Un paysage de rêve, une ville reposante et de très brave gens. Voici les principales caractéristiques de Tanuki, une petite île de North Blue. Pour un homme cherchant de l’aventure, la tranquillité de cet endroit était fort pénible. Les derniers rayons du soleil disparaissent derrière les somptueuses montagnes, laissant place au rayon d’une jeune lune.
Les habitants de la ville commençaient tout doucement à rentrer chez eux, afin de dîner avec leur famille. Ce n’était pas le cas d’un jeune homme, dont les traits étaient cachés par un chapeau. En effet, n’étant pas de la ville, il cherchait désespérément une auberge pour la nuit. « Le Coin des Joyeux » semblait convenir. L’établissement était tenu par un homme en chair et sa douce femme, dont les charmes en faisaient rêver plus d’un.
Le jeune homme choisit une table près du bar. Dès que sa commande arriva, il dévora son repas comme s’il n’avait pas mangé depuis plusieurs jours. En mangeant, le voyageur tendit l’oreille.
Je suis bien content que l’on abrite une base de la marine ! Je commençais à en avoir marre de tous ces pirates !
Ah qui le dis-tu. J’ai entendu dire qu’un navire au port se charge de transporter les prisonniers.
Ouais, je l’ai entendu aussi. Selon mon beau-frère, le pirate que l’on a arrêté l’autre jour est à bord…C’est quoi son nom déjà ? Golavire...Galobir….ah non, Galowyr !
Ayant finis son repas, le voyageur s’intéressa à la discussion.
Pardonnez ma curiosité brave gens, mais savez-vous ce que transporte ce navire ?
Ben non, aucun marine n’a voulu nous le dire.
Moi je vous le dis, c’est sans doute des armes.
Possible, le nouveau marchand d’arme de notre île est l’un des meilleurs !
Si vous voulez en savoir plus étranger, interrogez directement un marine !
S’excusant, le jeune alla reprendre sa place un peu à l’écart, buvant un drôle de cocktail, une spécialité locale. Son attente fût récompensée, à croire que les dieux l’avaient écouté. Un jeune marine pénétra dans l’auberge. Celui-ci s’installa près de notre voyageur, et commença à boire.
J’ai bien fait de devenir marine ! Je peux boire sur chaque nouvelle île, voyager, et être payé !
Il ne fallait pas être un génie pour réaliser que la boisson déliait la langue de cet homme. A peine enrôlé dans la marine depuis quelques heures, notre homme, Charles Magnes, profitait de sa dernière journée de liberté avant un long voyage en mer. Son navire s’occupait du transport d’arme, sous le commandement d’un lieutenant, ou un gars avec un rang similaire. Après une quinzaine de verre, notre étranger réussit à tout savoir à propos de Charles.
M’en fait, t’appelle commeu toi ?
Noroma D. Seido. Mais chut, c’est un secret. Viens, on va aller prendre l’air …
Le souffle glacial du vent fit frémir Charles, simplement vêtu de son habit de marine. La nuit était déjà bien avancée, très avancée.
Faudrait m’conduire au navire vieux, sinon j’risque d’être de corvée de patate pour mon premier jour !
Son interlocuteur lui sourit, et l’aida à marcher. Ayant un peu trop bu, le marine ne se rendit pas compte qu’on le conduisait dans la direction opposé, près d’une ferme.
*BAM*
Après avoir proprement assommé Charles, le dénommé Seido le déshabilla et enfila ces vêtements. Rangeant ces propres habits dans son sac à dos, il salua son pauvre ami, non sans l’avoir ligoté et bâillonné.
Voilà ce qui arrive quand on parle avec un pirate...
Le sourire aux lèvres, il se dirigea vers le navire de la marine. Il était temps de s’amuser un peu. Une fois au port, on l'accueilli chaleureusement.
Halte là ! Qui êtes-vous ?
J'suis le nouveau Magnes, Chales Magnes. C'est mon nom quoi ...Suis nouveau ...Et suis pas saoul !
