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D'amour et d'eau fraiche - Squall Heartilly (Terminée)

Squall Heartilly Cornes de Gazelle

Age : 27 ans
Sexe : Intersexuée et non-binaire (genre), parle d'elle-même au masculin, je narre le personnage au féminin.
Race : Humain
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Métier : Ex-cambrioleuse, pirate en devenir.
Groupe : Pirate.
But : Devenir pirate !
Équipement : Uniforme de prisonnier en sale état, sabre émoussé, une besace avec des vivres et une gourde en peau équipée d'un tamis grossier.
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Parrain : ~
Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? ~
Si oui, quel @ l'a autorisé ? ~
Codes du règlement :

Description physique

Une lagune en guise de crinière, des yeux ambrés comme le soleil, et une tâche de raisin qui tranche son visage.

Cette fille avec un crâne de buffle en guise de couvre-chef ? C'est Squall Heartilly. Elle marche d'un pas assuré, faisant balancer ses hanches d'un élan confiant, et un sourire que rien ni personne ne peut lui arracher. Le teint hâlé par le soleil et un accoutrement qui laisse à désirer, un gabarit approchant le mètre soixante-dix pour un bon quatre-vingts kilos... C'est une brute à première vue, mais lorsqu'on serre le regard, on remarque son expression béate et candide, attachée à sa moue constamment enjouée par les plus vaines surprises, faisant d'elle la plus authentique imbécile heureuse de tout East Blue.

Sa voix androgyne la confondrait avec un jeune homme prépubère ou une femme avec une voix à la tonalité grave. De sa gueule hilare s'échappe un "Fuhahahaha" commençant d'une façon très féminine et distinguée avant de se transformer en un rire aux éclats s'approchant davantage de la grosse barbare bien arrosée que de la belle dame à l’air dédaigneux.

Son corps de Vénus maritime embrasse avec justesse et vulgarité ses haillons abîmés, tandis qu'à sa taille, il est possible d'entrevoir une ceinture de bonne facture sur laquelle se tient un fourreau de sabre. Il ne fait aucun doute qu'il a été dérobé par cette dernière lorsqu'on considère son attirail de débauchée.

Sur son corps sont exposées bon nombre de cicatrices, allant des coupures aux brûlures jusqu'aux callosités osseuses à certains endroits, comme sur ses phalanges. Elle marche toujours pieds nus, et il arrive qu'elle sautille entre les dalles brûlantes lors d'une journée un peu trop ensoleillée pendant une balade en ville, mais rien ne vaut la liberté, et ça commence par les vêtements ! De toute façon, elle peine à trouver des vêtements neufs à sa taille alors au diable les conventions sociales !

Son visage, chérubin et garni de lèvres pulpeuses, ne laisse paraître aucune trace de ce que l'on aurait pu observer précédemment sur son corps, sinon cette cicatrice horizontale d'une teinte rosée qui est en vérité une tâche de naissance. Comme si elle protégeait avec une dévotion zélée son magnifique faciès. À moins qu'il ne s'agisse de quelque chose d'autre.

Sur son épaule ou bien à ses pieds, une petite créature semble toujours la suivre, un poisson frit entre les pattes. C'est un chat bipède haut d'une trentaine de centimètres et qui est capable de parler, comme s'il s'agissait là de son perroquet à elle. L'ironie, c'est qu'il déteste l'eau et veille toujours à se percher en sécurité vis-à-vis de Squall. Ses grands yeux ronds ne témoignent pas vraiment plus d'intelligence que n'en aurait fait sa maîtresse, comme on dit, tel chat, tel maître !

Ou bien, c'était peut-être les chiens ne font pas des chats... Enfin bon !

Description psychologique

L'injustice est probablement ce qui crispe le plus Cornes de Gazelle, à moins que ce ne soit l'ordre... ? Attendez un instant... Anti-conformiste, contre la guerre, mais aussi contre la paix, contre la justice, et l'injustice ! Et si ce n'est pas logique, n'oublions pas que Squall est anti-cohérence par nature.

Ces années sous les barreaux l'ont teintée d'un filtre cynique, faisant d'elle un personnage relativement coloré pour qui veut l'admettre...

Non, en vérité, c'est bien là l'une des rares charades que la piraterie seule pourrait incuber. Voilà ce que la camaraderie, le rhum et l'aventure font à une fille de putain. C'est une rebelle en puissance, qui cherche toujours à provoquer, et à contredire. Pour autant, son bon fond est bel et bien là, et aussi punk qu'elle puisse paraître, elle est en vérité bien souvent tenue en laisse par sa propre morale.

Le hic, c'est que cette morale, c'est la sienne. Cette justice contre laquelle elle se bat, c'est celle des autres, et ce qu'elle veut faire manger aux gens, c'est sa propre vision du monde.

Au combat, elle improvise, fougueuse ou peut-être bien téméraire, un tantinet arrogante et sûre d'elle. Voilà le cocktail parfait pour s'attirer des problèmes, car si elle a l'âme d'une héroïne, il faut avouer que le monde a tendance à lui tourner le dos.

