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Et ils y sont. Dans une descente plus spectaculaire que toutes les courses jamais vécues par cet équipage, les pirates du Talons d'Or se sont soulevés pour fêter cette partie de leur histoire qui sera le commencement de leur ascension dans le monde de la piraterie. Certes, ils ne sont pas comme tous ces pirates, qui ne pensent qu'à tuer et saccager, ne laissant qu'un survivant à chacun de leur passage pour qu'il puisse conter leurs histoires, peur au ventre et image horrifiantes dans les yeux, ne pouvant pas s'empêcher de trembler à chaque fois qu'il nomme l'équipage qui aura ruiné sa vie, mais ces pirates qui viennent de traverser Reverse Mountain aiment à savoir qu'ils sont riches et influents, qu'on les écoutera et qu'on saura les nommer avec une lueur dans les yeux, faisant tout de suite comprendre que ceux ci sont -malgré leur avarice- des gens respectables qui ont la notion de générosité ( sauf avec l'argent, mais ça... ), et c'est pour cette raison que leur ascension n'en sera que plus rapide. Des gens respectables laissant les gens innocents en paix, ( les riches innocents sont considérés comme coupables. ) en effet, quand on y réfléchit, laisser plus de survivant implique de gagner plus vite en renommée. Plus de personne à raconter implique plus de bouche à oreille implique plus de personne au courant implique plus de renommée, une façon logique de raisonnée qui est censé marcher. Non ?

Au pied de montagne, sur le Lady Million, l'équipage pirate profite du peu de temps qu'ils auront pour se reposer, car après s'être engagé sur la route en suivant la position indiquée par le Log Pose, l'aventure aura commencé, et ils ne pourront plus revenir en arrière. Tous souriant, tous joyeux, tous à boire, ils ne se doutent pas qu'ils mourront peut être sur la première île, leur ignorance de ce territoire est telle qu'ils croient avoir fait le plus dur, mais pas du tout. N'oublions pas que Grand Line est la mer des plus grands, et qu'en conséquence, plus grandes et fatales sont les rencontres.

Au milieu de cela, observateur tel un aigle à l'affut de la moindre proie à attaquer, le capitaine contemple l'horizon. La nuit va bientôt tomber, plus aucuns nuages, elle sera calme. Il le sait et en sourit, cigarette posée sur les lèvres, prenant une bouffée à chacune des vagues qui frappent calmement contre la coque de son navire qu'il aura su mené jusqu'ici. Au loin, il aperçoit un phare. Quelque chose de curieux non ? Et notre homme est curieux. Surement pense-t-il que ce phare marquera leur premier pillage ? Qui sait. La seule vérité, c'est qu'il décide de s'y rendre. Il se retourne vers son second qui semble être le plus près de la barre, ayant une flemme incroyable de s'y rendre.

« Ange, mets le cap sur ce phare, il m'intrigue. Nous passerons surement la nuit sur la côte là bas ! »

Première nuit sur Grand Line, et beaucoup de surprises vont survenir, à commencer par cette erreur qu'il a fait. Confier la barre à Ange, débutant.


Dernière édition par Satoshi Noriyaki le Mer 25 Jan 2012 - 18:19, édité 1 fois
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Pour les curieux: Le début d'une route semée d'or.
J'ai vu que Kana Suu le faisait, et je trouve que c'est une très bonne idée !

***

La fin de la descente s’était passée dans une ambiance joyeuse et alcoolisée. A l’exception du malheureux chargé de piloter le navire, chacun s’en était donné à cœur joie pour fêter le double évènement : leur arrivée dans la cour des grands (comme ils le croyaient, puisqu’en réalité celle-ci se trouvait au nouveau monde ; ou après. Mais ils ne le savent pas encore, ou préfèrent l’ignorer), et la promotion du nouveau second. Maintenant la fête terminée, c’est au tour du barreur d’étancher sa soif dans un tonneau tandis que ses camarades retournent à leurs occupations pour les plus sobres, ou errent en titubant sur le pont pour les autres.
Ange n’avait qu’un léger coup dans le nez, tout au plus quelques petits vertiges : non pas qu’il soit un habitué de la beuverie, celle-ci étant généralement au dessus de ses moyens financiers, mais parce qu’étant au centre de la fête, chacun voulait trinquer avec lui sans lui laisser le temps de vider sa choppe.

Tandis que le bateau, doucement porté par les flots, progressait au pied de la montagne, une lumière s’alluma dans le soir tombant. Là-bas, au cap des jumeaux, les éventuels autochtones qui signalaient leur présence pouvaient redouter l’invasion imminente des pirates honnêtes et généreux que sont Les Talons d’Or ! Mais sans doute étaient-ils habitués à ce genre de situation, et savaient comment y faire face. On ne vis pas sur le lieu de passage obligé de tous les pirates les plus puissants des océans sans prendre quelques mesures.
Appuyé à la rampe afin de garder une démarche assurée, le sauvage rejoint son capitaine, posté tel une statuette de collection que l’on place sur les armoires (oui, oui, celles qui sont classes mais qui coûtent les yeux de la tête ; c’est bien lui, ça) sur le pont, à observer l'horizon.

- Ange, mets le cap sur ce phare, il m'intrigue. Nous passerons surement la nuit sur la côte là bas !

Le second acquiesça, et s’exécuta.

Youhou, ça va être super ! J’ai toujours eu envie de tenir la barre, mais je ne l’avais encore jamais fait. ‘Trop dangereux de confier ça à un type qui n’y connait rien, qu’ils disaient… Mais maintenant que je suis le second, je dois surement avoir acquis les compétences !
Je crois surtout que d’ici peu, on va s’encastrer dans un rocher. Essaies de ne pas trop faire de bêtises : bouge-la doucement, et fais-toi aider de quelqu’un d’autre.
Mais non, j’ai bien vu comment les autres faisaient : on donne un grand coup, et hop !


Le navire fit une brusque embardée, et dévia presque à angle droit sur la droite. Voyant la falaise se rapprocher à une vitesse inquiétante, le piloté débutant donna un large coup de barre dans l’autre sens. Il n’y arrivait peut-être pas très bien à contrôler la situation, mais qu’est-ce qu’il s’amusait ! Tout en décrivant des zigzags, le Lady progressait tant bien que mal vers le phare.