Le marine, un grand gaillard, laissa échapper un long soupir.
Allez monte Charles, on va te trouver un endroit où dormir. Demain, il y a encore du boulot à faire !
Les habitants de la ville commençaient tout doucement à rentrer chez eux, afin de dîner avec leur famille. Ce n’était pas le cas d’un jeune homme, dont les traits étaient cachés par un chapeau. En effet, n’étant pas de la ville, il cherchait désespérément une auberge pour la nuit. « Le Coin des Joyeux » semblait convenir. L’établissement était tenu par un homme en chair et sa douce femme, dont les charmes en faisaient rêver plus d’un.
Le jeune homme choisit une table près du bar. Dès que sa commande arriva, il dévora son repas comme s’il n’avait pas mangé depuis plusieurs jours. En mangeant, le voyageur tendit l’oreille.
Je suis bien content que l’on abrite une base de la marine ! Je commençais à en avoir marre de tous ces pirates !
Ah qui le dis-tu. J’ai entendu dire qu’un navire au port se charge de transporter les prisonniers.
Ouais, je l’ai entendu aussi. Selon mon beau-frère, le pirate que l’on a arrêté l’autre jour est à bord…C’est quoi son nom déjà ? Golavire...Galobir….ah non, Galowyr !
Ayant finis son repas, le voyageur s’intéressa à la discussion.
Pardonnez ma curiosité brave gens, mais savez-vous ce que transporte ce navire ?
Ben non, aucun marine n’a voulu nous le dire.
Moi je vous le dis, c’est sans doute des armes.
Possible, le nouveau marchand d’arme de notre île est l’un des meilleurs !
Si vous voulez en savoir plus étranger, interrogez directement un marine !
S’excusant, le jeune alla reprendre sa place un peu à l’écart, buvant un drôle de cocktail, une spécialité locale. Son attente fût récompensée, à croire que les dieux l’avaient écouté. Un jeune marine pénétra dans l’auberge. Celui-ci s’installa près de notre voyageur, et commença à boire.
J’ai bien fait de devenir marine ! Je peux boire sur chaque nouvelle île, voyager, et être payé !
Il ne fallait pas être un génie pour réaliser que la boisson déliait la langue de cet homme. A peine enrôlé dans la marine depuis quelques heures, notre homme, Charles Magnes, profitait de sa dernière journée de liberté avant un long voyage en mer. Son navire s’occupait du transport d’arme, sous le commandement d’un lieutenant, ou un gars avec un rang similaire. Après une quinzaine de verre, notre étranger réussit à tout savoir à propos de Charles.
M’en fait, t’appelle commeu toi ?
Noroma D. Seido. Mais chut, c’est un secret. Viens, on va aller prendre l’air …
Le souffle glacial du vent fit frémir Charles, simplement vêtu de son habit de marine. La nuit était déjà bien avancée, très avancée.
Faudrait m’conduire au navire vieux, sinon j’risque d’être de corvée de patate pour mon premier jour !
Son interlocuteur lui sourit, et l’aida à marcher. Ayant un peu trop bu, le marine ne se rendit pas compte qu’on le conduisait dans la direction opposé, près d’une ferme.
*BAM*
Après avoir proprement assommé Charles, le dénommé Seido le déshabilla et enfila ces vêtements. Rangeant ces propres habits dans son sac à dos, il salua son pauvre ami, non sans l’avoir ligoté et bâillonné.
Voilà ce qui arrive quand on parle avec un pirate...
Le sourire aux lèvres, il se dirigea vers le navire de la marine. Il était temps de s’amuser un peu. Une fois au port, on l'accueilli chaleureusement.
Halte là ! Qui êtes-vous ?
J'suis le nouveau Magnes, Chales Magnes. C'est mon nom quoi ...Suis nouveau ...Et suis pas saoul !
Le marine, un grand gaillard, laissa échapper un long soupir.
Allez monte Charles, on va te trouver un endroit où dormir. Demain, il y a encore du boulot à faire !