Le vent souffle légèrement en mer, la pluie n’est pas tombée ici depuis une bonne semaine, l’air est bon et chaud, on sent que la fin du printemps arrive, le début de l’été pointe le bout de son nez. Porté par le vent, mon navire vogue tranquillement jusqu’à ce qui s’apparente être l’île de Cocoyashi.
« J’ai réussi … »
Voilà maintenant deux bonnes semaines j’ai pu m’enfuir de North Blue, en pillant une carte d’East Blue j’ai pu m’orienter plus facilement. Et le chemin jusqu’à cette Blue ne fut pas des plus faciles, mais au moins, je suis ici, vivante et prête à poser le pied à terre sur l’île de feu Nami. La plus grande navigatrice et climatologue que ce monde n’a jamais connu. J’observe les voiles de Vaillant, mon navire, en remarquant que ma couture reste encore à perfectionner, mais au moins je peux naviguer.
« Bon … au moins, ça, c’est fermé. »
Assise contre le mat principal de mon navire, je ne porte qu’un chemisier blanc et une mini-jupe noire. Du bout de mon index, je touche mon épaule encore bandée. Je n’ai, certes, pas de médecin à bord, mais j’ai su me soigner tant bien que mal. Affronter une garnison de la Marine d’une île entière, ça ne laisse jamais de bons souvenirs pour le corps. Je peste légèrement en touchant ma blessure à peine refermée, au moins, je peux bouger l’épaule. Le bruit des mouettes me ramène à la réalité, j’arrive non loin du port de l’ile, il va être temps de remonter ma voile et de larguer l’ancre. Je me lève alors et prend mes précautions pour bien exécuter mes mouvements sans me blesser davantage. Une fois mon navire amarré, je décide de n’apporter avec moi que mon Sorcery Climat-Tact, accroché telle une arme à feu sur ma cuisse gauche. J’enfile mes cuissardes noires et je termine par attacher mes longs cheveux argentés en queue de cheval haute.
« Il y a de l’animation. »
Je vais pouvoir profiter de l’animation ambiante pour rester en retraite et simplement souffler un peu … pour une fois. Je quitte donc Vaillant en prenant soin de mettre toutes mes possessions à l’abri. Le port est bondé, personne ne prête réellement attention à ma venue. Malgré quelques regards intéressés qui se tournent dans ma direction, pour me reluquer plus que pour me surveiller, je n’y prête vraiment pas attention et je continue mon chemin jusqu’au centre-ville. Je n’avais pas souvenir que les livres parlent d’un endroit si animé, mais soit … je ne dis pas non. Tout le monde hurle, s’amuse, chante, danse. J’observe tout ce joli tableau en attrapant un jus de mandarine disposé sur un stand en vente.
« Hé ma belle, faut payer ! »
Gracieusement, je fais glisser mon index, le long de ma cuisse, touchant mon sorcery climat-tact, ce qui semble impressionner l’homme du stand, je profite de son attrait pour mon arme, et me glisse entre deux personnes qui dansent pour me faufiler dans la foule et en ressortir quelques mètres plus loin, devant un spectacle des plus intéressants. Mais que sont-ils en train de fêter aujourd’hui ?
« J’ai réussi … »
Voilà maintenant deux bonnes semaines j’ai pu m’enfuir de North Blue, en pillant une carte d’East Blue j’ai pu m’orienter plus facilement. Et le chemin jusqu’à cette Blue ne fut pas des plus faciles, mais au moins, je suis ici, vivante et prête à poser le pied à terre sur l’île de feu Nami. La plus grande navigatrice et climatologue que ce monde n’a jamais connu. J’observe les voiles de Vaillant, mon navire, en remarquant que ma couture reste encore à perfectionner, mais au moins je peux naviguer.
« Bon … au moins, ça, c’est fermé. »
Assise contre le mat principal de mon navire, je ne porte qu’un chemisier blanc et une mini-jupe noire. Du bout de mon index, je touche mon épaule encore bandée. Je n’ai, certes, pas de médecin à bord, mais j’ai su me soigner tant bien que mal. Affronter une garnison de la Marine d’une île entière, ça ne laisse jamais de bons souvenirs pour le corps. Je peste légèrement en touchant ma blessure à peine refermée, au moins, je peux bouger l’épaule. Le bruit des mouettes me ramène à la réalité, j’arrive non loin du port de l’ile, il va être temps de remonter ma voile et de larguer l’ancre. Je me lève alors et prend mes précautions pour bien exécuter mes mouvements sans me blesser davantage. Une fois mon navire amarré, je décide de n’apporter avec moi que mon Sorcery Climat-Tact, accroché telle une arme à feu sur ma cuisse gauche. J’enfile mes cuissardes noires et je termine par attacher mes longs cheveux argentés en queue de cheval haute.
« Il y a de l’animation. »
Je vais pouvoir profiter de l’animation ambiante pour rester en retraite et simplement souffler un peu … pour une fois. Je quitte donc Vaillant en prenant soin de mettre toutes mes possessions à l’abri. Le port est bondé, personne ne prête réellement attention à ma venue. Malgré quelques regards intéressés qui se tournent dans ma direction, pour me reluquer plus que pour me surveiller, je n’y prête vraiment pas attention et je continue mon chemin jusqu’au centre-ville. Je n’avais pas souvenir que les livres parlent d’un endroit si animé, mais soit … je ne dis pas non. Tout le monde hurle, s’amuse, chante, danse. J’observe tout ce joli tableau en attrapant un jus de mandarine disposé sur un stand en vente.
« Hé ma belle, faut payer ! »
Gracieusement, je fais glisser mon index, le long de ma cuisse, touchant mon sorcery climat-tact, ce qui semble impressionner l’homme du stand, je profite de son attrait pour mon arme, et me glisse entre deux personnes qui dansent pour me faufiler dans la foule et en ressortir quelques mètres plus loin, devant un spectacle des plus intéressants. Mais que sont-ils en train de fêter aujourd’hui ?