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Dolores...


Dolores... 110919025316981400
Pseudonyme : Dolores.

Age : 17 ans.
Sexe : Femme.
Race : Humaine.
Rang : Enchanteresse.
Métier : Phare.
Groupe : Civile.

But : Porter l’harmonie.
Pouvoir pour la suite :
J’y réfléchis. Absorber la douleur et la peine ?
Equipements : Son infinie bonté.

Codes du règlement :
Parrain : Edword Boobap, dont je ne connais pas le nom ici.


    >> A l’abord…
Une seule note pour commencer, claire comme le cristal, et puis une autre, et puis encore une autre... Entendez-vous donc cette douce mélodie qui fend l'ombre ? Comme une comptine d'enfant qu'on entend derrière les bruits de la guerre. C'est elle qui s'approche. Elle, la reine d'amour. Ah qu'elle est gracile, qu'elle est douce jusque dans le moindre de ses gestes ! D'abord une jambe qui s'extrait du chaos, bottée de cuir brun, parfaitement galbée, puis sa jumelle, des hanches qui disent la santé, et voilà le buste qui se montre à son tour. Un buste sage, contenu, qui sans être timide ne s'avilit pas à se trop montrer. Et enfin cet ovale parfait illuminé de fraîcheur. Un teint de lait, d'une pâleur qui ne fait que tendre à l'inquiétant. Un grain si doux que la soie en est jalouse. Des lèvres parfaites de régularité, fines et souvent mutines. Deux paupières fardées du bleu de la vie, deux iris sombres et pourtant si clairs. Un nez cuisiné d'une dose de parfait et d'une dose de magnifique. Un front dégagé comme l'avenir. Et des cheveux peignés de la noirceur du monde. Raides comme la mort et pourtant tous diaprés de lumière comme pour mieux réveiller l'existence à chaque ondulation.

Vous lui trouvez l'air triste ? Attendez qu'elle sourie et vous verrez. Vous verrez qu'elle n'était que calme, calme et attentive. Attentive à tout. Vous lui trouvez l'air frêle ? Attendez qu'elle vous parle et vous saurez, vous saurez qu'elle n'était que patiente, patiente et mesurée. Mesurée toujours mais forte aussi. Reine d'amour serein, ange de beauté apaisée, elle est lisse comme une vie toute entière déchargée de ses accrocs. Vous la trouvez diaphane, transparente ? Laissez-la vous regarder un temps encore, c'est que la parfaite harmonie qu'elle véhicule ne vous a pas encore été transmise. Vous la craignez malheureuse ? C'est que déjà elle vous a communiqué son empathie universelle. Laissez-la vous rassurer, laissez-la rire doucement à votre oreille et vous entendrez la joie pure. Joie d'être, joie d'exister, joie communicative. Vous pensez devoir la protéger ? C'est que vous manquez d'humilité. C'est elle qui vous protégera. Elle attirera sur vous les bonnes étoiles, désarmera vos assaillants d'un charme ingénu et conduira à la table de la réconciliation vos ennemis. Et pendant que circulera l'ambroisie, elle admirera de son œil attentionné l'horizon en quête du malheur suivant à adoucir.

    … et au fond. <<
Oui car c’est bien sa raison d’être, à cette apôtre de sainteté : guérir les maux, panser les plaies, trouver la faille qui permettra à l’ombre d’être inondée de lumière. Où qu’elle aille, où qu’elle projette d’aller, il faut qu’elle fasse le bien et propage la paix. Ce n’est pas tant une mission qu’elle s’est fixée que sa nature profonde, contrecoup incorruptible de ses années d’enfant. Entre masochisme inconscient et sympathie naturelle, il ne lui est point besoin de réfléchir pour se trouver dans les plus miséreux des bas-fonds de la bassesse humaine pour y accomplir des miracles. Oh oui car elle en est capable, et si une institution devait se charger de mesurer ses prouesses et de les recenser, la liste serait longue. Combien de fois a-t-elle, d’un sourire ingénu, d’un plissement de paupière colorée ou d’un mot approprié, arrêté la violence ? Combien de fois a-t-elle donc sauvé la vie d’un faible qui ne pouvait se défendre ou apaisé l’ire incontrôlé d’un fort qui ne savait pas pourquoi il tapait ?

