L'église de Manée, un des centre religieux les plus connut des Blues. Paradoxalement, c'était aussi le centre le plus aimé par la mafia pour organiser ses diverses opérations de contrebande. Après tout, qui pourrait penser que tout ces hommes respactables, riches, et dans leur tenu du dimanche venait à la masse juste pour ouvoir échanger des plans maritimes, des listes d'itinéraire, et les quotes des différentes marchandises vendues au marché noir?
Surement pas la plupart des prêtres de la ville, qui se félicitaient tous les dimanches de faire des messes dans une église comblée.
TnT éclata de rire en y pensant. La capacité de l'être humains de se mentir à lui même était sans doute la chose la plus drôle de l'univers. Manuel lui répétait toujours : "dans la vrai rue, si tu promène un chien qui a son os à la bouche et que tu dis aux passants que tu promène un lapin nain, ils lui offriront une carotte". Il avait beaucoup de défauts, mais il fallait lui reconnaitre une chose, il avait une vision du monde qui faisait de lui un dirigeant né.
Le garçon prit une bouffée de sa cigarette, et détourna le regard du bâtiment religieux. La place était vide à l'heure actuelle. Il ne pourrait pas louper son correspondant. D'ici quelques minutes, les cloches sonneraient, et la place serait à nouveau pleine de monde. Tous les dimanches c'était ainsi. La fin de la messe sonnait le début de la reprise d'activité de la cité. Même les oiseaux venant régulièrement cherché quelques miettes sur le parvis de l'église semblaient le faire timidement, et avec énormément de respect pour le lieu de prière. Heureusement pour leurs entreprises, aucun Tempiesta n'avait été éduqué dans le respect de la religion en elle-même, et tous les membres de la famille qu'ils soient mafieux, commerciaux, où bénévols dans un centre d'aide aux orphelins, avaient apprit à utiliser la foi à leur avantage.
Dans le cas de Timuthé, la messe avait été le moment des négociations avec le gouvernement.
Cela faisait maintenant un mois que régulièrement, il prenait contact avec un agent ou un autre. Un mois durant lequel, jour après jour, il avait négocier, discuter, et prouver qu'il était digne de confiance. Le deal était simple, aux yeux du monde, il serait le redoutable TnT Tempiesta, criminel renommé, ennemis du gouvernement, et dirigeant de la mafia. Officieusement, il serait une des plus redoutables armes de l'union des rois. Son rôle serait d'infiltrer et de démanteler un par un tous les réseaux représentant une menace mondiale. Il serait la main gauche du gouvernement, un ennemis chargé de le protéger plus efficacement que ce que ne le pourrait n'importe quel amis.
Bien sur, on lui avait mentionner le Cipher Pol, on avait même mentionner des organisations plus sombres encore qui étaient capable de faire ce pour quoi il se proposait. Cependant, il avait jouer sa dernière carte, sans doute celle qui lui avait permis de convaincre ses interlocuteurs : le statut d'ennemis du gouvernement. Tout était bénéfique pour ceux qui règnaient sur le monde. Tout d'abord ils auraient les informations nécessaires à la destruction et la capture de groupes révolutionnaire, pirates ou simplement criminel, voir parfois les groupes se feraient détruire d'eux même. Ensuite, leur plus grande source d'information se comportant comme leur ennemis, elle aurait la marine et la plupart des agents gouvernementaux sur le dos, il serait donc très simple de ne plus fermer les yeux sur ses magouilles, et de le neutraliser.
On lui avait donné rendez-vous pour montrer la preuve de sa bonne fois. Il allait les aider, et ainsi se placer dans une situation délicate vis-à-vis de la mafia.
Manuel appelait ça "un as de pique dans une partie d'échec". L'action nétait pas forcément utile, mais politiquement, elle était rassurante, et elle donnait l'impression qu'on avait un bonus permettant de gagner la partie.
