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Et si on partait d'Inu Town en beauté?

Jeu: Aucun, je reste tout simplement moi-même. Donc, je suis Aoi D. Nakajima
Et si on partait d'Inu Town en beauté? Fille-feu-3154904288

Milieu d'année, 1623

22h15
Cela faisait quelques jours que j'étais avec ma servante Rose et ma famille à Inu Town. J'avais passée de bonne semaine à faire la fête. Il fallait que j'y aille mollo avec l'argent, maintenant. Je prévoyais de partir cette nuit. Alors, je décidais de faire connaitre une nouvelle personne à la ville si insouciante du danger qui allait venir. Je voulais qu'elle ne m’oublie pas! Enfin, qu'elle ne cesse de rappelle du jour où je fis vivre Rei Kimura cette nuit-là. Ahah, ça va être une soirée d'enfer! Le mot est à prendre dans n'importe quel sens.

Je m'étais promenée toute la journée en me faisant passer pour cette personne. Cependant, je n'avais guère mouvementer les environs. Autrement dit, je me faisais chier. Ça craint. Je me sentais obligée de faire quelque chose qu'il allait rester dans les mémoires de ces braves gens si heureux de faire la fête. Comment tourner l’ambiance si gaie en une pauvre vacherie. Le drame du moment. Ahah! C'était archi-simple. Faire croire que l'ivresse me serait emparé de moi et le tour était joué. Une traditionnelle baston. Seulement, je ne me contenterais pas de quelque baffe ou de jet de bouteille. Il faut du sang et des pleurs. Un truc qui grave bien les esprits faibles.

Par contre, il ne fallait pas que j'agis bêtement. J'avais bien sûr demandée à Rose qu'elle prépare mes affaires et que mes enfants devront être prêt quand je donnerais le feu vert. Ouais, c'est triste. Je suis une mauvaise mère. Ils doivent se plier à mes caprices. J'avais sur moi bien évidemment ma fidèle gunblade, mon apache et sans oublier ma lame rétractable à mon bras gauche. Quand je sais qu'il va y avoir des morts, il vaut mieux prévoir ce genre de petit bijoux. Ce n'est jamais de trop.

Pour l'instant, je buvais encore tranquillement mon rhum. Je ne sais pas ce que j'attendais. Peut-être une certaine occasion? Qui sait? Je suis sûr qu'il y aura plus de monde en fin de soirée. J'étais dans un bar assez dynamique. Il était très réputé. Je pouvais à tout moment créer à la discorde. L'ambiance classique d'hommes saouls était au rendez-vous. J'étais assises au comptoir. Je jouais la femme ivre alors que j'étais pleinement encore sobre. Du moins, j'étais encore consciente de ce qui se passait autour de moi. Toutefois, il ne fallait pas que je pousse trop loin ma consommation.

- Aller tavernier encore une autre!

- Vous ne croyez pas que vous avez assez bu comme ça?

Je le regardais longuement, faisant un peu l'étonnée. Je pris une voix de celui qui ne tient plus l'alcool sans trop en faire.

- Hein, quoi? C'est bien un jour de fête. Alors, pourquoi se priver d'un tel moment? Faut bien que je m'éclate!

Le pauvre type était complètement gêné. Je le voyais qu'il ne m'aimait pas. Ahah, j'en fais ma première victime? Non, je vais attendre encore un peu.

- Hmm, certes. Ce n'est pas une raison de s'envoyer à tout va des boisons enivrantes, mademoiselle.

*T'as gueule. Je sais ce que je fais!*

À ce moment-là un type arriva. En le voyant, j'ai su tout de suite que l'heure était arrivée à son terme. J'attends encore quelques minutes et c'est parti!!


Dernière édition par Aoi D. Nakajima le Sam 29 Sep 2012 - 18:22, édité 4 fois
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ベイストン バー
Nous voilà dans la petite contré de North blue. Une mer plutôt paisible qui connaissait quelques débordements ces temps-là, de par les actes de quelques pirates. On peut dire qu’ils faisaient parler d’eux, pour ça ils étaient forts. Mais est-ce qu’ils vont en faire autant quand ils prendront la route de tous les périls. Cette route que tout le monde craints pour son taux de mortalité aussi haut qu’un pic en temps de crise. Il fallait bien que tout le monde s’amuse et s’ils ne le faisaient pas sur les blues où le l’aurait-il fait ? Mais qu’importe-là n’était pas réellement l’intérêt. Faisions un tour du côté d’Inu town pour voir ce qu’il s’y passe. Un étrange d’homme marchait dans la rue, tel que l’aurait un caïd accompagné de ses gardes du corps, mais là il était seul. Un chapeau en paille lui recouvrant le bord du visage ne laissant entrevoir ses joues et sa bouche. Elles paraissaient aussi stoïques qu’un caillou au bord d’une route. Il avançait ainsi dans le soleil couchant ne prêtant même pas attention à ce qu’il se trouvait devant lui, manquant de percuter un couple marchant dans la rue. Les seules rares personnes encore présentent à cette heure-ci dehors. Où allait-il donc ?

Il faut dire que Silvano avait une sacré allure à marcher dans la rue avec un tel accoutrement. Il se réserve cette tenue quand il sort pour une certaine occasion, comme une mission importante ou autre. C’est surement pour ça qu’il devait avoir de tel habit sur lui. Il dégageait ainsi une telle atmosphère sombre, il aurait pu faire peur à un chat noir. Il laissait trainer derrière lui un nuage de fumé, signe qu’il fumait sous son beau chapeau, était-ce prudent avec un couvre-chef en paille ? Surement. Tiens ! Des rires et un bruit assourdissant se faisait entendre. Signe même qu’on se rapprochait d’un établissement vendant de l’alcool que l’on appelle « bar » de nos jours. Il était plutôt rare de voir, Silvano dans ce genre d’endroit à part pour conclure une affaire ou pour fixer un rendez-vous. Mais là il faut dire qu’il était ce que l’on appelle un habitué. Se trouvant dès lors devant l’établissement, il en poussant les deux portes battantes pour y pénétrer. Son entrée ne sembla laisser personne de marbre puisse que le ton dans le bar diminua d’au moins deux niveaux, avant de reprendre quelques secondes plus tard. Le garçon pouvait sentir quelques regards pesant sur lui tout au long de sa marche jusqu’au comptoir. Il n’est pas forcément habitué à ce genre d’attention, il est plutôt du genre à être invisible et non l’inverse. Mais qu’importe, c’est en accompagnant sa marche, qu’il avait ôté son chapeau de sur sa chevelure. La laissant alors à l’air libre, la salle pu alors totalement observer sa masse de cheveux rouge. Un détail qui attire l’œil d’habitude. Il en profita de même pour tirer une latte sur sa cigarette avant de s’assoir au bar.