Pureté d’esprit, noblesse d’âme, ce n’est pas une mission divine, ce n’est pas un goût du sacrifice qui guide ses pas. A la différence d’un paladin elle ne donne pas sa vie à une cause. Elle est, elle-même, la cause qu’elle porte, que tout son être porte pour elle sans qu’elle ait d’effort à fournir. Aucune réflexion avant ses actes fous. Aucun instant d’hésitation. Simplement la certitude que, si elle se trouve là où elle est, c’est parce que ses pas devaient l’y amener. Simplement le plaisir de voir les yeux d’un enfant s’agrandir de bonheur, les bras d’un fauteur qui s’apprête à frapper retomber le long de son corps déchargés de toute animosité, un quartier débarrassé de tout son chaos. Alors, nul doute que son karma s’en trouve exponentiellement multiplié, mais elle ne tient pas de journal, n’a pas de dette à combler qui, une fois remplie, lui permettra de s’arrêter d’agir ainsi. Il est trop tard pour elle, les dés ont été lancés pendant sa jeunesse et son esprit s’est par ricochet lancé dans la seule quête sans fin qui se puisse entamer : amener paix et harmonie au monde par la douceur.

    Et tout a commencé par…
Par un cri. Un cri joyeux comme le sont tous les premiers cris de premiers-nés pour l’oreille mal informée des parents pour qui c’est jour de fête. Et pourtant, pourtant c’était un cri de douleur, de douleur profonde, intense, insupportable pour un si petit être. Un cri qui contenait la misère du monde entier. Morts ou vivants, vieux ou jeunes, laids ou beaux, des Blues, de Grand Line ou du Nouveau Monde, tous ont semblé verser en cette enfant qui naissait à cette seconde leurs maux les plus profonds. Car c’est bien une histoire de souffrance que celle de Dolores. Oh oui, contre toute apparence peut-être mais les faits sont là. Et bien qu’elle n’en parle jamais les souvenirs qui lui en reviennent régulièrement sont son moteur dans sa quête du bonheur universel. Moteur inconscient, car pour elle ils ne sont qu’images de périodes révolues, mais moteur tout de même.

Ce don d’empathie qui était le sien, elle ne l’a découvert que bien plus tard, au sortir de la toute petite enfance. Quand son frère aîné est mort d’une maladie maligne, alors qu’elle avait quatre ans, elle n’a d’abord rien senti. D’aucuns diront que c’est normal, qu’on ne rend pas complètement compte à cet âge. Mais la vérité est autre. Elle n’a rien senti au début, mais après tout est tombé sur elle : sa tristesse propre, puis celle de ses parents et en particulier de sa mère. Dans une maison où tout le monde s’aimait malgré les misères d’une vie de pauvreté, la perte d’un enfant est toujours un drame. Et donc, l’infinie douleur de sa mère, Dolores l’absorba. Vraiment, complètement. La pauvre femme ne devint pas joyeuse, non, mais elle retrouva le sommeil, sans se douter du martyr que sa fille vivait en silence.

Le deuxième épisode fut celui de la mort de son père. Elle avait alors dix ans, découvrait sa féminité. Et le même scénario se reproduisit à l’identique. D’abord effondrée, accablée par les dettes et incapable de subvenir à ses besoins élémentaires ainsi qu’à ceux de sa fille, la mère de Dolores se redressa bien vite, libérée du joug de la dépression. Et de son côté, une petite fille aux cheveux noirs sentait son corps se déchirer sous le coup des émotions qu’elle absorbait pour mieux les dissiper dans le néant. Aimant à malheur, l’adolescente qu’elle était alors compris en effet enfin ce qui se passait. Elle n’était pas hypersensible, elle buvait véritablement les émotions négatives de ses compagnons et servait de tampon entre un monde grevé par le mal et le rien où tout disparaissait. La douleur d’un animal battu, elle pouvait la faire disparaître. La douleur d’un malade, elle prenait sur elle de l’en débarrasser.

