Les espièglerie du pirate fou ! Rekim Leolio ! [terminer]

Notre histoire commençait un soir de pleine lune. Un bateau pirate, celui de l’équipage que l’on nommait les Fox, était amarré non loin d’un quai. À bord, tout l’équipage dormait profondément. Aujourd’hui avait été une journée extrêmement prolifique pour l’équipage. En effet, le butin qu’ils avaient acquis était conséquent, mais bien que l’or et les pierres précieuses ne fussent pas moins des objets de grande valeur, ils étaient à mille lieues de la pièce ultime du pillage, un fruit du démon. Jusqu’à maintenant, le pouvoir qui était octroyé par ce fruit nous restait encore inconnu, pour la simple et bonne raison que ce fruit, volé une première fois par cet équipage, avait été volé une deuxième fois par un illustre inconnu. Dans la pénombre, nous pouvions entendre le bruit apaisant des vagues qui s’entrechoquaient contre le navire. Tout le gros de l’équipage dormait et l’on pouvait entendre quelques grands gaillards ruminer ou ronfler d’un son fort et rugueux. Le capitaine, Edgar Narrow dit Fox, n’était pas présent ce soir-là. Habitué des nuits blanches de beuverie, il avait rejoint l’auberge du coin, accompagné de son second, pour une nuit interminable. Peut-être le destin en aurait-il voulu autrement s’il était resté sur le navire ce soir-là. Hors, le destin était capricieux et en cette belle nuit d’été, la pièce maîtresse du vol allait donc disparaître. Un homme encapuchonné, marchant dans la pénombre, rejoignait le navire sans mal et sans un bruit.


Tel une brise, il se faufilait à l’intérieur des quartiers et sans aucune hésitation, rejoignait la cale comme s’il savait pourquoi il était là. Cette personne semblait porter dans son dos un baluchon plutôt imposant. Ce qui se trouvait à l’intérieur semblait vivant au vu des mouvements. Une fois devant l’objet de ses convoitises, la silhouette mystérieuse soulevait une bâche et l’on pouvait alors voir ce qui semblait être un énorme panier rempli de fruits. L’un des fruits dénotait grandement des autres et c’était cette fameuse anomalie que la personne ramassait. Un voleur habituel prendrait ce qu’il voulait et s’en irait sans rien dire, mais ce voleur ne semblait pas partager la norme. Il portait délicatement le baluchon qu’il avait dans le dos, en sortait quelque chose qu’il déposait doucement dans le panier avant de prendre la fuite. Sorti d’affaire et bien content d’avoir récupéré ce qu’il voulait, il quittait alors le navire aussi discrètement qu’à son arrivée en marmonnant :


Le lendemain, pendant que le soleil pointait gentiment le bout de son nez, l’équipage des Fox commençait alors les préparatifs pour repartir en mer. Le capitaine donnait ses ordres à son équipage sans se douter une seule seconde que son bien le plus précieux avait disparu dans la nuit. Bien sûr, il ne tarderait pas à le savoir. L’un des mousses sortit en trombe de la cale et hurla avoir vu un fantôme. L’équipage se foutait de lui allègrement, mais décida quand même d’aller voir ensemble ce qu’il en était. Une fois en bas, leur surprise fut totale. Le capitaine Narrow se rendit compte que quelqu’un était parti dans la nuit. Il découvrit alors le panier avec des fruits qui semblait bouger seul. L’un des gars souleva le panier et alors, d’un seul coup, surprise !


Et voici donc comment commence l'histoire du grand que dit je du légendaire ! Rekim Leolio !





À l'aube de ses trois printemps, un bambin inconnu, délaissé dans un berceau de fruits tropicaux, fit son entrée dans la vie des Fox, cruauté et brutalité incluses. Élevé dans l'effervescence des East Blue, le nourrisson baptisé Leolio devint rapidement le benjamin adoré de l'équipage.

Les premières années de Leolio furent ponctuées d'initiation aux arts du sabre et du pistolet, disciplines primordiales pour subsister en haute mer. Le capitaine, un grand fin et sec aux dreadlocks flottantes, supervisa lui-même son instruction. Les après-midi, Leolio mimait les positions des adultes, tentant de reproduire leurs mouvements fluides et précis. Sous la tutelle experte de son mentor, il développa rapidement une force et une agilité dignes des légendaires pirates.






Entre quatre et dix ans, Leolio traversa d'innombrables lieux, contrastés et pittoresques, accompagnant les Fox dans leurs périples maritimes. Les froids polaires et les chaleurs tropicales modelèrent son corps et son esprit, lui offrant une palette de sensations et d'expériences extraordinaires.

