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La neige, un monstre et des pingouins.

Le temps est si doux, ça fait un bon moment que je suis partie de chez moi et revoir de la neige et de la glace me rend un peu nostalgique. Enfin je ne suis pas là pour cela. En fait j'avais envie de venir jusqu'à cette île puisqu'il y a une exploitation minière qui a fait la découverte d'un métal qui semble intéressent, bien que plus fragile que le fer, il est aussi bien plus léger ce qui offre de nombreuses perspectives d'alliages. Enfin pour ça il va en falloir une bonne quantité pour faire des tests sachant que pratiquement tout sera gaspillé avant d'obtenir potentiellement quelques choses d'utilisable. Donc en profitant d'une permission, mon portefeuille va douiller sec plus que n'importe qui dans cette histoire. Bref c'est suite à un cour voyage sur un navire de ravitaillement de la marine que je rejoins un petit village de pécheurs qui est la première étape de mon périple vers le pays de l'or bleu enrobé de pierre noire. Cet endroit et vraiment jolie à bien y regarder. Quelques maisonnées en bois sombre avec une base en pierre, surmonté de toits triangulaire avec des tuiles en forme d'écaille marron, pour celles qui sont visible sous le lourd manteau blanc de l’hiver. Une épaisse fumer blanche sort des cheminée et je remarque que les poutres apparente des charpentes son sculpté avec diverses tête d'animaux. J'ai donc revêtu ma tenue la plus courante, constituée d'une robe courte rouge à doudoune blanche, une paire de bottes en cuir noir, un collier en fourrure et deux manche du même velours rouge que le reste de ma tenue et avec la même simili fourrure. Sans oublier une ceinture. Là d'où je viens il fait quand même plus froids qu'ici alors je n'ai pas encore besoin de ma veste que je garde tout de même dans un de mes sac de voyage. Oui les femmes emportent toujours trop de truc, mais il faut bien prévoir et puis j'emporte toujours mes vêtements renforcés au cas où dans mon sac marin qui est sur mon dos. Pendant la traversé j'ai observé un flacon. J'ai reçu d'un professeur, membre de la compagnie du chat noir une fiole qui contient... de la chance ? C'est quoi cette aberration ? C'est certifier par la marine, mais quand même depuis quand le destin heureux ou mesquin peux se contenir dans une fiole en vert ? Je ne l'ai pas ouverte pour ne pas la gâcher au cas où quand même.

J'ai rapidement vu qu'un des autochtone a regardé le navire les yeux pleins d'espoir et maintenant râle comme s'il attendait quelques chose. Bon c'est le travail de la marine d'aider les civils, même si là je n'ai pas la moindre autorité. Alors je m'approche, le charbon de ses yeux éteins se rallument d'une lueur vive en me fixant, comme deux flammes qui embrase son regard... j'ai la vague impression que c'est le début d'un quiproquo embarrassent.

"Un problème ?"
"Avec votre fusil sur l'épaule et le couteau à la ceinture vous avez l'intention de chasser ?"

Ah oui, j'ai oubliée de préciser que j'ai pris un fusil en bandoulière avec au cas où, mon prototype est bien trop instable pour être utiliser et la marine à refuser de me laisser partir avec une arme lourde en permission de toute manière. Bref donc j'ai un fusil basique et un couteau ? Quel couteau ? Je regarde à ma ceinture, rien. Hum le monsieur à des souci de vu ?

"Quel couteau ?"
"Celui la pardi !"

Dit-il en plaçant et ajustant le fourreau d'un couteau de combat à ma ceinture.

"Heu..."
"Vous êtes fin prête maintenant mam'selle!"
"Ça vous arrive souvent de donner une arme à une touriste ?"
"Bin non ! Mais vous avez le regard du soldat, celui qui rend service aux gens."

Sous-entendu de la bonne poire...

"Et puis qui c'est qui va chasser le monstre sinon !"
"Monstre ?"
"Qu'elle magnifique esprit mam'selle ! Les gens de Jordvask seront heureux de voir enfin une chasseuse de monstre, hourra pour la mam'selle ! Même pas besoin d'avertir la marine ou de payer des professionnelles !"

C'est alors que quelques personnes commencent à se ressembler avant même que j'ai le temps d'en placer une... une petite foule s'amasse certain travaillaient et c'est alors que j'ai senti des tremblement, ils sont plus pourrie les uns que les autres des pieds à la tête. Il y en a même un avec de la... des matières marrons sur ses vêtements ! Je commence donc à essayer de trouver un moyens de me sauver de la crasse avant d'être corrompue ! Seul échappatoire, la sortie du village, enfin la route qui y conduit.

"Vous avez raison mam'selle allons y tout de suite. J'en pleure d'émotion tans de bonté ! Qu'elle bénévole, qu'elle femme !"

