus. Tesla me considérait comme un petit fils, lui qui avait perdu ses enfants assez jeune, et dont la longévité était un secret jalousement gardé, à l'aune de ses cent ans maintenant. Il fallait dire qu'il restait la plupart de son temps dans la chambre, branché à des machines et des tuyaux dans le corps, tout ça dans le but d'obtenir une rallonge, un bonus, quelques secondes de plus dans ce bas monde.

Vu tout ce que me réservait cette immonde planète, je ne comprenais pas son raisonnement. Je supposais qu'on était pas fait pour s'entendre. Ou peut être que tout cela était indépendant de sa volonté, et que l'on attendait que je fasse un faux pas pour me gicler de la succession, il faut dire que mes oncles et tantes, ainsi que mes nombreux cousins devaient avoir sacrément le démon, de me voir, un arriviste finie, leur ravir l'héritage qu'ils pensaient tous mériter de droit. Je me pris à plaindre mon tuteur, et à me dire que le sadisme de l'homme n'avait aucune limites ... Surtout dans cette ville parée de jolis atours, mais sales et pavées d'hypocrisie. Le diable est dans les détails, et l'enfer se pave lui même de bonnes intentions, de toute manière.

J'avais compris que dans ce monde avide, vivre d'amour et d'eau fraiche était une hérésie, une utopie douce amère. Rien de plus qu'un rêve irraisonné et irréalisable.

Je décidais une chose ce jour là ... Que je me battrais jusqu'à mon dernier souffle, mes dernières forces, pour faire payer ceux qui m'avait privé de ma joie de vivre. Et que j'étais prêt à tout pour y arriver, même à passer pour le méchant.

Informations IRL

  • Votre prénom / pseudo :
  • Êtes-vous majeur ? oui / non
  • Vous aimez / n'aimez pas :
  • Votre personnage préféré (de One Piece) : Tony Tony Chopper, Luffy...
  • Vous vous définiriez comme : fêtard, amateur de jeux-vidéos...
  • Vous faites du RP depuis :
  • Vos disponibilités (approximatives) : trois soirs par semaine ? tous les soirs ?
  • Comment avez-vous connu le forum ? Google, moteur de recherche forumactif, topsites...


Dernière édition par Mercury Tesla le Lun 18 Déc 2023 - 0:48, édité 1 fois
    Hello la team,

    done for me.

    Il reste des zones d'ombres, mais elles sont là pour me permettre d'être mobile et disponible irp.

    Merci, bye.
      Yo Yo Yo !

      Judas, pardon Mercury Composant chimique hautement explosif.  2983686574

      Bref, je viens donc faire cette analyse de fiche.

      La forme
      Tu as toujours un style plaisant et fluide, il accroche l'oeil et se lit d'une traite. Dommage pour les quelques fautes. Une relecture aurait fait du bien; mais une très belle plume tout de même ^^

      Les descriptions
      Pour le physique, très bien, on visualise bien le personnage. Juste peut être la contradiction entre le début qui dit qu'il passe pas inaperçu et la fin où tu dis que c'est un caméléon qui me gène un peu. Sinon, très propre.

      Pour la psyché. J'crois que je suis trop exigeante sur une psyché en fait. Elle est bien, mais il manque des éléments. Au final ce qu'on sait c'est qu'il est brisé au point de n'être qu'une boule de vengeance déterminé. Mais même quelqu'un de cette configuration est plus que ça. J'aurai aimé en savoir plus sur lui, ces bons côtés, ce qu'il aime etc. Un portrait un peu plus vaste. Mais ca fait le café. On comprend quand même qui il est à travers tes yeux et ca c'est déjà cool !

      L'histoire
      En soit j'ai bien aimé ! On sent que tu maitrises ton sujet, ce que tu as inventés comme ville et lore est vraiment sympa. Dommage que tu n'es pas trouvé une correspondance plus pertinente dans les iles qui existent déjà sur le forum. Ca t'aurait encore plus ancré dans l'univers.  C'était très succin, peut être un peu trop. Laissez des zones d'ombre pour développer en rp, c'est top. Mais la démarcation entre ton enfance et ta vie d'adulte était peut être un peu trop brute. J'ai pas compris si on parlait de deux personnages différents ou du même. On a vu ta famille petit et puis tu parles d'une autre famille sans en faire la distinction tout de suite. J'étais dans le flou. Mais malgré tout, elle est bien ton histoire. Ca ouvre la curiosité sur les deux parties de l'ile !

      Bon avec tout ça, ça donne quoi ? 640D, ça me semble bien. Et à ce résultat, je rajoute 1.645D de ton reroll, ce qui nous amène à 2285D !

      Il ne te reste qu'à aller poster ta fiche technique, renseigner les différentes cases de ton profil et passer dans le sujet de recensement d'avatar.

      Bon jeu à toi !


      Le narrateur est la faucheuse, elle fait partie intégrante à l'histoire, quand elle intervient, le texte est en italique (sauf dans les dialogues)

      Moissonneuse et Désespoir/poussière:



      • https://www.onepiece-requiem.net/t26598-la-mort-l-etre-aux-mille
      • https://www.onepiece-requiem.net/t26537-la-mort-est-la-seule-juge-de-la-vie-redoutez-la-comme-vous-me-redoutez-jessica-l-ange-de-la-mort-hellhound#275056