Navigant au nord, Leolio découvrit un archipel gelé, où les icebergs gigantesques côtoyaient des geysers fumants. Affrontant la rudesse du froid, il revêtit d'épais manteaux de fourrures et de bottes imperméables, tailla des escaliers dans la glace et escalada des falaises abruptes. Se tenant debout au sommet d'un pic glaciaire, il contempla l'immensité azurée, admiratif de la beauté virginale et cristalline de cette région inexplorée.


Entrecoupées d'instants studieux, les pauses goûters se transforment en sessions de tir à l'arc et au canon, rivalisant de dextérité et de rapidité. Développant un œil exercé et un doigt prompt à presser la gâchette, Leolio se familiarisa avec l'artillerie navale et les projectiles explosifs. Plus tard, ces moments divertissants seraient mis à profit pour renforcer les rangs de l'équipage lors des confrontations violentes et sanglantes.

Aux côtés des Fox, Leolio apprit également l'importance de la ruse et de la furtivité, pierres angulaires de toute existence maritime. Guidé par les aînés de l'équipage, il s'essaya à l'art du mensonge, cultivant un verbiage fleuri et persuasif pour tromper les innocents et soutirer des informations capitales. Petit à petit, Leolio devint un virtuose de l'intrigue, tissant des toiles de machinations retorses et ensorcelantes.

En parallèle, son apprentissage de la dissimulation progressa, lui permettant d'imiter les attitudes et les expressions des autres pirates. Tel un renard aux cent visages, il se fondit parfois dans la masse, surveillant les dissensions internes et externes, anticipant les menaces latentes. Peu à peu, il devint un acteur habile et crédible, déployant son panel de costumes et de voix avec une aisance déconcertante.

Plus tard, dans les ports situés au sud, Leolio rencontra des jungles luxuriantes et hostiles, riches en faunes et flores exubérantes. Traquant les animaux sauvages, il mit à rude épreuve son odorat et son instinct, développant des réflexes fulgurants et une agilité féline. Prenant conscience de sa vulnérabilité dans ces labyrinthes végétaux, il apprit à identifier les plantes comestibles et médicinales, ainsi qu'à déjouer les pièges tendus par les autochtones méfiants.

Vers dix ans, Leolio ressentit le besoin de canaliser son énergie et d'exprimer son individualité naissante. Accompagné d'un nouveau nakama expert dans plusieurs arts martiaux, il créa son propre style, fusionnant l'agilité et la rapidité des chats qu'il avait eu l'occasion d'observer dans les ports. Baptisé « Art du Chat Agile », ce style se concentrait sur la fluidité des mouvements et la synchronisation des muscles et des articulations, priorisant la flexibilité sur la force brute.

Intensivement, Leolio s'entraîna à effectuer des bonds prodigieux, des roulades acrobatiques et des courses sur la pointe des pieds. Souple et mobile, il se débarrassa des pesanteurs vestimentaires, optant pour des tuniques amples et des sandales minimalistes. Perfectionnant sa nouvelle discipline, il se produisit dans des villages côtiers, épatant les habitants par ses performances gracieuses et impressionnantes.

Néanmoins, sa route fut semée d'embûches et de défaites. Certains ados des villages un peu rebelle, jaloux de son talent, provoquèrent Leolio en duel, espérant le vaincre et lui voler sa renommée. Face à des adversaires plus expérimentés, il subit plusieurs revers, souffrant de blessures et de frustrations.

Mais loin de se démoraliser, Leolio analysa ses erreurs, rectifia ses lacunes et se releva plus fort et plus déterminé. Doucement, il gravit les échelons de la maîtrise, transformant ses faiblesses initiales en points forts remarquables. À quatorze ans, il était devenu un praticien accompli, fier de son parcours initiatique et impatient d'entreprendre de nouvelles aventures aux côtés des Fox.

Leolio avait gravi les échelons , solidifiant son rôle de prodige et de pilier de l'équipage. Devenu un adolescent musclé et athlétique, il démontrait une force herculéenne et une agilité remarquable, dépassant de loin ses homologues d'âges similaires.

Riche d'un bagage culturel et martial solide, Leolio embarqua sur les traces de ses illustres ainés, prêt à braver les vagues et les tempêtes pour graver son nom dans l'Histoire et assoir la suprématie des Fox sur les différent Océans.



Leolio assumait de nouvelles responsabilités à bord du navire. Outre ses entraînements quotidiens, il participa activement à la vie collective, s'acquittant des tâches ménagères et culinaires avec application. Nettoyer le pont constituait pour lui un excellent moyen de perfectionner son équilibre et sa concentration, transformant chaque passage de serpillière en un entraînement intense.