Et puis un jour, elle dépassa ce stade, prit conscience que peut-être elle pouvait aller plus loin encore. Assise en bord de plage comme toute adolescente aime à le faire de temps à autres, elle observait au loin l’équipage d’un navire marchand en décharger la cargaison. L’un d’eux fit une bêtise, un geste maladroit comme tout le monde en commet quand il est soumis à trop grande pression. Une caisse chuta, et le contenu s’en dû briser puisque les injures du quartier-maître retentirent jusqu’aux oreilles de la jeune fille malgré la distance. L’homme saisit un fouet, et Dolores sentit son envie de tuer, d’aller jusqu’au sang pour punir. Elle ne réalisait pas bien mais elle pouvait presque toucher cette mauvaise énergie qui se répandait à ses yeux sur toute la plage, alors même que personne d’autre à ses côtés ne semblait s’en soucier. Et elle prit sur elle de dissiper ce nuage de mal. Elle n’influa pas sur l’esprit du maître d’équipage, non, elle ne fit qu’absorber son ire et la réduire à rien. D’ailleurs l’homme ne réalisa pas ce qui s’était passé, n’aperçut même pas l’ange. Mais il ne sut pas plus pourquoi il se retrouvait fouet en l’air, prêt à frapper un homme à terre. Bête, il abandonna l’arme et tendit la main.

Et depuis deux ou trois ans que cet événement s’est déroulé, depuis un an que sa mère est morte à son tour, la laissant seule, Dolores va le monde en distribuant ses bienfaits.


    Et derrière elle…
Prénom : Rose.
Age : 22 ans.

Aime : M’évader. Faire voir le beau en toute chose.
N'aime pas : Ne pas réussir à faire ce que j’aime.
Personnages préférés : Ceux qui sont blessés au plus profond de leur âme.

Caractère : Je ressemble assez à Dolores.
Fait du RP depuis : Quelques années maintenant.

Disponibilité : Changeante, en fonction des mes déplacements professionnels et de mon inspiration.
Comment avez vous connu le forum ? Par le parrain cité plus haut.


Dolores... 110919032246302611


Comptine

Trois p’tits chats, trois p’tits chats, trois p’tits chats, chats, chats
Jeune. Si jeune.
Chapeau d’paille, chapeau d’paille, chapeau d’paille, paille, paille
Cinq ans, six peut-être.
Paillasson, paillasson, paillasson, son, son
Blondinette rentre sans doute chez elle.
Somnambule, somnambule, somnambule, bule, bule
Mains joyeuses derrière la tête, Blondinette sautille.
Bulletin, bulletin, bulletin, tin, tin
Blondinette mange des sucreries et ne regarde pas où elle va.
Tintamarre-, tintamarre, tintam-Aiieuhh !
Blondinette s’est cognée.

Devant elle une montagne se dresse. Une montagne d’ombre. Un homme, un gros homme de dos qui fait peur.
Elle est légère comme une plume, il n’a sûrement rien senti.
Mais Blondinette tremble, mais Blondinette a froid. Mais Blondinette se tait.
Le quartier est mauvais, les gens peu recommandables. Sa mère le lui répète sans cesse.
L’homme gémit, grogne, grommelle. L’homme se retourne. L’homme baisse le regard sur elle.
De grands yeux froids, des yeux qui ont tué déjà, des yeux qu’une enfant comme elle n’émeut plus.
Des insultes. Des insultes que des oreilles innocentes n’auraient pas dû entendre. Blondinette a peur.

Mais même vieilles d’à peine quelques secondes les choses du passé sont immuables.
Et une main se lève, et une main s’est levée. Et cinq doigts larges chacun comme un bras.
Blondinette cligne des yeux, Blondinette a laissé tomber le petit sac en papier de l’épicerie.