    Silvano : Sers moi un verre, comme d’habitude s’il te plaît. Avait-il dit posant son couvre-chef sur le comptoir de bois et ne posant même pas ses yeux sur le barman.

L’ambiance semblait plutôt festive aujourd’hui, surtout avec une certaine femme qui avait l’air d’avoir un peu trop touchée à la bouteille pour ce soir. C’est en prenant son verre de rhum à la main que le Mafieux eu un certain pressentiment. La soirée allait être agitée, il en été certain …

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Le type qui venait d'entrer s'assit à côté de moi. Je le voyais comme une gêne. À vrai dire, il avait un chapeau de paille que je n'aimais. C'est complètement loufoque, pour moi.

*Quel crétin.*

En sirotant ma bouteille, je le regardais de haut, lentement. D'abord, sa tête. Il avait des cheveux rouges qui lui arrivaient sur les épaules. Un visage que je ne dirais rien. Je n'aimais pas sa tronche, c'est tout. Ensuite, je regardais globalement sa silhouette. Il ne valait pas ce bon vieux Phoenix D. Juusei. Pour moi, ce n'est qu'un faible. De plus, son stupide couvre-chef me fera un bon motif. L'heure de la baston a sonnée.

Aoi D. Nakajima ne savait pas que le mafieux avait de quoi se battre. Elle ignorait aussi qu'il savait se défendre. En somme, le gamin qu'elle avait choisie pour cible ne sera pas une personne facile à tuer. Enfin, avant de passer aux armes, elle voulait d'abord le taquiner un peu. Voir s'il tenait la provocation. Seulement, s'attaquer à n'importe qui à n'importe quel moment n'était pas si sage. Surtout, si ce dernier répliquerait. Certes, son jeu l'amusait. La personnalité qu'elle c'était créée avec Rei Kimura pouvait l'emmener à sa perte si elle fonçait tête baissée.

Je posai mon rhum sur le chapeau misérable de ce freluquet en l’écrasant bien comme il faut. Je voulais voir sa réaction. Je l’imaginais déjà me supplier comme un gamin à genoux. Marrant. Cela me rappelait la pièce de théâtre que je jouais quand j'ai rencontrée ce chère Juusei. Ahah.

Aoi s’imaginait une scène en imitant la réaction de Silvano G. Capone


*S'il vous plait madame. N’écrasez pas mon chapeau...*

Bref, je pris alors la parole. J'avais la voix plus sobre. Je choisissais lentement mes mots. Je voulais que ce que j'allais dire soit retenu du premier coup. Qu'on en m'oublie pas, quoi. Après que j’échangerais quelques phrases, faudra que je passe à l'action de toute manière.

- Eh bien minus, tu ne pas mettre ton chapeau ailleurs? Tu vois bien qu'il me gène, là!! Va donc rejoindre tes parents au lieu de jouer dans la cours des grands. Ce n'est pas un endroit pour les cloportes de ton espèce.

C'est ce maudit barman qui répondit à sa place. Je voyais bien qu'il avait peur et qu'il osait à peine lever ses paroles, mais il le fit quand même avec une certaine soumission.

- Écoutez madame, nous ne voulons pas de problème, ici. Je vous demanderais de bien vouloir cuver votre taux d’alcoolémie dehors.

- Chien, qui es-tu pour me répondre de la sorte? Je t'aviserais de ne plus recommencer!

Et c'est enfin ce que je cherchais. Il fallait dire que Rei était en pleine forme ce soir. Je me sentais bien. Je lui donnai un coup de poing qui lui sécha net. Il s'écroula dernière le plan de travail avec un bruit sourd. Moi, je voulais que cela fasse réagir l'autre gugusse qui avait osé se coller près de moi.
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ベイストン バー
Ce rhum était d’un délice que l’on ne retrouve plus dans cette blue. Cela faisait si peu de temps que le Mafieux avait quitté la prison d’Impel Down que pour lui n’importe quel alcool avait le gout du Paradis. Chaque plaisir été déguster goute par goute. Les choses semble avoir une importance grandissante quand on se retrouve derrière les barreaux et vivre ensuite l’enfer. Peu peuvent se prétendre d’avoir vécu une telle aventure. Silvano était donc la du haut de son mètre 70 à boire tranquillement son alcool tout en observant la pièce, écoutant la musique d’ambiance. Profitant de ce petit moment de détente dont il dispose aujourd’hui en tant qu’informateur de la Mafia. Un statu que tout le monde ignore mais bel et bien présent, surtout en ces temps de ragots et rumeur en tout genre. Et pourtant comme il l’avait pressentit tout allait déraper.

