Feat Natsu
L'initiation au sabre.
Au cœur du village tranquille de Sirup, où les toits de tuiles rouges bordaient les ruelles étroites, Natsu qui avait débuté son périple martial au sein du dojo familial qui servait aussi de logement au jeune garçon éduqué par sa grand-mère. L'odeur boisée des tatamis imprégnait l'air chaque matin, tandis que le soleil émergeait derrière les collines lointaines.
Dans ce dojo, aux murs chargés d'histoires et de trophées durement gagnés, Ayame, la grand-mère de Natsu, dégageait une aura bienveillante et exigeante. Vêtue d'un kimono orné de motifs subtils, elle incarnait la maîtrise et la sagesse. Les rayons dorés du soleil filtraient à travers les fines parois, dansant autour d'elle telles des éclats d'énergie. Ce jour-là , le jeune garçon débuta pour la première fois un entraînement intensif au sabre, cela faisait bien longtemps qu’il attendait ce jour.
Natsu, animé par la passion des arts martiaux, s'initia aux techniques du sabre grâce à sa grand-mère, une maîtresse accomplie dans cet art ancestral. Ce matin, ils se retrouvaient dans la cour du dojo rustique de sa famille, baigné par les premiers rayons du soleil.
Sa grand-mère, une silhouette gracieuse mais imposante, commença par lui enseigner les fondamentaux, insistant sur la posture, l'équilibre et la précision. Les premiers jours furent consacrés à la familiarisation avec le poids du katana, Natsu le maniant maladroitement sous le regard attentif de sa mentore.
"Maintiens ton équilibre, Natsu ! Le sabre est une extension de toi-même", lançait Ayame d'une voix empreinte d'autorité, mais aussi de tendresse. Natsu, un sourire espiègle aux lèvres, tentait d'imiter la grâce de sa grand-mère. "Tu ressembles plus à un canard maladroit qu'à un samouraï, petit-fils !", taquinait-elle, Natsu comme à son habitude, lui répondit d’un air farceur avec une vulgaire grimace.
Ayame répondit de cet affront avec un violent coup de tatane derrière la nuque avant de reprendre les leçons. Les premiers jours furent marqués par des chutes comiques et des mouvements hésitants, ponctués de rires partagés. Ayame, cependant, ne ménageait pas ses critiques constructives. Elle n’arrêtait pas de rabacher à Natsu tout un tas de discours remplis de sagesse.
"Le sabre est comme la vie, Natsu. Il ne suffit pas de le brandir, mais de le manier avec discernement." Des échanges qui mêlaient sérieux et légèreté.
Les entraînements de Natsu étaient ponctués de défis stimulants, de combats simulés contre des adversaires imaginaires. Sa grand-mère, exigeante mais bienveillante, le poussait à repousser ses limites, à transcender ses propres faiblesses pour devenir un véritable maître du sabre.
Les leçons se poursuivirent avec l'apprentissage des katas, des séquences de mouvements codifiées, où la grâce et la fluidité des gestes étaient cruciales. Sa grand-mère soulignait l'importance de la connexion entre le corps et l'âme, une symbiose nécessaire pour maîtriser l'art du sabre.
Au fil des semaines, Natsu se confronta à des exercices plus complexes, jonglant entre l'attaque, la défense et la contre-attaque. Sa grand-mère lui enseigna également la méditation, une discipline indispensable pour affiner son esprit et anticiper les mouvements de l'adversaire, mais malheureusement pour notre jeune garçon il n’excella pas dans cette discipline, trop excité à l’idée de retourner manier son sabre et s’imaginer partir à l’assaut avec son équipage pirate.
L'environnement du dojo s'anima au fil des entraînements, échos des échanges entre le bois des katana et le murmure du vent. Les saisons changeaient, peignant les murs de nuances chaudes ou froides au fil du temps, mais l'engagement de Natsu persistait, soutenu par la sagesse transmise par Ayame. Au fur et à mesure des sessions d'entraînement, des conversations humoristiques s'entremêlaient aux exercices intenses, Natsu ne manquant jamais de répliquer malicieusement aux commentaires de sa grand-mère.
"Grand-mère, même les grands maîtres ont commencé par trébucher, non ?" Ayame répondait avec un clin d'œil, "Certes, mais eux n'ont pas fini en faisant une roulade ridicule !" Natsu répondit d’un air dubitatif. “ Hiin??’’ Ni une ni deux, Ayame lui fit une balayette qui fit tomber à la renverse le jeune garçon. ‘’Tu vois je t’avais prévenu, Shahahahahah!” S'esclaffa de rire la senseï.
Après des longues journées, des longues semaines, puis des longs mois d'entraînement à manier le sabre couplé aux arts martiaux de la famille du jeune garçon, les soirées dans le dojo prenaient une teinte douce et réconfortante. En cette soirée de pleine lune, autour d'une table basse, à la lueur des lanternes, Natsu et Ayame échangeaient des anecdotes et des réflexions sur l'art du sabre, riant des moments comiques vécus pendant la journée. Chaque instant devint une fusion entre l'apprentissage sévère et la complicité joyeuse, écrivant ainsi les premières pages de l'épopée de Natsu, le jeune maître d'arts martiaux.
