Le Cheval du Sud. Un navire taverne restaurant qui était stationné au beau milieu de South Blue. Perdu au beau milieu de la mer du sud, l'établissement jouissait d'une très grande renommé chez les individus qui savaient garder correctement leurs bourses à leurs poches. L'avantage de ce navire tout aussi impressionnant que pratique était surtout qu'il était situé en pleine mer et donc n'était soumis à aucune législation.
Si vous parvenez à amarrer votre navire dans les trente pontons que le Cheval du Sud met à la disposition de ses clients, alors vous pouvez sans problème entrer et consommé jusqu'à plus soif où plus faim.
Ici on ne fessait pas de discrimination. Pirate, marin, révolutionnaire, chasseur de prime et même les civils étaient acceptés. Après libre à chacun de montrer à l'autre son mécontentement.
Les tarifs pratiqués étaient assez abusif, mais en contre-partie, en cas de bagarre, vous avez la certitude de pas avoir à payer un supplément. Dans chaque boisson que vous achetez, vous payez en plus l'équivalent d'une nouvelle chaise. Comprenez bien que demander à un pirate de régler pour une chaise cassée est parfois difficile quand celui-ci possède une très grosse prime et un équipage fou derrière lui.
Cette situation est déjà arrivée, mais quand le matériel est vraiment détérioré et que le patron est de mauvaise humeur, il n'est pas bon de se trouver dans l'établissement. Des trous, il en fait très bien et n'a pas peur de sortir les armes lourdes. Pour les plus belliqueux, une salle de combat a été aménagé. Il n'est pas rare de voir des paris sur ces mêmes combats.
Jusqu'à maintenant, le patron jouit d'une très bonne renommée, ce qui lui apporte tous les jours une nouvelle vague de client. Personne ne se plait de ses tarifs, ni même de ses règles. Car il existe une seule et unique règle, à l'intérieur la boisson doit couler à flot.
C'est dans ce contexte, que Shoma, fidèle à lui-même arriva avec son petit navire de pêche. Fier de son petit navire qu'il avait volé, il sillonnait les mers en quêtes d'actions et d'aventures.
Toujours en quête de bons plans, il avait entendu parler de ce lieu. C'était par le biais d'un pêcheur. L'homme y était venu pour se détendre loin du regard de sa femme. Histoire de boire et regarder quelques combats, des activités d'homme que sa femme n'acceptait visiblement pas. Il était venu avec quelques Berry (400B), juste de quoi se payer deux bières et avait finalement décidé de se laisser tenter par les paris d'argent. Finalement la chance était avec lui et il quitta l'établissement avec trois fois sa mise. C'était vraiment bien. La somme en question n'était pas importante, sinon Shoma le lui aurait volé, mais étant donné qu'il le lui avait conseillé, alors il avait mis les voiles dans la direction de la petite poule aux oeufs d'or.
Les pontons étaient presque tous occupés. Il ne restait que quatre libres et les navire amarrer qui avaient jeté l'ancre tout proche n'était pas de petite embarcation comme la sienne, non. C'était plutôt des navires capables d'accueillir dix, douze personnes.
Poussant les portes battantes, Shoma y découvrit une ambiance conviviale. C'était un peu comme un petit saloon. Un grand bar orné d'une multitude de fusils et pistolets situé derrière le comptoir à la vue de tous. Des hommes, des femmes et même quelques rares Okamas. Tous réunis dans un même bâtiment, tous en train de manger, boire, parler, blaguer.
Au milieu de la salle, un grand rond qui donnait une vue direct sur les deux étages inférieurs. Il n'avait qu'à pencher la tête pour regarder le combat qui se déroulait en dessous. Shoma comprenait maintenant pourquoi, le pêcheur venait ici prendre un peu de recul sur ce qui se passait chez lui. Ici c'était un tout autre monde, ici le mot liberté prenait un sens.
Ce qui troubla le plus Shoma était la présence d'un petit groupe de soldat de la marine. Pourtant, il n'avait pas vu de navire portant les couleurs de la marine. La première chose qu'il se dit dans sa tête était qu'il devait la jouer discret. Ce genre de bestiole, ça retourna sa veste assez rapidement. Les quatre hommes habitaient une île non loin. Ils étaient pour ainsi dire des habitués. Chaque semaine, ils venaient se saouler et profiter des joies des jolies filles avant de retourner discrètement dans leur maison. Pourquoi venaient-ils vêtu ainsi, personne ne le savait. Ici on ce mélange, mais on ne parle pas avec les poulets, à part quand l'argent est en jeu.
