- Quand même, c'est comme ça que ça se fait !
- C'est comme ça que se fait chez les pirates ! Mais nous on est des révos !
- C'est comme ça que ça se fait partout. Sinon, comment ils peuvent savoir qu'on a vraiment le prince ?
- Ben on a qu'a leur montrer une image den den ?
- Et la date hein ? il est peut être mort depuis longtemps !
- On peut montrer une photo du prince tenant le Contexte de la semaine ?
- Je vois pas en quoi envoyer un doigt ce serait mieux. Vous imaginez comment c'est chiant à transporter un doigt ?
- Et puis bon, un doigt, faut être bon pour le reconnaitre, si on vous envoie un de mes doigts vous le reconnaissez ?
- N’empêche que c'est comme ça qu'on doit faire, on envoie un doigt et on demande un truc en échange du reste.
- Je pige pas. En plus le type avec un doigt en moins il perd en valeur non ?
- Bah, un prince ça bosse pas, il a pas vraiment besoin de tous ses doigts.
- Vous vous prenez la tête pour rien, on va juste leur filer un den den et leur dire de l’appeler. Comme ça ils sauront qu'il est vivant et en bonne santé.
- Ah. Oui c'est pas mal aussi...
Plus grande et plus riche ville d'Alabasta, Nanohana dispose d'un port tout a fait impressionnant. Une jetée immense fait face à la mer et protège une rade qui doit faire plusieurs milliers de pas de large, et des centaines de navires de toutes tailles y naviguent, louvoient, chargent ou déchargent des marchandises dans une activité fébrile. La coté est parsemée de fortifications et de tours de guets, le large est sillonée de petit patrouilleurs qui viennent interroger les navires sur la raison de leur venue et les orientent vers les quais disponibles, chaque zone du port servant a un secteur précis d'activité. Clairement, la façade maritime d'Alabasta est une affaire parfaitement bien rodée. Et visiblement, la disparition du gouverneur de la ville n'a rien changé à ça. Une constatation qui colle assez à l'opinion de l'Armée révolutionnaire sur l'utilité des familles royales en général, et des princes en particulier.
Sous couvert d’être de simples marchands itinérants, venus vendre des lingots de métaux de Citadelle contre de l'artisanat Alabastien, nous passons sans encombre l'inspection rapide des douanes, et mettons rapidement pieds sur les quais du port ou nous nous séparons assez vite en deux groupes. Les marins entreprenant de faire exactement ce que leur couverture prétend qu'ils vont faire, pendant que les autres quittent le navire pour la mission principale, aller chercher un officiel pour parler échange de prisonniers.
- C'est pratique quand même ces tenue locales.
- J'aime bien, ça me change pas trop de ma blouse...
- Ouais, et en faisant comme si on était des touristes essayant de s'adapter aux coutumes locales on peut aussi éviter de se faire remarquer pour nos primes.
- Par contre personne n'a l'air dupe sur le fait qu'on ne soit pas d'ici. On ne doit pas les porter correctement.
- Commençons par trouver notre contact sur place, une fois que nous serons installés nous évaluerons la meilleur manière de procéder.
- C'est comme ça que se fait chez les pirates ! Mais nous on est des révos !
- C'est comme ça que ça se fait partout. Sinon, comment ils peuvent savoir qu'on a vraiment le prince ?
- Ben on a qu'a leur montrer une image den den ?
- Et la date hein ? il est peut être mort depuis longtemps !
- On peut montrer une photo du prince tenant le Contexte de la semaine ?
- Je vois pas en quoi envoyer un doigt ce serait mieux. Vous imaginez comment c'est chiant à transporter un doigt ?
- Et puis bon, un doigt, faut être bon pour le reconnaitre, si on vous envoie un de mes doigts vous le reconnaissez ?
- N’empêche que c'est comme ça qu'on doit faire, on envoie un doigt et on demande un truc en échange du reste.
- Je pige pas. En plus le type avec un doigt en moins il perd en valeur non ?
- Bah, un prince ça bosse pas, il a pas vraiment besoin de tous ses doigts.
- Vous vous prenez la tête pour rien, on va juste leur filer un den den et leur dire de l’appeler. Comme ça ils sauront qu'il est vivant et en bonne santé.
- Ah. Oui c'est pas mal aussi...
Plus grande et plus riche ville d'Alabasta, Nanohana dispose d'un port tout a fait impressionnant. Une jetée immense fait face à la mer et protège une rade qui doit faire plusieurs milliers de pas de large, et des centaines de navires de toutes tailles y naviguent, louvoient, chargent ou déchargent des marchandises dans une activité fébrile. La coté est parsemée de fortifications et de tours de guets, le large est sillonée de petit patrouilleurs qui viennent interroger les navires sur la raison de leur venue et les orientent vers les quais disponibles, chaque zone du port servant a un secteur précis d'activité. Clairement, la façade maritime d'Alabasta est une affaire parfaitement bien rodée. Et visiblement, la disparition du gouverneur de la ville n'a rien changé à ça. Une constatation qui colle assez à l'opinion de l'Armée révolutionnaire sur l'utilité des familles royales en général, et des princes en particulier.
Sous couvert d’être de simples marchands itinérants, venus vendre des lingots de métaux de Citadelle contre de l'artisanat Alabastien, nous passons sans encombre l'inspection rapide des douanes, et mettons rapidement pieds sur les quais du port ou nous nous séparons assez vite en deux groupes. Les marins entreprenant de faire exactement ce que leur couverture prétend qu'ils vont faire, pendant que les autres quittent le navire pour la mission principale, aller chercher un officiel pour parler échange de prisonniers.
- C'est pratique quand même ces tenue locales.
- J'aime bien, ça me change pas trop de ma blouse...
- Ouais, et en faisant comme si on était des touristes essayant de s'adapter aux coutumes locales on peut aussi éviter de se faire remarquer pour nos primes.
- Par contre personne n'a l'air dupe sur le fait qu'on ne soit pas d'ici. On ne doit pas les porter correctement.
- Commençons par trouver notre contact sur place, une fois que nous serons installés nous évaluerons la meilleur manière de procéder.