Feng Han, Fils du Ciel
Sexe : Homme
Race : Humain.Métier : Ancien officiel de l'Empire
Groupe : Pirate
But : Restaurer la gloire et la grandeur de l'Empire, dussé-je le détruire.
Équipement : Une Guandao, de riches habits de soie, une armure de soldat impérial. Un Jian.Parrain : N/A (même si Marlon Brando aurait été cool)
Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Oui (reroll de Carnival Cruise)
Si oui, quel @ l'a autorisé ? Caramélie, la vile agente de Pol Patine.
Codes du règlement :
Description physique
Feng Han n’est pas à proprement parler une beauté de la nature. Ni trop beau, ni trop laid, il est ce que les gens de Kanokuni appelleraient un officiel.
Souvent vêtu de riches costumes représentant sa fonction d’ancien intendant de Lee Yan, il arbore de longs cheveux noirs de jais, une barbe et une moustache taillée à la Chiang Hyaienne, ce qui, de par son entretien soigné, ajoute une touche de dignité à son visage et lui donne une impression de sagesse. Son regard, dur et sec, est celui de quelqu’un qui a souvent eu des rôles d’autorité dans sa vie, ce que confirme sa voix profonde et assurée.
Passés les fins tissus de soie qu'il arbore souvent, on découvre un corps entretenu avec rigueur, marqué par de nombreuses années d’exercices et les cicatrices de récents combats. Sa silhouette robuste témoigne d'une certaine force physique et ses épaules larges et sa posture droite témoignent d'une discipline militaire liée à sa carrière récente. Une cicatrice en particulier, partant de son abdomen et remontant jusque sous son épaule, semble le démanger de temps à autre et peu après ses yeux noirs semblent fureter ça et là, comme embrasés par une passion peu commune. Cela ne va jamais bien plus loin et rares sont ceux qui perçoivent ces moments de tension extrêmes. Il marche généralement ensuite quelque pas comme s'il déambulait dans un beau jardin d'hiver avec un vieil ami et semble se détendre après quelques longues respirations.
Souvent vêtu de riches costumes représentant sa fonction d’ancien intendant de Lee Yan, il arbore de longs cheveux noirs de jais, une barbe et une moustache taillée à la Chiang Hyaienne, ce qui, de par son entretien soigné, ajoute une touche de dignité à son visage et lui donne une impression de sagesse. Son regard, dur et sec, est celui de quelqu’un qui a souvent eu des rôles d’autorité dans sa vie, ce que confirme sa voix profonde et assurée.
Passés les fins tissus de soie qu'il arbore souvent, on découvre un corps entretenu avec rigueur, marqué par de nombreuses années d’exercices et les cicatrices de récents combats. Sa silhouette robuste témoigne d'une certaine force physique et ses épaules larges et sa posture droite témoignent d'une discipline militaire liée à sa carrière récente. Une cicatrice en particulier, partant de son abdomen et remontant jusque sous son épaule, semble le démanger de temps à autre et peu après ses yeux noirs semblent fureter ça et là, comme embrasés par une passion peu commune. Cela ne va jamais bien plus loin et rares sont ceux qui perçoivent ces moments de tension extrêmes. Il marche généralement ensuite quelque pas comme s'il déambulait dans un beau jardin d'hiver avec un vieil ami et semble se détendre après quelques longues respirations.