***

Finalement, Ange était plutôt content de lui pour un premier essai : ils étaient presque arrivé, et à en croire les sons émis par ses camarades, très peu d’entre eux avaient vomi (et de toute manière, c’était probablement ceux qui avaient trop bu alors qu’importe !). Un ou deux avaient bien tenté de lui reprendre les commandes, mais il avait insisté pour continuer : "mais oui, ça va aller : je m’habitue vite !" ; "quoi, mais alors tu n'as jamais piloté ?!" ; "Euh... j'ai beaucoup regardé... et maintenant, je sais faire !".
La terre était désormais toute proche, et le bateau avançait à une bonne allure. Un peu rapide, même, pour un navire qui est sensé s’arrêter près du bord.

- Heuuum… toi, la ! Oui, toi, avec les cheveux longs, ils sont ou les freins ici ?

A l’occasion, je ne ferais donner des cours de navigation.
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-Et on fait tourner les serviettes, et on vient boire un p'tit coup avec les Talons d'or, vivent les bouteilles, les copains et les chansons !Relever le coude bien jusqu'au menton, et glou et glou et glou et glou ... près de ma bière blonde qu'il fait bon fait bon fait bon !

Au milieu de tout ce tintouin Shimeru cours après deux ou trois gravement beurrés pour leur éviter de passer par dessus bord. Après à peine quelques minutes il se retrouve changé en porte-poivrot, un sur chacunes de ses épaules, chacunes de ses mains et un dernier sur son chapeau. Obligé de faire un aller-retour à l'infirmerie et manquant de glisser sur une pinte de bière, il commence à sentir ses circuits surchauffer et ne ramasse même plus les pseudo-comateux sur son passage. Youpi ! L'épreuve de l'escalier ! Le but est d'atteindre le pont inférieur sans faire tomber les pochtrons que vous avez sur vous, interdit de se tenir à la rambarde, de toute manière vous pourrez pas vu que vous avez les mains pleines. Ca y est ? Vous êtes arrivé en bas ? Et bien maintenant ... tatatam ... l'épreuve du plafond trop bas ! Vous mesurez naturellement un peu plus de 3 mètres avec en plus un haut-de-forme et un comateux dessus : et le plafond est à moins de deux mètres ! Vous devez parcourir une trentaines de mètres ... eeet c'est parti ! La meilleure méthode por avancer est de marcher en canard, de lever les coudes et de rester droit.

Den aurait donné n'importe quoi pour se sortir d'une situation aussi ridicule et espérait qu'un membre de l'équipage ne passe pas à ce moment-là et le voit dans la position dans laquelle il était. Il arriva enfin à l'infirmerie ou Sca était déjà en train de surveiller quelques membres qui avait l'alcool mauvais, mais quand c'était elle qui surveillé c'était presque une guérison miraculeuse. Il déposa ses patients en tas un à un sur le sol, regardant à chaque fois s'il n'avaient pas vomi, et puis manquant de quelques lits il dut relevé ceux qui semblait le moins dans les étoiles pour les renvoyer à l'heure duvet.

-Je repars là-haut au cas où j'en aurait oublié, tu peux me faire de l'huile en même temps que ton café ?

-C'est pas très diététique mon grand, une vinaigrette ça te ferai du bien.

Lançant un petit "vicieuse" avant de sortir, il refit le même parcours que précédemment, mais cette fois en mode spectateur, et s'étira à quelques occasions pour dégripper. Sur le pont supérieur il observa et surveilla une nouvelle fois les victimes de la fête et vu qu'il y avait pas autant dégâts que prévu, sauf un petit. Soudain le bateau fit un changement soudain de direction, puis se remit dans la position initial et s'ensuivit une série de ondulement dans sa trajectoire, ça n'était jamais arrivé alors il s'alarma, mais n'eut pas assez de temps pour réfléchir car une catastrophe biologique arriva : un pirate venait de dégobiller près du bord du navire, alors là pas de pitié. Il avança vers le coupable, se stopa net devant lui et le regarda, toujours souriant.

-Ramasse ...

-Beuh gla, jé gné fé rien, *burp* désolé

- Si tu ne rend pas son intégrité au sol, je sens que la tienne va en prendre un sacré coup.

-Hé doc faut qu't'apprene à causer français heuaheuaheua.

-Nettoies pas et je ferai en sorte de pas t'anesthésier lorsque je te tripoterez sur le billard.

Il n'eu pas droit à une phrase clair en tant qu'aquiescement, mais au moins il vit le bougre partir chercher une serpillère, un seau et un balai et commencer à frotter énergiquement la zone en question. Mais l'affaire de la trajectoire du navire n'était pas avancer et Den se demanda si le bateau n'avait pas lui aussi profité de la fête. Il avança vers la dunette et vit le second en train de se cramponner à la barre, ou l'inverse. A côté le capitaine avait lui aussi était surpri par le maniement loufoque, mais à peine Shimeru venait d'arriver qu'il aperçu le bord du phare vers lequel le Lady Million se dirigeait, un peu trop vite. Puis le second qui ne semblait pas très en forme s'adressa à Den :

- Heuuum… toi, la ! Oui, toi, avec les cheveux longs, ils sont ou les freins ici ?

*Analyse impossible, dossier inexistant...pique-nique-douille-c'est-toi-le-bon-levier*

Aïe aïe, le cyborg était pas programmé pour la navigation pourtant son programme qui l'obliger à obéir à sa hiérarchie fut plus fort et ses bras se saisissèrent d'un levier au hasard et tirèrent dessus, en espérant que l'effet voulu soit celui demandé mais ce ne fut pas le cas ...
    Grand Line nous voilà !
    «Aux portes de l'aventure . . .»