Dans ce dojo, aux murs chargés d'histoires et de trophées durement gagnés, Ayame, la grand-mère de Natsu, dégageait une aura bienveillante et exigeante. Vêtue d'un kimono orné de motifs subtils, elle incarnait la maîtrise et la sagesse. Les rayons dorés du soleil filtraient à travers les fines parois, dansant autour d'elle telles des éclats d'énergie. Ce jour-là , le jeune garçon débuta pour la première fois un entraînement intensif au sabre, cela faisait bien longtemps qu’il attendait ce jour.
Natsu, animé par la passion des arts martiaux, s'initia aux techniques du sabre grâce à sa grand-mère, une maîtresse accomplie dans cet art ancestral. Ce matin, ils se retrouvaient dans la cour du dojo rustique de sa famille, baigné par les premiers rayons du soleil.
Sa grand-mère, une silhouette gracieuse mais imposante, commença par lui enseigner les fondamentaux, insistant sur la posture, l'équilibre et la précision. Les premiers jours furent consacrés à la familiarisation avec le poids du katana, Natsu le maniant maladroitement sous le regard attentif de sa mentore.
"Maintiens ton équilibre, Natsu ! Le sabre est une extension de toi-même", lançait Ayame d'une voix empreinte d'autorité, mais aussi de tendresse. Natsu, un sourire espiègle aux lèvres, tentait d'imiter la grâce de sa grand-mère. "Tu ressembles plus à un canard maladroit qu'à un samouraï, petit-fils !", taquinait-elle, Natsu comme à son habitude, lui répondit d’un air farceur avec une vulgaire grimace.
Ayame répondit de cet affront avec un violent coup de tatane derrière la nuque avant de reprendre les leçons. Les premiers jours furent marqués par des chutes comiques et des mouvements hésitants, ponctués de rires partagés. Ayame, cependant, ne ménageait pas ses critiques constructives. Elle n’arrêtait pas de rabacher à Natsu tout un tas de discours remplis de sagesse.
"Le sabre est comme la vie, Natsu. Il ne suffit pas de le brandir, mais de le manier avec discernement." Des échanges qui mêlaient sérieux et légèreté.
Les entraînements de Natsu étaient ponctués de défis stimulants, de combats simulés contre des adversaires imaginaires. Sa grand-mère, exigeante mais bienveillante, le poussait à repousser ses limites, à transcender ses propres faiblesses pour devenir un véritable maître du sabre.
Les leçons se poursuivirent avec l'apprentissage des katas, des séquences de mouvements codifiées, où la grâce et la fluidité des gestes étaient cruciales. Sa grand-mère soulignait l'importance de la connexion entre le corps et l'âme, une symbiose nécessaire pour maîtriser l'art du sabre.
Au fil des semaines, Natsu se confronta à des exercices plus complexes, jonglant entre l'attaque, la défense et la contre-attaque. Sa grand-mère lui enseigna également la méditation, une discipline indispensable pour affiner son esprit et anticiper les mouvements de l'adversaire, mais malheureusement pour notre jeune garçon il n’excella pas dans cette discipline, trop excité à l’idée de retourner manier son sabre et s’imaginer partir à l’assaut avec son équipage pirate.
L'environnement du dojo s'anima au fil des entraînements, échos des échanges entre le bois des katana et le murmure du vent. Les saisons changeaient, peignant les murs de nuances chaudes ou froides au fil du temps, mais l'engagement de Natsu persistait, soutenu par la sagesse transmise par Ayame. Au fur et à mesure des sessions d'entraînement, des conversations humoristiques s'entremêlaient aux exercices intenses, Natsu ne manquant jamais de répliquer malicieusement aux commentaires de sa grand-mère.
"Grand-mère, même les grands maîtres ont commencé par trébucher, non ?" Ayame répondait avec un clin d'œil, "Certes, mais eux n'ont pas fini en faisant une roulade ridicule !" Natsu répondit d’un air dubitatif. “ Hiin??’’ Ni une ni deux, Ayame lui fit une balayette qui fit tomber à la renverse le jeune garçon. ‘’Tu vois je t’avais prévenu, Shahahahahah!” S'esclaffa de rire la senseï.
Après des longues journées, des longues semaines, puis des longs mois d'entraînement à manier le sabre couplé aux arts martiaux de la famille du jeune garçon, les soirées dans le dojo prenaient une teinte douce et réconfortante. En cette soirée de pleine lune, autour d'une table basse, à la lueur des lanternes, Natsu et Ayame échangeaient des anecdotes et des réflexions sur l'art du sabre, riant des moments comiques vécus pendant la journée. Chaque instant devint une fusion entre l'apprentissage sévère et la complicité joyeuse, écrivant ainsi les premières pages de l'épopée de Natsu, le jeune maître d'arts martiaux.
Dernière édition par Natsu le Dim 11 Fév 2024 - 14:06, édité 1 fois