TnT jeta le mégot, et chercha dans sa poche son paquet. Il leva les yeux vers l'horloge de l'église. Il était 10 h 45. Il l'ignorait encore, mais dans pécisément 8 mois et 8 heures, il rentrerais attaquerait la ville avec Unwin Vail pour voler l'horlogerie. Il retira une des cigarettes de son paquet. Il en restait 8. Quand il y repenserais un an plus tard, il y verrait un étrange clin d'oeil que lui avait fait les probabilités.
En horlogerie, il aimait à appeler ça un point fixe à changement d'effets. C'était une situation où tous les engrenages du mécanisme avait la même configuration, et généralement, dans ses jouets, c'était les moments qu'il aimait pariculièrement programmé de tel sorte que tout ce qui se passerait après changerais profondément la structure du système.
Dans le cas présent, la mise en route du système n'aller pas tarder. Dans précisément 15 minutes, les mafieux sortiraient pour vaquer à leurs occupations. D'ici là, il aurait brieffer plus en détails l'agent avec qui il entrerait en contact sur le fonctionnement de leur cible du jour. Si ses calculs étaient exact, et si les engrenages de son plan fonctionnaient comme il l'attendait, d'ici 5 heures, dans le pire des cas, Manuel perdrait une importante source de revenu, et une partie de sa crédibilité.
Le mafieux ferma les yeux, et revisualisa l'intégralité de son plan. Il était tellement concentré qu'il en oublia le gout de sa clope, l'odeur du tabac, et la sensation du vent sur son visage.
Il revoyait petit à petit tous les engrenages du mécanisme, les système de dérivation primaire et secondaire et tertaire, les points de blocage, et les conséquences des mouvements de chaque poulie.
C'était ironique, même quand il réfléchissait, il le faisait via son double code, celui avec lequel il concevait ses inventions, ses plans, et tout ce qui le concernait. Pourquoi deux codes? Oh... Il avait une excellente raison d'en prévoir deux, en fait il essayait même d'en établir un troisième sur un schéma similaire. Mais malheureusement, celui qui pourrait être capable de comprendre ses raisons n'était pas encore né.
Un mouvement sur la place attira son attention.
Il rouvrit les yeux.
Son contact était là.
Les dernières pièces de l'engrenage étaient sur le point d'être greffées au système final.
Surement pas la plupart des prêtres de la ville, qui se félicitaient tous les dimanches de faire des messes dans une église comblée.
TnT éclata de rire en y pensant. La capacité de l'être humains de se mentir à lui même était sans doute la chose la plus drôle de l'univers. Manuel lui répétait toujours : "dans la vrai rue, si tu promène un chien qui a son os à la bouche et que tu dis aux passants que tu promène un lapin nain, ils lui offriront une carotte". Il avait beaucoup de défauts, mais il fallait lui reconnaitre une chose, il avait une vision du monde qui faisait de lui un dirigeant né.
Le garçon prit une bouffée de sa cigarette, et détourna le regard du bâtiment religieux. La place était vide à l'heure actuelle. Il ne pourrait pas louper son correspondant. D'ici quelques minutes, les cloches sonneraient, et la place serait à nouveau pleine de monde. Tous les dimanches c'était ainsi. La fin de la messe sonnait le début de la reprise d'activité de la cité. Même les oiseaux venant régulièrement cherché quelques miettes sur le parvis de l'église semblaient le faire timidement, et avec énormément de respect pour le lieu de prière. Heureusement pour leurs entreprises, aucun Tempiesta n'avait été éduqué dans le respect de la religion en elle-même, et tous les membres de la famille qu'ils soient mafieux, commerciaux, où bénévols dans un centre d'aide aux orphelins, avaient apprit à utiliser la foi à leur avantage.
Dans le cas de Timuthé, la messe avait été le moment des négociations avec le gouvernement.