      Flottant dans le vide de la cascade, le Lady Million, le fidèle navire des True Hands était encore en chute libre. La coque de l'embarcation se frottait à l'écume dégagé par cette chute d'eau puis se remit à glisser sur la surface de l'eau. Bon nombre des nakamas étaient accrochés fermement à chaque partie du bateau et d'autre n'avaient pus réussir une telle tâche. L'effectif de l'équipage allait baisser mais ce qui comptait le plus, c'était la survie du jeune Phoenix. Il n'était pas entièrement intégrer à l'équipage et c'est ce qu'il convainc avec Satoshi, lors de leur première rencontre. Juusei avait bien des plans pour l'avenir et il ne voulait pas quitter ce monde avant son objectif final acquit. Il resta accrocher pour les dernières secondes en attendant de revenir sur une plate forme stable, celle de l'océan. De nouveau sur une surface sur pour naviguer, les survivants se réunirent sur le pont et quelqu'un se chargea de comptabiliser ce qui restait de l'équipage. Jusqu'à lors où le capitaine Noriyaki prit la parole après ce moment intempestif . Il s'adressa au nouveau bras droit qu'il venait ne nommer juste avant que le navire de sombre dans la cascade. Pourquoi ? Surement pour qu'il prenne le flambeau si jamais le cap'tain périrait dans cette chute ou quelques instants plus tard. En tout cas, Juusei ne trouvait aucune autres explication, n'est en moins il fit cela également pour prendre quelque fois les commandes du navire lors de situation critique où le cap'tain ne serait apte à commander seul. Il dit alors au dénommé Ange Del Flo.

      « Ange, mets le cap sur ce phare, il m'intrigue. Nous passerons surement la nuit sur la côte là bas ! »

      Mais quelque chose clochait et l'oisillon rouge n'était certainement pas le seul à s'en rendre compte. Il regardait tout autour de lui pour vérifier et ne voyait personne apte. Apte, mais pour quoi ? Et bien comme le savez bon nombre de personne à bord si ce n'était pas l'équipage entier, Ange n'avait aucune notion en navigation et n'avait jamais tenue une barre de sa vie. Alors comment pouvaient il naviguer sereinement sur "La route de tout les périls". Mais c'était la décision du grand chef et en tant que second, il devait se charger du moindre ordres donné par cette personne. Mais alors que le cap'tain et son second étaient tous deux sur l'emplacement, l'équipage tout entier ainsi que Juusei et Shimeru Den'Pa devant eux les regardaient, la nouvelle recrue tourna son regard sur le cyborg puis regarda l'équipe entière situé à ses arrières comme si quelque chose n'allait pas. Il soupira alors et fit un bruit pour que les deux hommes se retournèrent devant eux. C'est alors que Juusei prit la parole et annonça ce que de nombreuses personnes avaient en tête à ce moment là.

      « Heu ... Si je puis me permettre Cap'tain, Ange a été promu second de l'équipage ainsi que du navire certes, mais il ne possède aucune connaissance et surtout, aucune expérience en terme de navigation. Si vous voulez mon avis, il serait peut être temps de recruter un navigateur, vous ne croyez pas ?»

      Désespérer par la situation, Juusei afficha un expression ni plus ni moins in-convaincu par les compétences de l'équipage, sur son visage. Les bras tombant et la goutte d'eau derrière la tête signe distinct du désespoir morale, il fit signe au capitaine qu'il allait s'occuper des blessés. Un peu éparpiller sur le pont et se faisant ramener par deux trois membres de l'équipage, les blessés étaient nombreux. Lors de la chute, beaucoup d'hommes sont venus se fracassé contre la partie avant du navire ainsi que sur le mat principal. Des bras et des mains cassés, il fallait réparer ça au plus vite avant de rencontrer un équipage pirate ennemi ou même pire, la Marine. Les premiers soins firent vites établis et la cave du bateau fut aménager par Phoenix D. lui même en entrepôt médical jusqu'à la prochaine nuit. Tout en soignant les blessés, il attendait les autres du capitaine et attendait que le navire accoste la terre du phare que Satoshi venait de parler.





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    « Heu ... Si je puis me permettre Cap'tain, Ange a été promu second de l'équipage ainsi que du navire certes, mais il ne possède aucune connaissance et surtout, aucune expérience en terme de navigation. Si vous voulez mon avis, il serait peut être temps de recruter un navigateur, vous ne croyez pas ? »

    BRAOOOOOOOOOOOOOOUMKRKRKRKRKKRKRKRK

    ...

    « ANNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNGE ! »

    Tout le monde crie à l'unisson, engloutissant la question de Juusei, en effet, il n'avait pas tord, un navigateur serait en effet le bienvenu, je dirais même plus, il serait nécessaire pour les informer des intempéries, quelqu'un de sérieux et de capable, la moitié de l'équipage n'étant même pas qualifié pour manœuvrer correctement la barre. Noriyaki se dirige vers la proue, histoire de voir les dégâts. Il slalome entre ses équipiers avant d'arriver en tête de file. Ils n'avaient pas heurté le phare ou la terre. Ils avaient heurté un petit navire. Un navire pirate qui commence à couler. Regardant en bas, le dandy aperçoit une silhouette. Il essaye de mieux voir. Derrière lui tout le monde se disperse, ce ne sont que des pirates après tout, mais pas leur capitaine, qui évidemment...

    « Sortez des cordes ! Allez les aider ! Une damoiselle à la meeeeeeeeeeeeeer ! »

    Étonnez ? Pas le moins du monde n'est ce pas. Bien évidemment certaines personnes présentes sur ce navire ne sont pas habilités à nager, ayant mangé un fruit du démon, quelque chose qui les empêche de toucher l'eau de mer au risque de se transformer en enclume. Qui voudrait de ça ? Pour Satoshi, le seul fruit utile serait celui pouvant rendre une personne riche en un claquant des doigts.

    Mh.

    Se tournant vers Shimeru, le grand gaillard aux cheveux blancs, le capitaine lui demande une faveur : Ne pas faire trop de mal aux dames sauvées, car évidemment, au fur et à mesure que leur équipiers remontent les naufragés, tous se rendent compte que l'équipage est... constitué uniquement de femmes !