La routine s'installa, et Leolio se surprit à nettoyer de plus en plus fréquemment, jusqu'à ce que cela devienne un running gag au sein de l'équipage. On le comparait affectueusement à un robot de nettoyage, incapable de s'arrêter une fois lancé. Heureusement, Leolio conserva son sens de l'humour et accepta ces plaisanteries avec bonne grâce.



Peu de temps après, Leolio eut l'occasion de mettre à profit son Art du Chat Agile lors de plusieurs combats contre des pirates rivaux et des Marines. Exploitant son environnement avec ingéniosité, il utilisa des barils, des cordages et même des serpillières pour venir à bout de ses adversaires. Rapide et agile, il bondissait sur les mâts, se suspendait aux hunes et glissait le long des cordages, semant la confusion parmi ses ennemis.



Alors que Leolio perfectionnait son art, son capitaine ne cessait de lui rappeler l'importance de partager ses succès et ses joies avec ses camarades. Selon lui, la satisfaction provenant d'un triomphe collectif décuplait l'enthousiasme et la camaraderie au sein de l'équipage.

Un jour, après des mois de cavale, les autorités finirent par remarquer les exploits des Fox. Attaqués par des chasseurs de prime et des marines, le capitaine et son second se firent arrêter et condamner à une lourde peine d'emprisonnement. En échange de la libération de l'équipage, ils conclurent un accord avec les forces de l'ordre et acceptèrent leur capture.

Alors que les membres de l'équipage des Fox acceptaient leur sort avec résignation, Leolio bouillonnait de rage. Comment pouvaient ils abandonner leur capitaine et leur second sans se battre ? Ne réalisaient ils pas qu'il s'agissait là de leur famille, de leur foyer, de leur raison de vivre ? Impuissant, il fixait les marines qui emmenaient ses leaders, les yeux remplis de larmes et de fureur.

Il sentait monter en lui une vague d'indignation et de colère, si intense qu'il en tremblait. Il aurait voulu hurler, déchaîner sa frustration sur ces uniformes bleus qui osaient s'approcher de sa famille. Mais il savait pertinemment qu'il ne ferait pas le poids seul contre tous.

Dans ses pensées, Leolio oscillait entre la rage et la haine, se jurant de ne jamais abandonner ses leaders et de tout faire pour les libérer. Il maudissait les membres de son équipage, qui restaient stoïques et silencieux, refusant de lever le petit doigt pour protéger leurs amis.

Prêt à affronter les Marine, Leolio chargea, déterminé à se battre jusqu'à la dernière goutte de son sang.



Mais avant qu'il ne puisse toucher à quiconque, Iga, l'expert en Arts Martiaux de l'équipage, l'assoma d'un violent coup dans la nuque.

Iga avait compris que Leolio ne faisait pas le poids face aux soldats de la Marine et qu'il risquait de causer un massacre inutile. Protégeant son ami de lui-même, il l'empêcha de commettre l'irréparable, mettant un terme à sa folle course.

Évanoui, Leolio sombra dans l'inconscience, rongé par la rage et la frustration. Il ignorait encore que son destin allait prendre un tournant décisif, que son chemin croiserait celui de nouveaux alliés et qu'il deviendrait finalement l'homme qu'il avait toujours rêvé d'être.






Revenant à lui, Leolio sentit une tension palpable à bord du navire. Les conversations allaient bon train, l'équipage était au bord de l'implosion. Les uns criaient, les autres murmuraient, chuchotaient, s'agaçaient. Leolio, quant à lui, sentait sa colère monter en flèche. Son cœur tambourinait dans sa cage thoracique ; il suffoquait, essayant de reprendre le contrôle de ses émotions.

Son esprit était un champ de bataille, un chaos infernal. Raison et folie s'affrontaient, se disputant le terrain. Les images de son capitaine et de son second emmenés en prison défilaient sans cesse dans sa tête, comme un film d'horreur qui ne connaît pas de fin. La trahison de ses camarades le rongeait, creusant en lui un vide immense, amer et douloureux.


L'un des membres de l'équipage, un gaillard trapu à la barbe rousse, haussa les épaules.


La colère de Leolio montait en flèche, comme une lave en fusion qui menaçait d'exploser. Il entendait les arguments de ses camarades, mais son attachement et sa loyauté envers son capitaine et son second étaient si forts qu'ils surplombaient tout le reste. La situation dégénérait rapidement, et les cris se faisaient de plus en plus stridents.




