Continuation.
L'arrivée de Davinia sur Hat Island à bord d'un submersible se déroule dans une atmosphère calme, typique d'une nuit obscure dans un environnement désertique. Alors que le submersible émerge des profondeurs de l'océan, l'air salin est remplacé par une sensation sèche et étouffante, caractéristique du désert. Davinia, habituée à des climats plus tempérés, ressent immédiatement le changement de température, qui semble lui voler la chaleur de son corps et lui piquer la peau. Dans l'obscurité de la nuit, seuls les reflets faibles de la lune et des étoiles éclairent le paysage désertique qui s'étend à perte de vue. Des dunes de sable se dressent comme des vagues figées, tandis que le vent souffle avec une intensité impressionnante, emportant avec lui des tourbillons de sable qui dansent dans les airs.
Le pilote du submersible Arnold, un homme robuste et taciturne, tend à Davinia un bout de papier froissé, sur lequel est griffonné le nom d'une auberge : "Le Crâne Brisé". Il lui explique rapidement que c'est le seul endroit où elle pourra se réfugier et passer le reste de la nuit en sécurité. Sans un mot de plus, il disparaît ensuite dans l'obscurité du sous-marin, laissant Davinia seule sur la côte déserte de l'île. Alors qu’elle mettait pied à terre sur Hat Island, le silence de la nuit enveloppe Exact Town, dans un voile mystérieux. Les rues étroites et poussiéreuses sont désertes, à l'exception de quelques silhouettes furtives qui se faufilent dans l'ombre. Les bâtiments en bois sombre se dressent comme des fantômes contre le ciel étoilé, leurs façades éclairées par la lueur vacillante des lampadaires à l'huile. Les ruelles sont étroitement bordées de saloons aux enseignes rouillées, de boutiques de marchands et de bâtiments abandonnés, témoins silencieux du passé tumultueux de Exact Town. Des chapeaux de cow-boy oubliés jonchent le sol, rappelant les conflits passés qui ont marqué cette terre inhospitalière.
Davinia avance avec précaution dans les rues sombres, son cœur battant au rythme de l'inconnu. Elle peut sentir les regards scrutateurs des habitants invisibles qui observent ses moindres mouvements avec suspicion. La tension électrique dans l'air est presque palpable, imprégnée de la promesse d'un danger imminent. Alors qu'elle cherche l'auberge indiquée par Arnold, Davinia se fraye un chemin à travers les ruelles tortueuses, évitant les regards curieux et les ombres menaçantes qui semblent se faufiler à chaque coin de rue. Elle peut entendre le bruit lointain de la musique et des rires qui s'échappent des saloons, mêlés au cliquetis des dés et au murmure des joueurs. Finalement, elle arrive devant "Le Crâne Brisé", dont l'enseigne grinçante oscille faiblement dans la brise nocturne. L'auberge se dresse comme un phare de chaleur et de lumière au milieu de l'obscurité, offrant un refuge bienvenu à ceux qui errent dans le désert de la nuit. En poussant la porte, elle est accueillie par une vague de chaleur et de bruit. À l'intérieur, l'ambiance est animée, avec des clients attablés autour du bar et des serveurs affairés qui vont et viennent. L'odeur enivrante de la cuisine flotte dans l'air, mêlée au parfum âcre du tabac et de la sueur.
Le barman, un homme massif au visage buriné par le soleil et par les années, est installé derrière le bar avec une attitude méfiante. Ses mains calleuses s'affairent à nettoyer des verres déjà propres tandis que ses yeux scrutent chaque mouvement dans la salle avec une vigilance à toute épreuve. Sa barbe hirsute, parsemée de fils argentés, ajoute à son allure intimidante, tout comme son regard dur qui semble peser chaque individu qui franchit le seuil de son établissement. Alors que Davinia s'approche du bar avec une certaine hésitation, elle sent les regards curieux et soupçonneux de la clientèle qui se posent sur elle, comme des lames acérées prêtes à la découper en morceaux. Certains murmurent entre eux avec des sourires malfaisants, tandis que d'autres lui lancent des regards froids et méprisants, comme s'ils pouvaient voir à travers ses secrets les plus sombres. Faisant fi des regarde, elle glisse le bout de papier froissé vers le barman, espérant qu'il saura l'aider. L'homme attrape le papier d'un geste brusque, arrachant presque des mains de Davinia, avant de le regarder avec un air de méfiance profonde. Il marmonne quelque chose dans sa barbe, un grondement sourd qui semble plus être une malédiction qu'une réponse.