    Dernière édition par Satoshi Noriyaki le Sam 28 Jan 2012 - 22:53, édité 1 fois
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    Dans leur caravelle amarrée à proximité d’un des deux phares, les membres de l’équipage des « Terribles-Sirènes » étaient en train de passer à table quand un choc violent ébranle leur bateau, précipitant femmes et assiettes par terre. Lorsque Maria, la cuisinière, ouvrit les yeux, elle se trouva face à la proue du grand bateau qui venait d’enfoncer le leur. Celui-ci, éventré sur tout un côté, était en train de sombrer. Autour d’elle, dans la panique générale, chacune des membres de l’équipage criait : « aaah, je me noie ! », « aux armes, on nous attaque ! », « qui… qui a renversé mon assiette ? », « gloubs, je coule, aidez moi ! ».

    ***

    « Sortez des cordes ! Allez les aider ! Une damoiselle à la meeeeeeeeeeeeeer ! »

    Euh… c’est vraiment moi qui ai fait ça ?!
    On dirait bien.Bon, mais après tout, tu n’as fait qu’obéir aux ordres. Et si on te reproche quoi que ce soit, tu n’auras qu’à renvoyer la faute sur la vigie qui ne t’avais pas dit qu’on approchait du bord !
    Mouais, d’accord. Et maintenant, je fais quoi ? Je me fais oublier ?
    Tu aurais été un simple matelot, ça aurait été faisable, mais pas la. Tu devrais au contraire aller aider les autres.


    Abandonnant la barre qu’il confia au premier venu « tiens, toi, le type mal rasé avec l’air endormi : tiens-moi ça !», Ange se rendit à l’avant pour se rendre compte de la situation. Déjà, le capitaine avait commencé à organiser le sauvetage des victimes du naufrage. Le second faisait partie des pirates incapables de nager (il y avait la catégorie « j’ai mangé un fruit », et celle « je suis pirate mais je n’ai jamais appris à nager… et alors ?! »), mais il pouvait se rendre utile autrement. Il se racla la gorge, tourna sept fois la langue dans sa bouche, puis déclara d’une voix forte :

    - Bon, ceux qui ne nagent pas, on va se séparer en deux groupes : hum, déjà, il faut envoyer des cordes à la mer pour aider les autres à remonter. Ensuite, euh, je veux quelques hommes avec moi pour descendre à la cale : on va regarder l’étendue des dégâts et commencer à réparer les brèches s’il y en a !

    Des hésitations dans sa voix trahissaient son manque d’expérience en matière de commandement, mais son ton restait ferme et autoritaire parce qu’il savait ce qu’il voulait. D’ailleurs, une voix forte suffit souvent pour s’imposer, et si certains dans l’équipage était tout à fait capables de prendre des initiatives, de nombreux autres, simples petits forbans sans éducation, avaient besoin qu’on leur dise exactement quoi faire. Le sauvage se plaisait à se considérer comme appartenant à la seconde catégorie, car cela lui évitait de prendre top de responsabilités, mais il se sentait légèrement fautif dans ce qui était en train d’arriver, et pour compenser distribuait pour une fois ses instructions avec empressement.

    - Toit, le type au crâne rasé, tu vas aider ton copain ave le tatouage en forme de dragon dans le dos à dérouler un cordage ! Toi, Aychimo, -ah bon, c’est Aychiro ton non ?-, tu vas aller descendre un canot de sauvetage avec Mau… enfin, avec le gars qui porte un sabre.

    Commander avec autorité des gens qui ne demandent que ça, c’est facile, même si on ne possède pas le talent naturel pour ça et qu’on a beaucoup de difficultés à retenir les noms des personnes avec lesquelles ont vit. Commander une personne plus réputée, qui fait partie des figures de l’équipage, et qui de surcroit est un ancien c’est une autre histoire. Le respect des anciens est une valeur très importante, beaucoup de jeunes l’oublient.

    - Hum, et toi, Sang, enfin Blood, on va surement avoir besoin de matériaux pour réparer notre bateau s’il y a des dégâts. Va,… enfin peux-tu prendre deux gars avec toi pour aller voir ce que tu peux récupérer sur le bateau qu’ « on » vient de percuter, et qui pourrait nous servir ? Ah, et si tu trouves des objets intéressants, fais-toi plaisir, si tu veux.
    Reprenant son ton autoritaire, il continua :
    - Bon, et les autres, vous descendez avec moi ! Comment, tu dis que tu sais nager, toi ? Eh bien plonge à l’eau, qu’attends-tu ?!

    Dans la pénombre de la cale, la nuit tombante n’aidant pas, les pirates entreprirent de sonder la coque à la lueur des lampes. Après quelques minutes, Mau…, enfin le type avec un sabre, finit par repérer un endroit ou un filet d’eau pénétrait dans la coque avec un bruit de lavabo qu’on a oublié de fermer. Unissant leurs talents (ou plutôt leur manque de talent) en matière de charpente et de réparations, quelques matelots tentèrent de colmater la petite brèche en attendant l’arrivée d’Akaido tandis que les autres continuaient à sonder.
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    BRAOOOOOOOOOOOOOOUMKRKRKRKRKKRKRKRK

    La force du choc arrivèrent à faire poser les deux genoux de Shimeru à terre, il en perdit même son chapeau qui s'écrasa sur une rambarde. Ouf ça c'était violent, mais pourquoi le bateau est toujours entier ? A la vitesse à laquelle il avançait vers le phare il aurait dût s'éclater dessus, mais c'est quoi ces cris en plus qui viennent d'en bas ? Le temps de se relever, de dépoussiérer sa gabardine et de s'approcher du bord pour récuperer son couvre-chef Shimeru voit l'équipage s'agiter sous les ordres du capitaine qui n'a pas perdu ses esprits. Den se penche vers la coque et voit en bas la cause du barouf : un petit bateau tout mignon avec dedans et autour dispersées dans la mer : des femmes, pleins de femmes, des tonnes de femelles mammifères qui hurlent sur leurs agresseurs à moins qu'elles ne soient déjà dans le coma. A ce propos le capitaine se tourne vers Den et lui demande de rester doux vec elles, mais ce ne sera sûrement pas aussi simple que ça ...

    -Ne me touchez pas espèce de brute !!
    -Gros malade faut vous faire soigner !!


    -S'il vous plaît laissez-moi vous osculter, ce ne sera pas long et indolore. Vous êtes sous la protection du capitaine de ce navire.

