Après plusieurs jours en mer, Seido arriva enfin sur la terre ferme, sur une petite île à l'allure fort sympathique, où un soleil radieux régnait en maître. Le pirate passa d'abord chez le forgeron, afin de faire aiguiser un peu sa lame. Ayant perdu son matériel d'entretien, il n'avait pas pu le faire lui-même. Mais bon, au moins, de cette manière, le travail serait bien fait. Le forgeron, un homme très barbu, mit une quinzaine de minute pour effectuer le travail. Seido le paya, et alla s'assoir sur un banc, non loin d'une fontaine. Des enfants jouaient avec un petit ballon. Le pirate commença la lecture d'un petit cahier, jusqu'au moment où quelque chose, ou plutôt quelqu'un, attira son attention. En fait, l'attention d'autres personnes fut attirée dans la même direction. Laquelle ? Celle d'une jeune femme. Selon notre homme, elle devait avoir une vingtaine d'année, mais ce n'était pas important ... Mini-jupe courte, longue jambe, gilet visiblement sans soutien-gorge...
*Oh, une culotte blanche ...*
Et un vent qui montrait le bout de son nez au bon moment. Un homme ne résista pas à l'envie de la siffler, ce qui ne sembla pas la déranger outre mesure. Le type de femme qui plaisait à Seido ! Et ces yeux, ce sourire ... Était-ce une impression ou elle était vraiment canon ? Ramassant ses affaires, le pirate redevint chasseur. Une telle proie ne devait pas lui échapper ! Il la suivit jusqu'à une auberge, le Doux Chaton, sans la perdre de vue un seul instant, finissant par remarquer le gros revolver, accrocher à sa cuisse. On préféra taire comment il le remarqua, si vous voulez bien. Entrant dans la dite auberge, Seido la chercha du regard. Le pirate remarqua une chose étrange, au passage. L'enseigne était orné de nombreux impacts, ainsi que trois fins poignards. Pourquoi les avait-on suspendus comme ça ? C'était bizarre.
La porte en chêne s’ouvra sur une vaste salle tout en longueur, meublée de grandes tables aux tabliers de pierre, bien éclairée par une grande cheminé ou rôtissaient quelques poulardes. Seido fût frappé par l’immense tête de guépard empaillé qui trônait au-dessus du comptoir, et par la collection d'arme blanche, dont beaucoup d'hache, suspendues aux murs. C’est alors qu’il entendit la voix d'un homme, probablement le maître des lieux, couvrant le brouhaha de la salle « Et une omelette tigrée pour la quatre ! Une ! ». Seido finit par remarquer sa proie, assise seul au bar, au fond à gauche. Prenant une courte inspiration, vérifiant son haleine et après avoir ajusté son chapeau, il se dirigea vers elle.
Mais que fais donc une aussi jolie demoiselle seule ? Permettez moi de vous offrir un verre, de votre choix bien sûr.
*Oh, une culotte blanche ...*
Et un vent qui montrait le bout de son nez au bon moment. Un homme ne résista pas à l'envie de la siffler, ce qui ne sembla pas la déranger outre mesure. Le type de femme qui plaisait à Seido ! Et ces yeux, ce sourire ... Était-ce une impression ou elle était vraiment canon ? Ramassant ses affaires, le pirate redevint chasseur. Une telle proie ne devait pas lui échapper ! Il la suivit jusqu'à une auberge, le Doux Chaton, sans la perdre de vue un seul instant, finissant par remarquer le gros revolver, accrocher à sa cuisse. On préféra taire comment il le remarqua, si vous voulez bien. Entrant dans la dite auberge, Seido la chercha du regard. Le pirate remarqua une chose étrange, au passage. L'enseigne était orné de nombreux impacts, ainsi que trois fins poignards. Pourquoi les avait-on suspendus comme ça ? C'était bizarre.
La porte en chêne s’ouvra sur une vaste salle tout en longueur, meublée de grandes tables aux tabliers de pierre, bien éclairée par une grande cheminé ou rôtissaient quelques poulardes. Seido fût frappé par l’immense tête de guépard empaillé qui trônait au-dessus du comptoir, et par la collection d'arme blanche, dont beaucoup d'hache, suspendues aux murs. C’est alors qu’il entendit la voix d'un homme, probablement le maître des lieux, couvrant le brouhaha de la salle « Et une omelette tigrée pour la quatre ! Une ! ». Seido finit par remarquer sa proie, assise seul au bar, au fond à gauche. Prenant une courte inspiration, vérifiant son haleine et après avoir ajusté son chapeau, il se dirigea vers elle.
Mais que fais donc une aussi jolie demoiselle seule ? Permettez moi de vous offrir un verre, de votre choix bien sûr.