Si je n'étais pas trop préoccupée par mon début de fuite, j'aurais peut-être réfléchie, mais la saleté est trop dangereuse pour ! Enfin la sortie... mais pourquoi ça n'arrive toujours à moi ce genre de chose aussi ! Manquerai plus qu'il pleuve tiens ! Bon ne tentons pas le diable. On embarque dans une charrette pour faire le chemin, un petit coup de lingette et c'est bon. En fait, la route en terre battue revêtue de gravier et cailloux ne laisse pas le choix sur la destination, Jordvask doit être le carrefour de plusieurs routes je suppose. Autour du village c'est asses défraichie, on peut voir le reste d'un bois qui a servi de matière première aux constructions et le chemin en pente ne laisse pas apercevoir la destination. Le terrain est sous la neige et cela à perte de vue ce qui donne la fausse impression que cela s'étend à l'infini.

"Ce n'est pas six petites heures de route qui vont vous faire peur j'imagine."
"Non."

Pendant tout le voyage, l'homme qui conduit l'attelage d'ailleurs à fait la conversation pour deux, non en fait il l'a certainement fait pour un groupe complet d'une douzaine de personnes. Dire qu'il a la langue pendu est un pléonasme tellement son débit de parole rapide est régulier ne laisse pas le temps de dire quoi que ce soit, sauf de petite onomatopées rapide. En fait ça en est presque surhumain ! Sur le chemin on a croisés quelques rares personnes, ce qui sans changer son rythme de paroles à au moins eu le mérite de changer un peu les registres de conversation. D'ailleurs il m'a tellement pris le choux, presque pire qu'un enfant que je commençais à avoir des hallucinations, j'ai cru voir une bande de grand pingouins avec des écharpes rouges et des sacoches en cuir sur le ventre. En fait pour une personne menacé par un monstre il ne semblait pas beaucoup s'inquiéter de la discrétion. Suite aux plus longues heures de ma vie ou presque, on arrive enfin. Un village pittoresque et avec les mêmes décorations que le précèdent, les bâtiments prévu pour les quais en moins. Alors que l'on est à même pas deux minute de l'entrer mon accompagnateur qui ne m'a même pas donné son nom d'ailleurs se met à courir... Le temps que ça monte au cerveau il est trop tard, une foule admirative m'acclame au loin. Il vient simplement de démolir le seul échappatoire que j'aurai pu avoir, la recherche de mon minerai va attendre j'ai l'impression. Sur la place une bonne part de la population m'attend, il y a tellement d'étoile dans leur yeux que ça m'aveugle presque. Maintenant c'est officielle je suis un aimant à situations absurdes et hasardeuses.

"Vive la mam'selle chasseuse de monstre !"
"..."
"Papa tu lui as demandé son nom au moins ?"
"En fait..."
"Malpolie ! Goujat !"

Décidément cela peut toujours être pire, une enfant... Une petite robe blanche avec un pompon derrière pour imiter la queue d'un lapin, ce qui est assortit à son bonnet blanc avec de longues oreilles tombante sur le cotée. Deux yeux aussi noirs que ceux de son paternelle et des cheveux de jais qui tombe le long e son dos. La petite ne doit pas avoir plus de douze ans ce qui la classe dans la catégorie presque supportable. Elle donne un coup de pied contre le sol et lève les bras au ciel avec un air décidément bien énervé.

"Ne me dit pas que tu as baratiné la première venue pour la forcer à faire gratuitement le sale boulot quand même !"

D'un coup la foule se calme avant de recommencer à clamer des mam'selle de plus belle, décidemment pour eux même la première venu doit faire l'affaire, à moins qu'ils s'en moquent. Mon instinct me dit que je vais servir de chèvre pour dénicher la créature ou qu'ils ont tellement peur de la chose qu'ils sont près à laisser n'importe qui essayer. La naine déguisée en lapine s'approche de moi, j'essaye au mieux de garder mon calme, j'ai aucune patience avec les enfant ce n'est pas nouveau.

"Vous êtes qui ?"
"Caporal Yanagiba."
"Caporal ?"
"Ah ?"
"Oui."

Si elle me dit que je suis trop faible et que je vais me faire plier en deux à la première claque je sens que ma main va partir trop vite pour réfléchir.

"C'est génial !"

Zut... enfin non ce n’est pas que j'ai une envie folle de la frapper je ne suis pas une tortionnaire non plus, mais... Enfin un peu quand même. Même mon petit sourire de politesse à disparu sur la route c'est pour dire à quel point cette situation m'énerve. La foule se disperse et la mioche me prend par la main pour m'emmener chez elle surement, la seule chose qui lui a évité une taloche est que je l'ai senti venir et est réussis à garder un minimum de sang-froid. Néanmoins crispé je me rends chez eux. L'intérieur bien que rustique voir un peu classique reste néanmoins confortable, enfin ça en a l'air. Du bois, des meubles en bois, quelques peaux de bêtes... non pas aussi classique que ça en fait. Hein ?! Mais s'il y a des peaux e bêtes c'est qu'il a bien fallut les chasser ! Il ne me prend pas pour une idiote par hasard ? Avant même encore que je puisse l'ouvrir.