    -Mais c'est qu'il veut me tripoter en plus cet obsédé pervers !
    -Te laisses pas faire c'est sûrement un violeur !
    -Pauv'type tu vas la sentir passer celle-là !


    VLAN PAF BING STUNK

    Ca n'était vraiment pas simple et Shimeru s'en rendit compte après la trentième giffle et la douxième mandale, il y avait un léger problème de coopération. Il sortit de l'infirmerie et laissa les furies en compagnie de Sca qui était déjà assez surchargée comme ça, il fallait qu'interviennent quelqu'un qui pourrait calmer ces demoiselles et pour ça rien de mieux qu'un coureur de j ... qu'un gentleman comme captain Sato. Il se dirigea vers l'extérieur où d'autres réfugiée féministes affluées, chercha son supérieur pour lui expliquer la situation et demander son aide. Après négociation il réussi à obtenir quelques minutes de discussion avec ces filles, ils partirent alors vers l'entrepôt à chipies où Shimeru, sur demande de Satoshi, resta à l'extérieur. En ressortant il n'y avait plus de plaintes, plus de jérémiades, c'était miraculeux. Le capitaine ressortit en sueur, sûrement la chaleur, et repartit vers le pont supérieur, et Shimeru entra calmement dans la pièce où les patientes semblaient plus apte à l'examen médical. Ouf, tout se déroula normalement.

    -Une vilaine blessure que vous avez là, elle va prendre du temps à guérir.

    -M'en fout tant que ça cicatrise.
    -On cru qu'il allait devoir te la couper, dit son amie en plaisantant, on a évité l'amputation.


    Here we are. [NOW] Mini_010
    -Vous avez dit amputation ?

    *Alerte brouillage système, nettoyage de mémoire vive.*

    Une petite sécurité se mit en route pour éviter le petit bug et il revint à son état normal, oubliant le dialogue précédent. Il partit faire son rapport sur les blessures occasionnées à l'équipage percuté.
      Grand Line nous voilà !
      «Aux portes de l'aventure . . .»

        Situé dans la cale où il soignait les blessés, Juusei les enchaînait et tenait sa cadence, pour que chaque membre du navire soit remit sur pieds au plus vite. Munit d'une aiguille, d'un fil à coudre et de quelques compresses, il recousait les plaies les plus graves en un tour de mains et passait au prochain endommagé. Déjà plus d'un quart était de nouveau prêt à combattre et il lui restait encore les trois quarts de l'effectif blessés. Mais alors qu'il continuait son ascension dans le rétablissement de l'équipage, il entendit un énorme grondement. Par la suite, la coque et toute la partie inférieur du navire se mirent à trembler. Étaient ils arrivés ? Ca personne au niveau de la cale ne pouvait le savoir. Mais d'après Juusei, si le capitaine venait à laisser Ange à la barre, ça aurait surement une raison pouvant justifié tout ce brouhaha. Il monta sur le pont et dit au guérit de veiller sur le reste des blessés. Rendut sur la plate forme supérieur du bateau, il vit le reste de l'équipage affolé, se baladant dans tous les sens. Quelque chose c'était passé...

        « Hey, toi ! le maigrichon ! Qu'est ce que vous avez foutu bordel ? Qu’est ce qu'on a percuter ?? »

        « Tou...Toute nos excuses monsieur. Nous venons de percuter un navire pirate et le Capitaine Noriyaki vient de donner l'ordre de les ramenées à bord du navire. »

        « Quelle est la cause de cette décision ? Ne me dis pas qu'une femme est la cause de tout ça ... !! »

        « Et ben .... si monsieur, il a ordonné de sauvé l'équipage entier.»

        « Pfff, quelle connerie ouais ! Et par dessus tout, arrête de m'appeler Monsieur, on est du même groupe nan ?? »

        Juusei était un peu remonter contre le capitaine pour faute de professionnalisme. Laisser un incompétent à la barre est tout sauf acceptable. Il lui aurait montrer comment pratiquer,le phénix rouge aurait pu laisser passer ça et dire que c'est ses débuts mais là ... Satoshi venait de mettre la vie de son équipage en danger pour des raisons inutiles. Il regarda par dessus bord et vit l'équipage en question. Des femmes, un équipage entièrement composé de femmes. Sacré capitaine, la gente féminine ou encore l'argent le perdra un de ces jours ... Se déshabillant d'un simple geste, il sauta à la mer avec son pantalon et son plus petit sabre seulement. Juusei récupéra deux demoiselles et les ramena sur l'embarcation. Ayant sauter dans l'eau alors qu'il ne restait plus personne, il laissa le reste des submergés aux autres. Se rhabillant, il fit signe aux cinq hommes chargés de récupérés les rescapés, d'amenés les blessées à la cale principale.

        « Amenez les blessés à la cale principale ! Je vais avoir besoin d'un maximum d'homme pour pouvoir les soignés au plus vite ! »

        En quelques minutes, laissant souffrir les nouvelles recrues quelques instants de plus, Phoenix D. apprit aux hommes l'accompagnant les gestes à faire pour refermé une plaie ainsi que d'effectuer une compression. Les morceaux de bois appartenant à leur ancien navire se retrouvaient un peu partout sur leur corps raffinés et bombés. Une heure passa et un bon nombre de blessés comprenant l'équipage des True Hands ainsi que des nouvelles arrivantes, étaient remis sur pieds. Il remonta sur le pont, laissant les autres aux soins du reste de l'équipage situé dans la cale. Ressortant de la trappe menant au fond du bateau, Juusei se dirigea vers le capitaine discutant avec une femme. Il le prit à part et lui dit.

        « Bien ... et maintenant ?!! »




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      Phoenix D. Juusei, une personne très autoritaire ayant auparavant pour but de devenir capitaine d'un bâtiment pirate. Le problème avec cette personne c'est son passé. Sa volonté indéniable fait qu'il voudra toujours avoir la main sur quelque chose, et qu'il dira toujours ce qu'il pense, or, sur ce navire, lorsque l'on pense quelque chose qui ne va pas dans le sens de l'homme au chapeau et que le grade ne va pas avec, il faut se taire. La remarque de Juusei est sans doute justifiée, mais malheureusement pour lui, il vient déranger son capitaine à ce moment là, qui est très mal choisi.