Sans un mot de plus, le barman se tourne vers les étagères derrière le bar, cherchant quelque chose avec un air bougon. Davinia sent le poids du silence peser sur ses épaules, tandis que la tension dans la salle monte d'un cran. Elle se demande si elle a commis une erreur en venant ici. Mais alors que le barman revient vers elle, une lueur d'approbation dans son regard, Davinia sent un soupir de soulagement s'échapper de sa poitrine. L’homme lui tend une énorme clé de fer, ainsi qu’un plateau de nourriture sommaire et une bouteille. Il lui indique l’escalier du fond, avant de retourner vers son occupation principale. Sans perdre plus de temps, la petite noir attrape l’offrande et l’éloigne vers l’escalier pour rejoindre le deuxième étage, où il se trouve que deux portes. Après avoir tester la clé, elle réussit enfin à pénétrer à l’intérieur d’une chambre sommaire et une fois la porte refermer et barrer derrière elle, elle s’effondre enfin dans le lit, complètement lessiver par tous les dernier événement. Ces pensées divaguent encore vers Dellemont, mais elle se refuge de pleurer à nouveau la perte d’une personne précieuse… Après un soupir de soulagement, Davinia se redresse lentement, libérant les chats qui s'étaient réfugiés dans leur cage. Elle prit un moment pour organiser son matériel, le disposant de manière, à ce qu'il soit facilement accessible en cas de besoin. Même si son désir était de quitter au plus vite cette île inhospitalière, elle sait qu'elle serait contrainte d'y rester quelques jours, au moins le temps de récupérer la cache familiale, de trouver de quoi survivre et de mettre en place un plan pour quitter l’île, alors un bateau. Bien qu'elle ait une carte de l'île, Davinia se rendit compte qu'elle ne connaissait personne ici. Elle devrait donc trouver un allié et un guide pour naviguer efficacement dans cet environnement hostile. Mais pour l'instant, ses priorités étaient simples : se nourrir, se reposer et réfléchir à sa stratégie pour le lendemain.
Le pilote du submersible Arnold, un homme robuste et taciturne, tend à Davinia un bout de papier froissé, sur lequel est griffonné le nom d'une auberge : "Le Crâne Brisé". Il lui explique rapidement que c'est le seul endroit où elle pourra se réfugier et passer le reste de la nuit en sécurité. Sans un mot de plus, il disparaît ensuite dans l'obscurité du sous-marin, laissant Davinia seule sur la côte déserte de l'île. Alors qu’elle mettait pied à terre sur Hat Island, le silence de la nuit enveloppe Exact Town, dans un voile mystérieux. Les rues étroites et poussiéreuses sont désertes, à l'exception de quelques silhouettes furtives qui se faufilent dans l'ombre. Les bâtiments en bois sombre se dressent comme des fantômes contre le ciel étoilé, leurs façades éclairées par la lueur vacillante des lampadaires à l'huile. Les ruelles sont étroitement bordées de saloons aux enseignes rouillées, de boutiques de marchands et de bâtiments abandonnés, témoins silencieux du passé tumultueux de Exact Town. Des chapeaux de cow-boy oubliés jonchent le sol, rappelant les conflits passés qui ont marqué cette terre inhospitalière.