"C'est des importations."

Ah ? Tiens le plus surprenant c'est qu'il n'a pas fait de monologue ou que son histoire est moyennement crédible même pour moi c'est peu de le dire ? Quoi que certaines d'elles ont une toison d'été c'est possible en fait.


"Je suis Charles et elle c'est ma fille Émilie"
"Enchanté..."

Gnagnagna... je ne supporte pas les enfants.

"Pour résumé depuis deux jours un grand monstre, une sorte de grand homme avec une fourrure blanche et une peau sombre nous effrayent, nous ne savons pas pourquoi il s'approche autant du village dernièrement. En plus nos mineurs ont disparus le même moment, il se pourrai que..."

À ce moment la petit baisse les yeux, c'est là que j'ai commencé à comprendre que... je vais devoir crapahuter dans une mine poussiéreuse... Je sens ma volonté défaillir.

"Nous avons envoyé une demande d'aide à la marine pile au moment où vous êtes arrivé..."
"S'il vous plaît ! Le temps que la marine envoie des marins il sera peut-être trop tard pour ma maman et les autres !"

Je ne peux pas refuser, c'est mon devoir de protéger et servir, d'un petit hochement de tête je réponds oui. Néanmoins cette histoire m'intrigue, si cette chose est apparue que depuis peu pourquoi a-t-elle décidé de se montrer ? Quel est le rapport avec la mine ? Est-ce qu'il va pleuvoir ? Un grand nombre d'interrogations. Néanmoins je n'ai pas le temps de me pencher trop sur la question.

"C'est loin ?"
"Une demi-heure au plus."
"Il faut que j'y arrive le plus tôt possible."

Alors que je commence à sortir ma simili armure du sac marin que j'ai pris avec moi, je commence à me changer. Dans un geste presque instinctif la petite fille a retourné son père en le prenant par les hanche pour qu'il me tourne le dos avant même que j'ai enlevé ma jupe, allez savoir pourquoi. Une fois changé, je reprends le fusil à l'épaule par la bandoulière. Mes sacs sont encore dans la charrette, je sors.

"Je vais mettre vos affaire dans la chambre d'Émilie..."
"Papa ! Tu ne vas pas la laisser y aller seule quand même !"
"..."
"Cette chose pourrai nous mettre en pièce mon sucre d'orge !"
"Elle aussi !"

Pendant que le dialogue de sourd s'installe entre les deux, je vais voir ce que j'ai emporté au cas où. Bon de la poudre en tubes hermétiques, des balles, mèches, matériel d'entretiens d'armes et... rien d'autre d'utiles, sauf bien entendu quelques chiffons, mais là c'est l'évidence même qu'il faut avoir de quoi s'essuyer et se nettoyer. Bon... aller seule au charnier ne me tente pas beaucoup, mais y aller avec des civils ne s'envisage pas non plus. Pas question que mon dossier soit taché du sang des innocents. J'en profite pour poser des questions aux villageois.

"Vous avez vu des choses étrange au niveau de la mine où des alentours"
"En fait..."
"Ils n'ont pas pu disparaitre sans laisser de traces ?"
"Et bien..."
"Vous n'êtes pas allé voir ?"
"Non."
"Génial et s'ils... bref..."

Je n'écoute même pas leurs excuses, franchement c'est à trente petites minutes, je veux bien qu'ils aient peur, mais quand même... Enfin je prends une sacoche sur moi et en avant pour l'aventure, suite à dix minute de marche concentré au point de ne plus faire attention au reste, j'avance et me rappel des paroles d'une chanson, comme l'aurait dit la Sous-Lieutenant Dora:

"Allons-y Let's go. C'est parti pour les ennuies" ?
"Nous allons les trouver. Je sais qu'on peut y arriver !" ?
"Où allons-nous ?"
"A la mine !"
"Où allons-nous ?"
"A la mine !"
"Hein ?"

Non mais ce n’est pas vrai qu'est-ce qu'elle fait là ?! Effectivement je n'ai cas tourné la tête pour voir la mioche qui marche un peu derrière moi.

"TU COMPTE ALLER Où COMME çA !"

Oui je suis en pétard, c'est encore une preuve concrète que les couches culottes sont des sources de problèmes sans fin ! Alors que je pointe la direction du village d'un doigt vindicatif comme on le fait à un chien pour lui ordonner de retourner au panier, celle-ci regarde dans ma direction, mais un peu à côté. Ah non ! je ne me ferai pas avoir par un tour aussi connu !