      Plein d'audace, certes, mais quelqu'un qui ne ferme pas sa gueule même quand il a quelque chose à dire va évidemment vite se faire corriger. Néanmoins, étant à côté de la capitaine des Terribles Sirènes, Noriyaki ne peut se permettre de le corriger, montrant sa violence, ce qui n'est pas bon pour la drague. Faisant signe à son deuxième chirurgien de s'occuper des femmes en leur indiquant de se mettre à l'aise dans la salle prévue pour les invités de marque. Voyant son équipier s'éloigner, Noriyaki retourne voir la femelle.

      Here we are. [NOW] Rebtxt10

      Une excuse bien faite puis une conversation rondement mené pour trouver un terrain d'entente. Les deux capitaines semble être tombé sur un compromis, les Terribles Sirènes resteraient sur le Lady Million jusqu'à trouver un navire. Mais ces dames ne seraient en aucun cas obligées de se battre au nom du Dandy, les soins et l'hébergement étant des compensations plus qu'obligatoire.

      Cette capitaine nommée Sarah, jouit d'être une jeune Femme magnifiquement bien modelée par la nature, elle est un délice incommensurable pour tout hère qui laissait vagabonder un regard furibond sur ses hanches aux courbes délicieuses, soutenues par une agilité pleine de promesses... Et au-dessus de la ceinture de soie fine, le spectacle ne faiblit pas. Sous la fine tunique ocre se dresse fièrement une poitrine dont on peut aisément deviner les délicates formes naturelles, semblables à deux magnifiques poires faites pour être croquées. Laissant à la douce damoiselle la liberté de contempler la mer vue du côté tribord, Noriyaki rejoint son second.

      « Angel, il faut que nous allions explorer ce phare, il y a peut-être quelque chose d'intéressant à l'intérieur ou aux alentours. Vas chercher Juusei, nous partons. Je confierais le navire à Jazz et Jack, ils sauront y faire avec elles. Il faudra que Den'Pa reste sur le navire pour s'occuper du reste des blessés, étant donné que nous partons avec Juusei uniquement pour qu'il sache s'intégrer et pour qu'il sache qu'il ne peut pas faire son chef face à quelqu'un de ma trempe. »

      Tout le monde s'en doute, personne n'ose le dire, mais le capitaine n'a pas laissé quelques personnes fortes uniquement pour "confier" le navire ou pour "soigner" les blessés. Ces personnes sont là pour surveiller les femmes en qui Satoshi n'a aucune confiance. Sarah étant primé à quelques 7 millions. Une petite frappe, certes, mais une vile manipulatrice à qui on a retiré son navire. Un jeu dangereux qui aura surement des conséquences.

      « Jack, approche ! »
      *Jack s'approche*

      « Oui cap'tain ? »

      « Je vous confie le navire à toi et Jazz, surveillez les bien... J'ai un mauvais pressentiment... »



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      Lorsque le sauvage remonta sur le pont, la situation s’était un peu calmée. On entendait juste quelques cris provenant de l’infirmerie, mais cela ne semblait pas être des cris de douleur. En bas, la coque avait été à peine éraflée et le travail laborieux d’Ange et ses camarades avait suffi à s’assurer que le bateau ne risquerait rien.

      Satoshi était sur le pont, en compagnie d’une femme en costume de capitaine pirate -comme quoi, chacun n’attire pas à lui les mêmes choses : pour certains comme Ange c’est la saleté sur les vêtements, pour d’autres les femmes-. Alors leur chef était une fille ? D’ailleurs en y repensant, il n’avait vu aucun homme dans l’équipage qu’ils venaient de secourir… mais comment faisaient-elles pour prendre la mer ensemble sans se crêper le chignon en permanence pour des bêtises ?! Finalement, c’était peut-être leur rendre service que de les empêcher de continuer leur route.* Le regard capitaine des Truands était particulièrement attiré par le corps de la… piratesse ? Femme pirate ? Il ne devait probablement qu'a sa grande expérience en matière de femmes de ne pas avoir un filet de bave le long de son menton. Cependant, à la vue de son second, il réussit à s’en arracher et donna ses instructions.
      Sur ordre de son supérieur, l’albinos partit à la recherche du dénommé Juusei.

      Hum, c’est bien beau tout ça, mais c’est qui ce Juusei ! C’est qu’ils ont tous des noms compliqués, sur ce bateau ! Si au moins on leur donnait des surnoms en rapport avec leurs caractéristiques, comme on fait chez moi. Hum, Type avec les épées, ou Cheveux-en-vrille, Mal-rasé-avec-un-gros-nez-rouge Grand-bonhomme-gris-un-peu-bizarre, cheveux-rouges, ça au moins ce sont des noms !!
      En attendant, il cherche quelqu’un pour le remettre en place… ça pourrait être Dé-Fénix… enfin, cheveux-longs-avec deux épées…, leu seul à s’être fait remarquer récemment ; par contre si je me trompe je n’aurai pas l’air malin.
      Je sais, je vais demander à quelqu’un d’aller me le chercher !


      Finalement, on lui indiqua que le fameux Juusei se trouvait à l’infirmerie. La, il ne fut pas trop dur à reconnaitre et Ange en profita pour donner les instructions du capitaine à Den’Pa’Pa –ou un nom avoisinant-, qui s’y trouvait aussi.

      - Ahem, c’est toi Dé… enfin, Juusei ? Tu vas venir avec moi, le capitaine nous emmène en promenade. Il gratifia sa déclaration d’un sourire qui pouvait signifier « mon coco, je préfère encore être à ma place –c'est-à-dire avoir embouti deux bateaux l’un sur l’autre-, plutôt qu’à la tienne ! ».
      -Et –euh- Shim…en’Pa, on veut que tu restes ici pour t’occuper des blessées. Ça va, tu vas y arriver ? A les supporter, je veux dire… N’hésite pas à te faire aider par quelques gars s’il faut.