Il ne fait aucun doute que cette vie de scélérat ne lui réussit pas, puisqu'elle n'a de cesse de se retrouver derrière les barreaux depuis qu'elle marche seule. Ce n'est pas demain la veille qu'elle retrouvera un groupe avec lequel voguer, et pourtant... Il faut dire qu'elle aurait bien besoin de compagnons... À moins que ce soient ces fameux compagnons qui aient besoin d'elle ?

Des compagnons, j'avais oublié de dire qu'elle était anti-équipe, mais aussi anti-solitude. La voilà dans de beaux draps.

Biographie





C'est à l'aube de l'an 1602 que ce bout de bambin ouvrit les yeux, né d'une mère qui ne voulait pas d'un morveux entre les pattes et d'un père absent car il devait s'acheter des clopinettes. Les planètes s'étaient alignées pour faire de cet infortuné un enfant à problème.

Réquisitionné très tôt par une petite pègre locale sévissant aux Îles Polestar, il a grandi dans le fruit du crime de quartier, devenant très rapidement un élément capable de s'attirer les faveurs de Bonzo Heartilly, un minks colossal mi-homme, mi-buffle affublé d'une magnifique paire de lunettes et d'un pelage aussi blanc que de l'ivoire.

Ces brigands, répondant au nom des Cornes de Bonzo, s'étaient fait connaître dans les environs par des petits casses et des méfaits somme toute risibles devant les affres de la piraterie. Bonzo était quelqu'un de calme et réfléchi, il tenait à ses affaires et à son petit confort, loin d'être comme l'enfant qu'il avait adopté.

Si d'un point de vue extérieur, l'araignée du crime venait de tisser sa toile autour d'une pauvre âme de plus, Bonzo s'était en vérité porté garant de l'enfant puisqu'il connaissait bien sa mère, et savait ô combien elle n'était pas en capacité de l'élever compte tenu de sa vie de courtisane.

Squall, contrairement à Bonzo, était un électron libre, jouissant d'une place de choix dans le gang. Elle n'en faisait qu'à sa tête, s'attirant par maintes occasions les foudres du buffle. Ce paternel adoptif l'avait peut-être trop couvée, pour autant, c'était une main de plus dans la camaraderie, toujours à même d'apporter du soutien dans les opérations.

Mais l'influence de la lagune sur le minks commençait à faire dérailler le gang, poussant parfois certaines réticences auprès des membres fondateurs. Les Cornes de Bonzo s'étaient, à plusieurs reprises, attiré les regards de quelques corps de la marine, une chose que le buffle s'efforçait d'éviter. Il peinait à gronder sa fille, pourtant, il savait ô combien elle était le seul maillon de confiance dans le groupe. Les autres n'étaient que des vauriens, la seule chose qu'il partageait avec eux, c'était l'appât du gain.

Lors d'un vol organisé, alors que Squall jouissait de sa vingtaine et de toutes ses capacités physiques, les Cornes de Bonzo s'étaient préparés au cambriolage d'une fastueuse boutique de Loguetown. L'on racontait qu'il y avait des perles de choix en exposition cette saison, la tentation était trop grande pour que le buffle ne la laisse passer. Agissant toujours en groupe, comme une machine bien rodée, c'était Squall qui s'était portée garante de s'introduire dans les lieux pour en dérober les richesses.

Ce que certains ignoraient à ce moment-là, c'est que l'un des membres s'était fait coffrer au préalable par la marine et jouait double-jeu avec le Buffle pour amoindrir sa peine. Sans surprise, le gang s'était fait mettre au fer, et Bonzo fut condamné pour l'exemple, et Squall écopa d'une dizaine d'années sous les barreaux puisqu'elle était elle-même en flagrant délit lors de son arrestation.

Ensemble, ils partageraient leur cellule compte tenu de leurs implications, profitant de repas modestes et d'un confort précaire, enfouis dans les cachots. Dans un désir altruiste aussi curieux que ne l'était son avarice l'ayant poussé au crime, Bonzo décida de tendre ses repas à son enfant pour qu'il ne reste pas sur sa faim.

Le vieux ne manqua pas d'attirer l'incompréhension de sa fille avec qui il s'était brouillé pour sa décision égoïste, mais le silence des barreaux devint rapidement oubliant. Ses jours étaient comptés, et le buffle avait fait son choix.

Elle ne pouvait lui retirer la dignité de décider de sa propre mort. Ainsi, il s'affama en un mois et demi, dans une agonie lente, mais surtout exempt de râle quelconque. Le marasme de la justice repoussa l'échéance de l'exécution, lui offrant l'honneur de pouvoir en finir lui-même.

Ces dix années furent interminables, aussi Squall trouva un moyen de rendre le temps moins long lorsque son chemin (enfin, elle était coincée dans une cellule de six mètres carrés, difficile de parler de chemin...) croisa celui d'un curieux animal qui furetait par là en quête de souris juteuses.