"Des pingouins ?"
"J'ai l'air fraichement moulé dans la forge de l'idiotie ?"
"Avec des écharpes rouges."
"Et bien !?" ?
"Et une sacoche marron sur le ventre"

Encore ? Bon je jette un petit coup d'œil au cas où derrière mon épaule... oui ils sont bien là en fait, ils pique-nique sur la neige et me font même un petit coucou de leurs nageoires... Je leur répond bêtement d'un mouvement de la main, décidément l'hallucination à la dent dur. La petite ! Profitant de mon instant de faiblesse elle cour vers la mine ! Je me met à la poursuite de l'indésirable, comment un être avec d'aussi petites jambe peut courir aussi vite ? À moins que ce soit moi qui soit lente. C'est au niveau d'un petit entrepôt à côté de l'entrée de la mine que j'arrive à la rattraper, tiens elle glisse ? Je me suis tellement concentré sur elle que je n'ai pas vue la grande plaque de verglas devant le bâtiment. Ce qui fait qu'après une tentative désespérée de freiner, je me suis pris un mur en pleine face avant d'être à moitié enneigée, avec cerise sur le gâteaux un rire ultra aigue qui se moque de moi. Super il y a de la neige qui a infiltré ma tenue et il faut que j'en enlève une partie pour la faire partir. Une fois fait toujours énervée contre la petite.

"Retourne au village !"
"Seule ? Et si le monstre m'attrape ?"
"Il fallait y penser avant !"

Pour toute réponse elle me tire la langue, cette fois je ne peux plus elle a bien mérité la tape derrière la tête qu'elle vient de prendre, alors que je me prépare psychologiquement à subir l'assaut de pleure arrachant les tympan en grelotant légèrement à cause de la neige, finalement elle n'en fait rien...

"Ma mère frappe beaucoup plus fort !"

Sur le coup, je ne sais pas si je dois apprécier cette personne ou penser à la maladie qui me pend au nez si je ne vais pas me sécher un instant près d'un feu. Je suis la mioche dans l'entrepôt, celui-ci est constitué de deux pièces, une très grande pour le fruit de leur labeur et une pièce commune pour le repos certainement. Je m'installe prêt du feu que la petite viens d'allumer comme si elle avait l'habitude.

"Pas de trace de lutte, l'entrer n'est pas effondré, c'est vraiment comme s'ils avaient disparu pour le moment..."
"Tu n'as même pas vérifié dedans patate ! En plus celle-là est désaffecter, les filons sont dans une autre plus au nord."

Tiens elle m'a tutoyé... en fait j'ai fait pareil donc peu importe. Entre l'idée que mouiller je vais assurément me salir dans la mine et ce petit point de détail c'est la première chose qui prédomine. Comment est-ce que je vais bien pouvoir aller la dedans sans être couverte de... beurk... sèche ça serait peut-être possible, mais avec mes vêtements qui ont affrontés la neige et je n'ai pas vraiment le temps d'aller au village me changer. Enfin si, mais je ne préfère pas, bien que cela me demande un grand effort de volonté. Parfois la fine ligne entre la vie et la mort dépend de quelques secondes, alors une heure aller-retour. Un peu réchauffée, pas très rassurée et un peu moins humide, il est temps d'attaquer l'exploration de la mine. Une fois de nouveau dehors je me dirige vers l'entrée de celle-ci puis entend un bruit étrange.

"Agreu ! agreugreu agreu ! roareu ! "

Waow... C'est certainement le grognement le plus stupide que j'ai jamais entendu. La petite elle morte de trouille me colle derrière moi, ok, c'est ça le monstre ? [url=]*image*[/url] Une grosse boule de poil blanche qui n'a pas l'air super agressive... en fait elle n'a même pas d'expression c'est bizarre.

"Fais gaffe, il sourit tout le temps, mais c'est un méchant !"
Spoiler:

bon... je vais lui faire peur, je prends donc mon fusil et avant même que j'ai le temps de le viser il a presque disparu, bougrement rapide l'animal, mais comment a t'il fait pour comprendre que c'est dangereux ? L'instinct surement. Finalement un instant plus tard je le vois, ou plutôt son ombre s'approcher de l'entrée de la mine et par reflexe tir au sol dans cette direction. Il s'arrête net et me regarde, toujours ce grand sourire presque moqueur.

"Bon toi tu es une épine dans le pied de mon porte-monnaie."