      Conscient que sa dernière remarque ne lui ferait pas que des amis, le second prît ensuite le large. De retour sur le pont, il fit apprêter une chaloupe qui les amènerait sur terre puisque le Lady n’était pas encore dégagé et ne pouvait donc pas aller s’amarrer, et que traverser ce qui restait du navire des « Terribles Sirènes » pour atteindre le sol représentait un risque trop important, surtout pour l’enclume qu’il était. Les trois pirates prirent place dans la barque ; le sauvage hésita à s’emparer des rames, mais se dit que s’il n’avait pas réussi à diriger le navire il y avait peu de chances qu’on le laisse piloter l‘embarcation.

      ***

      La petite embarcation progressait doucement sur l’eau, teinte en noir par la nuit. Profitant d’un moment de blanc (il ne voulait pas empêcher le capitaine de faire une belle déclaration s’il avait préparé son coup), Ange demanda :

      - Hum, on va en faire quoi, de toutes ces filles ? Je veux dire… je sais qu’on est sensés être galants, mais elles sont plein, et elles n’ont aucune raison de nous aimes après ce qu’ « on » leur a fait ! Si tu veux mon avis, capitaine, on devrait leur faire passer un test prendre, hm, les dix plus fortes par exemple, pour compenser nos pertes de ces derniers temps, et abandonner les autres.
      Tu oublies quelque chose ; tu sais, ce que je t’avais dit quand on a répété, l’argument pour la fin !
      Ah, oui.

      …et aussi, le bateau risque d’être trop petit et on n’aura pas assez à manger pour tout le monde ! On va se ruiner en nourriture, en fringues,...

      ***

      * Histoire d’éviter les ennuis, je précise que je ne partage pas forcément le point de vue de mon personnage.
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      Après tout le tintouin de l'arrivée de cet équipage pirate sur le navire, les soins prodigués et le calme revenu il était temps de se reposer un peu, le capitaine donnait des instructions aux maîtres et au second donc les ordres n'allait pas tader à arriver. Toujours prêt à éxecuter ce qu'on lui demande de faire Shimeru regarder la petite réunion au sommet et attendez pour recevoir les instructions, même s'il était tenté d'utiliser une parabole acoustique qu'il n'avait pas mais qu'il aurait bien voulu avoir sur le moment, attendre il n'aimait pas ça : franchement mettez-vous à la place d'une machine à écrire, prévue pour écrire, si elle n'écris pas elle n'a plus de raisons d'être, et Den pensez souvent à adopter une machine à écrire.
      Mais voilà la réunion terminée, les maîtres se disperse, le second passe par Juusei puis se dirige vers Shimeru, enfin des choses à faire ! ... ou pas :

      -Et –euh- Shim…en’Pa *Analyse d'identité impossible* , on veut que tu restes ici pour t’occuper des blessées. *Tâche en cours d'éxecution* Ça va, tu vas y arriver ? A les supporter, je veux dire… *Relèvement de la blague, rire exécuté* N’hésite pas à te faire aider par quelques gars s’il faut.

      - Bien chef je ne perd pas de temps, je me mets en route.

      Ok super ... c'est parti ouai ... cette fois on va bien travailler ... ? ...mais il n'y a rien à faire !! Tout ce qu'il vient de lui dire n'a pas l'air très consistant comme objectifs, il doit y avoir du thon sous le caillou ou un truc dans le genre, Shimeru sentait qu'il y avait un pépin quelque part car jamais son capitaine n'aurait dit de choses aussi floue, d'après ce qu'il savait déjà de lui. C'était sûr alors il fallait comprendre autre chose dans les termes qu'il venait d'entendre et il était déterminé à trouver quoi, enfin ses méninges allaient reprendre du service, la communication n'avait plus de secret pour lui et il était prêt à s'attaquer aux codes du langage hahaha. Il partit vers l'infirmerie où l'y attendaient ses patientes, sachant que son collègue était partit explorer l'île il se devait de rester constamment à son poste. En faisant son trajet vers la salle il commença à réfléchir sur ce que pouvais bien signifier le supposé charabia du second : il parlait de supporter les femmes de l'équipage, comme des supporter pendant un combat ou un duel, donc il fallait leur remonter le moral quoi, ça devient logique puisqu'il a préciser qu'il pouvait se faire aider de plusieurs gars. Tout devenait clair d'un seul coup, le second lui avait implicitement demander de redonner le sourire à ces demoiselles. Redonner le sourire ? Comment on fait ça ? Peut-être qu'en retendant la peau du visage on peut obtenir un semblant de sourire, ou bien autre chose. Y avait-il quelqu'un dans l'équipage qui savait redonner le sourire ?
      Alors qu'il réléchissait il venait d'arriver à l'infirmerie, s'arréta dans sa réflexion qu'il garda en mémoire et prit la priorité de terminé les soins commencé il y a quelques heures.

      -Hé les filles regardez c'est l'obsédé qui veut nous découper les jambes.
      -Salut le docteur débraillé, t'as pas oublié qu'on étaient là ? Parce que franchement on s'emmerde bien comme y faut ici.


      -Mesdames mesdemoiselles je vais devoir refaire vos pansements alors si vous pouviez ne pas vous agiter.

      -L'autre comment qui nous cause, et là on s'agite ?

      Trop stoïque pour réagir au coup de pied qu'il venait de se prendre entre les cuisses, visant surement les parties génitale qu'il n'avait pas, il ouvrit les tiroirs et sortit le matériel pour prodiguer les soins...
        Grand Line nous voilà !
        «Aux portes de l'aventure . . .»

          Aucune réponse. Aucune réponse ne sortie de la bouche de Satoshi, lorsque Juusei lui demanda la suite du programme. A vrai dire, dans des situations critiques, le jeune homme avait du mal à se contrôler émotionnelle ment parlant et avait tendance à sortir les quatre vérité des personnes à qui il pensait. Sur le coup, sa cible était le capitaine et il le cria lorsqu'il se trouvait dans la cale. Les femmes et l'argent faisaient sans aucun doute des heureux, mais ces deux éléments étaient dangereux pour le capitaine. Il avait beau être un dandy et attirer la moindre femelle dans ses alentours, un de ses jours, il en coutera de sa vie. Mais alors qu'aucune réponse ne trouva le chemin chez Noriyaki et que Juusei partit à l'écart, à continuer de soigné le reste de l'équipage, le second très fraichement promu par le capitaine d'il y a à peine une heure, se dirigea vers la nouvelle recrue. Il le regarda et lui dit.