Dénommé Styx, il devint son comparse de cellule, car la carcasse émaciée de Bonzo n'était définitivement pas la colocation idéale lorsqu'il était question de tenir une discussion. Non pas qu'un cadavre en putréfaction ne puisse alerter les autorités, cela rajoutait du cachet aux geôles, et il n'était pas inhabituel de croiser des restes squelettiques dans une prison ici-bas.

Ce curieux compagnon n'avait de cesse de lui conter les légendes de certains pirates ayant existé. Il était un compagnon de chevet assez singulier, aussi ironique que cela puisse paraître, il rêvait lui-même de devenir pirate. Mais il lui fallait un collègue pour cette entreprise, à cela Squall semblait être la partenaire toute trouvée.

Comme Bonzo l'avait fait depuis sa tendre naissance, Squall n'hésita pas une seule seconde à partager ses restes avec ce chat si galeux qu'il en était bleu... À moins qu'il ne s'agisse là que de son pelage naturel. Discutant de leurs histoires respectives pendant des jours et des mois.

Lorsque Squall purgea sa peine, elle empoigna le crâne de Bonzo comme seul souvenir et conserva ses vêtements de prisonnière avec elle, accompagnée de Styx qui se disait de manière tout à fait pragmatique qu'une grande giguasse comme elle serait à même de lui rapporter plus de nourriture, et aussi parce qu'il l'appréciait... Un tout petit peu.

Elle ne tarderait pas à commettre un nouveau délit. Ces années dans une cage en compagnie de son compagnon félin lui ont fait méditer une éventuelle vie de pirate. Elle se disait... Pourquoi pas elle ? Aussi, elle réalisa qu'elle était passée juste à côté d'une évidence cruciale.

"- Attends un instant, tu veux que je devienne pirate juste parce que t'as la dalle, c'est ça ?" Le chat n'avait pas perdu son objectif des yeux, les poissons à gogo, à cela, il répondit avec fermeté d'une voix plus grave qu'à l'accoutumée, pendant que sa maîtresse était prise à rêvasser sur une plage de galets.

"- Oui."

Elle n'était vraisemblablement plus la bienvenue à Logue Town de toute façon. Gardant Styx en visuel du coin de l'œil pendant qu'elle profitait d'un bain de soleil, elle n'avait de cesse de se demander...

*Depuis quand a-t-il une mâchoire aussi carrée, celui là ?*

Informations IRL

  • Votre prénom / pseudo : Yubel
  • Êtes-vous majeur ? Oui
  • Vous aimez / n'aimez pas : Mon nom est Sasuke Uchiha. Je déteste beaucoup de choses et je n’aime pas grand-chose. [...] Pour rester dans le thème, j'aime les forums qui sont pas prise de tête sur lesquels je peux juste m'évader en RP. Ce que je n'aime pas, mhhm... Les prises de tête.
  • Votre personnage préféré (de One Piece) : Yamato, Cavendish.
  • Vous vous définiriez comme : Rôliste, illustratrice
  • Vous faites du RP depuis : Bientôt 15 ans.
  • Vos disponibilités (approximatives) : Tous les soirs.
  • Comment avez-vous connu le forum ? Topsite


Dernière édition par Squall Heartilly le Lun 29 Jan 2024 - 2:45, édité 6 fois
    La fiche est terminée ! Bonne lecture !
      Coucou Squall (leonhart ?)

      On va s'attaquer à la validation de ta fiche Very Happy Alors dans un premier temps, et j'en suis navrée, mais nous aimerions que tu changes d'avatar, s'il te plait. Tu peux garder Neili, mais cette image est un peu trop osée ^^'

      Bref, j'en viens au plat de résistance :

      forme
      Une écriture soignée, très peu de fautes. En dehors de ça rien de plus à dire. La mise en gras des éléments importants est sympathique, ca renvoi un peu au comics.
      Les descrpitions
      Tu rends assez bien compte du caractère incohérent de la description mentale, c'est cool une alliance de la forme et du fond. Mais peut être que ca manque quand même de substance en général. J'aurai aimé en apprendre plus sur elle
      L'histoire
      J'ai bien aimé le caractère original de l'histoire. La prison principalement avec le père adoptif qui se sacrifie. Malgré tout, j'aurai aimé que tu mets en avant un peu plus son côté non binaire qui, au final, ne se ressent pas trop.

      Bref, je te valide pirate à 700D, Il ne te reste qu'à aller poster ta fiche technique, renseigner les différents liens (présentation, fiche technique et plus tard : récompenses) de ton profil et passer dans le sujet de recensement d'avatar.

      Des bisous et bon jeu !



      Le narrateur est la faucheuse, elle fait partie intégrante à l'histoire, quand elle intervient, le texte est en italique (sauf dans les dialogues)

      Moissonneuse et Désespoir/poussière:



      • https://www.onepiece-requiem.net/t26598-la-mort-l-etre-aux-mille
      • https://www.onepiece-requiem.net/t26537-la-mort-est-la-seule-juge-de-la-vie-redoutez-la-comme-vous-me-redoutez-jessica-l-ange-de-la-mort-hellhound#275056