Trois boules roses dans la poussière.
Marabout, marabout, marabout, bout, bout
Derrière la montagne un rayon de soleil apparaît soudain.
Bout d’ficelle, bout d’ficelle, bout d’ficelle, celle, celle
Un petit rayon, qui n’éclaire pas grand-chose.
Selle de ch’val, selle de ch’val, selle de ch’val, ch’val, ch’val
Mais un rayon quand même.
Ch’val de course, ch’val de course, ch’val de course, course, course
Dolores.
Course à pied, course à pied, course à pied, pied, pied
Par dessous le bras levé du gros monsieur qui fait peur, Blondinette voit l’ange sans auréole lui sourire.
Derrière son dos tout de muscles contractés, l’homme qui va taper sent quelque chose s’approcher.
Quelque chose qui fend le nuage de colère bête qui l’agite et lui fait lever la main sur le petit être blond en train de le regarder d’en bas.
Colère bête dites-vous ? Oui, il est en train d’en prendre conscience.

C’est chaud, c’est calme, c’est aimant.
Ca chatouille un peu. Ca détend. Ca fait sourire.
Ca y est, il a oublié. Oublié pourquoi son bras est en l’air.
Saluait-il quelqu’un ? Attrapait-il quelque chose pour la petite fille ?
Oh, ses bonbons sont tombés. Oh, elle pleure. Pourquoi pleures-tu donc ?
Ne pleure pas petite. Ne pleure plus. Tiens, voilà tes friandises. Ne pleure plus.
Pied à terre, pied à terre, pied à terre, terre, terre
Dans l’ombre le rayon de soleil est mort, l’ange a disparu.
Dolores, où es-tu Dolores ?

Pst, pst… Par ici, par ici.
Dans la ruelle, c’est dans la ruelle qu’elle est.
Contre le mur, adossée contre le mur, c’est là qu’elle est.
Dans le noir elle se cache, dans le noir sans bruit elle serre les dents.
Une si grosse colère… Une si grosse colère est faite pour les gros messieurs.
Et un si petit corps… Un si petit corps n’est fait que pour la joie.
Et pourtant, pourtant tout est en elle. Le nuage noir tout entier elle a absorbé.
Avalé, comme un verre d’eau avalé.
Et maintenant il faut digérer. Digérer cette colère faite sienne.
L’estomac rejette. Les défenses s’agitent.
Sous l’effort la chair se tend, les muscles se contractent.
Mais Dolores en a vu d’autres, mais Dolores en verra d’autres.
Serrés sur rien, les poings blanchissent, blanchissent encore, blanchissent toujours.
Et dans les deux paumes les ongles creusent, creusent jusqu’au sang.
Et dans la lèvre du bas les dents plongent, plongent jusqu’au sang.
Une colère vide de sens, une colère qui à rien ne mène.
Terre de feu, terre de feu, terre de feu, feu, feu
Là-bas Blondinette chantonne à nouveau.

Et Dolores se tait.
Feu follet, feu follet, feu follet, let, let
Là-bas Blondinette s’en va avec son nouvel ami le gros monsieur.

Et la tension commence à disparaître.
Lait de vache, lait de vache, lait de vache, vache, vache
Lentement, lentement le corps se décrispe.
Vache de ferme, vache de ferme, vache de ferme, ferme, ferme
Son front brille d’avoir contenu toute cette énergie mauvaise.
Comme quand on cherche à retenir un sanglot trop longtemps.
Ferme ta gueule, ferme ta gueule, ferme ta gueule, gueule, gueule
Un sourire faible revient sur son visage luisant pendant qu’elle glisse au sol.
Un sourire qu’un mince filet de sang allonge. Mais un sourire.
Gueule de bois, gueule de bois, gueule de bois, bois, bois
Elle s’essuie, elle souffle, elle se redresse.
Dolores est affaiblie mais Dolores a gagné.
Boîte aux lettres, boîte aux lettres, boîte aux lettres, lettres, lettres
L’intérieur des mains a rougi. L’intérieur des mains n’est plus rouge.
Et cinq doigts, cinq petits doigts tout fins et tout souples à nouveau.
Les passer dans les cheveux et les passer sur le visage.
Lettre d’amour, lettre d’amour, lettre d’amour, mour, mour
Amour donné, amour partagé. Ca y est, la sérénité revient.
Dans la ruelle un rayon de soleil brille à nouveau.
Se déplace jusqu’à l’artère principale, regarde à droite, regarde à gauche.