Face à cette explosion de violence verbale, les membres de l'équipage étaient terrifiés. Ils ne reconnaissaient plus leur jeune compagnon, dont la fureur était palpable. L'ambiance était devenue irrespirable, et il était clair que les Fox ne seraient bientôt plus.

Après une ultime dispute, Leolio prit une décision radicale : il traverserait le Red Line par ses propres moyens. Fou de rage, il avait perdu tout sens commun, ignorant les règles qui régissaient ce monde. Ainsi, il s'empara d'une simple barque, et s'enfonça dans les eaux troubles du Calm Belt, entouré de monstres marins gigantesques.

Mais au milieu de ce chaos aquatique, une illumination soudaine vint le frapper. Comme figé dans le temps, Leolio contempla les eaux agitées qui l'entouraient et réalisa l'imprudence de son geste. Il avait agi sur un coup de tête, sans réfléchir aux conséquences.

Son visage se fit froid et impassible, et il se mit à songer à la manière dont il en était arrivé là. Il se revit, bébé, dans son panier de fruits, recueilli par les pirates qui allaient devenir sa famille. Il se revit grandir, apprendre les rudiments de la piraterie, et devenir un membre à part entière des Fox.



Puis, il se revit face aux Marine, son cœur battant à tout rompre, alors que son capitaine et son second étaient emmenés en prison. La tristesse et la colère l'avaient submergé, et il avait agi sans réfléchir. Maintenant, il payait les conséquences de son geste irresponsable.

Seul au milieu du Calm Belt..

Leolio était à bout. Physiquement et émotionnellement épuisé, il se torturait, se sentant responsable de la tournure tragique des événements. Alors qu'il errait sans but dans son esquif, luttant contre les vagues déchainées, l'un des monstrueux habitants du Calm Belt lança un coup de queue qui fit chavirer la barque de Leolio. Pris dans le tumulte, il subit une grave blessure à la tête et ne dut son salut qu'à un miracle, parvenant à remettre sa barque à flot et à remonter dedans.

Affrontant le monstre qui l'avait attaqué, Leolio criait sa colère et son désespoir, se sentant accablé par la fatalité de sa situation. Alors qu'il s'apprêtait à accepter sa fin, il hurla un dernier appel à l'aide, un ultime message à destination de ses camarades qu'il n'aurait jamais dû quitter.

"Captain... Koko... Je regrette..."

soupir a-t-il, avant de hurler de toutes ses forces..



Mais le destin est cruel, et les monstres du Calm Belt ne font pas de quartier. Ils se ruèrent sur Leolio, engloutissant sa barque et le plongeant dans l'obscurité totale.

Quand Leolio rouvrit les yeux, il était allongé sur une plage, les vêtements en lambeaux et le visage marqué par la fatigue et la douleur. Il ne savait pas combien de temps il avait erré inconscient, mais il savait qu'il était miraculé. Meurtri, mais vivant.




Quelques jours plus tard..




Après s'être habitué à son nouvel environnement et avoir exploré les limites de l'île, Leolio décida qu'il était temps de s'attaquer à la jungle. C'est ainsi qu'il découvrit une source d'eau douce et des zones riches en fruits et légumes sauvages. Grâce à ses talents martiaux, il réussit à chasser et pêcher, devenant de plus en plus autonome.

Petit à petit, Leolio se forgea un physique robuste et une mentalité de survivant. Il fabriqua des outils rudimentaires et commença à planter des graines, montrant qu'il avait l'intention de rester sur l'île pendant un certain temps.      Pendant cette année passée sur l'île déserte, Leolio a dû apprendre à se débrouiller seul, à survivre dans un environnement hostile et à exploiter toutes ses capacités pour survivre.

Chaque jour, il se levait à l'aube pour aller pêcher au large des côtes, armé d'une simple lance qu'il avait confectionnée à partir d'une branche et d'un morceau de métal oxydé qu'il avait trouvé sur la plage. Il attendait patiemment que les poissons viennent mordre à l'hameçon, et quand il en attrapait un, il le ramenaient sur la plage pour le préparer et le faire cuire sur son feu de camp.

Le midi, il explorait la jungle à la recherche de fruits et de légumes sauvages. Il avait appris à différencier les édiles des toxiques, et à repérer les traces d'animaux pour pouvoir les chasser. Il grimpait aux arbres pour cueillir des bananes, des noix de coco et des papayes, et il creusait le sol pour trouver des tubercules et des racines nutritives.
Le soir, il rentrait sur la plage pour se reposer et se préparer pour la nuit.