Cela faisait maintenant un mois que régulièrement, il prenait contact avec un agent ou un autre. Un mois durant lequel, jour après jour, il avait négocier, discuter, et prouver qu'il était digne de confiance. Le deal était simple, aux yeux du monde, il serait le redoutable TnT Tempiesta, criminel renommé, ennemis du gouvernement, et dirigeant de la mafia. Officieusement, il serait une des plus redoutables armes de l'union des rois. Son rôle serait d'infiltrer et de démanteler un par un tous les réseaux représentant une menace mondiale. Il serait la main gauche du gouvernement, un ennemis chargé de le protéger plus efficacement que ce que ne le pourrait n'importe quel amis.
Bien sur, on lui avait mentionner le Cipher Pol, on avait même mentionner des organisations plus sombres encore qui étaient capable de faire ce pour quoi il se proposait. Cependant, il avait jouer sa dernière carte, sans doute celle qui lui avait permis de convaincre ses interlocuteurs : le statut d'ennemis du gouvernement. Tout était bénéfique pour ceux qui règnaient sur le monde. Tout d'abord ils auraient les informations nécessaires à la destruction et la capture de groupes révolutionnaire, pirates ou simplement criminel, voir parfois les groupes se feraient détruire d'eux même. Ensuite, leur plus grande source d'information se comportant comme leur ennemis, elle aurait la marine et la plupart des agents gouvernementaux sur le dos, il serait donc très simple de ne plus fermer les yeux sur ses magouilles, et de le neutraliser.
On lui avait donné rendez-vous pour montrer la preuve de sa bonne fois. Il allait les aider, et ainsi se placer dans une situation délicate vis-à-vis de la mafia.
Manuel appelait ça "un as de pique dans une partie d'échec". L'action nétait pas forcément utile, mais politiquement, elle était rassurante, et elle donnait l'impression qu'on avait un bonus permettant de gagner la partie.
TnT jeta le mégot, et chercha dans sa poche son paquet. Il leva les yeux vers l'horloge de l'église. Il était 10 h 45. Il l'ignorait encore, mais dans pécisément 8 mois et 8 heures, il rentrerais attaquerait la ville avec Unwin Vail pour voler l'horlogerie. Il retira une des cigarettes de son paquet. Il en restait 8. Quand il y repenserais un an plus tard, il y verrait un étrange clin d'oeil que lui avait fait les probabilités.
En horlogerie, il aimait à appeler ça un point fixe à changement d'effets. C'était une situation où tous les engrenages du mécanisme avait la même configuration, et généralement, dans ses jouets, c'était les moments qu'il aimait pariculièrement programmé de tel sorte que tout ce qui se passerait après changerais profondément la structure du système.
Dans le cas présent, la mise en route du système n'aller pas tarder. Dans précisément 15 minutes, les mafieux sortiraient pour vaquer à leurs occupations. D'ici là, il aurait brieffer plus en détails l'agent avec qui il entrerait en contact sur le fonctionnement de leur cible du jour. Si ses calculs étaient exact, et si les engrenages de son plan fonctionnaient comme il l'attendait, d'ici 5 heures, dans le pire des cas, Manuel perdrait une importante source de revenu, et une partie de sa crédibilité.
Le mafieux ferma les yeux, et revisualisa l'intégralité de son plan. Il était tellement concentré qu'il en oublia le gout de sa clope, l'odeur du tabac, et la sensation du vent sur son visage.
Il revoyait petit à petit tous les engrenages du mécanisme, les système de dérivation primaire et secondaire et tertaire, les points de blocage, et les conséquences des mouvements de chaque poulie.
C'était ironique, même quand il réfléchissait, il le faisait via son double code, celui avec lequel il concevait ses inventions, ses plans, et tout ce qui le concernait. Pourquoi deux codes? Oh... Il avait une excellente raison d'en prévoir deux, en fait il essayait même d'en établir un troisième sur un schéma similaire. Mais malheureusement, celui qui pourrait être capable de comprendre ses raisons n'était pas encore né.
Un mouvement sur la place attira son attention.
Il rouvrit les yeux.
Son contact était là.
Les dernières pièces de l'engrenage étaient sur le point d'être greffées au système final.