C'est alors qu'il rentre son bras dans... son ventre ?! Pour en ressortir une dague. Mais c'est quoi ce délire ? J'ai cru voir une chemise sous la fourrure... l'animal à une fourrure artificiel ? Je n'ai pas réellement le temps de réfléchir. À peine j'ai eu le temps de recharger qu'il me fonce dessus très rapidement, non trop rapidement cela ne me laisse que le temps de plonger sur le côté avec la petite dans mes bras pour pas qu'elle se blesse. Pourquoi j'ai fait ça d'ailleurs ? Bref, pas le temps de réfléchir... encore de la neige partout. Non plus important un monstre à double rembourrage avec une arme blanche essaye de me tuer, pour une fois dans ta vie concentre toi sur ça et pas la... tache que tu t’es fait sur le bras. Nooooooon ! De la boue par le sain créateur ! Bon à force de penser à n'importe quoi j'ai de nouveau à le temps d'éviter son coup qui du coup à rebondit sur un renforcement de mon accoutrement. Avec si peu de distance, une gamine à surveiller et un fusil, mes chance de victoire frise le zéro absolu. Donc je décide d'essayer de me réfugier dans la mine et y cour en tenant Émilie par la main, manque de chance il l'a prévu et réussis à me donner un coup d'épaule pour me déstabilisé avant de me lacérer de sa lame mon bras gauche, le moins protégé il a dû le voir dans le feu de l'action. La situation est critique, pour le moment l'adrénaline me maintien un minimum, mais si je regarde mon bras je suis foutue, la vue du sang qui encrasse celui-ci, me vaudra certainement une mort rapide et radical. Il me fonce encore dessus, certainement pour me faire tirer pour rien et me rendre ainsi vulnérable, néanmoins je n'ai pas le choix. Je tir, je le rate, il ne me reste qu'un choix.

"Tu n'as fait que me donner le bâton pour te faire battre !"

Une seconde, c'est le temps que ça la déconcentré et ça a suffi pour me laisser jouer une carte, lui donner un grand coup de fusil dans le visage, une grande sape latéral directement dans la joue et c'est cette seconde d'inattention qui m’a permis de le faire. Pendant qu'il se tient la joue de douleur, je me remet à courir avec la demoiselle qui heureusement ne s’est pas encore mit à pleurer. Mais ça ne m'a servi qu'à gagner un peu de temps, j'entends l'écho de ses pas sourds derrière nous. J'ai peur, elle à peur, nous avons les pétoches génial ! Et je... non ne pas y penser. Le dos contre une paroi, j'en profite pour recharger malgré la douleur et l'autre gugusse qui se rapproche. Bon j'avoue, je n'ai pas regardé ou je vais et le peu de luminosité de l'endroit fait qu'on est certainement perdu... Que de bonnes nouvelles donc.

Cela fait maintenant un bon moment qu'on est dans les étroit couloir de ce tunnel, il me semble que les bruit de pas du monstre ont cessés, mais dans le doute je ne préfère pas essayer. Maintenant c'est sûr, il n'y a personne dans ces mines et je suis cradingue. J'ai largement eu le temps de constater les dégâts et pleurer sur mon sort durant le chemin. Finalement on se permet une pause, assissent sur le sol j'essaye de penser très fort à mon dernier bain.

"Je suis déjà allé dans la mine avec maman, mais je ne sais pas où on est... tu crois qu'on va sortir un jour ?"
"Non ! Fiche moi la paix..."

C'est alors qu'elle n'a plus dit un mot et sanglote, j'ai déjà asses de problème, pour ne pas en plus avoir sa crise de panique à gérer. Surtout que si quelqu'un doit pleurer c'est bien moi non ? Je me retrouve au milieu de nul part avec une mioche qui pleure et tacher... Le monde est injuste pourquoi la saleté existe ! Je veux ma baignoire !!! Finalement Émilie est sortie de sa léthargie, déchire une de ses manche et bande mon bras, c'est gentil... même pour une chose de ce genre. Finalement on se relève, je ne tiens pas à rester dans la fange et elle à mourir de faim dans quelques jours. Doucement, mais surement on avance donc, de temps en temps on croise une goutte de sang, ça me dégoute de me fier à de la saleté quand même. Le problème se pose toujours par contre, comment le battre ? Je n'ai pas grand-chose sur moi, l'équivalent de six coup de fusil en poudre dans un tube isolant, des mèches et les munitions qui vont avec... En dernier recourt, je pourrai utiliser le petit tube de poudre avec une mèche ? Mais... dans une mine ce n'est jamais une bonne idée de faire exploser des choses. Néanmoins je me suis stoppé pour le faire, de toute manière je n'aurais pas encore le loisir de lui tirer dessus, il m'aura certainement tuée avant un second coup. Bon, c'est un coup à jouer sur la chance, dans l'immédiat je n'ai pas le choix je pense. C'est finalement... je ne sais pas combien de temps est passé la dedans, mais je crois entendre une voix. Il me semble que c'est le monstre ? Je me plaque contre la paroi la plus proche la petite aussi, il semble parler à quelqu'un.