Alors même qu’il était assis sur son siège à finir son verre paisiblement, voilà la dite femme qu’il allait aperçut il y a de cela quelques minutes. Elle s’était rapproché de lui, d’un pas sur avec un sourire à lui faire décrocher la mâchoire. Pour on se quelles raisons là voilà posant sa bouteille dégoulinante de rhum sur le chapeau de paille de notre jeune et paisible Capone. L’écrasant à un point la paille se courbait dans le sens inverse lors de sa conception. Que cherchait-elle ? A provoquer notre tireur ? C’était peine perdu, il n’y prêta même pas attention, continuant de boire sa boisson pour en saisir tout l’arôme et de ce fait le gout encore frais. Mais la réaction se fit de la part du barman, qui lui ne cherchait ni plus ni moins qu’à protéger son bien. Il est normal qu’il ne veuille pas de dégâts chez lui, voir son gagne-pain abîmé fait toujours mal au cœur. Le résultat ? Il se prit un sacré direct qui l’envoya valsé derrière son comptoir, le rendant inconscient sur le coup. Il faut dire que cette petite avait du répondant. Mais faire les choses de cette manière n’est pas très correcte, agresser quelqu’un d’aussi important dans son propre bar n’était pas la chose la plus intelligente à faire. Pour bon nombre de gars, cet homme était leur oubli emmerdes. Alors le traité ainsi, mauvais temps.

Comme il fallait s’y attendre bon nombre d’entre eux s’était levé de leur table, restant ainsi sur leurs jambes observant la scène une légère inquiétude de prendre part au conflit. La musique coupé, l’ambiance était totalement plombé et sans le barman plus d’alcool. Là s’était vraiment la mort ! Coupé le moment de tranquillité d’un Mafioso n’était pas vraiment une chose à faire. Cette dame aller le comprendre à ses défauts peut-être ou peut-être pas. En tout cas il n’en fallait pas plus au jeune Capone pour s’être levé de son siège. Une seconde lui avait suffi pour dégainer l’un de ses guns et le pointer directement sur cuire chevelue de la demoiselle juste en face. La menaçant dans son dos, il pouvait s’attendre à une attaque surprise de la laidy. Mais pour l’instant l’heure était aux paroles.

    Silvano : Je ne sais pas qui tu es, ni ce que tu veux mais comme te l’a dit l’homme que tu viens de frapper on ne veut pas de ce genre de chose ici. Alors sois tu quittes cet endroit bien gentiment ou je te fais sauter la cervelle. Madame l’inconnu.

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*Saacrace! Il braque une arme sur moi le petiot.*

En tout cas, c'est une sage décision de commençait par des paroles. Cette scène me faisais bien rire, car ce qu'il disait ne m'affectait pas du tout. Cela n'avait aucun effet sur moi. Quel gâchis, à son âge il devrait encore être chez ses parents. Qu'est-ce que ça peut être débile des fois un gamin. Même avec un pistolet, il ne me fait absolument pas peur. Ça joue au dur. Enfin, de toute manière c'était une occasion primordiale. Mon plan allait être mis à exécution grâce à un coup opportuniste.

Il est vrai que j'ai tendance à planifier certains détails, mais je ne fais pas tout. De un, je n'ai pas que ça à faire, et de deux, cela demande du temps et une patience. Bref, les machinations je laisse ça pour d'autres qui ont que ça à faire. Je préfère seulement quelques petites choses qui a premières vu semblent être anodines, mais qui en fait, fait partie de cet ensemble. Le tout qui forme un programme. Par exemple, pour le choix de ce restaurant, j'ai choisis le lieu qui réunissait ce que j'appelle "la porte de sortit" et les futures "victimes ivres", encore sous l’ignorance de ce qui vont leur arriver. Il y avait du monde, et les autorités mettront cette affaire comme une baston général entre personne qui n'ont pas su doser leur consommation d'alcool.

Pour ce qui est de ma fuite si je devais en arriver là, le bar se trouvait à côté d'une boutique d'artifices. Étant donné que la ville était encore dans l'ambiance de la fête. On pourrait assimiler l’explosion en chaîne à un accident. Il suffit juste qu'il y ait "malencontreusement" une balle perdue et hop! Comment ça quelle déflagration? Je ne fais que projeter ce qui arrivera bientôt.

Venons maintenant à une petite description de la taverne. Je vous avouerais que je la trouve bien sympa et bien foutue. En fait, la façade était complètement ouverte dans la rue, il n'y avait qu'un bout de mur au niveau de la porte. Quand je "ouverte", je veux dire par là qu'il y avait une grande banque. Disons qu'on avait la terrasse qui était plus facilement accessible question dialogue. Sinon le reste était classique. Les murs étaient en pierre brutes. Le plafonds en bois. Tout comme le mobilier qu'on voit partout.

Les personnes qui voyaient la scène qui se déroulait s'étaient levées. Visiblement, tout le monde était contre moi, mais en même temps, je l'avais cherchée. L'un d'eux s'adressa au gamin qui me menaçait.

- Aller, vas-y! Troue-là! Cette garce va payer!!

Je profitai de la situation pour me retrouver face au jeune homme. C'était une grossière erreur d'avoir attendu. Ceux qui use de la parole dans ses moments cruciaux où ils tiennent leur ennemi bien en main devrait passer à l'acte directement. Tant pis pour lui, cela allait augmenter ma rage. Bon, je prends quoi. Le petit flingue ou le gros calibre? Il vaut mieux pour moi de sortir Senkō kirameku kasai. Je pivotai donc tout en sortant ma gunblade. Je la pointais fièrement face à lui. On savait pleinement que si l'un de nous tirait en premier on saurait très bien ce qui allait se dérouler par la suite. Je lui adressai dans un petit rictus une mise en garde.

- Tu es très mal placé pour m'influer des menaces, petit. On ne boxe pas dans la même catégorie. Et je t'aviserais de ne plus recommencer si tu tiens à la vie.


Dernière édition par Aoi D. Nakajima le Mar 10 Avr 2012 - 13:59, édité 1 fois
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ベイストン バー
Purée ! Mais quel imbécile ! Un seul moment d’initiation et voilà que la dame avait braqué elle aussi une arme en direction du garçon. Un pistolet bien trop inadapté au vu de sa carrure pour une femme telle qu’elle l’était. Un tireur digne de ce nom ne ferait pas une telle erreur, bien qu’il soit capable de tirer avec n’importe quelle arme de jet, il faut savoir faire la part des choses et prendre des armes avec lesquelles vous feriez le plus de dégâts. Les choses commençaient tout de même à devenir intimes que ce soit pour l’un ou pour l’autre. Chacun pouvait ressentir le souffle de son adversaire, chacun avait leur arme pointé sur l’autre et chacun avait la vie de l’autre à sa gâchette. Un cruel dilemme que de celui d’ôter la vie à quelqu’un. Il fallait dire que Silvano ce n’était plus vraiment au gout du jour. Il y a longtemps qu’il avait passé le cap du remord concernant ses actes par rapport à la vie. Même si pour la prendre à quelqu’un n’était pas quelque chose de naturel.