Et puis s’en va en fredonnant.
Mourre à trois, mourre à trois, mourre à trois, trois, trois…


Dernière édition par Dolores le Dim 25 Sep 2011 - 18:39, édité 2 fois
  • https://www.onepiece-requiem.net/t2820-dolores
  • https://www.onepiece-requiem.net/t2717-dolores
Bienvenue ! ^^
Up lorsque tu voudras ton test Rp.
Au plaisir,
Césare.
    Oh... Je suis prête, je le veux bien. Merci =)
    • https://www.onepiece-requiem.net/t2820-dolores
    • https://www.onepiece-requiem.net/t2717-dolores
    Bonjour et bienvenue sur One Piece Requiem RPG' Smile
    Ce sera un sujet libre où tu détailleras précisément les sentiments ressentis par ton personnage au moment où tu utilises ton "don".

    C'est difficile comme exercice donc bonne chance !!!
    Et si tu as des questions ou autre, n'hésite pas !
      Merci !

      Voilà, je vous propose quelque chose... Je me suis amusée à l'écrire, j'espère que la lecture vous en plaira. =) ...et que je rentre encore assez dans les termes du sujet pour que ce soit valable. :o
      • https://www.onepiece-requiem.net/t2820-dolores
      • https://www.onepiece-requiem.net/t2717-dolores
      Hop. Pour l'info Ed c'est Pludbus ici.

      pour la suite, moi j'ai aimé. Texte agréable, fluide, bien écrit. Personnage attachant, Dolores porte la misère du monde sur ses épaules c'est tout à fait louable. Et le concept en lui-même d'absorber la colère est original.

      Sinon, pour le principe, relevons La faute d'ortho qui traine héhé : " une petite fille aux cheveux noirs sentait son corps se déchirait ".

      Quand on aime on dit 800 ou 1000 généralement, question de goût; moi j'dis 1000 Dorikis.
        Faute ? Quelle faute ? ... u_u"

        Merci pour le commentaire ! Je ne sais pas trop où me mènera une Dolores aussi "naïve", mais c'est un défi qui m'a paru bon sur le moment. :o

        Et merci aussi pour la précision concernant Edword =) J'en déduis que tu étais "là-bas" aussi ?
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        La faute : déchirait / déchirer.

        Et sinon, ouaip, j'y étais. Tu m'as jeté dans la gueule du Lou héhé.
          Oh... Enarik ? Pour ma défense, j'ai cru lire que tu t'en étais sorti presque vivant. =)

          Et je ne vois pas de quoi tu parles... ;p Même si j'ai quand même honte d'avoir laissé une telle étourderie. ='(
          • https://www.onepiece-requiem.net/t2820-dolores
          • https://www.onepiece-requiem.net/t2717-dolores
          Waou. Que dire de plus ? Très belle fiche, vraiment. J'aime pas les fiches, généralement ça m'agace de les lire, mais là... Chapeau bas, tu gères ! Tout est vraiment bien écrit, y'a pas de faute, c'est fluide, original, maitrisé, bien dosé. Bref, que du bon. Et en plus tu t'appelles Rose et le rose, c'le bien \o/
          Et en plus, ton test RP m'a fait penser à l'auteur Pierre Bottero dont je suis fan, donc ça aussi c'un gros plus *_*
          En tout cas, pour moi ça vaut clairement 1000 dorikis !

          Puis petite question, c'est qui le perso sur ton avatar ? Je le vois souvent dans les banques de donnée d'avatar, mais je sais pas du tout qui c'est >.<

          Manque donc une voix !