"Leeroy il y a un problème ici."
"Quoi encore ?"
"Une femme et une enfant dans la mine, je suis désole je n'ai pas réussis à les effrayer ou les arrêter ça fait trois heures que je les cherche la dedans sans résultat."
"Imbécile heureux tu ne nous préviens que maintenant ! Reviens ici tout de suite, les mineurs sont dans la cale et cette mine est inutiles de toute manière"
"Ok."
"... ... ... Le boss à décider d'incendier le village au cas où, pas de témoin."
*Catching*

À ce moment-là j'ai senti mon sang se glacer, pas seulement la crasse, qui est asses ignoble pour détruire un village après cinq pauvre seconde de réflexion en plus. Je lâche la bouche d'Émilie que j'ai obstrué par reflexe et heureusement, j'ai senti de l'air chaud elle aurait certainement hurlé... C'est horrible, mais on n'est pas en capacité de les aider, il n'y a plus qu'à prier pour que la marine arrive avant les ? Qui d'ailleurs ? J'ai vu les avis de recherche il n’y a pas longtemps au QG et il n'y avait pas de Leeroy dedans, encore moi sur North Blue. En faisant le moins de bruit possible je le suis de loin avec l'enfant... Il doit savoir où est la sortis et une fois qu'il sera suffisamment loin de la mine ou partira prévenir les villageois. Je ne peux rien faire d'autre dans cet état. On est proche de l'entrée, j'ai reconnu une marque sur l'une des poutrelle de soutien, on attend toute les deux un long instant qu'il s'éloigne, plus un bruit, c'est bon. Tout ce qu'il me reste c'est un fusil, une balle et un tube... certainement explosif qui n'est pas une bonne idée d'employer et ah oui ! Si ça fonctionne le flacon de 25 lumens. Se fier à un coup de chance n'est pas très logique, mais je ne suis pas dans un cas où je peux faire la fine bouche. À chaque pas, j'entends le doux ruissellement de l'eau et le frottement du savon sur ma peau quand j'aurai atteint le village. La propreté m'attend, je veux sortir de cette enveloppe d'immondices ! Oh joie ! Oh propreté qui se rapproche de son doux chant... en fait non.

"Surprise !"

Comme un diable en boite, il est sorti d'un couloir certainement pour boucher le chemin de la sortie.

"Niveau discrétion c'est à revoir ma grande !"

Je ne pense pas qu'il a tort. Cette fois c'est officiel, nous somme fichu. Alors qu'on se regarde en chien de faillance, j'ai maintenant le tube dans la main et de quoi l'allumer, le fusil en bandoulière sur l'épaule, le couteau à la ceinture et la fiole dans une poche. Je n'ai que quelques secondes avant qu'il n'attaque alors quitte a risqué le tout pour le tous... excuse-moi petite, je joue aussi ta vie aux dés espérons que tu es nés sous une bonne étoile. J'allume l'engin et le lance vers lui, surprit il fait un pas en arrière ce qui me laisse le temps d'irradier la petite avec le contenue de la fiole, alors qu'elle est traversé par un jolie trèfle vert, le truc s'active... Effet secondaire non prévu, celui-ci est propulsé un instant après que le bouchon est était souffler et le tube part comme une flèche. derrière nous deux, finalement la fiole ne fonctionne pas puisque l'explosif fonctionnera bien et derrière nous deux en plus. Alors que ça explose je sprint avec la petite dans les bras poursuivie par le souffle d'une belle détonation la mine commence à s'effondrer et on cour comme si... en fait notre vie en dépend. J'ai joué la mauvaise carte, au bout de dix seconde j'ai compris que c'est trop rapide, on est foutu... À cause de son costume ridicule lui se retrouve au sol et j'ai entendu un râle de douleur suivi d'un bruit d'os écrasé... de la poussière, beaucoup de poussière, trop de poussière et de la roche aussi. Le tunnel gronde et le sol tremble, finalement je trébuche aussi... Dans un dernier effort j'essaye de pousser la petite aussi loin que je peux avant de finir le genoux au sol. Le temps de recommencer à courir c'est trop tard, une roche est tombée sur mon dos et je suis dans le noir le plus total. Youpi, j'ai de la chance, grâce à mon armure je ne vais pas avoir le droit de mourir sur le coup, non ça va être plus drôle de suffoquer dans un moment.

Je manque d'air, je n'essaye même pas de compter le temps, ça fait peu de temps que je suis enterré vivante dans les décombre, bizarrement je n'ai pas si mal au dos, soit la roche était trop petite pour démolir la coque de ma protection, soit je ne sens plus rien et de toute manière je m'en moque, puisque je vais finir étouffée.

"Dood ?"

Tiens je délire maintenant, je vais bientôt partir pour un monde meilleurs, immaculé, propre...

"Dood."

Oh ! Une lumière ! C'et la fameuse lumière au bout du tunnel, merci à toutes les douches qui un jour m'ont lavé de l'impureté, vous me manquerez.

"Dood !"

Je vois un pingouin... Ah non ma dernière image ne va quand même pas être c'est satané bestioles à écharpes ! Et bien si... a non il est en train de déblayer... avec ses congénères.