Description psychologique
Calme, méthodique, attentif, Feng Han est de ces gens qui valent de l'or pour ce qui est de mener des affaires ou de gérer des opérations. Il n'est pas charismatique mais son sens du devoir, sa rigueur et le ton ferme qu'il emploie lorsqu'il donne (et pas abooie) des ordres renvoient de lui l'impression d'un homme fiable, intègre et surtout inflexible. Avare de mots, il déteste agir sur un coup de tête et met un point d'honneur à planifier ses prochaines actions afin de ne jamais être surpris. La surprise est la faiblesse des naïfs et des paresseux selon lui. Sa plus grande faiblesse et sans doute aussi sa plus grande force résident toutes deux dans son orgueil démesuré et la vision utopiste qu'il a de sa patrie. Il est persuadé qu'il reviendra un jour sauver ce qu'il reste de sa nation, de l'Empire. En réalité, Feng se distingue plutôt par sa discrétion et sa propension à éviter les projecteurs. Il préfère souvent contribuer sans forcément chercher la reconnaissance. Pour autant, son comportement réservé ne doit pas être confondu avec de la timidité car il communique de manière et réfléchie quand il le juge nécessaire. La politesse est une vertu qui lui est chère et fut un temps où même certaines femmes de la noblesse vantaient sa courtoisie exemplaire. Empreint de respect, Feng cultive des manières raffinées qui, bien qu'acquises par une longue et rugueuse éducation, témoignent de son éducation et de son sens des convenances. Ajoutons à cela un sens de l'honneur sans faille, il est de ceux qui accordent une grande importance à la loyauté et la parole donnée. Respecter ses engagements et faire preuve d'une éthique irréprochable sont deux choses très importantes pour lui et il préfèrera le chemin de la droiture peu importe la situation et bien qu'il n'ose pas encore se l'avouer. Cet ensemble de comportements font de lui une personne de qualité, qui se distingue souvent dans ses relations et ses activités par sa capacité à être souvent respecté et apprécié.
Vous l'aurez compris, Feng n'est pas un marlou sorti de Mariejoa ne sait quel cul de basse-fosse. Vous avez affaire à un homme de valeur.
Vous l'aurez compris, Feng n'est pas un marlou sorti de Mariejoa ne sait quel cul de basse-fosse. Vous avez affaire à un homme de valeur.
Biographie
Naître à Kanokuni n'est pas de tout repos pour la plupart des serviteurs de l'Empire. C'est le cas pour beaucoup de personnes en tout cas. Heureusement, ce ne fût pas le cas de Feng. Né dans une bonne famille de la petite noblesse ducale, Feng s'est vu éduquer par de riches tuteurs et, bien que loin de frayer avec les élites de la Cour, s'est vu inculquer une certaine vision de l'Empire. Très jeune déjà, il s'était conçu une vision de l'Empire. De sa puissance, de sa pureté, de sa gloire. Sa famille, les Han, n'était peut-être qu'une famille subalterne mais les fils du destin mirent sur le chemin de l'héritier Han un homme amené à devenir le mentor de Feng : l'étoile montante Lee Yan, aussi appelé le Taciturne.
Parvenir à travailler pour cet homme fût une consécration pour le jeune Feng. Que dire alors une fois
qu'il devint son maréchal ? Il avait déjà trente ans et cela avait consommé l'intégralité du début de sa vie d'adulte. Ce que beaucoup auraient vu comme un sacrifice par intérêt, le jeune homme l'avait fait par loyauté, par dévotion aveugle envers cet homme. Pour de multiples raisons dont la suivante comme principale. Ils partageaient tous les deux la même vision de l'Empire. De sa gloire, du mythe qui lui était associé. Ensemble, ils voulaient oeuvrer à la sauvegarder de son histoire millénaire, de ses traditions ancestrales, de sa culture. Au fil du long apprentissage imposé par Yan à son désormais disciple, Feng se transforma totalement. L'adolescent maladroit et timide était désormais le patriarche des Han, capable de résoudre les problèmes de son seigneur, qu'ils soient politiques ou militaires, avec de l'acier ou des mots. Il avait enfin atteint une certaine position sociale et, dans les yeux de ses proches, on, aurait dit que sa main transformait tout en or. Peu étaient ceux capables de se rendre compte de ses efforts, de l'abnégation dont il avait fait preuve toutes ces années. L'entièreté de sa famille profitait de son nouveau statut au sein de l'Empire comme si chacun de ses membres faisaient partie d'une très ancienne lignée. Feng fermait les yeux, trop heureux de pouvoir récolter les lauriers de son labeur
Pour autant, sa vie changea du tout au tour quand la Révolution réussit à défaire son ancien seigneur. Initialement allié à celle-ci, son mentor se fit entourlouper et fut rapidement mis au ban de toute entité représentant de près ou de loin le pouvoir impérial. Le choc fut terrible pour Feng d'autant qu'il avait porté les projets de son maître jusque sur le champ de bataille, y récoltant une sordide balafre.