Il avait installé un abri de fortune à l'aide de branchages et de feuilles, et il avait placé des pièges tout autour pour se protéger des animaux sauvages. Il passait des heures à surveiller les alentours, à écouter le chant des oiseaux et le bourdonnement des insectes, et à observer les étoiles dans le ciel nocturne. Progressivement, Leolio avait commencé à stocker de la nourriture et des matériaux, signe qu'il savait qu'il pourrait rester longtemps sur l'île. Il avait creusé un trou dans le sable pour y planter des graines de cocotier et de bananier, et il avait construit un petit enclos pour y élever des lapins et des oiseaux. Il avait également commencé à collectionner des coquillages et des cailloux, qu'il rangeait dans un petit coffre qu'il avait confectionné à partir de bois flotté.

Au bout d'un an, Leolio avait acquis une force et une endurance incroyables. Il avait développé des muscles saillants et une peau bronzée, et il était devenu agile et rapide. Il avait également appris à se concentrer sur ses objectifs et à prendre des décisions rapides et intelligentes.




Un jour, alors qu'il scrutait l'horizon depuis les hauteurs de l'île, Leolio aperçut un bateau de pêche géant qui naviguait non loin de son île. Il alluma un grand feu et agita des vêtements pour attirer l'attention du navire, et les pêcheurs le remarquèrent et vinrent à son secours.

Heureux d'avoir été sauvé, Leolio se sentit enfin prêt à retourner dans le monde civilisé. Il savait qu'il y avait encore beaucoup de choses à accomplir, mais il était confiant et déterminé à poursuivre sa quête et retrouver ses proches.






Après une longue et solitaire année sur l'île déserte, Leolio débarqua sur une île animée et fréquentée. Il était émerveillé par la vue de tant de gens vaquant à leurs occupations, et par le bruit et l'odeur du marché qui s'y tenait. Il était également intrigué par le festival de danse qui se déroulait sur la place principale, et il ne put s'empêcher de s'arrêter et d'admirer les danseurs et danseuses colorés et gracieux.

Mais Leolio savait qu'il ne pouvait pas rester là à regarder éternellement. Il avait un objectif en tête : retrouver son capitaine et reformé les Fox. Pour cela, il avait besoin d'un équipage et d'un but. C'est pourquoi il se rendit sur le port et consulta les avis de recherche affichés sur un écran de Den Den Mushi. Il cherchait des gens ou un équipage assez forts pour l'amener sur Grand Line, ce qui, selon lui, représenterait déjà la moitié du travail.

Il examina attentivement chaque avis de recherche, notant les noms et les descriptions des criminels les plus recherchés. Parmi eux, il repéra un certain Dergo Bran, un bretteur redoutable qui avait une prime de 30 millions de Berry sur la tête capitaine d'un équipage de rookie les Wolf. Leolio décida qu'il devait absolument le rejoindre, le visage de cette homme était banal mais l'effet qu'il lui faisait titillé sont instinct au plus haut point, et puis un renard et un loup que peut il ce passé de mal..




Mais avant de partir à la recherche du Capitaine Bran, Leolio décida de participer au festival de danse. Il se dit qu'il avait besoin de se détendre un peu et de s'immerger dans la culture locale. Il passa donc la journée à apprendre les pas de danse et les mouvements gracieux, et le soir, il se joint aux danseuses sur la place principale. Il dansa avec eux jusqu'au bout de la nuit, s'amusant comme un fou et se sentant enfin libre après une année de solitude.

Le lendemain matin, Leolio se réveilla tôt et se mit en route pour trouver le capitaine Bran. Il savait que cela allait être un défi difficile, mais il était déterminé à réformer les Fox 2.0 et à leur apporter la gloire qu'ils méritaient.

Au même moment beaucoup plus loin, au fin fond de Logue Town..

Dans les profondeurs de la prison de Logue Town, une cellule sombre et lugubre abrite trois hommes dans l'ombre. Les murs sales et humides suintent de moisissure, et la lumière vacillante d'une lanterne vacillante éclaire à peine la pièce. Les trois hommes murmurent entre eux, leurs visages disparaissant dans l'obscurité. L'atmosphère est tendue, et l'on peut sentir l'angoisse et la nervosité dans l'air. Les trois hommes semblent être en train de planifier quelque chose, et leurs regards se croisent furtivement dans l'obscurité. Ils semblent être en train de comploter une évasion, et l'on peut sentir l'urgence dans leur conversation. L'un d'eux regarde sa montre, comme s'il attendait quelque chose d'important. Finalement, après une pause, les trois hommes hochant la tête, comme s'ils avaient pris une décision importante.