Qu’allait-il donc se passer ? L’un des deux allaient-ils tirer ? L’un des corps allaient-ils toucher terre avant même que l’affrontement n’est eu lieu ? Que de tensions. Le temps dans le bar semblait comme figé par cette altercation, tout le monde était là à attendre la suite des évènements. Aucun des alcooliques encore présent n’osés prendre part à ce conflits de peur de se prendre une balle perdu des deux terreurs de la gâchette comme ils les surnommés dans le fond de la salle. Et c’est pourtant à un moment comme celui-ci qu’il faut savoir se démarquer et profiter de chaque moment pour se tirer d’un mauvais pas comme celui-là. C’était précisément à cette seconde prête que cette fameuse opportunité arriva. Alors même que tous les gens présents avaient les yeux rivés sur les deux intimes prêts du bar, un ivrogne dans la pièce qui avait jusqu’à cette occasion gardait son calme, de sa bière encore à la main, titubant de tout son corps vint s’affaler sur le couple. Le lourdaud à peine maitre de ses gestes avait fait mine de donné un coup de poing, un coup lent et facilement esquivé. Voilà l’opportunité. De par son agilité et sa rapidité d’action le jeune Mafioso fit mine de se prendre ce majestueux coup de poing, bien que la situation était tout autre. Mais maintenant protégé par la masse graisseuse de son agresseur il ne risquait plus de se faire exécuter sans pouvoir réagir.

* Elle m’aurait abattus c’est certain, il vaut mieux faire attention avec cette femme. * L’action de ce colosse de graisse remplit d’alcool eu un effet bombe nucléaire. Alors même que tout le monde restait ainsi cloué dans son coin à regarder la scène tout le monde prit alors part au conflit. Les uns se battant pour les yeux doux de la demoiselle, d’autres pour l’agression du barman, d’autres pour leur taux d’alcoolémie, une vraie pagaille. Pour notre jeune Capone, qui avait déjà assez du mal à sortir de dessous sa montagne de poids, un poids qui après tant d’efforts était tombé raid là sur le sol. Il avait atteint sa limite et dormait dès lors comme un gros bébé. Il ne s’y retrouvait plus dans toute cette agitation. Il chercha, après s’être relevé, sa partenaire de jeu des yeux durant quelques secondes, mais il fut coupé dans ses recherches par diverses interruptions de certains hommes qui essayaient de frappés tout et n’importe quoi. Là nul besoin d’utiliser ses armes, de ses simples poings et jambes Silvano mit de nombreux hommes à terre. C’était le seul moyen de se faire un chemin dans toute cette populace bien agitée. Mais où était donc passé cette satané femme ?

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Ahahahahahahahah!!! Voilà l'opportunité que j'attendais. De plus, tout rentrer dans mon plan. Je riais aussi fort pour qu'on me remarque avant que je m’en prenne aux fous qui osaient me toucher. J'avais presque envie de me positionner en hauteur pour observer cette pitoyable scène non pas par peur, mais pour rire de la boucherie. Ahah! C'était parfait. Certes, je ne voyais plus le gamin. Ce n'était pas si important. De toute façon, je comptais me faire un chemin de sang avant de le retrouver parmi ces pauvres diables agités. Je peux me servir de mon arme comme d'une épée alors que lui ne se tiens qu'à un vulgaire flingue. Ahah, ça fait pitié.

Quelques idiots s'en prenaient à moi. Je n'allais pas me contenter de mes mains ou de mes pieds. J'y allais banco. Ma lame tranchait tous ces fous. Je ne faisais pas de distinction entres les hommes, les femmes, les tables, les chaises, les bouteilles et les verres qui étaient mis sur ma trajectoire. Je mettais tous en charpie. Un coup de feu retenti. Ce n'était pas le mien. Et voilà que je tue cinq types. Je me frayais un chemin jusqu'à arriver face au môme qui avait osé braquer son arme sur moi.

- Eh petit! Viens donc te battre avec moi au lieu de t'en prendre à ces ivrognes!!

Je sautai sur une table encore debout pour prendre de la hauteur et de la puissance. Je continuais dans mon élan pour bondir encore plus haut et avec plus de force. Je levai Senkō kirameku kasai à la verticale et frappa avec frénésie en atterrissant sur le rouquin. Malheureusement, il évita aisément mon coup. Je me relève tout en esquivant des jets de verre et autres objets susceptible de servir comme projectile. À cela s'ajoutait les mouvements fluides de mon adversaire qui éviter mes attaques. Il y avait un peu trop de monde tout un coup à mon goût. Je me sentais obligée de faire un peu de ménage. Alors que je progressais vers ma victime, certaines personnes tentaient de m'empoigner. Je dégainai alors ma seconde lame de ma manche gauche grâce à son mécanisme qui lui fit rétracter en un clin d'œil. Je tournais en déchiquetant deux autres malheureux, puis me baissais, suivis d'une roulade dirigée vers l'avant dans le seul but de me coller à Silvano G. Capone.

Cela commençait sérieusement à m'énerver. Soit le pirate esquivait mes frapes, soit j'avais des zigotos qui s'acharnaient sur moi. Il fallait que je passe à la vitesse supérieur. C'est alors que la boutique de feu d'artifice entra en jeu. Ahah. Il y avait suffisamment de quoi détruire le mur du bar. Et puisque le magasin stockait des barils de poudre tellement proche de la taverne sur la terrasse, on aurait droit à une magnifique exposition. Ça devrait pouvoir en calmer certain. Merde, j'avais perdu à nouveau de vu l'autre salopiot. Tant pis, je ne voulais pas qui crève dans la déflagration, car je désirais encore m'amuser en duel avec lui.