"Caporal ! heu... je ne sais plus comment, tu vas bien ?!"
"Ah ah ah..."
"Dood ?"
"Apelle moi Rei et arête avec tes Dood..."
"Je suis si heureuse Rei, les pingouins mon tirer juste avant que je me prennent un rocher, j'ai eu beaucoup de chance."
"De la chance oui."

Finalement sortie de la dedans, j'ai aussi heu de la chance, je crois que j'ai que le bras de casser... peut-être une côte ou deux avec. Aïe... non pour les côtes c'est sûr en fait. Bon le fusil est tordu, le magasinier va faire subir à mon cou la même chose je le sens. En me soutenant de l'arme casé comme d'un bâton de marche, très doucement je vais vers la sortie.

"Il va falloir que tu aille sans moi prévenir ton village Émilie"
"Ils ne me croiront jamais !"
"Avec une volonté de fer tous est possible."

Les larmes aux yeux, la petite me regarde, je lui souris et bizarrement je crois que c'est un beau... faire cette tête devant une mioche c'est une première... Je lui caresse un peu les cheveux avant de la voir partir, je n'aime pas l'idée de laisser une petite fille seule aller la bas, mais je ne risque pas d'arriver à temps dans mon état, bon je suis avec un bande de pingouin... l'un d'eux ramène une sorte de traineau ? il compte faire quoi avec ça ? Ils me font m'allonger dedans un peu brutalement puis commence à le tracter... En plus de tous les reste... ils font chien de traineau ?

"Dood, dood, dood !"

Je ne cherche pas à comprendre, à cette allure je serais au village en une heure, certainement trop tard d'ailleurs suivant la distance entre le village et la base des mécréants, peut-être même que j'ai envoyé la petite dans un guet-apens ?! Mais qu'elle c***e ! Préoccuper entre la saleté, le douleur, la crasse, le village, les impuretés, Émilie, La boue et le chant de noël de cinq pingouin, je fini par arriver. Bon la bonne nouvelle, c'est qu'il n'est pas incendier, la mauvaise c'est qu'en me voyant avec cinq pingouin et donc comprenant certainement que Émilie a dit la vérité, ils paniquent... Ce n’est pas gagné. Après avoir retrouvé le sol je marche doucement vers l'intérieur pour les voir courir comme des poulet sans tête.

"Silence !"

Le peu d'autorité que j'ai eu à ce moment c'est essoufflée, quand je l'ai été et qu'en plus j'ai toussée. Aller au port est impossible, il y a des chances qu'ils viennent de là, il va donc falloir se barricader et prier le saint savon que des soldat de la marine ne tardent pas trop s'ils viennent effectivement.

"La seule chose à faire et se calmer et réfléchir à nos possibilités."

Bon certains se sont calmés, se sont aligné devant mois et font un ersatz de salut de marine, ok j'ai compris c'est à moi de prendre les responsabilité et qui portera le chapeau à la fin, sympa les gars. Bon en pointant du doigt différentes personnes devant moi.

"Toi rassemble les personnes qui ne sont pas en mesure de se défendre et rassemble les dans la maison la plus solide du village, vous deux rassembler les gens valide pour former des barricades, toi et toi l'inventaire des armes et les quatre derniers scruté autour du village sur les toit, il faut absolument savoir quand ils arriverons, pas une minute à perdre... Rompez !"

Les pingouins eux... on mit beaucoup de bonne volonté pour aider à monter les barricade, c'est un petit village à la bordure d'une mine alors niveau armement c'est léger, une demi-douzaine de fusils avec leur propriétaires qui savent s'en servir avec un pour moi. Les petits être vont les aider à recharger entre chaque coup, j'ai était surprise de les voir entretenir des armes... Ils sont quoi en fait ? Finalement l'alerte a été donnée, tout le monde protégé à leur postes. Cachée derrière un coin de mur je les vois s'approcher sans avoir l'air étonnés outre mesure, ils sont une quinzaines ça va être une escarmouche d'usure jusqu'a qu'ils nous tue ou que d'hypothétiques renfort n'arrivent.

"Rendez-vous sagement et on vous aurez la vie sauve !"
"Menteur !"
"C'est vrai, allez les gars tuez-les tous jusqu'au dernier !"

Quitte à mourir, autant le faire avec panache avec un retour du bon vieux siège. Il ne manquerai plus qu'il y ai des diligence qui tournent autour et des gens à cheval qui tourne dans un cercle autour des diligences... Bon il y aura quelques pirates mort au moins, le temps qu'ils arrivent jusqu'au corps à corps et nous transforme en steak hachés. Je sors régulièrement de ma cachète pour tirer un coup, puisqu'ils ne sont pas suicidaires ils essayent de nous encercler sans faire de charge, non ils cour beaucoup et attendent une ouverture. Il n'a pas fallu plus qu'un quart d'heures pour qu'ils commencent à entrer, des blessés graves il y en a maintenant, mais c'est fini ce n'est pas six chasseur qui arrêterons autant de pirate assoiffés de sang, sur quinze pirates dont un capitaine qui doit fendre des cranes au petit déjeuner, trois sont au sol, cinq encore autour et donc sept défonce les barricades don le capitaine. Il est facilement reconnaissable avec son tricorne noir et un oiseau empaillé sur l'épaule. Cinq minutes, c'est le temps qu'on a tenu une fois qu'ils sont entrés, je suis maintenant seule et encerclés, pour le moment il n'ont "que" tabassés les villageois qui était en dehors des maison, certainement pour ne pas laisser trop de traces.