La défaite venait d'enterrer tout retour possible à la tradition kanokunienne que tous deux chérissaient tant. Ce maudit Empereur et la perfide Impératrice ne perdirent pas la belle occasion de faire disparaître le parti de la Tradition. Déchu de ses titres tout comme son maître, Feng eut la "chance" de ne pas se voir enfermer au mont Fang comme ce dernier car il n'était pas assez important pour eux. Ce n'était après tout qu'un officiel de second rang. Vite traité en paria par les familles nobles voisines, le chef de la famille Han ne put qu'observer le délitement de sa famille au cours des semaines qui suivirent le retrait de ses titres. L'avenir si radieux qu'il projetait se transforma en ruines en moins d'une saison pendant qu'il essayait à corps et à cris de maintenir l'ordre dans la cohue familiale.
Un beau soir, après avoir un peu trop bu, il eut la sage décision de faire le bilan de sa vie jusqu'alors.
Pendant vingt-cinq années de sa vie, il s'était dévoué à l'Empire. Il était même persuadé d'en être un des plus fidèles serviteurs. Et voilà qu'on lui refusait maintenant une audience à la Cour ? Personne ne voulait plus répondre à ses courriers, son mentor était loin, coupé de tous. Le destin avait repris ce qu'il lui avait donné. Des hommes plus faibles auraient sombré dans l'alcool, la folie, la drogue. Pas Feng. Jamais. Si ce monde ne voulait plus de lui... Si l'Empire ne voulait plus de lui, il ne lui restait qu'à partir. Au milieu des disputes, des rixes et fins de non-recevoir, il ne perdit pas le cap. Rassemblant ses quelques possessions de valeur, Feng prit la déchirante décision de repartir à zéro. Le Ciel Bleu avait changé de couleur. Ou alors peut-être le voyait-il avec des yeux nouveaux désormais.
Si plus personne ne jouait selon les règles, si le monde autour de lui arrêtait de respecter les codes de l'honneur et de la morale, il allait lui aussi s'affranchir de toutes règles. Il allait devenir pirate.
Le monde extérieur avait détruit son si bel Empire, l'avait pourri de l'intérieur. Un jour, il allait reprendre ce qui lui revenait de droit. Au diable les enseignements sur la vertu qui l'avaient tant formé, Feng n'en garderait que ce qui l'intéresserait désormais. Il partirait de Kanokuni et y reviendrait pour restaurer l'Empire ou mourrait en essayant.
Seul, au milieu d'une maison désormais désertée à une heure tardive, il décida de faire parvenir une dernière lettre à son mentor par le biais d'un des derniers serviteurs qui jugeaient bon de servir sa famille, le vieux Peng, un homme sourd d'un âge presque antédiluvien.
Prenant la peine de sceller précautionneusement la lettre d'un cachet de cire, il fit bien attention à ce que ses mains ne touchent pas le papier désormais enduit de poison sur lequel il venait de rédiger et le transmit au vieux Peng, qu'il fit munir de gants pour éviter tout accident. Le vieux avait compris ce qui se jouait de toute manière. Aussi vieux qu'il soit, il n'était pas stupide. Il comprenait en soi. Etreignant un des enfants qu'il avait eu à charge il y a de cela quarante ans, le vieil homme sut qu'ils ne se reverraient jamais. Il savait que Feng allait partir alors il lui promit de porter la lettre.
Les Han venaient de voir leur chef de famille disparaître dans la nuit en direction de Fort Levant.
Feng ne regarda pas en arrière.