Aoi D. Nakajima tira de sa gunblade sur le tonneau grâce à l'ouverture du restaurant. Elle était du côté du comptoir, complètement à l'opposer quand l'explosion régissait en chaîne avec d'autres artifices. Le souffle fit voler le mur qui soutenait le bâtiment. La moitié de la terrasse et de l'intérieur fut emportée par l'explosion. Un vrai carnage! Le feu prenait déjà. L'édifice restait encore en état de soutenir les étages. La mitoyenneté permettait de tenir. Une construction basique serait écroulée dans un fracas rempli de poussière. C'était la panique à l'extérieur. Les habitants courraient dans tous les sens en hurlants pour sauver leur propre vie. La peur les envahissait. La fumée se dissipait peu à peu. Visiblement, il y avait encore des survivant. Les dégâts étaient très importants. En tout cas, une chose était sûre, c'est que la pirate s'offrait un joli spectacle en beauté.

Parmi les décombres se trouvait Silvano qui était encore debout. Tant mieux. C'était le moment où jamais pour le surprendre. À moins, que ce soit lui. Qui sait? Je courrais dans sa direction. Il y avait plus trop de monde pour m'empêcher. Là, se sera enfin le vrai duel. Il fallait que j'agisse vite, maintenant.

- Tu as donc survis à cette déflagration? Je t'en félicite, mais tu ne pourras pas éviter ça!!

Je tenais mon fusil-lame en arrière, je m'apprêtais à asséner un méchant coup.


Dernière édition par Aoi D. Nakajima le Mer 18 Avr 2012 - 20:38, édité 1 fois
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Purée ! Mais que c’était-il dont passé ?!!!! Tout était devenu noir d’un seul coup, il y avait eu un coup de feu et puis plus rien. Un énorme bruit avait retenti et paf, tout qui se casse la gueule. C’était quoi ce bordel ? A cet instant-là, notre cher Silvano commençait à perdre patience et commençait tout bonnement à s’énerver. Lui qui était venu là juste pour boire un verre après une dure journée de travail, il était à présent la agglutiné sous des décombres. Sans pourvoir dire ce qu’il avait pu bien se passer. Dans ses souvenirs, il était au même endroit, debout sur ses jambes entrain d’observer la pièce. Il cherchait de vu cette mamie qui avait tout déclenchée. Les femmes ne provoquaient que des accidents. Shogun lui avait assez répété. Ce n’était qu’après des minutes, de longues minutes où bon nombres de personnes avaient touchés le sol à cause de leur combat, pourtant la vieille peau était là elle. Debout sur une table, en train d’agiter ses bras pour faire du vent. Puis la voilà qui se mit à pourchasser le freluquet. N’arrivant désespérément pas à le toucher. Quand je vous avais dit que son arme n’était pas faites pour elle. Et puis comme terminer ses actes elle avait tiré un coup de feu un peu au hasard. Du moins c’est ce qu’il avait semblé être. C’est là qu’on avait entendu le « BOOM ». Purée ! Tout était si confus dans la tête de Silvano, un vrai champ mal entretenu.

C’est en sortant des décombres que tout lui paraissait plus clair. Les choses commençaient à prendre forme. Il était donc là au milieu de ce champ de ruines. Le bar était complètement détruit. Quelle explosion ! Cette garce avait tout prévu. Enfin du moins les grandes lignes on suppose, avec ses neurones aussi rachitique que ceux d’une limace ce n’était pas sûr qu’elle est le Cui pour faire de tout ça, un « plan ». Mais bon tout ça n’avait peu d’importance, si ? Ouai c’est vrai, comme façon de rester discret ya mieux. Un agent dans la Mafia doit rester inconnu ou du moins son statut dans la dite organisation. Même si là, rien ne semblait indiquer quoique ce soit, il est sûr qu’il allait se faire passer un savon pour le Boss. Un Boss qui soit dite en passant possède sur sa gueule une prime de 79 millions de berrys. Il faut dire qu’il n’avait pas trop à dire de ce côté-là. Pour en revenir à nos moutons. Nous revoilà dans l’action et pour dire. La voilà encore à l’action la vieille bique. Elle n’abandonnait jamais on dirait. Son pseudo sabre dans le dos prêt à découper n’importe quoi, elle avançait telle une furie en direction du Mafioso pour le découper lui. Trop tard pour réagir, il fallait trouver quelque chose pour parer, merde ! Ce fut dans un seul pas en avant, misant sur la chance, il laissa trainer sa main gauche sur le sol espérant que Dieu serai encore avec lui. Miracle dans son désespoir, sa main tomba sur une barre à mine de la structure des murs. C’était de toute sa force qu’il attrapa le morceau de fer contrant le coup de son adversaire comme il put. Les deux morceaux de métal s’entrechoquèrent provoquant durant quelques secondes un bruit strident bien reconnaissable. Ces quelques secondes semblèrent durer des heures pour notre Mafieux qui ne décolla pas une seule seconde son regard de celui de son ennemi. Pourquoi voulait-elle tant le tuer ?

Le bruit s’était enfin arrêté. L’un des deux morceaux de métal venait de lâcher. Comme vous pouviez vous en douter, la barre de notre héros fut coupée en deux, comme un fromage. Il était bien aiguisé ce couteau dit donc. Heureusement la petite altercation avait réussie à dévier la lame de la rouquine pour qu’elle vienne se fracasser juste à côté du pied gauche du jeune Capone. Un coup qui souleva un épais nuage de poussière. Parfait pour la contre-attaque. Silvano dans un bond dont il a le secret, se décala sur sa droite. C’était avant même de retoucher le pied à terre qu’il avait dégainé son gun, armé et prêt à tirer. Dans sa logique il valait mieux que ce soit elle qui crève que lui et à cette distance un tel tir ne pouvait être que fatal. Sans compter sur l’aspect environnement. Au moment même où il avait appuyé sur la gâchette, de la poussière lui encrassa les yeux, lui faisant du coup dévié son coup. Il retomba alors sur ses pieds, les yeux encore floutés à cause des larmes produites par cette intrusion dans sa zone oculaire. L’avait-il eu ?