Si vous parvenez à amarrer votre navire dans les trente pontons que le Cheval du Sud met à la disposition de ses clients, alors vous pouvez sans problème entrer et consommé jusqu'à plus soif où plus faim.
Ici on ne fessait pas de discrimination. Pirate, marin, révolutionnaire, chasseur de prime et même les civils étaient acceptés. Après libre à chacun de montrer à l'autre son mécontentement.
Les tarifs pratiqués étaient assez abusif, mais en contre-partie, en cas de bagarre, vous avez la certitude de pas avoir à payer un supplément. Dans chaque boisson que vous achetez, vous payez en plus l'équivalent d'une nouvelle chaise. Comprenez bien que demander à un pirate de régler pour une chaise cassée est parfois difficile quand celui-ci possède une très grosse prime et un équipage fou derrière lui.
Cette situation est déjà arrivée, mais quand le matériel est vraiment détérioré et que le patron est de mauvaise humeur, il n'est pas bon de se trouver dans l'établissement. Des trous, il en fait très bien et n'a pas peur de sortir les armes lourdes. Pour les plus belliqueux, une salle de combat a été aménagé. Il n'est pas rare de voir des paris sur ces mêmes combats.
Jusqu'à maintenant, le patron jouit d'une très bonne renommée, ce qui lui apporte tous les jours une nouvelle vague de client. Personne ne se plait de ses tarifs, ni même de ses règles. Car il existe une seule et unique règle, à l'intérieur la boisson doit couler à flot.
C'est dans ce contexte, que Shoma, fidèle à lui-même arriva avec son petit navire de pêche. Fier de son petit navire qu'il avait volé, il sillonnait les mers en quêtes d'actions et d'aventures.
Toujours en quête de bons plans, il avait entendu parler de ce lieu. C'était par le biais d'un pêcheur. L'homme y était venu pour se détendre loin du regard de sa femme. Histoire de boire et regarder quelques combats, des activités d'homme que sa femme n'acceptait visiblement pas. Il était venu avec quelques Berry (400B), juste de quoi se payer deux bières et avait finalement décidé de se laisser tenter par les paris d'argent. Finalement la chance était avec lui et il quitta l'établissement avec trois fois sa mise. C'était vraiment bien. La somme en question n'était pas importante, sinon Shoma le lui aurait volé, mais étant donné qu'il le lui avait conseillé, alors il avait mis les voiles dans la direction de la petite poule aux oeufs d'or.
Les pontons étaient presque tous occupés. Il ne restait que quatre libres et les navire amarrer qui avaient jeté l'ancre tout proche n'était pas de petite embarcation comme la sienne, non. C'était plutôt des navires capables d'accueillir dix, douze personnes.
Poussant les portes battantes, Shoma y découvrit une ambiance conviviale. C'était un peu comme un petit saloon. Un grand bar orné d'une multitude de fusils et pistolets situé derrière le comptoir à la vue de tous. Des hommes, des femmes et même quelques rares Okamas. Tous réunis dans un même bâtiment, tous en train de manger, boire, parler, blaguer.
Au milieu de la salle, un grand rond qui donnait une vue direct sur les deux étages inférieurs. Il n'avait qu'à pencher la tête pour regarder le combat qui se déroulait en dessous. Shoma comprenait maintenant pourquoi, le pêcheur venait ici prendre un peu de recul sur ce qui se passait chez lui. Ici c'était un tout autre monde, ici le mot liberté prenait un sens.
Ce qui troubla le plus Shoma était la présence d'un petit groupe de soldat de la marine. Pourtant, il n'avait pas vu de navire portant les couleurs de la marine. La première chose qu'il se dit dans sa tête était qu'il devait la jouer discret. Ce genre de bestiole, ça retourna sa veste assez rapidement. Les quatre hommes habitaient une île non loin. Ils étaient pour ainsi dire des habitués. Chaque semaine, ils venaient se saouler et profiter des joies des jolies filles avant de retourner discrètement dans leur maison. Pourquoi venaient-ils vêtu ainsi, personne ne le savait. Ici on ce mélange, mais on ne parle pas avec les poulets, à part quand l'argent est en jeu.
Dernière édition par Mantle Shoma le Dim 15 Jan 2012 - 23:44, édité 1 fois