Parvenir à travailler pour cet homme fût une consécration pour le jeune Feng. Que dire alors une fois
qu'il devint son maréchal ? Il avait déjà trente ans et cela avait consommé l'intégralité du début de sa vie d'adulte. Ce que beaucoup auraient vu comme un sacrifice par intérêt, le jeune homme l'avait fait par loyauté, par dévotion aveugle envers cet homme. Pour de multiples raisons dont la suivante comme principale. Ils partageaient tous les deux la même vision de l'Empire. De sa gloire, du mythe qui lui était associé. Ensemble, ils voulaient oeuvrer à la sauvegarder de son histoire millénaire, de ses traditions ancestrales, de sa culture. Au fil du long apprentissage imposé par Yan à son désormais disciple, Feng se transforma totalement. L'adolescent maladroit et timide était désormais le patriarche des Han, capable de résoudre les problèmes de son seigneur, qu'ils soient politiques ou militaires, avec de l'acier ou des mots. Il avait enfin atteint une certaine position sociale et, dans les yeux de ses proches, on, aurait dit que sa main transformait tout en or. Peu étaient ceux capables de se rendre compte de ses efforts, de l'abnégation dont il avait fait preuve toutes ces années. L'entièreté de sa famille profitait de son nouveau statut au sein de l'Empire comme si chacun de ses membres faisaient partie d'une très ancienne lignée. Feng fermait les yeux, trop heureux de pouvoir récolter les lauriers de son labeur
Pour autant, sa vie changea du tout au tour quand la Révolution réussit à défaire son ancien seigneur. Initialement allié à celle-ci, son mentor se fit entourlouper et fut rapidement mis au ban de toute entité représentant de près ou de loin le pouvoir impérial. Le choc fut terrible pour Feng d'autant qu'il avait porté les projets de son maître jusque sur le champ de bataille, y récoltant une sordide balafre.
La défaite venait d'enterrer tout retour possible à la tradition kanokunienne que tous deux chérissaient tant. Ce maudit Empereur et la perfide Impératrice ne perdirent pas la belle occasion de faire disparaître le parti de la Tradition. Déchu de ses titres tout comme son maître, Feng eut la "chance" de ne pas se voir enfermer au mont Fang comme ce dernier car il n'était pas assez important pour eux. Ce n'était après tout qu'un officiel de second rang. Vite traité en paria par les familles nobles voisines, le chef de la famille Han ne put qu'observer le délitement de sa famille au cours des semaines qui suivirent le retrait de ses titres. L'avenir si radieux qu'il projetait se transforma en ruines en moins d'une saison pendant qu'il essayait à corps et à cris de maintenir l'ordre dans la cohue familiale.
Un beau soir, après avoir un peu trop bu, il eut la sage décision de faire le bilan de sa vie jusqu'alors.
Pendant vingt-cinq années de sa vie, il s'était dévoué à l'Empire. Il était même persuadé d'en être un des plus fidèles serviteurs. Et voilà qu'on lui refusait maintenant une audience à la Cour ? Personne ne voulait plus répondre à ses courriers, son mentor était loin, coupé de tous. Le destin avait repris ce qu'il lui avait donné. Des hommes plus faibles auraient sombré dans l'alcool, la folie, la drogue. Pas Feng. Jamais. Si ce monde ne voulait plus de lui... Si l'Empire ne voulait plus de lui, il ne lui restait qu'à partir. Au milieu des disputes, des rixes et fins de non-recevoir, il ne perdit pas le cap. Rassemblant ses quelques possessions de valeur, Feng prit la déchirante décision de repartir à zéro. Le Ciel Bleu avait changé de couleur. Ou alors peut-être le voyait-il avec des yeux nouveaux désormais.
Si plus personne ne jouait selon les règles, si le monde autour de lui arrêtait de respecter les codes de l'honneur et de la morale, il allait lui aussi s'affranchir de toutes règles. Il allait devenir pirate.
Le monde extérieur avait détruit son si bel Empire, l'avait pourri de l'intérieur. Un jour, il allait reprendre ce qui lui revenait de droit. Au diable les enseignements sur la vertu qui l'avaient tant formé, Feng n'en garderait que ce qui l'intéresserait désormais. Il partirait de Kanokuni et y reviendrait pour restaurer l'Empire ou mourrait en essayant.
Seul, au milieu d'une maison désormais désertée à une heure tardive, il décida de faire parvenir une dernière lettre à son mentor par le biais d'un des derniers serviteurs qui jugeaient bon de servir sa famille, le vieux Peng, un homme sourd d'un âge presque antédiluvien.