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*Quoi?! Pouah! Ce n'est pas ça qui va le sauver, ahahah!!*

Merde, il a quand même bloqué mon coup. C'est qu'il résiste le bourge! Non mais ça ne va pas se passer comme tu le crois. Qu'est-ce que?!! Quoi! Il va tirer... Nan!!

...

?? Ce con a raté sa cible dans un moment pareil? Il a dû avoir un problème. Je ne pense pas qu'il soit un bleu. Je dirais même qu'il est meilleur que moi. Mais une chose est sûre, c'est qu'il est extrêmement vulnérable au corps à corps et c'est pour ça que je dois m'approcher de plus en plus. En espérant qu'il ne tente pas une slave.

En peu de temps le décor n'était plus que ruine et sang. Les survivants sortaient dans des sanglots et des cris de désespoir. Ils avaient compris qu'il ne fallait pas intervenir dans le combat. Ils courraient dehors s'échapper à boucherie. Ils avaient très peur. Tout comme la foule de l'extérieur qui fuyait dans tous les sens avec des hurlements de panique. Aoi D. Nakajima savait une chose. La Marine, n'allait pas tarder. Il fallait faire vite. Seuls, quels que malheureux était paralysé et ne pouvait pas fuir. La peur ou leur moelle épinière les bloquaient.

Cette fois, j'étais plus qu'en colère! Je voulais essayer un assaut violent. Je courais vers lui avec Senkō kirameku kasai en avant. Au moment de frapper, je plaçai cette dernière de manière à que je puisse prendre de ma main gauche la partie métallique de mon arme. Je donne un coup puissant aider par mon membre inférieur qui ne tenait pas le manche, puis je guidais le tout pour produire un mouvement oblique. La force de frénésie me fit chuter. Je profitai de la vitesse pour rouler et me retourner, car le rouquin venait encore une fois de me glissait entre les doigts. Il ne pouvait faire que ça de toute façon. À moins, que nous nous tirions simultanément. Chose improbable. Nous ne sommes pas fous au point de risquer de tel manœuvre.

J'échangeai encore quelque coup sans grand succès. Décidément, il m'énervait de plus en plus. Finalement, j'aurais dû le tuer quand je pouvais... Grrr! Il tire encore. J'ai pu bloquer en esquivant de justesse, mais c'était moins une. Il fallait que je réagisse et vite! J'avais vu deux pauvres diables jonçant dans une marre de sang. La Marine s'apprête à venir. Il me reste huit balles. Se sera amplement suiffant. L'heure de l'évasion était au rendez-vous.

À ce moment-là, les premières troupes arrivèrent et virent Silvano G. Capone et Aoi D. Nakajima en train de se battre. Elle déclara à son adversaire.

- Aller, viens te fritter avec moi!

Mais pour elle, cela ne signifiait pas du tout ce que cela voulait dire. Elle comptait se débarrasser du roux par la Marine. Ainsi, garder du temps pour s’enfuir. Elle avait encore d'autre ressource si besoin. Si le petit et les gardes ne la suivent pas, elle aurait gagné cette bataille. Dans un rire démoniaque, elle déclencha une fumigène qui créa vite de la fumée mêlée à la poussière des débris et du feu. Elle avait pris un otage qu'elle empoigna de force. Elle le ramassa en s'en fichant de sa vie et se dirigea vers la porte de derrière. Malheureusement, seul Silvano l'avait vu...
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ベイストン バー
Elle c’était enfuie. Pour une fois c’était elle qui s’été mise en courir. Il est vrai qu’elle avait pris un pauvre type avec elle, mais la voilà parti. Aurait-elle enfin décidé de laisser tomber ? Ou bien … Serai-ce à cause de ces nouveaux gus qui venaient de s’incruster à la fête ? De qui je pouvais bien parler ? De la marine, elle-même bien-sûr. Il fallait qu’ils viennent voir tout ça ces abrutis. Ils ne pouvaient tout simplement pas roupiller comme tout le monde ? Il faut dire qu’une explosion à cette heure de la nuit ça avait dû réveiller un peu les gens du quartier c’est vrai. Mais ce n’était pas pour ça qu’il fallait débarquer et commencer à embarquer tout le monde. Après personne n’y était pour rien dans tout ce raffut. C’était la vieille qui avait foutu tout ce bordel. Et si elle croyait en réchapper comme ça, elle se foutait tout le bras dans l’œil. Mais la poursuivre dans l’immédiat semblait un peu délicat. Quand vous avez plus de 7 Marine qui vous entourent et qui vous menace de leurs armes, avancer tête baissé n’était pas réellement la solution. Sans même perdre une seule goute de son sang-froid, le Mafioso abaissa son visage. Il ne prêtait même pas attention aux Marines qui profanaient leurs menaces sur le garçon s’il bougé ne serait-ce qu’un cil. Pourtant il parfaitement la peine d’allumer une cigarette et de la porter à sa bouche pour en prendre une taffe avant d’en expulser la fumée. Il posa dès lors sa main droite sur son gun et sans relever la tête il s’énonça à son tour.

    Silvano : Je vous trouve bien imprudent à pointer vos armes sur moi ainsi. Ne vous a-t-on jamais appris que quand l’on pointe une arme vers quelqu’un, il faut être prêt à perdre la vie.
    Marine : Ferme là. Mets-toi à genoux et les mains derrière la tête.
    Silvano : Comme vous voulez, moi qui espéré ne tuer plus personne. « Tir multiple! ».