          (oui, on fait des validations par trois personnes là, vu les absences niveau staff, ça permettra d'accélérer les choses).
            Oh, merci beaucoup pour les compliments ! Je ne connais pas vraiment l'auteur dont tu parles mais être rapprochée d'un nom qui a été édité, même de loin, c'est... il n'y a pas de mot pour ça en fait. Seulement "merci" :o

            Pour mon avatar, il vient de la série Ergo Proxy. Le nom du personnage est Re-L Mayer. Je n'en sais pas plus, sinon que je l'aime bien =)
            • https://www.onepiece-requiem.net/t2820-dolores
            • https://www.onepiece-requiem.net/t2717-dolores
            Salut,
            comme mes collègues, je trouve que c'est une bonne fiche. Il y'a de l'émotion, une bonne qualité d'écriture et un personnage original.
            Cependant, je trouve que cette fiche manque un poil de substance, elle me laisse sur ma faim. Et franchement, c'est sans doute dû au fait que l'on a tout de suite envie d'en connaitre plus sur ton personnage.
            J'ai relevé une ou deux maladresses, en style et en syntaxe, rien de méchant mais fais attention à l'avenir.

            Tout ça pour dire que je suis bien évidemment pour 1000 dorikis.
              Ma troisième voix ! =)

              Merci. ^_^

              Concernant la substance je suis consciente que la biographie que j'ai fournie, notamment, est un peu légère. Mais je ne voulais pas m'attarder sur une enfance qui, en dehors de ce que j'ai évoqué était somme toute très banale... Si ta remarque concernait aussi le test rp, par contre, là je pense que c'est parce que je me base énormément sur la suggestion dans mon écriture, et que la masse de texte s'en trouve d'autant réduite. =)

              Et pour les maladresses, si tu les as relevées je les veux bien. Ce serait plus pratique pour faire attention à l'avenir. ;p Cela dit j'utilise parfois des tournures vieillottes ou vieillies, sciemment. C'est peut-être ce genre de phrases qui t'a fait tiquer... ?
              • https://www.onepiece-requiem.net/t2820-dolores
              • https://www.onepiece-requiem.net/t2717-dolores
              Effectivement, je parlais seulement de la biographie.

              Dans le style : "Un nez cuisiné d'une dose de parfait et d'une dose de magnifique" que je trouve peu approprié.
              Dans la syntaxe / ect... : "Un cri joyeux comme le sont tous les premiers cris de premiers-nés pour l’oreille mal informée des parents pour qui c’est jour de fête."
              Par exemple, là tu as faillis m'etouffer. Un peu trop long par rapport à l'ensemble du texte j'trouve.

              Voilà, le reste j'ai pas du relever (j'fais de mémoire là ) ou bien y'en avait pas plus... !
                Oh, pourtant moi je l'aimais bien, ma distorsion de la construction classique du verbe cuisiner. n_n

                Pour l'autre phrase, je m'étouffe moi-même à la relire ! Je fais attention pourtant, elle a dû m'échapper à la relecture. :o
                • https://www.onepiece-requiem.net/t2820-dolores
                • https://www.onepiece-requiem.net/t2717-dolores
                Je valide, donc. [ Cza : Oublie pas d'édit le nombre de voix ]
                • https://www.onepiece-requiem.net/t109-greed#772
                • https://www.onepiece-requiem.net/t100-termine-satoshi-noriyaki
                Bonjour bonjour, réductions de personnels ou pas, nous allons bien arriver aux 5 voix minimales étant donné qu'Unwin et moi sommes admin et nos voix comptent doubles.

                Petit commentaire de ta fiche :
                Ben ça va être très court : c'est de très très haut niveau tout ça. Syntaxe quasiment irréprochable, il y a un style qui est fixé... Je ne peux pas dire grand chose.
                Le seul truc qui me gêne c'est justement ton style que je n'aime pas trop (pour être franc je trouve cela un peu vieillot mais ça reste excellent ^^') c'est totalement subjectif, donc ça ne compte pas.

                En ce qui concerne le personnage, il est original et attachant, le concept en lui-même est intelligent.
                Petit exemple concernant la construction du personnage d'habitude ça :
                "L’homme gémit, grogne, grommelle. L’homme se retourne. L’homme baisse le regard sur elle." J'aurais crié à la répétition mais là ça passe, donc bien joué, c'est que c'est bien amené et que ça correspond au personnage.
                Après 22 ans, je ne sais pas si c'est le bon âge pour ton personnage, 17 ans aurait peut-être été mieux.

                Le test rp est réussi et le format est original, donc c'est ok pour 1000 dorikis Smile