- A l'attention de Lee Yan, serviteur de l'Empire:
Sifu,
Il m'est difficile d'exprimer par des mots la gratitude qui emplit mon cœur au moment où je m'apprête à vous dire adieu. Notre parcours sous le Ciel Bleu s'achève ici. Aujourd'hui, je prends mon envol.
Comme Bai Long, le Dragon Blanc, votre sagesse et votre méthode m'ont permis d'atteindre des horizons nouveaux. Vous avez été pour moi un maître exigeant, un guide bienveillant et, grâce à votre appui, vous m'avez donné de puissantes ailes pour manœuvrer à travers les vents capricieux de la vie, j’ai ensuite cherché l’Aspiration.
A l'image de Hong Long, le Dragon Rouge, votre feu a éclairé les ténèbres de notre route, apportant à chacune des leçons que vous m'offriez une envie de victoire et une conviction inébranlable. Ainsi, j'ai recherché la Force.
Par les yeux de Hēilóng , le Dragon Noir, vous m'avez appris que la connaissance est une danse infinie, une chorégraphie en constant évolution sur laquelle dansent les étoiles de la sagesse. Ainsi, j'ai cherché l'Excellence.
Je veux vous remercier du fond du coeur pour avoir été mon mentor, pour avoir partagé avec moi autant de choses qui font ce que je suis aujourd’hui. Mon voyage continue mais je porterai toujours une part de vous en moi.
Aussi, alors que vous finissez cette lettre et que votre gorge doit se serrer sous un mélange d’émotion et de surprise, vous vous demandez sans doute pourquoi. Pourquoi êtes-vous en train de retourner auprès de Huī Lóng, le Dragon de la Terre ? Le sage dirait d’être concis mais pas avare mais je n’ai désormais plus ce luxe. J’ai choisi la Justice.
Vous avez trahi nos valeurs Sifu. En vous liguant à la Révolution, vous avez brouillé la clarté du Ciel et mené au sein de notre sublime patrie la mort et la désolation. Malgré cela, je vous ai servi. Jusqu’au bout, je n’ai eu de cesse que de porter toute la force de mon bras et tous les souffles de ma vie pour votre réussite. A quel prix ? Tout nous a été retiré. Le parti de la Tradition se chamaille le peu d’influence qui lui reste et vous n’êtes qu’une ombre privée de ciel.
N’ayez crainte. Je serai là. Toujours. Et un jour, nous partagerons une tasse de thé sous le ciel étoilé. Mais avant, je vais relever Kanokuni. Purger la nation de toute cette fange et restaurer sa gloire. Son honneur.
Merci pour tout Sifu. Désormais, mes ailes volent au-dessus des vôtres.Feng, votre ami éternel.
Prenant la peine de sceller précautionneusement la lettre d'un cachet de cire, il fit bien attention à ce que ses mains ne touchent pas le papier désormais enduit de poison sur lequel il venait de rédiger et le transmit au vieux Peng, qu'il fit munir de gants pour éviter tout accident. Le vieux avait compris ce qui se jouait de toute manière. Aussi vieux qu'il soit, il n'était pas stupide. Il comprenait en soi. Etreignant un des enfants qu'il avait eu à charge il y a de cela quarante ans, le vieil homme sut qu'ils ne se reverraient jamais. Il savait que Feng allait partir alors il lui promit de porter la lettre.
Les Han venaient de voir leur chef de famille disparaître dans la nuit en direction de Fort Levant.
Feng ne regarda pas en arrière.
Informations IRL
- Votre prénom / pseudo : Fro'
- Êtes-vous majeur ? oui (et vacciné, je dirais pas lesquels j'ai tho)
- Vous aimez / n'aimez pas : J'aime le fromage. J'aime pas les faux mages.
- Votre personnage préféré (de One Piece) : Pell le Faucon (tmtc il a sauvé tout le monde)
- Vous vous définiriez comme : Gentil
- Vous faites du RP depuis : 15-20 ans
- Vos disponibilités (approximatives) : Assez erratiques (je jette l'œil 1 fois par semaine en tout cas)
- Comment avez-vous connu le forum ? Je ne me le rappelle plus.
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