On entendit dès lors un seul coup de feu. Un seul coup de feu, mais trois marines tombèrent eux sur le sol. Ils étaient morts, les 4 autres marines restèrent ainsi durant quelques secondes sans voix, sans qu’ils puissent bouger le moindre petit doigt. Que c’était-il donc passé ? Un seul tir et trois morts ? C’était certainement les questions qu’ils pouvaient se poser à un instant comme celui-ci. Rare sont ceux qui ont étés témoins du « Tir Multiple » ou encore de la « Lucky Luke ». Silvano était là lui son gun à la main encore fumant, le chargeur à moitié vide. Il était tant de terminer le travail. Avant même que les Marines n’eux le temps de réagir, voilà le tireur d’élite passant par-dessus une force de l’ordre de par son épaule grâce à une acrobatie dont il a le secret. Il toucha à peine pied à terre que le second coup de feu fut entendu et le quatrième marine toucha lui aussi le sol. Sa vie venait de s’éteindre par une balle entre les deux yeux. Ce fut sans perdre une seule seconde que le garçon attrapa alors son second gun de sa main gauche et exécuta le marine sur sa gauche. Une balle en pleine poitrine qui fut autant de dégâts que les précédentes. Il devait maintenant se mouvoir rapidement de crainte d’être touché par les tirs désastreux des deux derniers Marines encore debout. Une situation parfaite pour parfaire sa vitesse d’exécution et son domaine de l’esquive de par son agilité. Il ne lui fut que quelques secondes pour se retrouver entre les deux Marines, chacun à un mètre de lui, de chacun de ses côtés. Ses deux pistolets touchant les tempes des deux malheureux. Il était temps d’en finir. Vous l’aurez compris les deux coups de feu qui se sont entendus célère ce duel entre le Pirate et la Marine. Un à zéro pour le pirate, comme quoi prendre la vie reste toujours aussi facile. Sera-t-il assez fort pour en subir les conséquences ?

Il était ainsi là, debout entouré de cadavres. Mais là, il n’était pas temps de regarder le paysage ou encore même le ciel. Il était temps de rattraper la vieille mégère pour tout cela pu causer, comme s’il pouvait s’en tirer comme ça. Le garçon rangea alors ses joues-joues pour se mettre en courir vers la porte de derrière pour tenter de la rattraper. Il faut dire qu’il avait pris un certain retard à cause de ces marins qui ne savaient pas s’occuper de leurs affaires. En plus voilà qu’il en arrivait d’autres. Une chose est sure, il était tout sauf bon de rester ici. Ce fut donc au pas de course qu’il franchit la porte légèrement délabrait et qu’il activa le rythme après celle-ci pour démonter cette foutue femme …

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- Ah, c'est toi?

Sans même me retourner, je savais implacablement qu'il s'agissait du freluquet. Je traînais mon pauvre otage par-dessus mes épaules pour que son corps longe mon dos. J'assurais ainsi mes arrières. On était dans la cours de derrière. L'endroit était assez étroit selon moi. À vrai dire, cela devait faire dans les trois mètres de large. C'était un lieu de stockage. Il y avait des caisses et des tonneaux rangés bien comme il faut le long des parois. Sur la droite, en venant du restaurant, il y avait un escalier de bois encastré dans le mur de pierre qui débouchait dans une sorte de loggia. Le pauvre diable que j'avais emmenée et moi étions à cet l'étage supérieur.

Quand j'avais entendu le petiot dans la cours, je venais de défoncer la porte en face de moi. Je pouvais largement partir sans faire de nouvelles histoires. Ni vu, ni connu. Certes, mon poursuivant avait vu mon visage et cela n'était pas quelque chose que j’appréciais. J'avais déjà perdu la face avec un certain Juusei. Quand je pensais qu'il m'avait mis en fuite ce jour-là...

- C'était donc toi les coups de feu? Je ne pensais pas que tu allais t'en sortir si facilement avec la Marine. Je te trouve bien perspicace! Tu ferais un bon matelot sous mon commandement. Hélas pour toi, tu commences à me courir sur le haricot. Bien que je t'ai invitée à me suivre, ceci n'était juste pour qu'on en termine une bonne fois pour toute.

Je lâchai l'homme qui était avec moi. Il en pouvait plus. Il toussait. Il était raide. Il ne devrait pas en avoir pour longtemps et autant l'aider dans ses moments d'agonies. Je m'adressai à ce cloporte sans me souciais du rouquin.

- Meurs!

PaNnn!!

Je tirai. Puis, je me retournai face à mon adversaire. Je tenais fermement ma gunblade en main. À travers la rembarre, je pointais ma lame dans sa direction sans trop le viser. J'avais encore du temps avant que d'autres Marines n'arrivent. Par contre, j'avais beau me servir de mon arme comme un fusil, je n'étais pas si douée pour les cibles éloignées. En fait, j'étais complètement nulle pour ça. J'avais plus tendance à m'en servir à bout pourtant. Plus de manière à créer des effets de surprises. De toute façon, si j'usais toutes mes balles ou que je n'en finissais pas avec lui, j'avais toujours ma porte de secours derrière moi. Il n’aura pas le temps de me rattraper. Du moins, pas tant que je le garde en bas. Je riais.

- Alors, se sera un duel entre tireur d'élite? Eh bien soit, petit. J’accepte! Ahah!

Sans même avoir attendu une quelconque réponse j'engageai le combat. Les coups de feu retentirent dans la nuit. Les tires manquées explosaient les caisses dans les plus petites volèrent en éclats. Et les rafales sifflèrent dans tous les sens. C'était un acharnement sans pitié. À plusieurs moments, je ne manquai pas de me faire toucher, mais je restais bien sous ma couverture quand il vidait ses chargeurs...
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ベイストン バー
Nous y voilà. La porte était dorénavant franchie laissant place à une espèce de cours aussi sombre qu’un dessous de lit peu éclairé. On y voyait à peine à quelques mètres, seules quelques bougies placées à mi-hauteur servaient de lampes pour éclairer ce petit espace clos. Le garçon resta ainsi, derrière le pas de la porte, sans bouger le moindre cil cherchant la fuyarde de ses yeux sans réellement la trouver du regard. Où était-elle donc passée ? Avait-elle déjà franchi cette pièce ? Non, le laps de temps avait été trop court, bien trop court. Alors où était-elle donc ? Il faut dire que cette cours n’avait vraiment rien d’exceptionnelle et peu de cachettes pour les peureuse dans son genre. Après on ne trouvait là que quelques barils d’alcool et un simple escalier avec une légère balustrade. Mais l’endroit était si sombre, qu’elle avait pu être à deux mètres de son opposant qu’il n’aurait pu la voir. Pourtant, dans son instinct, elle était là, attendant le bon moment pour se montrer. Dès lors on entendit un coup de feu, laissant apparait un flash de lumière qui mit en évidence la personne ayant lancé l’offensive. Elle était là-haut, dans ses hauteurs pourtant son attaque ne semblait pas être dirigée vers notre héros et ce fut dès lors le silence total. Sur quoi avait-elle bien pu tirer ? Sur son présumé otage ? Où était donc l’intérêt de prendre un otage si c'est pour l'exécuter ensuite ? Cette femme était folle, folle alliée ...