Davinia avance avec précaution dans les rues sombres, son cœur battant au rythme de l'inconnu. Elle peut sentir les regards scrutateurs des habitants invisibles qui observent ses moindres mouvements avec suspicion. La tension électrique dans l'air est presque palpable, imprégnée de la promesse d'un danger imminent. Alors qu'elle cherche l'auberge indiquée par Arnold, Davinia se fraye un chemin à travers les ruelles tortueuses, évitant les regards curieux et les ombres menaçantes qui semblent se faufiler à chaque coin de rue. Elle peut entendre le bruit lointain de la musique et des rires qui s'échappent des saloons, mêlés au cliquetis des dés et au murmure des joueurs. Finalement, elle arrive devant "Le Crâne Brisé", dont l'enseigne grinçante oscille faiblement dans la brise nocturne. L'auberge se dresse comme un phare de chaleur et de lumière au milieu de l'obscurité, offrant un refuge bienvenu à ceux qui errent dans le désert de la nuit. En poussant la porte, elle est accueillie par une vague de chaleur et de bruit. À l'intérieur, l'ambiance est animée, avec des clients attablés autour du bar et des serveurs affairés qui vont et viennent. L'odeur enivrante de la cuisine flotte dans l'air, mêlée au parfum âcre du tabac et de la sueur.
Le barman, un homme massif au visage buriné par le soleil et par les années, est installé derrière le bar avec une attitude méfiante. Ses mains calleuses s'affairent à nettoyer des verres déjà propres tandis que ses yeux scrutent chaque mouvement dans la salle avec une vigilance à toute épreuve. Sa barbe hirsute, parsemée de fils argentés, ajoute à son allure intimidante, tout comme son regard dur qui semble peser chaque individu qui franchit le seuil de son établissement. Alors que Davinia s'approche du bar avec une certaine hésitation, elle sent les regards curieux et soupçonneux de la clientèle qui se posent sur elle, comme des lames acérées prêtes à la découper en morceaux. Certains murmurent entre eux avec des sourires malfaisants, tandis que d'autres lui lancent des regards froids et méprisants, comme s'ils pouvaient voir à travers ses secrets les plus sombres. Faisant fi des regarde, elle glisse le bout de papier froissé vers le barman, espérant qu'il saura l'aider. L'homme attrape le papier d'un geste brusque, arrachant presque des mains de Davinia, avant de le regarder avec un air de méfiance profonde. Il marmonne quelque chose dans sa barbe, un grondement sourd qui semble plus être une malédiction qu'une réponse.
Sans un mot de plus, le barman se tourne vers les étagères derrière le bar, cherchant quelque chose avec un air bougon. Davinia sent le poids du silence peser sur ses épaules, tandis que la tension dans la salle monte d'un cran. Elle se demande si elle a commis une erreur en venant ici. Mais alors que le barman revient vers elle, une lueur d'approbation dans son regard, Davinia sent un soupir de soulagement s'échapper de sa poitrine. L’homme lui tend une énorme clé de fer, ainsi qu’un plateau de nourriture sommaire et une bouteille. Il lui indique l’escalier du fond, avant de retourner vers son occupation principale. Sans perdre plus de temps, la petite noir attrape l’offrande et l’éloigne vers l’escalier pour rejoindre le deuxième étage, où il se trouve que deux portes. Après avoir tester la clé, elle réussit enfin à pénétrer à l’intérieur d’une chambre sommaire et une fois la porte refermer et barrer derrière elle, elle s’effondre enfin dans le lit, complètement lessiver par tous les dernier événement. Ces pensées divaguent encore vers Dellemont, mais elle se refuge de pleurer à nouveau la perte d’une personne précieuse… Après un soupir de soulagement, Davinia se redresse lentement, libérant les chats qui s'étaient réfugiés dans leur cage. Elle prit un moment pour organiser son matériel, le disposant de manière, à ce qu'il soit facilement accessible en cas de besoin. Même si son désir était de quitter au plus vite cette île inhospitalière, elle sait qu'elle serait contrainte d'y rester quelques jours, au moins le temps de récupérer la cache familiale, de trouver de quoi survivre et de mettre en place un plan pour quitter l’île, alors un bateau. Bien qu'elle ait une carte de l'île, Davinia se rendit compte qu'elle ne connaissait personne ici. Elle devrait donc trouver un allié et un guide pour naviguer efficacement dans cet environnement hostile. Mais pour l'instant, ses priorités étaient simples : se nourrir, se reposer et réfléchir à sa stratégie pour le lendemain.
Dernière édition par Davinia Valthane le Lun 15 Avr 2024 - 18:20, édité 1 fois