"Miam, toi je vais t'emmener pour te faire crier... Dans ma couche et ailleurs avant de laisser mes gars jouer avec toi."

Il lèche le tranchant de sa lame, son sabre au clair et ses pirates autour forme peu à peu un cercle, il compte jouer un peu avec moi avant de partir, il ne doit pas savoir que la marine va arriver... enfin qu'elle peut arriver. Il commence t'abord par tourner autour de moi, je n'ai pour ma par ni l'envie, ni la force de trop bouger, je n'ai plus de munition et il le sais puisque le fait de l'avoir tenue en joue à son approche ne lui a fait ni chaud ni froid. Premier assaut, un coup net qui m'entaille la joue il veut faire durer le plaisir pour le plaisir. Deux entailles, cinq, dix, c'est lassant à force et je n'ai pas la moindre ouverture... peut-être retenter le coup de la mine, ce qui compte dans un combat c'est la victoire.

"Il faut casser la noix Pour en avoir la chair.
"Quoi ?"
"On dit comment.

Imbécile, tout en disant mes dernière parole j'ai profité de son trop plein d'assurance pour envoyer un coup de pied, verticalement, direct tel un levier partant directement dans ses bijoux de familles, l'excès de zèle est dangereux, alors qu'il lâche son arme et que ses homme se tienne cet endroit avec le visage crispé de douleurs comme s'ils recentraient la douleur de leur capitaine. Je ne perds pas la moindre seconde, passe derrière lui et prend le couteau que je place sous sa gorge. Ce n'est pas très élégant, mais je n'ai pas vraiment le choix.

"Lâchez vos armes...

Cela ne les arrêtera certainement pas, il y en a bien un qui avancera pour être que je le fasse et qu'une autre personne prennent sa place. Ils se regardent d'un air interrogatif et c'est à ce moment-là que des bruit d'armes à feu retentissent suivie de bruit de pas. Des marins entre, les pirates pris au dépourvue rendent les armes. La cavalerie arrive toujours en retard. L'officier s'avance et je m'écroule à genoux alors que monsieur perroquet sur l'épaule est appréhendé.

"Et bien quel beau foutoir."

C'est un Sergent-Chef au vu de ses galons, elle est grande et bien en muscle, sans pourtant manquer de féminité bien au contraire. Elle approche les deux mètres, blonde aux yeux vert avec un visage un peu carré, un peu brut avec un grand sourire rassurant. Autour de la dame émane une sorte d'aura rassurante qui m'englobe aussi. Je la salut, enfin j'essaye a peu prêt.

"Ils ont encore des civils sur leur navire Sergent-chef.
"Rei !"

Alors que j'essaye de garder un peu de dignité, Émilie me saute dessus pour me serrer dans ses bras... activant a peu près tous les endroit où j'ai mal en même temps ce qui fit s'échapper de moi le peu de force qu'il me reste, ma force vital comme le jus d'un fruit qu'on presse et je m'évanoui donc. Au réveil je peux voir que j'ai plein de beau bandage d'un blanc immaculé, je suis toute propre d'ailleurs ce qui me ravie encore d'avantage ! Une heure plus tard bercé par le son de la mer quelqu'un tape à ma porte, c'est le sergent-chef.

"Vous vous êtes bien reposée Caporal Yanagiba ?"
"Oui merci.
"Quand vous vous serez rétablie je veux entendre votre rapport, j'ai déjà eu le témoignage des civils, l'équipe de mineur est sauve, bien qu'en piteux état."
"Très bien.
"Au vu des circonstances votre permission à était annulé, nous somme en route pour la base la plus proche, je vous laisse avec vos compagnons."

Compagnons ? Mais qu'est-ce que ? Les cinq pingouins sont effectivement venus, alors que je les regarde ils me font un salut comme un seul homme... animal.

"Dood !"

Résumons, je me suis fait rouer de coup, roulé dans la fange jusqu'au cou et je me retrouve avec une bande de pingouin pour rien ! C'est à ce moment-là que je craque nerveusement et me met à pleurer comme une madeleine avec un air des plus désespérée.
"Dood ?"
"Qu'est que j'ai fait pour mériter ça !

Spoiler:
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  • https://www.onepiece-requiem.net/t2480-presentation-de-rei-l-armuriere