Silvano maintenant sur ses gardes, avait dégainé son arme ne le pointant que vers le ciel cherchant sa cible mouvante pour faire mouche. Ce moment avait tout l’air de l’affrontement final et ce silence ne présagé que la mort dans cet ultime affrontement. Quel moment quand même ! Souvenez-vous qu’il y avait encore tout juste une heure, tout le monde était là en train de boire leur rhum dans la plus joviale des ambiances et nous étions maintenant dans un affrontement entre deux personnages qui n’avaient pas réellement de raisons de se mettre sur la gueu**. Le tout accompagné d’une vingtaine de morts. Quelle soirée me diriez-vous et vous auriez raison. On pouvait entendre encore la vielle pie déblatérer dans son coin mais impossible de la localiser, la pièce faisait échos. Quelle merde !Pan ! Un coup de feu se fit ressentir, le garçon ne put que sentir le sifflement de la balle le long de son oreille droite. Ce n’était pas passé loin. Le projectile vint alors se loger dans un baril juste derrière le Mafioso laissant dégouliner le vin qu’il avait pu contenir. Le temps était donc venu. Sans perdre une seule seconde, nous étions dès lors embarqués dans un tourbillon de coups de feu laissant apparaitre de nombreux flashs de lumière. Les balles fusèrent, des projectiles qui ne semblaient jamais atteindre leur cible, l’effleurant juste dans le meilleur des cas. L’élève de Shogun n’était pas capable de faire mouche ? Et bien qu’arrivait-il donc à notre Mafioso ? Etait-ce à cause par le manque de luminosité ? On allait dire ça comme ça …

On entendait plusieurs fois les balles se dévier entre elles, les tirs s’annulant entre eux. C’était un véritable carnage. Mais comme toute chose, il faut bien un moment où le tout s’arrête. Il semblait que là, ce moment été arrivé. Chacun des tireurs avaient vidés leurs chargeurs. Chacune de leurs armes faisaient des « clic » comme si chacun des deux tireurs auraient voulu continuer cet affrontement encore des heures. Mais la loi de la physique en avait décidé autrement, le tout était terminé. Silvano maintenant désarmé était complètement à la merci de son adversaire. Sans balle et sans guns pour les tirer, il était comme un lion sans ses griffes, un sabre sans sa lame, une cible parfaite. Qu’allait-il donc se passait pour lui ?

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Clic! cLic! ClIc!

- Saacrace!

Je n'avais pas encore dit mon dernier mot. Il me restait encore une carte à jouer. Je sortis mon apache et tirai. Je ne voyais pas précisément où les balles arrivaient, mais je fis mouche sur des tonneaux d’alcool. L'odeur montait jusqu'à mes narines. Le liquide se répandait sur le pavé. Une idée naquit dans ma petite tête satanique. Se sera pour moi, une manière de dire au revoir à ce chère rouquin. Histoire de partir en beauté, une deuxième explosion ne serait pas de refus. Ahahah.

Je vidai mon barillet. Evidemment, je n'avais toujours pas toucher ma cible. Le faible éclairage, ne m'aidait absolument pas. De toute façon, c'était le tout pour le tout. Je sentais l'absinthe. C'était parfait. Cela voulait dire que les barils qui sont fondus libère un fort taux d'alcoolémie. Pour en venir à bout de ce petiot, il ne me manquait plus que le feu. Et cela, n'était pas un problème majeur.

J'étais appuyée de dos sur la rembarre en face à la porte que j'avais détruite. Je me levai et ôta la lanterne près de l'entrée. Je la balança vers le gamin. J'étais sûre à cent pour cent que cela allait faire plus que des étincelle. Si avec ça il survit à une deuxième déflagration, je bien qu'on me coupe un bras. Ahahaha.

Aoi D. Nakajima n'était pas folle au point de se laisser démembrée après un paris. La bougie entra en contacte avec le liquide et glissa le long du sol en enflamment le pavé. Très rapidement, la petite cours devînt une véritable fournaise. Silvano G. Capone avait bien évidemment échappé au drame. La femme avait également prit la fuite en toute halte. L'explosion fut quasiment instantané. Le loggia et les alentour furent complètement anéantie. Seul, le bâtiment dans laquelle la pirate avait entrée semblait tenir encore debout.

Cette nuit-là, à Inu Town c'était la pagaille. Un incendie se déclarait là où se trouvait anciennement la taverne et la boutique de feu d'artifice. Le feu activa les poudres encore non atteint par le souffle de tout à l'heure. Le voisinage était gravement touchée. Les gens hurlait, courait dans tous les sens. Certains, pensaient qu'il s'agissait d'un attenta. Les ravages prenaient de l’ampleur au fur et à mesure que le temps avançait. Les nuages reflétait la lueur des flammes infernales. C'était un soir rouge de sang et de feu.

Maintenant, j'étais dans la rue. Je me mêlais à la foule bordélique. Je fi semblant de paniquer également et je regagna l'hôtel où se trouvait Yumi, Ichimaru et Rose. On prépara nos affaires on quittait la ville dans l'obscurité.

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Et si on partait d'Inu Town en beauté? Signat10
Aoi D. Nakajima



~FIN~
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