[Fiche d'île] L'île aux esclaves

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Officiellement, l'ile que la plupart des gens nomment l'ile des esclaves appartient au Royaume de Saint Urea. Sa géographie, une cote dangereuse, rocheuse et escarpée comme si elle avait jailli de la mer et au-dessus un immense plateau fertile à souhait, en faisait en effet un endroit parfait pour trouver ce qui manquait de plus en plus à la tentaculaire cité de Saint Urea, de la place et de la nourriture...

Et comme il n'était pas question d’installer des colons sur place pour qu'ils s'y étendent à leur aise, c'est tout naturellement qu'on y envoya des esclaves, beaucoup d'esclaves...

L'ile ne comporte qu'un seul accès sans risque à la mer, endroit que l'on a choisi sans trop de surprises pour y installer l'unique ville de l'ile, la Nouvelle Réa. Une ville de petite taille bâtie autour de trois impératifs, faciliter l'exportation des produits que récoltent les esclaves, empêcher les esclaves de sortir tout en faisant rentrer régulièrement de nouveaux, et divertir la garnison qui surveille le travail...

Ce qui fait que la nouvelle Réa est essentiellement un immense taudis fortifié coté mer comme coté terre où se côtoient marchands, militaires, esclaves et trafiquants d'esclaves divers dans un ballet frénétique qui ne s'interrompt jamais...

• Le grenier de West :
  D'un point de vue agroalimentaire, l'ile aux esclaves est surement le coin le plus rentable des Blues. Prés de quinze mille esclaves y exploitent en permanence la moindre parcelle de terre pour un salaire nul et un cout d'entretien tout à fait réduit. Avant de charger de grains d'énormes bateaux à destination de Saint Urea, de Goa, et des principales bases de la marine...
  

À l'heure actuelle, c'est la 69ᵉ division au grand complet qui s'occupe de la sécurité de l'ile. Elle est forte de 1500 marins, qui s'occupent essentiellement de la sécurité des cotes et de la ville. La surveillance des champs étant assurés par des contremaitres venus de Saint Uréa, dont le nombre varie entre huit cents et un millier...





 ► [1625] Infiltration et libération :
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 ► [1626] La Stratégie Fenyang :
Prévenu par Ivan de Cimitiéro, ancien révolutionnaire ayant rejoint la marine, d'une opération révolutionnaire visant à assaillir l'ile aux esclaves pour une libération massive, la marine confie au Vice-amiral Fenyang et sa flotte le soin d’empêcher l'opération. Une opération que le Vice-Amiral mène a bien avec son efficacité coutumière. Faisant une cinquantaine de prisonniers parmi les soldats de l'armée Révolutionnaire et envoyant par le fond la totalité de leur flotte de secours.
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 ► [1626] Une balafre dans le grenier :
L'île aux esclaves se serait vue dépouillé de plus d'un millier d'esclaves, suite à un assaut éclair du plus violent de membres non identifiés de la révolution. Malgré toute la bonne volonté de la marine, celle-ci a été incapable de les rattraper à temps. Le bilan est lourd puisqu'ils ne se sont pas contenté de brûler les fermes, mais aussi de piller celles-ci de leurs provisions.
Un des assaillants révolutionnaires semblerait ne pas avoir compris le principe d’anonymat, puisqu'il aurait fanfaroné de manière ostentatoire avec un Meitou. Quel est donc son but ?
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 ►[1628] Le prix du fer :
L'Iron Fleet, flanquée de deux cuirassés à la couleur rouge sans équivalence, attaquent l'île aux esclaves. Le colonel manchot Jess Späre aux commandes de la garnison, perd la vie en défendant l'île, une bonne partie de la ville est détruite dans le bombardement des pirates. Un millier d'esclaves libérés de leur fer, et voilà déjà l'Iron Fleet repartant en mer, une fois la poussière retombée, et la découverte du meurtre d'un notable. Les riches esclavagistes se réunissent, il est temps de demander des comptes au gouvernement concernant l'incompétence de leurs officiers. Pour Izumi? Un dernier coup d'éclat sur les Blues.
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