          « Ahem, c’est toi Dé… enfin, Juusei ? Tu vas venir avec moi, le capitaine nous emmène en promenade. »

          Sortir ? Ils allaient sortir du navire, explorer à trois personnes cette île où le phare fut le seul élément visible de ce paysage ? L'aventure faisait maintenant partit du quotidien du jeune pirate et il doit s'y habitué. Mais l'aventure est quelque chose que Juusei accepte plutôt bien. Ils partirent alors tous les trois et laissèrent le reste de l'équipage s'occupé des derniers blessés ainsi que cet équipage entièrement constitué de femme. Une petite barque fut amarrer aux bords du navire pour que le trio d'explorateur puisse partir en direction de l'île. Le capitaine à l'avant, la vue entièrement concentré sur l'archipel, les deux membres d'équipages ramaient. La coque de l'embarcation fini par touché la plage et ils descendirent. Le dandy s'avança mais Phoenix ne le laissa faire avant de lu dire ce qu'il ressentait actuellement.

          « Excusez-moi, mais je ne peux vous laissez continuer sans vous dire ce que j'ai actuellement en tête. Excusez moi pour mon comportement de tout à l'heure, j'ai été un parfait idiot. Manquer de respect à une personne de votre envergure, quelle stupide attitude ... Les membres de cet équipage vous sont tant fidèles que je ne sais quoi penser. J'ai perdu ma mère alors que je n'avais à peine deux ans et je ne connais pas mon père. En m'acceptant dans votre équipage, vous m'offrez ma deuxième famille, celle dont j'ai toujours eu envie d'avoir. C'est pourquoi à partir d'aujourd'hui, moi Phoenix D. Juusei, je vous offre mes services ! Vos ordres seront respectés et effectués ! Et par dessus tout, Satoshi Noriyaki, je ferais de vous le SEIGNEUR DES PIRATES

          Il le dit haut et fort et surtout, n'avait honte de rien. Le jeune homme avait enfin trouvé sa voie et il savait avec qui il souhaitait poursuivre. Satoshi Noriyaki, cet étrange personnage qu'il l'avait sauvé de la marine était la personne qu'il souhaitait trouvé depuis toutes ses années. Une personne sachant l'aider et le rendre plus fort, non pas physiquement uniquement mais aussi moralement. L'aveu de Juusei laissa un blanc à bord du navire au loin, qui avait du recevoir l'écho de ses paroles, ainsi que sur le bord de la plage où Ange et le cap'tain ne réagissait pas pour le moment ... Mais il fallait le faire et il l'avait fait. Il ne le regrettait par dessus rien au monde et alors, avança devant ses supérieurs. Maintenant, il était déterminé et sûr de lui !

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        « ... SEIGNEUR DES PIRATES ! »

        Mh.

        Satoshi ne fait pas attention à ça, il n'en a rien à faire de ce titre qui à son sens... N'a aucun sens, car même si trouver le trésor de Roger signifie avoir ce titre, et bien ce n'est pas parce qu'on trouve un trésor qu'on est grand, fort, moustachu et rigolo. Edward Newgates aurait pu l'avoir, il l'a dit lui même, mais il a décidé de ne pas le prendre, ce n'était pas son but après tout, donc à partir du moment où il pouvait l'avoir, cela faisait de lui le seigneur des pirates. A quoi bon avoir ce titre finalement si superficiel ? Évidement pour le capitaine, le trésor n'était pas inutile, aucun trésor n'est inutile, mais le titre l'est. Juusei aurait surement du dire "Je vous souhaite de trouver le One Piece" pour pouvoir le flatter, mais il faut être gentil avec ses nakamas Satoshi.

        « Évidemment ! Trouvons le One Piece ! »


        Et ils descendent. Laissant le navire sous la direction de deux quartiers maîtres entourés d'un équipage de femelles manipulatrices et vicieuses. Ce n'est pas dans les habitudes du capitaine pirate de laisser ses biens matériels à quelqu'un d'autre, mais ce ne sont que des femmes...

        Grimpant le côte qui les séparent du phare, les trois comparses discutent, 'fin. Ils "discutent" car ce n'est que de la conversation inutile, en fait ce sont surtout les deux à la traine qui parlent. Angel et Juusei, car Noriyaki lui, semble flairer de l'or. Quelque chose qui vaut cher, qui vaut la peine d'être vu. Il accélère donc le pas et commence à ingurgiter avec facilité la distance qui le sépare du phare, à l'image de la liste de MST d'une courtisane se faisant soigner à la vitesse d'une par seconde. Ça part de 150 et ça finis à 0. Satoshi ouvre la porte. Un grincement raisonne. Personne ? Personne. Il commence à dévaler les escaliers pour arriver au sommet, et là, le choc.

        Une note a été laissée sur un coffre. Un coffre contenant une seule et unique pièce. Cette note est vicieuse, rageante...

        "On a tout pris héhé, il y en avait pour 10 millions, y'en a pu qu'pour 100 berrys"


        Imaginez la réaction de l'avare.
        Première étape : Evaluer à combien de temps remonte la note. Une semaine.
        Deuxième étape : Faire demi tour.

        « Ange, Juusei, on descend et on se rend vite sur la première île. Il faut les rattraper. »


        Troisième étape : Descendre.
        Seulement, lorsqu'ils descendent, ils s’aperçoivent qu'ils ne sont pas seuls. Un homme assez grand semble leur barrer la route. Huit mots sortent de sa bouche. Ce sont ses huit derniers mots.

        « Alors, vous aussi vous vous êtes fait baisé ? »

        A peine a-t-il finit sa phrase qu'un talon vient s'écraser contre son visage, l'envoyant en orbite en défonçant le mur du phare. Les trois nakamas se rendent au navire.

        ***

        « On met le cap sur la première île, filez moi le Log Pose. »
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